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27 février 2025
DÉMARRAGE D’ACTIVITÉS CULTURELLES DÉDIÉES À JULES-FRANÇOIS BOCANDÉ, MARDI
Il s’agira de ‘’célébrer la contribution remarquable de Jules-François Bocandé au sport sénégalais’’, explique un communiqué de Linkering Productions et de Mama Human Project Development.
Dakar, 6 mai (APS) – Des activités culturelles dédiées au footballeur sénégalais Jules-François Bocandé, décédé le 7 mai 2012, vont se tenir à partir de ce mardi à Ziguinchor et à Sédhiou (sud), a appris l’APS des organisateurs.
Elles se poursuivront jusqu’au 11 mai. Il s’agira de ‘’célébrer la contribution remarquable de Jules-François Bocandé au sport sénégalais’’, explique un communiqué de Linkering Productions et de Mama Human Project Development.
Ce sera en même temps l’occasion de ‘’célébrer la mémoire de ce grand homme qui, à travers sa passion pour le football, a démontré tout au long de sa vie son attachement viscéral à sa terre d’origine, la Casamance, son engagement surtout en faveur de sa patrie, le Sénégal’’.
Selon le documentariste Macky Madiba Sylla, l’un des organisateurs des manifestations dédiées au défunt attaquant de l’équipe nationale senior du Sénégal, le programme va démarrer mardi à 17 heures à l’Alliance française de Ziguinchor.
‘’L’héritage d’Essamaay’’ (le lion, en diola) est le thème d’une table ronde prévue dans cette enceinte culturelle de la ville de Ziguinchor.
Le but des organisateurs, selon le communiqué, ‘’est de faire connaître cette légende du ballon rond à un jeune public qui […] connaît très peu Jules-François Bocandé’’.
La table ronde sera animée par Nouha Cissé, historien et ancien président du Casa Sports, et le journaliste Abdoulatif Diop, auteur du livre ‘’Bocandé, l’éternelle légende’’.
La table ronde sera suivie du vernissage d’une exposition de photographies inédites du footballeur décédé le 7 mai 2012 à Metz, en France, à l’âge de 53 ans.
Le documentaire ‘’Essamaay, Bocandé la panthère’’, des réalisateurs Maky Madiba Sylla et Lionel Bourqui, sera projeté mercredi 8 mai à 20 heures à l’hôtel Kadiadoumagne de Ziguinchor.
Jeudi, la place de l’Indépendance de Sédhiou va accueillir une projection du même documentaire, qui sera encore présenté au public le 11 mai, au carrefour Aline-Sitoé-Diatta de Ziguinchor.
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LÈVRES ROSES, HÉPATITE B, DÉPIGMENTATION, L’ALERTE ROUGE DE DR BABACAR DIOP
POSTEFINANCES, SIGNATURE EN CATIMINI D’UN PV DE CONCILIATION SUR PLUS D’UN MILLIARD
"POSTEFINANCES et la SAAR VIE ex ILICO ont établi un procès-verbal de conciliation (sans information, ni approbation au préalable du Conseil d’Administration) concernant un recouvrement d’un contentieux d’une créance initiale de 1.396.389.797 CFA "
iGFM - (Dakar) Dans un document parvenu à IGFM, le Secrétaire général du SNTPT, Administrateur, Représentant le Personnel, Ibrahima Sarr indique qu’il lui a été donné de constater que POSTEFINANCES et la SAAR VIE ex ILICO ont établi un procès-verbal de conciliation (sans information, ni approbation au préalable du Conseil d’Administration) concernant un recouvrement d’un contentieux d’une créance initiale de 1.396.389.797 CFA hormis les intérêts de droit.
« Pour rappel, Ilico Sagef avait bénéficié de la part de POSTEFINANCES des avances et placements d’un montant égal à 1.396.389.797 frs CFA en 2007.
Après plusieurs actions en justice, la Cour Commune de Justice et d’Arbitrage (CCJA) a, par arrêt numéro 096/2021 du 27 mai 2021, rendu une décision définitive et a confirmé le jugement numéro 1039 du 14 juin 2016 rendu par le Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar en toutes ses dispositions, en condamnant solidairement Ilico Sagef à payer à POSTEFINANCES une somme de 1.712.907.059 en principal et intérêts de droit (1.396.389.797 en créance initiale et 316.517.262 en intérêts de droit).
Il est important de préciser que toutes les voies de recours ont été épuisées et un jugement définitif est donné par la CCJA. En même temps, le paiement de cette somme est devenue obligatoire et les hypothèques prises en terme de garantie entièrement validées par les autorités compétentes.
Dès lors, nous ne comprenons pas que POSTEFINANCES, au lieu de faire réaliser la garantie, signe un procès-verbal de conciliation qui renonce à une partie des intérêts de droit.
Ces intérêts de droit tombent sous le coup de la caractérisation de derniers publics, dès lors le Directeur général de POSTEFINANCES ne peut légalement y renoncer sans enfreindre les règles de gestion en matière de derniers publics et les règles en matière de gestion des sociétés régies par l’Acte Uniforme l’OHADA.
Rappelons que POSTEFINANCES est une filiale de la SN La Poste, donc chaque petit centime tombe sur le coup des derniers publics.
En notre qualité d’Administrateur, Représentant le Personnel, nous dénonçons fortement cette attitude du Directeur général d’autant que le procès-verbal de conciliation est fait en catimini sans validation auprès du Conseil d’Administration.
Dans le même procès-verbal, POSTEFINANCES s’est engagé à verser à la SAAR VIE ex Ilico une somme au titre d’un supposé contrat de location de l’Agence POSTEFINANCES Thionck.
Nous rappelons qu’entre POSTEFINANCES et le débiteur, il n’y a pas eu de contrat de location mais juste une convention de mise à disposition des locaux de façon gratuite avec seulement une prise en charge en Eau et Electricité à hauteur de 5% (ce contrat court depuis le 19 novembre 2007).
Nous mettons en garde toute tentative de dilapidation et spoliation financière de POSTEFINANCES.
Nous demandons fortement la non homologation de ce procès-verbal au cours de l’audience prévue demain, mardi 08 mai 2024 ».
LE SÉNÉGAL EXPÉRIMENTE LA CULTURE DU BLÉ DANS LA RÉGION DE MATAM
A la suite des tests effectués dans ces deux villages du département de Kanel, la SAED juge ‘’satisfaisants’’ les résultats.
Bow et Soringo, des villages de la région de Matam (nord), abritent des projets-tests de culture du blé, dont les résultats, jugés satisfaisants par des ingénieurs agronomes, incitent à développer la culture de cette céréale au Sénégal.
La Société d’aménagement et d’exploitation des terres du delta du fleuve Sénégal (SAED) déclare vouloir vulgariser la culture du blé dans la région de Matam, à la suite des tests effectués dans ces deux villages du département de Kanel. La SAED juge ‘’satisfaisants’’ les résultats des essais.
Dans son champ, à Bow, un village situé à 30 km de Matam, Aboubakry Bâ a aménagé une superficie d’un hectare et y cultive du blé, une première dans la région de Matam.
Son champ et celui d’un autre du village de Soringo ont été choisis pour la phase-test d’un programme de production de blé, à l’initiative de la SAED.
M. Bâ s’apprête à terminer un travail entamé il y a trois mois. Mais faute de moissonneuse-batteuse, il devra encore patienter. À cause de ce contretemps, des tiges de blé sont encore rangées sur une bâche, pour être décortiquées.
Une écharpe au tour du coup et un bonnet à rayures sur la tête, Aboubakry Bâ explique que la culture a duré quatre-vingt-dix jours. Il espère que sa récolte va avoisiner cinq tonnes.
‘’Nous avons testé la culture du blé pour la première fois dans la région de Matam, à Bow et à Soringo, sur une superficie de deux hectares. Nous trouvons que c’est bien faisable. Notre ambition est de mettre en place un programme de culture du blé dans la région’’, a dit Moussa Mbodj, un ingénieur de la SAED, lors d’une visite du champ de Bow, dimanche.
Le programme blé de la SAED découle des difficultés économiques causées par la guerre entre la Russie et l’Ukraine, d’où provenait une bonne partie des importations sénégalaises de ladite céréale, selon M. Mbodj.
‘’L’essentiel était de démarrer la production. C’est ce que nous avons fait à une période qui n’était pas appropriée, car le calendrier cultural du blé s’étend de novembre à décembre. C’est en janvier que nous avons commencé la culture, qui a duré quatre-vingt-dix jours, pour un rendement de cinq tonnes’’, explique l’ingénieur de la SAED.
Malgré le retard, ‘’les résultats ont été […] satisfaisants’’, observe-t-il, estimant que le rendement serait meilleur si le blé avait été cultivé en novembre et décembre.
De l’avis de Moussa Mbodj, il est temps de passer aux étapes suivantes, notamment la commercialisation, la transformation et la sensibilisation des producteurs.
‘’Les producteurs en sont conscients, les terres existent et sont propices à la culture du blé. Il reste à développer les segments de la chaîne, dont la disponibilité des semences’’, signale l’ingénieur.
Moussa Ngom, un conseiller agricole de la SAED, se souvient des doutes qui ont assailli les responsables de cette société nationale chargée d’agriculture, lors du lancement programme-test. Il relève surtout l’insuffisance d’informations relatives au blé, une céréale fortement consommée au Sénégal mais peu connue dans le pays.
‘’Il faut encourager les producteurs à cultiver du blé, la céréale la plus consommée au Sénégal après le riz. Il est important de se lancer dans la culture du blé pour atteindre l’autosuffisance alimentaire du pays’’, souligne M. Ngom.
Pour la phase-test, la SAED a utilisé une variété égyptienne dénommée Misri 1, qui a permis de produire deux types de blé, le tendre et le dur, avec lesquels on peut faire du pain et de la pâte alimentaire.
PUBLICATION DES NAVIRES AUTORISÉS DANS LES EAUX SÉNÉGALAISES
Une démarche vers une gestion transparente des ressources.
Le ministre de tutelle a annoncé la publication de la liste des navires autorisés à pêcher dans les eaux sénégalaises au 6 mai 2024, conformément aux engagements des autorités.
Selon les informations fournies par Dr Fatou DIOUF, cette liste comprend 132 navires nationaux et 19 navires étrangers. Cependant, elle précise que les dossiers en cours de renouvellement n'ont pas été pris en compte. Elle ajoute par ailleurs que cet acte « répond au principe de transparence dans la gestion des ressources naturelles qui constituent un patrimoine national.»
Les données fournies indiquent qu'au 31 décembre 2023, un total de 17 449 pirogues (nationales et étrangères) ont été recensées, avec 7 493 permis attribués, dont 18 à des navires étrangers, représentant 43% du total. Pour la période du 1er janvier au 30 avril, le nombre estimé de pirogues nationales est de 17 449, avec 4 754 permis délivrés, soit un taux d'attribution de 27,25%.
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SÉCURITÉ ROUTIÈRE: YACINE DIAGNE PRÔNE LA DIGITALISATION
L'ingénieure spécialisée en accidentologie, propose des solutions innovantes pour réduire les accidents de la route.
Les accidents de la route au Sénégal ne cessent de faire des victimes, décimant parfois des familles entières. Cette situation alarmante est devenue presque banale, suscitant l'urgence de solutions concrètes pour endiguer ce fléau. Dans une interview accordée à Dakaractu, Yacine Diagne, ingénieure en accidentologie, apporte son expertise et propose des mesures innovantes pour inverser la tendance.
Pour faire face à ce phénomène, elle préconise des initiatives innovantes comme la digitalisation des données pour faciliter la prise en charge et un suivi efficace des victimes d’accident. La mise en place d’un registre de gestion des véhicules accidentés et l’instauration d’un bonus-malus ou coefficient de réduction-majoration qui consiste à accorder un bonus au conducteur qui ne cause aucun sinistre ou accident. Celui qui, à l'inverse, provoque un accident aura un malus et verra le montant de sa prime, augmenté.
Par ailleurs, l’ingénieure en Biomécanique, Yacine Diagne, dénonce l’irruption des témoins et citoyens sur les périmètres d’accident pouvant causer la destruction des preuves.
CÉNACLE DES NATIONS 2024: DAKAR PORTE LA PAROLE DU CHRIST
Un rassemblement œcuménique mondial offrant une expérience spirituelle aux participants.
Sud Quotidien |
Denise ZAROUR MEDANG |
Publication 06/05/2024
La capitale du Sénégal va abriter du 12 au 18 mai prochain, un événement spirituel dénommé « le Cénacle des Nations ». Organisé par la Communauté Mère du Divin Amour (CMDA), cet événement est placé sous l’égide de son Excellence Monseigneur Benjamin Ndiaye, Archevêque de Dakar.
La communauté chrétienne et ses sympathisants sont invités du 12 au 18 mai prochain à un événement religieux appelé « Cénacle des nations » qui aura lieu à Dakar. Un rassemblement œcuménique d’envergure internationale qui offrira à tous les participants une expérience spirituelle. Selon la Communauté Mère du Divin Amour (Cmda), communauté catholique engagée dans l’évangélisation et le service social, étendant son action bien au-delà des frontières de la Côte d’Ivoire, l’événement se déroulera sous le thème prophétique « Ravive en toi le don de Dieu » (2 Timothée 1, 6). Selon un communiqué, le Cénacle des Nations 2024 réunira des fidèles chrétiens de divers horizons pour une semaine de prières, d’enseignements, de louanges, d’adorations et de témoignages profonds au Stadium Marius Ndiaye et le Palais des Sports Dakar Aréna. Un programme riche et varié, selon la source, pour nourrir l’âme des participants avec des prédicateurs de renom venus des quatre coins du monde tels que Dr Jean-Emmanuel Clément Akobů, fondateur de la CMDA, le Père Yves Serge Cyni Amon Kissi, Cyril John de Charis, ainsi que des figures éminentes telles que Sr Annick Marie Antoine, Mathias Marie Esso, et Cécile Marie de l’Espérance Agoussi. Leurs interventions seront des sources d’illumination et de réconfort pour les âmes en quête de sens.
Pour Marie-Ange Faye Diatta, Responsable de la Communauté mère du divin amour Sénégal : « nous souhaitons offrir un espace de renouvellement Intérieur profond par la puissance de l’Esprit Saint, permettant à chacun de raviver la flamme de sa foi ». Et d’ajouter : « le Cénacle des Nations n’est pas seulement un événement spirituel, il est aussi une invitation à l’unité et au partage dans la diversité des expressions de la foi chrétienne, incarnant la vocation de la Cmda à être Amour au coeur de l’Eglise et du Monde ». L’événement est gratuit et ouvert à tous. Cependant, le communiqué a renseigné que des navettes seront disponibles pour faciliter l’accès aux deux sites depuis différents points de Dakar.
Pour rappel, les organisateurs font savoir que le Cénacle des nations a été fondé en 1989 par le Frère Jean Emmanuel Clément Akobé après une profonde conversion spirituelle. Avec une spiritualité profondément mariale, la Cmda œuvre pour répondre aux sollicitations des évêques et être présente partout où le besoin se fait sentir, portant l’amour du Christ au cœur de l’église et du monde.
BASSIROU DIOMAYE FAYE SERA À ABIDJAN, MARDI
Ce sera la première visite du nouveau dirigeant sénégalais dans ce pays d’Afrique de l’Ouest depuis son élection le 24 mars dernier.
Le président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, va s’entretenir avec son homologue de la Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, mardi, à Abidjan, a appris l’APS d’une source proche du chef de l’État.
La présidence de la République de Côte d’Ivoire a également annoncé, sur son compte Twitter, un entretien de M. Faye avec son homologue ivoirien, mardi.
Ce sera la première visite du nouveau dirigeant sénégalais dans ce pays d’Afrique de l’Ouest depuis son élection, le 24 mars dernier.
LE RECTEUR DE L'UCAD ACCUSÉ DE DÉTOURNEMENT DE PROCÉDURES
Le Sudes dénonce avec véhémence la tentative présumée d'Ahmadou Aly Mbaye de placer illégalement Ismaïla Madior Fall à l'IFAN. Le syndicat enseignant réclame une enquête sur cette "énième irrégularité" alléguée - COMMUNIQUÉ DE PRESSE
L'Université Cheikh Anta Diop est secouée par les protestations du syndicat des enseignants, le Sudes, contre une affectation jugée irrégulière. Au cœur des accusations : le "parachutage" présumé d'Ismaïla Madior Fall, professeur titulaire de droit public, à l'Institut Fondamental d'Afrique Noire Cheikh Anta Diop (IFAN-CAD), orchestré par le recteur Ahmadou Aly Mbaye en violation des textes réglementaires. Une manoeuvre qualifiée de préjudiciable à l'intégrité de l'université, selon le Sudes dans le communiqué suivant :
"NON AU PARACHUTAGE DE M. ISMAILA MADIOR FALL À L'IFAN !
Le SUDES/ESR Section de l'Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar tient à informer la communauté universitaire et l'opinion nationale de sa profonde préoccupation concernant la velléité d'affectation par le recteur de l'UCAD de M. Ismaïla Madior Fall, professeur titulaire de droit public, à l'Institut Fondamental d'Afrique Noire Cheikh Anta Diop (IFAN-CAD) en violation du décret n° 84-1184 du 13 octobre 1984 portant organisation et fonctionnement de l'Institut fondamental d'Afrique noire.
Cette tentative désespérée du recteur de l'UCAD de caser un ancien ministre se présente de facto comme un détournement des procédures et des règles d'affectation du personnel d'enseignement et de recherche (PER) comme stipulé dans les articles 8 et 24 du décret susmentionné. Elle serait effectuée sans consultation préalable des instances de l'IFAN qualifiées en la matière. Le recteur de l'UCAD, encore une fois, tente de fouler aux pieds les dispositions légales en vigueur dans notre institution.
Par ailleurs, le SUDES/ESR -Section UCAD, fait remarquer que dans une optique d'optimisation des ressources humaines telle que prônée par les nouvelles autorités, M. Fall serait beaucoup plus utile à sa faculté d'origine qu'il connaît très bien et où l'attendent d'importantes tâches d'enseignement et d'encadrement dans un contexte de déficit de PER.
En tout état de cause, la désinvolture avec laquelle le recteur de l'UCAD agit en matière de recrutement et d'affectation du PER nuit gravement à l'intégrité de notre université et à la confiance de notre communauté dans les processus de gestion des ressources humaines.
En conséquence, le SUDES/ESR - Section UCAD exige :
Une enquête immédiate sur les circonstances entourant cette velléité d'affectation et sur les personnes impliquées dans cette manœuvre illégale.
Le respect strict des procédures d'affectation, conformément à la législation en vigueur.
Le maintien du concerné à son poste initial, à la faculté de sciences juridiques et politiques jusqu'à ce que toutes les procédures légales aient été correctement suivies.
Le SUDES/ESR -Section UCAD reste déterminé à défendre les règles de fonctionnement de notre université, les droits des collègues et à s'assurer que les principes de justice et d'équité y sont respectés.
Le SUDES/ESR -Section UCAD encourage ses militants ainsi que l'ensemble de la communauté universitaire à rester mobilisés et solidaires pour faire barrage à cette énième tentative de violation des textes de l'université par son recteur dont le mandat arrive très bientôt à échéance."
LES LIBÉRAUX SE RESTRUCTURENT EN MISANT SUR LA JEUNESSE
Karim Wade va-t-il diriger la liste du Pds pour les prochaines élections législatives? En tout cas, le parti de Me Abdoulaye Wade se prépare déjà.
Karim Wade va-t-il diriger la liste du Pds pour les prochaines élections législatives ? En tout cas, le parti de Me Abdoulaye Wade se prépare déjà. Ainsi, les Libéraux ont procédé à une restructuration de leurs instances en faisant la part belle à la jeunesse.
Le Pds va-t-il placer Karim Wade pour les élections législatives à venir ? La question mérite d’être posée après le point de presse que les Libéraux ont tenu ce dimanche. «A l’approche du cinquantenaire de notre parti, nous envisageons une célébration à la hauteur du patrimoine national que représente le Pds et de son leader visionnaire. Cet anniversaire sera l’occasion de revenir sur les grandes réalisations du Pds et de projeter notre vision pour l’avenir, notamment en préparation des élections législatives avec Karim Wade en tant que chef.»
En attendant d’y voir clair, le Pds a entamé une réorganisation de certaines de ses instances. Ainsi, le service de communication dudit parti fait peau neuve. Il est «désormais constitué de jeunes talents, représentants de l’éthique et de la loyauté, valeurs chères à notre parti. Ce nouveau groupe, dirigé par Bachir Diawara et Gallo Tall, inclut des figures émergentes de notre Assemblée nationale telles que le plus jeune député de la XIVème législature, Abo Mbacké Thiam, qui est un symbole de la confiance que nous plaçons dans la nouvelle génération». Ainsi donc, la page Nafissatou Diallo semble tournée. Moussa Fall et Oumar Cissé sont respectivement président et Secrétaire général de la Fédération nationale des anciens. Cheikh Sadibou Diaga et Moustapha Djamil deviennent président et Secrétaire général de la Fédération nationale des arabisants. «Cette dynamique de modernisation se reflète également dans la structuration de nos fédérations verticales. La mise en place des fédérations des anciens et des arabisants, précédée par celle des jeunes sous la houlette de Franck Diatta, démontre notre engagement envers une base militante structurée et diverse, préparée à soutenir efficacement nos initiatives politiques et communautaires», a précisé le Pds.