LES BREVES DE SUD QUOTIDIEN DE MARDI

ETHIOPIAN AIRLINES _APRÈS DEUX ATTERRISSAGES FORCÉS À L’AÉROPORT LSS : la catastrophe évitée de justesse
L’avion de la compagnie Ethiopian Airlines devant faire le trajet Dakar-Bamako-Addis-Abeba avec 139 passagers à bord, a hier, lundi 07 décembre, évité la catastrophe. Après 45 mn de vol, une panne d’ailes est signalée, causant une panique générale dans l’appareil. L’équipage alors a décidé de revenir à l’aéroport de Dakar. Les responsables de la compagnie ont cherché à dépanner l’appareil. L’avion décolle à nouveau, avec les mêmes passagers, mais selon nos sources (qui étaient de l’appareil) après 15 mn dans les airs, la panne persiste. Ce qui a amené l’équipage à ne pas prendre de risques et fait demi-tour pour atterrir à nouveau sur le tarmac de l’aéroport Léopold sédar senghor. Les responsables de la compagnie à Dakar promettent que l’avion va décoller ce mardi, aux environs de 9 H, pour Bamako et Addis
LE MINISTRE DE L’INTERIEUR ABDOULAYE DAOUDA DIALLO SUR LA TENUE DU REFERENDUM : « Pour le moment aucune date n’a été retenue »
Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo se veut clair. ses services sont prêts pour l’organisation d’un référendum. Mais, pour le moment, aucune date n’a été retenue pour cette élection. La tenue du référendum est une décision politique, selon lui. pour le moment, le calendrier républicain ne reconnait que les Législatives de 2017 et la présidentielle en 2019. Ces précisions ont été faites dans les locaux de la Commission électorale nationale autonome (Cena), hier, lundi 7 décembre.
EUX & NOUS : PAR FADEL DIA : Docteur és Afrique, Docteur d’Afrique
Pourquoi n’entend-on pas d’Africains « spécialistes de la France » sur les médias français ?Ils sont nombreux pourtant qui maîtrisent parfaitement la langue de Molière, dans sa finesse et dans sa concision, qui ont fait leurs études dans des universités françaises et y ont glané des titres, qui ont parcouru la France de long en large ,dans sa diversité géographique et culturelle, qui connaissent sur le bout des doigts et suivent ave un surprenant zèle les soubresauts du Landernau politique français, qui ont une expérience avérée des débats et des joutes médiatiques. Mais apparemment aucun d’eux n’est qualifié pour cet exercice ,même lorsque le débat porte su l’intégration des immigrants ou les conditions de vie dans les « cités »,sujets sur lesquels ils pourraient exprimer des avis fondés sur leur propre expérience. Aucun en tout cas n’a l’impudence, l’impertinence et, pour le dire vulgairement, le culot de s’autoproclamer «spécialiste de la France», à l’image de tous ceux qui ,en France, se font appeler «spécialistes de l’Afrique »,de sa culture, de ses peuples, des tares et des faiblesses de ses dirigeants !