SAÏ SAÏ A DUBAÏ
Avec ce qu’on a vu cette semaine sur les réseaux sociaux, tout ce que nous avions subodoré tout en n’osant pas le dire faute de preuves est en passe de devenir réalité
Avec ce qu’on a vu cette semaine sur les réseaux sociaux, tout ce que nous avions subodoré tout en n’osant pas le dire faute de preuves est en passe de devenir réalité.
Jadis, nous savions nos jeunes filles et autres dames très salaces mais point frivoles. Mais avec l’uniformisation de la diversité que nous avons toujours dénoncée, les mœurs sont irréversiblement débridées. Cette internationale de jambes légères africaines opérant aux Emirats ou ailleurs nous afflige et nous dérange.
Le sexe dont la facilité d’obtention est si banale n’est plus cet objet tant prisé et couru des mâles dominants que nous sommes encore. D’autant que mâle dominant ne signifie point être grivois ou Kaccor ; n’en déplaise à certains qui se sentiront visés !!! Le pétrole et le gaz aidant, de nouveaux riches entrent dans cette danse phallique où se mêlent plaisir, jouissance et dégénérescence. Parce que ceux qui sont subitement riches sont souvent arrogants et barbants.
Avec une ville bâtie sur l’excès, sur la démesure, tant l’argent y coule à flot pour attirer les stars de haut niveau et tous ceux que les pétrodollars attirent irrémédiablement, Dubaï et les autres villes de son genre constituent une plaque tournante du vice. Et dans ces royaumes du vice on rencontre facilement des ambassadeurs non accrédités. Gagner de l’argent dans la volupté ou dans l’humiliation, qu’importe !
Des preneurs de toutes nationalités seront toujours présents. Et alors les donneurs de se servir et servir leurs animaux. Cette humiliation est si repoussante et avilissante que je ne peux comprendre son acceptation. Entre vingt et trente mille dollars la passe ou séance, c’est vrai que la différence est monstre entre ce qu’elles gagnaient dans leurs villes d’origine et ce que leur offrent ces nababs arabes. Et ma conviction est faite qu’aussi grande puisse être cette offre, rien ne vaut une humiliation. Car marchander une humiliation est la pire dégénérescence qui soit. Cette dernière rime avec souffrance, violence et déchéance !
Pêle-mêle des comédiens, des musiciens, des mannequins sont cités mais la prostitution est une tare n’appartenant pas seulement à ces professions. On la trouve partout et c’est pourquoi les prix diffèrent. Aller à Dubaï devient maintenant équivoque pour toutes ces femmes qui défendent la dignité féminine. Dire que l’Islam a résolu ce problème depuis des lustres nous conforte que c’est cette religion qui respecte le plus la femme.