UN FAGOT DE PLUS AU BÛCHER DU TERRORISTE PYROMANE
L’archange de l’anti-système, qui a toujours honni la justice, lui accorde maintenant une confiance absolue et menace même de poursuivre et de châtier tous les membres de la Commission d’enquête parlementaire - Pour quel crime ?
Au tout début de la Création de la Commission d’Enquête Parlementaire sur initiative de votre serviteur pour faire la lumière sur ce qui était communément appelé “ l’Affaire des 94 milliards “ détournés au préjudice de l’Etat, selon un député qui accusait l’ex directeur des Domaines, on ne semblait guère chez beaucoup accorder une grande importance à cette attribution constitutionnelle de l’Assemblée Nationale. Tout au plus, l’accusateur lui afficha un mépris public particulier au point d’opposer un refus insolent de déférer à la convocation de la Commission avec une répugnance caractérisée, caractérielle connue de l’homme, « J’ai autre chose à faire que de répondre à ces petits députés véreux et corrompus ».
Mais voilà que monsieur vient manifester subitement une attention et un intérêt particuliers à cette commission. Depuis, il la suit comme son ombre, réglant désormais les pendules de son horloge sur ceux de la Commission si longtemps bannie et vitupérée, étant toute ouïe sur ses travaux. Pour preuve, le point de presse que cette Commission avait tenu lui a fait sortir la morve . Le plus hilarant, l’icône, l’archange de l’Anti Système, notre Shekau national qui a toujours honni la Justice, insulté les juges lui accorde maintenant une confiance absolue et menace même avec une nouvelle plainte de poursuivre et de châtier tous les membres de la Commission d’Enquête Parlementaire, (nous en frissonnons .) Pour quel crime ?
La violation selon lui par ces derniers des dispositions du Règlement Intérieur de l’Assemblée Nationale, en diffusant les conclusions de leurs travaux, et en déclarant sur la base des auditions et des documents qu’il n’a pas été établi un détournement de deniers publics. Conforté par des juristes, l’ancien candidat à la Présidentielle, brandit à l’appui de son réquisitoire l’article 363 du Code Pénal , qui selon lui, aurait été violé par la Commission d’Enquête.
En proie à ses sempiternelles vociférations et diatribes, le Rédempteur, promet aussi, de se constituer partie civile pour les 94 milliards, objet déjà d’une soit disant plainte et d’autres affaires gravissimes. Notre homme n’a pas manqué d’ houspiller au passage les sénégalais pour leur mollesse et leur manque d’ambition , en ne descendant pas dans la rue par millions, au lieu de se concentrer sur les matchs de football qu’il hait tant, pour raser le système (son obsession),comme l’ont fait « les vaillants peuples » de l’Algérie pourtant championne de la CAN, ceux d’Egypte, et du Soudan. Les sénégalais devraient donc se joindre à leurs actions pour se libérer de l’oppression et préserver leur bien public spolié. En quelle qualité et en vertu de quel mandat ce monsieur et ses camarades de Aar Linu Bokk, et du Congrès de la Renaissance Démocratique, autres illuminés de cette bande de badauds pourraient ils engager une action devant les juridictions pour « recouvrer les 6000 milliards », et autres qui n’existent que dans leur esprit pervers et avide de pouvoir ?
En leur qualité de députés, représentants du peuple, ont soutenu certains téméraires. Ces gens se substitueraient ils alors au Ministère public et à l’Agent judiciaire de l’Etat pour engager des actions de détournement de deniers publics ou autres délits prévus par les articles 142 et suivants du Code Pénal? Quel culot ! Quelle effronterie! Même, si les illusions, rêves fous de ces agités s’étaient, par un coup de baguette magique transformés en réalité, on peut bien se demander comment ils vont procéder pour allouer cette « manne financière » aux quinze millions de sénégalais, (400.000 frs pour chaque sénégalais d’après leur calcul), après prélèvement bien entendu de leurs honoraires et commissions. Sauf à faire une lecture en diagonale et en médiane des dispositions de l’article 48 du Règlement Intérieur de l’Assemblée Nationale, la Commission d’Enquête n’a en aucun cas commis une quelconque illégalité. D’abord, elle avait déjà fini ses travaux et déposé son rapport au bureau de l’Assemblée nationale, obtenu son autorisation avant sa communication.
La Commission d’enquête avait décidé en toute légalité et souveraineté d’informer les citoyens qui sont ses mandants par des communiqués. Dans beaucoup d’assemblées parlementaires en Afrique comme c’est le cas en Afrique du Sud, dans les grandes démocraties, les séances d’audition des Commissions d’Enquête sont publiques et sont même retransmises en direct par les médias, notamment les chaînes de télévision. La Commission d’Enquête, après avoir terminé ses auditions et déposé son rapport au bureau de l’Assemblée n’a en aucun cas, dans ses conclusions ni noirci, ni blanchi qui que ce soit, comme l’ont relaté certains journaux. « Un Pays ne peut être grand si la fonction présidentielle et celle de juger n’y sont pas respectées. »
« Nous n’osons douter un seul instant que l’Autorité fasse sienne cette exigence nationale pour que disparaissent pour de bon la pagaille et le désordre au Sénégal », avions nous soutenu dans notre précédente contribution. Comme la majorité des sénégalais, nous saluons par conséquent l’arrestation récente de ces deux personnes, l’une, pour chef de division de fausses nouvelles suite à ses déclarations selon lesquelles la France préparait un attentat contre le Sénégalais ; l’autre après son inculpation sur la base de l’article 80 du Code Pénal pour « offense contre le Chef de l’Etat », suite à ses propos d’une indécence inouïe, pour reprendre monsieur le procureur. Toute personne digne de ce nom, bien éduquée devrait saluer ces décisions de haute salubrité publique.
En effet, il n’est point besoin d’être un psychanalyste pour être convaincu sans hésitation que les actes et propos méchants, viscéralement haineux de ces gens et ceux qui les défendent trouvent leur cause dans des drames personnels, familiaux qu’ils ont vécus et qu’ils essaient de refouler par transfert de leur peine et chagrin inconsolables, qui inspirent leur envie quotidienne de nuire lâchement à des innocents à travers les réseaux sociaux. Comble de fumisterie, certains convoquent même la descendance d’une haute famille maraboutique de l’auteur de ces ignobles propos sur la personne du Chef de l’Etat .
Si tant, cette affirmation était vraie, l’intéressé devrait refuser de s’abriter, bonne naissance oblige, derrière ce statut pour en tirer bénéfice et obtenir la clémence de la Justice, lui le défenseur du « bas peuple ». Ce serait même insulter les vrais descendants de ces illustres Guides Religieux, connus pour leur bonne éducation, leur discrétion. Mais comme disait un grand romancier Balzac: « La morale a ses ruisseaux où les gens déshonorés font tout pour faire rejaillir sur les autres ( les gens d’honneur), la boue dans la quelle ils se noient ».
Sinon, comment comprendre, qu’une personne bien née, éduquée dans une ambiance familiale, épanouie dans nos valeurs culturelles et religieuses, avec un père, une mère, des sœurs de vertu puisse un seul instant porter sans raison valable de tels coups à son semblable ?
Dès lors, la question qu’on devrait poser est : C’est quoi même « un activiste », « un lanceur d’alerte » , ces vocables creux derrière les quels se cachent en fait des personnes, des oisifs en quête d’affirmation ? Est il concevable de voir des personnes se réclamer de mouvements racistes, xénophobes du genre : « France, Dégage » avec comme programme l’incitation à l’acharnement , à la persécution d’une race, en violation de la Constitution , et pénalement responsables ?
Ces irresponsables exposent même nos braves compatriotes de la Diaspora, de l’Europe , des Amériques à la vindicte des Populistes , terroristes, racistes.
Le Procureur ne devrait pas s’arrêter en si bon chemin. Ceux qui aussi, sous le couvert de leur profession, créent ou favorisent la commission de ces actes odieux , vulgaires , sur les plateaux des radios, télévisions, journaux, articles , à travers de fausses chroniques, revues de presse, émissions interactives ne devraient aussi rester impunis. Que fait alors le CORED, face à ces dérives ? Et que dire de ce monsieur qui n’épargne personne, le Président de la République, sa famille, qui répugne même à l’appeler par sa qualité, qui insulte tout le temps l’Assemblée Nationale, son Président, ses collègues députés qu’il traite de « corrompus, de complices de détournements de deniers publics ? Comment peut on laisser en liberté quelqu’un qui fait l’apologie de soulèvements populaires de peuples d’autres pays en intimant ses compatriotes, surtout les jeunes, à descendre par millions dans la rue pour raser le système ? Qui oserait douter aujourd’hui , que ces personnes dansaient après la défaite de nos vaillants Lions à la finale de la CAN, pour pouvoir reprendre enfin leur activités de marche, d’errance étouffées par cette belle ambiance ? Il est temps pour l’Etat de poursuivre et de punir sans relâche ces gens qui n’ont plus rien de sénégalais par leur indécence , leur félonie et leur reniement.
A défaut, le Contrat Social, gage de la paix , de la concorde va être rompu. Ce sera alors le retour à l’Etat de Nature, avec comme Loi celle du Talion, avec comme seule règle œil pour œil. Ce serait même donner un mauvais exemple à notre chère jeunesse en l‘encourageant à opter pour la l’ la lâcheté comme certains adultes : se mettre derrière son clavier pour inonder les réseaux sociaux, le « rempart des Anonymement courageux » d’insanités sur la personne d’- honnêtes citoyens en toute impunité. N’est il - pas alors temps de légiférer pour déchoir de leur nationalité ceux là qui se réjouissent de bafouer, de ternir l’image de leur patrie, ses symboles et fondamentaux et qui seraient même prêts à collaborer avec l’ennemi, pour leurs propres intérêts bassement égoïstes? Ces types de ressentiments, de réactions violentes verbales à l’état latent constituent les germes même du radicalisme et pourquoi pas d’actes terroristes. De tout temps, l’art de débiter des propos, des baratins, des bobards pour plaire, séduire, convaincre, bien connu des camelots, clowns, prestidigitateurs, magiciens, troubadours des cirques, des foires a toujours suscité, enthousiasme, attraction au près du public. Mais malheureusement, l’homme dont il s’agit, qui a dépassé aujourd’hui Grégory Bellini, le maître des bonimenteurs, qui officie dans le plus célèbre Cabaret parisien du monde dénommé aussi Le BONIMENTEUR, animé par le maître Patrick Sébastien se trompe de cadre et de personnes.
L’institution dont il s’agit, et dont il est membre par effraction s’appelle Assemblée Nationale, lieu par essence et par vocation du débat démocratique. Les honnêtes citoyens, hommes, femmes qui y officient, les députés, représentants qualifiés de la Nation, n’entendent pas être les spectateurs impuissants d’actes portant atteinte à l’honneur et la dignité d’honnêtes citoyens , époux, épouses, pères et mères modèles dont ils sont les dépositaires, en tant que législateurs. Nos jeunes sénégalais bien élevés, dans leur langage pudique collent à leurs amis menteurs et mythomanes le surnom de « Mew »( lait en langage wolof ). Ne devraient-ils pas rebaptiser alors ce funeste personnage, atteint de cette maladie incurable, aggravée par une diarrhée verbale continue en l’appelant : «monsieur SOOW » (lait caillé par fermentation )?