VIDEOECO : OUATTARA POURSUIT SON PLAN DE SABOTAGE
A. Ouattara n’est pas prêt d’arrêter de mettre du sable dans le couscous. Fin juillet, l’Assemblée nationale ivoirienne a adopté l’accord de coopération avec la France pour la mise en œuvre de l’Eco, version Macron-Ouattara. Chronique de Nathalie Yamb
Alors que la question monétaire est aussi et surtout un sujet hautement politique, historique, culturelle, etc. avant d’être probablement économique, certains intellectuels se prévalant de leurs diplômes universitaires ont tendance, trop souvent, à vouloir qu’on leur laisse l’exclusivité de ce débat. Tout comme si c’était l’affaire d’une caste ou d’initiés. Ainsi quand les activistes et autres franges de la société y mettent le nez, ces grands économistes se sentent envahis et s’agacent. Ils semblent dire aux autres citoyens de rester dans leur coin pour attendre qu’on leur dise comment ça va se passer.
Pourtant à y voir de près que la plupart de ces professeurs d’économie semblent s’occuper de leurs intérêts que de servir les peuples africains dans cette affaire de la monnaie. C’est contre cette attitude d’exclusion de la masse que s’insurge la journaliste, activiste et communicante Nathalie Yamb dans sa présente chronique.
La militante panafricaniste engagée pour l’autodétermination des peuples africains, dénonce surtout dans cette chronique la décision de l’Assemblée nationale d’ivoirienne de Ouattara qui a décidé, il y a une semaine, d’avaliser le complot franco-ivoirien contre le projet de monnaie unique de la CEDEAO.
En effet, au lieu d’une décision commune de la CEDEAO pour le projet de l’Eco, Ouattara en digne représentant permanent et décomplexé de la France Afrique poursuis son plan de sabotage. Pour le président ivoirien, manifestement aucun sacrifice de son peuple (le peuples africains) n’est de trop tant que c’est pour plaisir à l’Élysée au service duquel il se dédie sans réserves. C’est en cela que l’économiste Demba Moussa Dembélé estime que le 3è mandat de Ouattara est une très mauvaise nouvelle pour le projet Eco