LE PROPHÈTE MOUHAMAD (PSL) VU PAR DES GRANDS PENSEURS NON MUSULMANS
Mahatma Gandhi (dirigeant politique, important guide spirituel de l'Inde)
«Je voulais mieux connaître la vie de celui qui aujourd’hui détient indiscutablement les cœurs de millions d’êtres humains. Je suis désormais plus que jamais convaincu que ce ne fut pas l’épée qui créa une place pour l’Islam dans le cœur de ceux qui cherchaient une direction à leur vie. Ce fut cette grande humilité, cet altruisme du prophète, l’égard scrupuleux envers ses engagements, sa dévotion intense à ses amis et adeptes, son intrépidité, son courage, sa confiance absolue en Dieu et en sa propre mission. Ces faits, et non l’épée, lui amenèrent tant de succès et lui permirent de surmonter les problèmes».
James Albert Michener (écrivain américain)
« À la mort de Muhammad, certains voulurent le déifier, mais son successeur administratif (Abou Bakr, le véridique) mit fin à cette vague d’hystérie par une des paroles les plus belles de l’histoire religieuse : « Si l’un d’entre vous adorait Muhammad, qu'il sache que Muhammad est mort. Mais si c’est Dieu qu’il adore, alors Dieu est vivant et ne meurt pas ».
Benjamin Bosworth Smith (évêque protes- tant américain)
« Il était César et le Pape réunis en un seul être ; sans armée, sans garde du corps, sans palais et sans revenu fixe ; s’il y avait un homme qui avait le droit de dire qu’il règne par la volonté di- vine, ce serait Muhammad, puisqu’il a reçu tout le pouvoir sans avoir les instruments ni les supports ».
Michael H. Hart (astrophysicien et essayiste américain)
« Certains lecteurs seront peut-être étonnés de me voir placer Muhammad en tête des personnalités ayant exercé le plus d’influence en ce monde, et d’autres contesteront probablement mon choix. Cependant, Muhammad est le seul homme au monde qui ait réussi par excellence sur les plans religieux et séculier ».
George Bernard Shaw (critique musical et dramaturge irlandais, prix Nobel de littérature en 1925)
« Ce dont le monde a le plus besoin est un homme qui a l’esprit de Mohammed. Les hommes religieux dans le Moyen-âge, par ignorance et par fanatisme, ont propagé une image obscure de la religion de Muhammud qu’ils ont considéré comme l’ennemi du christianisme. Mais après avoir eu connaissance de l’histoire de cet homme, j'ai trouvé que c’est un prodige exceptionnel et j'ai conclu qu’il n’est pas l’ennemi du christianisme mais le sauveur de l’humanité. Selon mon opinion, s’il avait à se charger des affaires de ce monde actuel, il résoudrait tous nos problèmes et assurerait la paix et le bonheur que le monde entier espère ».
William Montgomery Watt (universitaire britannique spécialiste de l'Islam)
« La façon dont il accepta les persécutions dues à sa foi, la haute moralité des hommes qui vécurent à ses côtés et qui le prirent pour guide, la grandeur de son œuvre ultime, tout cela ne fait que démontrer son intégrité fondamentale. La supposition selon laquelle Muhammad serait un imposteur soulève plus de problèmes qu’elle n’en résout. Et pourtant, aucune des grandes figures de l’histoire n’est si peu appréciée en Occident que le Prophète Mohammad».
Professeur Koneru Ramakrishna Rao (philosophe, psychologue et chercheur indien)
« Il est difficile de cerner totalement la personnalité de Mohammed. Je n’arrive à en saisir qu’un regard. Quelle incroyable succession de tableaux pittoresques ! Il y a Mohammed le prophète, Mohammed le guerrier; Mohammed l’homme d’affaire, Mohammed l’homme d’État; Mohammed l’orateur; Mohammed le réformateur; Mohammed le Refuge de l’orphelin; Mohammed le Protecteur des esclaves; Mohammed l’Émancipateur de la femme; Mohammed le juge; Mohammed le Saint. Et dans tous ces rôles, dans toutes ces sphères d’activité, il s’est comporté en héros ».
Annie Besant (conférencière, libre-penseuse britannique)
« Il est impossible pour quiconque étudie la vie et le caractère du grand prophète d’Arabie et sait comment il a enseigné et comment il a vécu, d’avoir un sentiment autre que de la révérence et du respect pour ce puissant prophète, l’un des plus grands messagers de l’Etre suprême. Bien qu’il puisse y avoir dans mes propos beaucoup de choses qui n’ont rien de nouveau pour beau- coup d’entre vous, moi-même, chaque fois que je les relis, c’est une toute autre forme d’admiration, un nouveau sens de respect pour ce maître arabe qui naît en moi ».