EN COULISSES: ENQUETE DE CE MERCREDI 11 DECEMBRE
Cybercriminalité à Thiès, sept (7) personnes devant le procureur aujourd’hui
Du nouveau dans l’affaire de la prostitution en ligne démantelée, jeudi dernier, par la police, au quartier Grand Standing de Thiès. La patronne de l'agence Médias Sénégal International, Béatrice Sagna, a été interpellée au quartier Nord Foire de Dakar, puis présentée au Procureur, en même temps que les trois filles et Boubacar Fall, le gérant de Thiès, après 4 jours passés au poste de police des Parcelles Assainies. Après un bref face-face avec le Procureur, ils ont bénéficié d’un retour de parquet. Ils vont passer la nuit au commissariat du premier arrondissement. L'affaire du démantèlement du réseau de prostitution en ligne, d’après les éléments de l’enquête, connaît des “évolutions intéressantes”, selon les termes de nos interlocuteurs. Le matériel informatique confisqué par les limiers contenait des films à caractère pornographique. Des jeunes filles, pour la plupart des étudiantes s’adonnaient au “téléphone love” avec des clients, majoritairement “européens”.
Fin du marathon budgétaire : BBY critique des “libéraux pas à la hauteur des enjeux”
Si les députés de Bennoo Bokk Yaakaar, à travers un communiqué signé de leur président Moustapha Diakhaté, ont marqué leur fierté “de l’adoption ce lundi 09 décembre 2013, par la représentation nationale de la LFI et du PTIP”, qu'ils assument en totalité pour les “choix clairs, justes et audacieux”, ils n'en brocardent pas moins leurs collègues libéraux qui, à leur yeux, n'ont pas été à la hauteur des enjeux. “Les députés libéraux ont brillé par leur absence en commissions comme en plénières, notamment le Coordonnateur du PDS, le député fantôme Oumar Sarr”, fustigent-ils. Enfonçant le clou, Moustapha Diakhaté et Cie relèvent que “ce parti s’est même permis de narguer les Sénégalais en se présentant comme un gestionnaire sérieux des deniers de l’État alors qu’il est responsable de tous les gaspillages et détournements qui ont abimé notre pays”.
Mort du prévenu Cheikh Sané, le certificat de genre de mort établit un décès par strangulation
La mort du prévenu Cheikh Malayni Sané continue de soulever des vagues. Le certificat de genre de mort établi par les médecins de l'hôpital Le Dantec laisse entendre que le jeune Cheikh Malayni Sané est décédé par ''strangulation'' et des suites de plusieurs plaies au cou, au dos et sur la tête, causées par un ''objet contondant'', c'est-à-dire qui n'est pas tranchant. Le jeune Sané a été arrêté pour usage de chanvre indien à la Sicap Baobab. Sa famille a déjà porté plainte auprès du Procureur... A suivre...