LE RETOUR DU VAUTOUR

«Macky Sall est un descendant d’esclaves, ses parents mangeaient des bébés et on les a chassés de leur village»
Soi-disant révélation du patron du Pds mais à vrai dire véritable torchon, symbole d’insanités de caniveaux où errent les rats et les margouillats, Abdoulaye Wade s’est encore illustré dans ses attaques contre le président de la République, unique dessein de créer le discrédit sur Macky Sall.
Déloyale attitude mais compréhensible comportement si l’on sait que l’auteur de ces propos, produit d’une formation colmatée en Homme d’Etat, à la langue infestée, maître dans l’art du camouflage et du verbiage, toujours dans les vaps, ivres de rancœur et de haine est un déséquilibré, un demeuré qui, par un curieux sortilège de l’histoire et par un renversant hilarant des principes, est devenu ce qu’il n’aurait jamais imaginé être. Nous regrettons qu’il fût le président de notre République
Abdoulaye Wade est un personnage burlesque, hors du commun, dégageant morgue et suffisance, incarnant ce qu’un auteur qualifiait de «bout d’homme». Ce monsieur est un homme bizarre. Cela on le savait déjà. Il ne doit son statut qu’à ses démarches ménagères au service d’encagoulés là ou d’autres s’étaient singularisés par leur caractère, leur savoir et leur dignité.
On le savait bouffon, on le découvre insolent.
Mais, pour quel but, Wade s’attaque-t-il à l’Etat et à son chef qui est au-dessus de lui et de «son fils» ?
Loin de nous l’idée de penser qu’il agit ainsi pour prétendre que «son fils» puisse remplacer le président de la République à la tête du pays.
Son incursion dans le cercle des chefs d’Etat peut l’amener certes à rêver de faire de «son fils» un Silvio Berlusconi. Mais quand même Wade ! Oses-tu toujours penser, «ton fils» occuper le poste de président de notre République ? Que nenni !
Cette hypothèse écartée, il reste celle de son maintien en prison. Peut-être c’est de cela qu’il s’agit. Nous savons tous qu’à ce niveau de la procédure, les pilleurs de votre trempe ne se sentent plus en sécurité. Car, comme dans la légende, Wade vous êtes en train de vous sacrifier.
Eh bien parlons de Macky Sall, fils de Amadou Bodé Sall dit Béniou Ganna Lam Torro n’en déplaise à Abdoulaye Wade et à celui qui se cache derrière sa sortie. Ce cagoulard est un frileux. La frilosité traduit le manque de courage qui fait que le commanditaire, comme dans la mafia, se cache sous un pseudonyme ou utilise des valets pour accomplir son forfait. N’en déplaise à Wade et son «informateur», le président de la République est un véritable leader qui fait notre fierté. Il a
fait connaître à notre pays beaucoup de succès en peu de temps. Parce que simplement il fait bien son travail.
Enunlapsdetemps,ilasu patiemment construire avec la caution des Sénégalais et celle de ses pairs, une véritable République de dirigeants sobres, vertueux et humbles au service de leur pays. Le chef de l’Etat s’achemine allégrement vers d’autres consécrations politiques, ce qui gêne Wade. Ce qui fait mal au «père» de «son fils», c’est la confiance et le respect mutuels entre Macky Sall et ses concitoyens.
A vrai dire, il y a bien des différences notoires entre Macky Sall et Abdoulaye Wade. Le premier est d’un calme olympien, le second est bavard. Le premier est un homme de tenue et de retenue, le second est plaisantin et désincarné. Le premier est fidèle en tout, le second cultive la félonie, la ruse et l’infidélité jusque dans les draps.
De grâce Wade, vous avez tant de boulot sur vos frêles épaules pour perdre du temps à attaquer sous les oripeaux d’un masque, le régime du Président Macky Sall. Vous devriez avoir mieux à faire.
La vérité est que vous êtes devenu ce que vous êtes par défaut. Du temps de votre séjour à Besançon, Grenoble et Paris, votre rêve était d’acheter une maison en banlieue avec une voiture de plus de dix ans, moteur diesel. Aujourd’hui, les lambris dorés des grands hôtels et les encens des palais royaux vous ont enivré.
Abdoulaye Wade, qui disait qu’un «badolot» restera toujours un «badolot» !
Quant à cette vermine et moisissure qui vous informe sur la famille du chef de l’Etat qui, encore une fois, se trouve au-dessus de vous et de «votre fils» en satisfaisant sa soif, il est semblable à ces vautours qui rodent autour du cadavre. Ils se nourrissent ainsi. Cette race existera toujours pour, au moins, aider à séparer le vrai du faux.
A bon entendeur, salut !