«JE VIENS TERMINER UNE MISSION LE 24 JUILLET»
YEKINI EXPLIQUE SON RETOUR DANS L’ARENE
Pour son retour dans l’arène après trois années d’absence, Yékini croisera sur son chemin le Puncheur du Walo, Lac de Guiers 2. Avant les coups de poing, ils se sont fait face hier tard dans la soirée au CICES pour des échanges de mots. L’ancien Roi des arènes a dit sa volonté de battre son adversaire pour aller à Bassoul.
«Je ne réponds pas à Lac 2»
«Je salue l’assistance, les personnalités et les promoteurs. On ne choisit pas un adversaire dans le milieu de la lutte. Si ce n’était pas Lac 2, ce serait un autre. Je préfère que l’on me pose des questions qui me concernent. Je ne réponds pas à ses propos. J’attends vos questions.»
«Je commence une nouvelle mission le 24 juillet»
«Si la lutte ne m’appartient pas à moi seul, j’en ai une très grande partie. J’ai une mission à terminer dans l’arène. Et elle commence le 24 juillet. Je n’ai pas besoin de revenir en arrière.»
«Je ne suis pas revenu pour des titres»
«Je ne suis pas revenu pour des titres. Aucun lutteur ne peut faire comme moi. J’ai tout gagné dans l’arène. Je suis entré à Guédiawaye plusieurs fois, j’y retourne aujourd’hui et j’y retournerai certainement un jour. Lors de mon dernier combat, un des leurs m’a fait vivre des moments très difficiles. Mais j’y retournerai.»
«Ils n’étaient que des porteurs de sacs»
«C’est moi qui descendais dans l’arène pour lutter. Ce sera encore le cas le 24 juillet. Ces gens (il répondait à une question par rapport à l’absence de son ancien préparateur mystique, Mansour Sakho) n’étaient que des porteurs de sacs.»
«Une empreinte ne s’efface jamais»
«Revenir sur le délai (fixé par Lac 2), c’est répondre à mon adversaire. Donc, je ne verserai pas dans ce détail. Je viendrai lutter, tenter de le piéger pour le battre. Une victoire ne peut plus m’emmener nulle part. Je ne peux faire ce que je n’ai pas jusqu’ici fait dans l’arène. Une empreinte ne s’efface jamais. Je ne reviens pas sur les propos de mon adversaire. Il faut me faire revenir sur mes propres propos. Je continue de ne croire qu’à la victoire. Comme toujours. Lutter, gagner, aller à Joal et passer à Bassoul.»