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29 novembre 2024
Sports
QUALIFICATIONS PRE-OLYMPIQUES, L’OUGANDA ET LA RDC FORFAITS
L’équipe ougandaise masculine de basket, l’un des adversaire du Sénégal au tournoi de qualification pré-olympique de la zone Afrique, a déclaré forfait à cause de difficultés financières.
Dakar, 14 août)APS) – L’équipe ougandaise masculine de basket, l’un des adversaire du Sénégal au tournoi de qualification pré-olympique de la zone Afrique, a déclaré forfait à cause de difficultés financières.
Les Silverbacks de l’Ouganda étaient logés dans la poule A en compagnie du Sénégal, du Nigeria et du Mali.
La République démocratique du Congo (RDC) est l’autre équipe de la poule B à avoir déclaré forfait. Il partageait le groupe avec la Tunisie, le Cameroun et la Guinée.
L’équipe du Sénégal masculine de basketball va jouer, ce lundi à Lagos, contre le du Nigeria, son premier match dans le cadre du tournoi de qualification pré-olympique de la zone Afrique.
Absents de la coupe du monde de basket prévue du 25 juillet au 10 septembre au Japon, en Indonésie et aux Philippines, les Lions devront se battre pour décrocher l’unique place qualificative aux Jeux olympiques de Paris 2024 à l’issue du tournoi de Lagos.
Ce tournoi qui regroupe désormais six équipes se tiendra à Lagos.
L’équipe du Sénégal affrontera celle du Mali, pour son deuxième match, jeudi à 17h GMT.
Les tournois de qualifications pré-olympiques concernent 38 équipes qui ne sont pas qualifiées à la Coupe du monde: Huit en Afrique, huit autres sur le continent américain, huit en Asie, ainsi que seize en Europe.
Le vainqueur de chaque tournoi participera aux tournois de qualification olympique FIBA prévus en juillet 2024.
Voici le programme des matchs au complet :
Mardi :
Cameroun-Guinée à 14h
Nigeria – Mali à 17h
Mercredi :
Tunisie-Cameroun à 17h
Jeudi :
Sénégal-Mali à 17h
Vendredi :u
Guinée-Tunisie à 17h
SENEGAL-CAMEROUN ACTE, SENEGAL-MALI EN POURPARLERS
Matches amicaux (dates FIFA en octobre), Finis les matches amicaux de «secondes zones» ! Aliou Cissé et la Fédération sénégalaise de football tiennent désormais à découdre avec les grosses cylindrées
La bataille des «Lions» aura lieu à Lens en France ! Les Fédérations sénégalaise et camerounaise ont trouvé un accord pour un match amical international le 12 octobre prochain. L’instance suprême du football sénégalais travaille aussi à finaliser une rencontre amicale internationale (date Fifa) contre les Aigles du Mali le 9 octobre. Mais cette fois, au stade du Président Abdoulaye Wade de Diamniadio. Ce, pour répondre à une nouvelle politique fédérale et une volonté clairement exprimée par le coach Aliou Cissé d’affronter des grosses cylindrées. Après le Brésil à Lisbonne, les Fennecs seront d’ailleurs au menu le 12 septembre dans le nouvel antre de Diamnidio.
Finis les matches amicaux de «secondes zones» ! Aliou Cissé et la Fédération sénégalaise de football tiennent désormais à découdre avec les grosses cylindrées. Ainsi, après le match Sénégal - Algérie prévue le 12 septembre prochain au stade Me Abdoulaye Wade de Diamniadio contre les Fennecs d’Algérie, champions d’Afrique en 2019, les Lions du Sénégal, champions d’Afrique en 2021, vont croiser le fer avec les Lions indomptables du Cameroun. Ce sera le 17 octobre prochain à Lens en France. «Oui, nous avons déjà trouvé un accord de principe avec la Fédération camerounaise de football. Le match va se jouer le 17 octobre à Lens», a confié à Sud Quotidien, un responsable de la Fédération sénégalaise de football (FSF). La même source de préciser, «nous étions aussi en pourparlers très avancés avec la Fédération malienne de football pour un autre match entre les Aigles et les Lions, ici au stade Me Abdoulaye Wade de Diamniadio, le 14 octobre. Malheureusement, avec la situation qui prévaut au sein de la Fédération malienne de football, les choses sont en ralenti. Mais, nous sommes toujours en discussions. Nous ne perdons pas espoir que les choses puissent se décanter»
Pour rappel, l’actuel président de la Fédération malienne de football (FMF), Mamoutou Touré dit «Bavieux», est en détention depuis le 9 août dernier pour faits de corruption. Un placement en détention qui intervient à quelques jours de l’élection à la présidence de la Fémafoot, prévue le 29 août, et pour laquelle le président sortant est l’unique candidat, après que plusieurs autres listes ont été invalidées par la commission électorale.
NOUVELLE POLITIQUE DE LA FSF
Dans une interview exclusive accordée à Sud Quotidien, Me Augustin Senghor avait confié que la nouvelle politique de la FSF, c’est désormais de chercher des gros sparring-parters. «Au sortir de la dernière Coupe du monde, quand on a fait le débriefing avec le coach Aliou Cissé, il a insisté sur cet aspect en disant que nous avons un certain niveau et si nous voulons avancer, il faut qu’on joue avec les meilleurs. Comme ça, on reste parmi ces meilleurs. C’est ça qui fait que nous donnons corps à cette vision qu’il a en tant que coach. Parce que quelque part, nous sommes une fédération qui a envie d’aller de l’avant. Nous ne contentons pas d’être entre la 18ème et la 20ème place de la FIFA. Nous avons l’objectif de bousculer la hiérarchie. Nous voulons faire partie de ces pays africains qui vont aussi matérialiser les progressions de tout un continent. On a 5 à 8 pays en Afrique qui sont les locomotives et le Sénégal peut être à la tête de ces locomotives», avait indiqué le président de la FSF.
Et d’ajouter, «l’autre aspect qu’il faut prendre en compte dans cette démarche-là aussi, c’est de valoriser l’investissement qui a été fait par le Chef de l’Etat, Macky Sall avec le stade Me Abdoulaye Wade. Voir un Chef d’Etat donner autant à son pays et à sa jeunesse à travers l’un des plus beaux stades d’Afrique, certains disent un des plus beaux stades du monde et le laisser fermer, ne pas y compatir, ne pas permettre à nos Lions qui sont adulés un peu partout dans le monde de pouvoir venir de temps à autre communier avec leur public sénégalais».
par Bassirou Sakho
SADIO MANÉ ENTRE ACCUSATIONS DE RACISME ET INTERROGATIONS SUR LA COMMUNICATION DE SON ENTOURAGE
Il semble crucial que l'entourage de Sadio Mané adopte une approche objective pour évaluer les performances récentes du joueur. Le rôle des conseillers est également crucial en période de crise
La semaine dernière, lors de l'émission « After Foot » diffusée sur RMC, le conseiller de Sadio Mané a été interrogé au sujet du récent transfert du joueur du Bayern Munich vers un club en Arabie Saoudite. Bien que plusieurs raisons aient été évoquées pour justifier ce départ, une en particulier a retenu l'attention du public et des médias : la question du racisme.
Selon le conseiller, la couleur de peau de Sadio Mané aurait posé un problème à certains membres de l'équipe, notamment Leroy Sané, ainsi qu'aux dirigeants du Bayern de Munich. Il suggère que ces derniers, en réglant le salaire annuel de vingt-deux millions d'euros et d'autres avantages accordés à Mané, auraient eu des préjugés raciaux. Ces déclarations ont par la suite été relayées par le journal sportif Onze.
L'approche communicative adoptée par l'entourage du natif de Bambali suscite de nombreuses interrogations. Si les présomptions sont avérées, elles revêtent une gravité considérable. En réponse, le Bayern Munich a publié un communiqué sur son site officiel pour réfuter ces accusations.
Plusieurs observateurs du monde footballistique, dont moi-même, se sont posés des questions sur le contexte et le calendrier de ces révélations. Pourquoi ces déclarations interviennent-elles précisément après le départ de Mané de la Bavière ? De plus, suite à l'incident présumé avec Leroy Sané, pourquoi l'entourage de Mané est-il resté silencieux ? Son conseiller, ayant accès à divers moyens de communication (presse écrite, télévision, etc.), aurait pu exprimer et défendre le point de vue de Sadio Mané, à l'instar de nombreux agents et conseillers reconnus dans le milieu.
Ce mode opératoire, qui semble insinuer une forme de victimisation, n'est pas sans rappeler d'autres incidents. Lorsque les performances de Sadio Mané à Liverpool ont fléchi, des rumeurs ont circulé, insinuant que Salah et Klopp seraient racistes. Des allusions similaires ont également été évoquées lors de la victoire de Messi au Ballon d'or.
Il semble crucial que l'entourage de Sadio Mané adopte une approche objective pour évaluer les performances récentes du joueur. Le Bayern Munich, qui est actuellement la cible d'accusations, est le même club qui a proposé un contrat d'une ampleur exceptionnelle au double Ballon d'Or africain, une première pour un joueur africain en Allemagne. L'accueil chaleureux que le club a réservé à Mané lors de sa présentation officielle à l'Allianz Arena en atteste.
Il est compréhensible que le Bayern exprime des préoccupations lorsque les rendements d'un de ses joueurs les mieux rémunérés ne correspondent pas aux attentes établies. Remplacer un joueur du calibre de Lewandowski et marquer plus de 25 buts dans une saison est, certes, une tâche ardue. La blessure qu'a subie Mané la dernière saison pourrait expliquer certaines de ses performances en deçà des attentes, ce qui a probablement conduit à son statut de remplacement vers la fin du championnat.
Le rôle des conseillers est également crucial en période de crise. Il est étonnant de constater que l'entourage de Mané s'exprime principalement lors de la finalisation de contrats lucratifs, plutôt que dans les moments de défi et d'adversité. Il est impératif pour ces conseillers de comprendre qu'ils sont rémunérés pour un soutien continu, et pas uniquement lors des temps forts.
Bassirou Sakho est Conseiller sportif, Londres.
«C’EST INACCEPTABLE D’EXPOSER L’HOMME ET DE VOULOIR TERNIR SON IMAGE»
En conférence de presse hier, vendredi 11 août 2023, Yatma Diaw est monté au créneau pour défendre Moustapha Gaye, qui a rendu public hier, jeudi sa démission de son poste de Directeur technique national. Le président de l’ASC Ville de Dakar qui a tenu à «rétablir la vérité sur l’image du technicien» a rappelé que c’est grâce au coach Moustapha Gaye que le Sénégal a pu enrôler la basketteuse Cierra Dillard. Il n’a pas manqué de fustiger le mutisme et le manque de soutien de la Fédération de basket qui, selon lui, aurait poussé le désormais ex-patron technique du basketball sénégalais à quitter ses fonctions. Le président n’exclut pas de chercher les moyens pour réconcilier les deux parties pour l’intérêt national.
«LA VERITE SUR L’IMAGE QU’ON VEUT COLLER A MOUSTAPHA GAYE»
«On a organisé ce point de presse pour rétablir la vérité sur l’image qu’on veut coller à Moustapha Gaye. En tant que président de Ville de Dakar, je peux témoigner que l’homme est un gagneur, un grand technicien, un homme sociable et généreux. Personne n’a son palmarès en tant que technicien et Directeur technique de club et de sélection. Il a fait deux grands Chelems avec l’ASC Ville de Dakar. Il a propulsé le club au premier rang du basket féminin national. C’est grâce à sa persévérance et son organisation que Ville de Dakar a pris part au dernier championnat d’Afrique des clubs. Cela faisait plus de 10 ans qu’un club sénégalais n’était pas présent dans cette compétition».
«IL N’Y A EU AUCUN SOUTIEN DE LA PART DES FEDERAUX»
«Aujourd’hui, on lui fait un mauvais procès en voulant faire croire aux gens qu’il est violent ou autre. Il n’est pas comme ça. Moustapha Gaye est doux et très serviable. C’est un gagneur et c’est cette rage qu’il veut transmettre aux joueuses. Ce qui est dommage, c’est le mutisme de la Fédération. Il n’y a eu aucun soutien de la part des fédéraux. Le chargé de communication (ndlr : Samba Guèye) et le président de la Fédération (Me Babacar Ndiaye) n’ont pas rétabli les faits, ni remis de l’ordre suite au post de la joueuse.
Pire, le 3ème vice(président (El Hadji Sarr) s’en est pris ouvertement à Moustapha Gaye. Je trouve que c’est lâche de la part des Fédéraux. Ils n’ont pas été sincères dans leur relation. Ce n’est pas élégant de leur part des Fédéraux. En compétition, on gagne et on perd ensemble. C’est Moustapha Gaye qui est allé chercher Cierra Janay Dillard. Il l’a vue lors des championnats d’Afrique à Maputo. Il a convaincu la joueuse qui a accepté de venir jouer pour le Sénégal. Moustapha Gaye y était en tant que membre de l’ASC Ville de Dakar. Il faut noter que la Fédération et l’État du Sénégal n’avaient pas soutenu le club. Il est normal d’établir les faits. C’est inacceptable d’exposer l’homme et de vouloir ternir son image. En sport, il n’y a pas d’état d’âme. Tapha Gaye est fougueux, c’est un gagneur. Il n’a jamais exercé de violence physique ou verbale sur une joueuse. Il faut que les gens voient les images et arrêtent d’interpréter. C’est mon devoir de dire la vérité».
«LE PRESIDENT DE LA FEDERATION DOIT JOUER SON ROLE DE FEDERATEUR»
«Je suis surpris de la démission. Mais, je connais l’homme car il est noble. Le manque de soutien de la Fédération l’aurait sans doute poussé à prendre cette décision. C’est vraiment lâche de leur part. Il y a eu de la manipulation et des contrevérités dans cette affaire. Le président de la Fédération doit jouer son rôle de fédérateur. Il doit prêter une oreille attentive à tous les acteurs du basket. Quand on dirige, on doit avoir de la poigne. Le président de la Fédération ne doit pas écouter ceux qui lui créent des ennuis ou des ennemis dans le basket. Mais, je pense que Me Babacar Ndiaye laisse trop faire. En tout cas, je suis prêt à jouer mon rôle pour l’intérêt national. On ne peut pas avoir mieux que Moustapha Gaye et s’il y a un moyen de réconcilier les deux parties. Je le ferai sans problème».
LE SENEGAL DEMARRE LE DEFI FACE AU NIGERIA
Éliminée de la Coupe du monde, l’équipe masculine du Sénégal est en lice pour le tournoi de qualification pré-olympique (zone Afrique) prévue du 12 au 20 août à Lagos au Nigeria.
Éliminée de la Coupe du monde, l’équipe masculine du Sénégal est en lice pour le tournoi de qualification pré-olympique (zone Afrique) prévue du 12 au 20 août à Lagos au Nigeria. Logés dans le groupe A, les Lions engagent la compétition ce lundi face au Nigéria, pays hôte du tournoi. Avant d’enchainer par deux duels face à l’Ouganda et le Mali, ses autres adversaires de la phase de groupes.
Après avoir raté le train de la qualification à la Coupe du monde 2023 prévue du 25 août au 10 septembre entre le Japon, l'Indonésie et les Philippines, le Sénégal est désormais sur la grille de départ pour décrocher la qualification à Jeux Olympiques Paris 2024. Dans cet élan, les Lions passeront d’abord par la première étape du tournoi de pré-qualification olympique zone Afrique qui se joue du 12 au 20 août à Lagos (Nigéria). Les Lions entrent en lice ce lundi 14 août, face Nigéria match choc. En raison de l’indisponibilité de leur coach Ngagne de DeSagana qui serait empêché par des raisons médicales, c’est l’adjoint Mamadou Guéye «Pa bi» qui va conduira les troupes dans la compétition nigériane.
Après sa première phase de préparation entamée à Dakar, l’équipe du Sénégal a terminé la seconde et dernière phase de préparation en Chine. Mais aussi sur une belle note d’espoir avec deux probants succès. Après avoir battu l’Iran (85-75), le Sénégal a réussi à enchaîner par une deuxième victoire contre l’équipe des Philippines (72-64).
A Lagos, la bande à Youssou Ndoye et Papi Brancou Badji et autres Jean Jacques Boissy devra toutefois sortir les griffes devant le Nigéria considéré comme un géant du basketball africain. Une bonne entame est toujours précieuse et permettra aux Lions d’engranger de la confiance pour le reste du tournoi. Le Sénégal enchainera dans le groupe A par deux autres duels. Il affrontera de l’Ouganda ce mardi avant d’en découdre jeudi prochain avec le voisin malien.
A noter que dans le groupe B, on retrouve le Cameroun, la République démocratique du Congo, la Guinée et la Tunisie. Pour les Tournois pré-qualifications olympiques, 40 équipes se sont engagées dans la compétition (8 pays en Afrique, Amérique, Asie et 16 en Europe.) À l’issue de ces matchs, les deux meilleures de chaque groupe se qualifieront pour la phase finale. Pour chaque tournoi, l’équipe qui terminera à la première place d’un groupe sera opposée à l’équipe occupant la seconde place de l’autre groupe dans des demi-finales. Les deux équipes qui gagneront les demi-finales se qualifieront pour la finale. Celle-ci permettra de désigner l’équipe victorieuse de chaque TPQO. Les cinq vainqueurs des différents tournois vont décrocher leur place dans les Tournois de Qualification Olympique FIBA prévus en 2024.
LA FSF FIXE DE NOUVELLES REGLES DE JEU
Le Comité Exécutif de la Fédération Sénégalaise de Football (FSF) qui s’est réuni hier, vendredi 11 août à son nouveau siège (Sacré Cœur) a pris d’importances décisions pour la saison 2023-2024.
Le Comité Exécutif de la Fédération Sénégalaise de Football (FSF) qui s’est réuni hier, vendredi 11 août à son nouveau siège (Sacré Cœur) a pris d’importances décisions pour la saison 2023-2024. L’une des mesures phares, c’est l’augmentation de nombre de clubs évoluant dans l’élite à partir de la saison 2024-2025. Une opportunité également pour l’instance de fédérale de plaider la candidature du Sénégal pour l’organisation de la CAN 2027. A la fin de ce conclave, Me Augustin Senghor a fait une déclaration à la presse. Morceaux choisis.
LES CLUBS DE LIGUES 1 ET 2 PASSENT DE 14 A 16 A PARTIR DE LA SAISON 2024-2025
«La décision majeure, c’est l’augmentation du nombre de clubs, dans les championnats à tous les échelons. Pour la Ligue professionnelle, ils passeront de 14 à 16 clubs en Ligue 1 et Ligue 2. La DTN a proposé un schéma d’augmentation qui a été validé, qui implique aussi le National 1 et 2 de football amateur». «C’est pour permettre un système qui renforcera ces championnats, compte tenu du niveau qui s’améliore. C’est pour permettre aux différentes Ligues régionales d’être représentées à toutes compétitions au niveau de l’élite et des divisions intermédiaires, comme le National 1 et le National 2. Et ça, c’est une bonne nouvelle». «Mais, il faut retenir que, par souci de cohérence, pour mettre toutes les équipes sur la même ligne, cette réforme n’entrera en vigueur qu’à partir de la saison 2024-2025. Cette saison à venir, nous jouerons sur le même format de 14 équipes pour la L1 et la L2. Et à l’issue, deux équipes vont descendre et quatre vont monter pour qu’on arrive à 16 équipes. Et sur les années suivantes, on reviendra à des formules de promotion relégation, comme cela se faisait avant. Avec deux équipes qui descendent et deux autres qui accèdent».
LA FSF VA APPRECIER DESORMAIS LA SECURITE
«Nous avons décidé aussi, c’est un point majeur, que, désormais, dans tous nos règlements de compétitions locales, la Fédération se réservera le droit, avec ses démembrements, de changer les lieux et les conditions de match, chaque fois que les raisons de sécurité et les impératifs d’organisations l’imposeront. Et en ce moment-là, les équipes sont obligées de s’y soumettre».
LE BEACH SOCCER
«Le championnat de Beach soccer va démarrer, dès le 19 août, et se poursuivra. L’innovation, c’est qu’à côté du championnat, il y aura le lancement de la Coupe du Sénégal de beach soccer. Notre équipe prépare la Coupe du monde et les joueurs ont besoin de compétir».
SENEGAL-RWANDA ET SENEGAL-ALGERIE A DIAMNIADIO
«Le match Sénégal-Rwanda va jouer à Dakar, le 9 septembre, si tout se passe bien. Il y a un fameux match Sénégal-Algérie, le 12 septembre, ici. Nous avons voulu valoriser le stade de Diamniadio. C’est pourquoi, nous nous sommes battus pour avoir un adversaire de taille. Ce sera un remake de la finale de la CAN 2019, au Caire, en Egypte. Et c’est surtout un match entre les deux derniers vainqueurs de la CAN. Cela voudra le déplacement. Nous avons pris un certain nombre de dispositifs avec l’agent de match pour en faire une grande fête du football».
A LA RECHERCHE DU SPARRING-PARTNER EN OCTOBRE
«Au mois d’octobre, nous avons une double date FIFA. Nous pourrons jouer deux matches. Nous sommes en discussions avec deux grands pays de football, pour pouvoir jouer un match, ici, au Sénégal, et un autre en France. Les dossiers sont assez avancés, ce sera du 14 au 17 octobre».
ALIGNEMENT AU CALENDRIER DE LA CAF
«Nous avons fixé les dates de référence pour la saison 2023- 2024. Il faut retenir que le démarrage de la saison est prévu, dès le 30 septembre 2023. Et la saison se terminera le 15 juin 2024. La raison est simple. Chaque année, nous sommes acculés par la CAF. C’est au 30 juin que nous allons communiquer les équipes qui doivent nous représenter en Afrique». «En ayant des débordements de nos saisons, au-delà du 30 juin, si on doit aller au mois de juillet ou août, cela pose problème. C’est pourquoi, nous avons avancé cette date de fin de saison au 15 juin. De sorte que nous aurons quelques jours, après, pour communiquer les noms de nos représentants à la CAF».
ORGANISATION DE LA CAN 2027
«Il faut faire en sorte que l’ensemble des acteurs du football puisse porter ce projet qui est un projet national. Avec les résultats qui ont été fait par l’équipe nationale, il est important que nous puisons défendre au plus haut niveau cette candidature. Le Sénégal a les capacités pour organiser et les autorités politiques sont déterminées. Il s’agit pour les acteurs du football de porter cette candidature pour que le Sénégal puisse triompher et être choisi pour organiser cette CAN 2027».
LES JUNIORS ET LES CADETS NE VONT PLUS ARRETER LE CHAMPIONNAT
«Nous avons aussi noté qu’on évitera des suspensions de dates qui allongent la saison. Et l’un des faits marquants, nous avons retenu pour les compétitions de jeunes, il ne sera plus question, quel que soit le nombre de joueurs en sélection, qu’on arrête les championnats, ici. Parce que nos équipes nationales sont en Coupe d’Afrique de jeunes U20, U17». «Le principe est que le championnat élite se joue pour les seniors. Donc, des joueurs qui ont plus de 20 ans révolus. Il n’y a pas de raison que, pour des compétitions de jeunes, qu’on arrête. Parce que cela contribue à retarder nos équipes».
31 JUILLET AU 31 OCTOBRE 2023, PERIODE DU MERCATO
«Pour les enregistrements pour la saison, la première période a été arrêtée du 31 juillet au 31 octobre 2023. La saison est déjà ouverte. La deuxième période, ce sont les transferts au niveau national. Ce sera du 1er février au 2 mars 2024.
MORY DIAW PROLONGE AVEC CLERMONT
Le CF63 a annoncé ce jeudi après-midi avoir prolongé jusqu’en 2026 le contrat de son gardien titulaire, l’international sénégalais Mory Diaw.
Le CF63 a annoncé ce jeudi après-midi avoir prolongé jusqu’en 2026 le contrat de son gardien titulaire, l’international sénégalais Mory Diaw.
Quelques jours après s’être offert les services de Massamba Ndiaye (21 ans) pour les quatre prochaines années, Le Clermont Foot 63, huitième de Ligue 1 la saison dernière, a annoncé une autre nouvelle concernant un de ses gardiens de but sénégalais. En effet, la formation entraînée par Pascal Gastien a officialisé, ce jeudi 10 août, la prolongation de contrat de Mory Diaw, blindé jusqu’en 2026.
Arrivé l’été dernier dans le cadre d’un transfert libre en provenance du FC Lausanne-Sport, en Suisse, le portier de 30 ans s’est vite rendu indispensable du côté du Stade Gabriel-Montpied. Des parades décisives, 10 clean sheets, un leadership aussi. Autant de qualités qui lui ont permis d’intégrer l’Equipe Nationale du Sénégal et de porter pour la première fois le maillot national, contre le Brésil (4-2).
Clermont – Mory Diaw après sa prolongation : « Pouvoir jouer la CAN est un objectif »
Le gardien de but international sénégalais a expliqué les raisons de sa prolongation avec le Clermont Foot 63 jusqu’en 2026, et l’Equipe Nationale du Sénégal y est pour quelque chose. Alors que la Ligue 1 s’apprête à reprendre ce vendredi, le Clermont Foot 63 a annoncé une bonne nouvelle pour ses supporters. Le portier international sénégalais Mory Diaw a en effet été prolongé pour les trois prochaines saisons, soit jusqu’en 2026. S’il n’a jamais semblé un départ du joueur de 30 ans lors de ce mercato, les deux parties ont su trouver rapidement un accord, et celui qui a été formé au Paris Saint-Germain en a profité pour détailler les raisons de son renouvellement et ses objectifs. De quoi évoquer l’Equipe Nationale du Sénégal. « Je suis très heureux de prolonger l’aventure avec le Clermont Foot 63. Après une bonne saison collectivement et individuellement, pour moi, c’était la suite logique. C’est la preuve que je me sens bien ici, et je me sens maintenant chez moi. J’espère que nous vivrons encore de belles émotions comme la saison passée. J’ai eu la chance de représenter mon pays une fois en match. Quand on y goûte, on a envie d’y retourner, mais cela passera par de bonnes performances en club. Pouvoir jouer la CAN est un objectif », a-t-il expliqué sur le site du CF63.
BABA TANDIAN PRODIGUE DES CONSEILS AU FUTUR COACH DES LIONNES
L’ancien président de la Fédération sénégalaise de basket, M. Baba Tandian, garde toujours en rogne la défaite concédée par les Lionnes du basket lors de la finale perdue contre le Nigeria
L’ancien président de la Fédération sénégalaise de basket, M. Baba Tandian, garde toujours en rogne la défaite concédée par les Lionnes du basket lors de la finale perdue contre le Nigeria. Avec la démission du coach Tapha Gaye, la Fsb va pister un autre entraîneur pour reprendre les rênes de la tanière. A ce propos, Baba Tandian lui prodigue des conseils afin de bien tenir la barque dénommée « Sunugal».
Quel entraîneur pour prendre les destinées de la tanière surtout avec la démission du coach Tapha Gaye? Une équation qui, pour beaucoup de férus de la discipline, serait facile à résoudre d’autant que le Sénégal ne manque pas d’expertise en la matière. « L’expertise sénégalaise n’est plus à démontrer et s’exporte bien en Afrique. Nous pouvons noter Cheikh Sarr qui est en train de faire un excellent résultat avec l’équipe du Rwanda qui a fini d’atteindre les demi-finales de l’afrobasket pour la première fois de son histoire « a révélé notre interlocuteur en froid avec la Fsb, sous le sceau de l’anonymat.
Face à cette incertitude sur le futur choix du coach des Lionnes, l’inlassable Baba Tandian tente de lui prodiguer des conseils. « Il faut mettre de côté les mémés. Ce ne sont pas les talents qui manquent au Sénégal. Vous avez des jeunes qui savent cavaler au niveau de Saint Louis Basket, du Duc, de l’Iseg etc. Maintenant à la charge du coach de polariser toutes ces énergies pour amener du mental qui permettra aux jeunes de gagner (...) Quand on restructure avec des jeunes avec une préparation beaucoup plus longue ont créé une équipe. Ceci est différent d’une préparation de 15 jours ou un mois pour aller dans une compétition et vouloir décrocher le titre. Cela s’appelle du «taba-taba». Même si le Sénégal avait gagné le trophée continental avec une meneuse de jeu américaine, on aurait eu un goût d’inachevé. Pour gagner est-on obligé de naturaliser une américaine alors qu’on regorge de jeunes capables de rivaliser avec n’importe quel talent dans le monde? Franchement, je ne reconnais plus mon pays, le Sénégal. On l’a fait avec les garçons, on a échoué, on l’a fait avec les filles, on a encore échoué. Il faut qu’on arrête» a martelé l’ancien président de la Fédération sénégalaise de basket-ball.
Poursuivant Baba Tandian soutient qu’on ne réinvente pas le basket et qu’il faut continuer de suivre les jeunes avant de jeter de gros cailloux dans le jardin du président de la Fédération sénégalaise de basket et des autorités étatiques. « Me Babacar Ndiaye ne comprend pas et il ne comprendra jamais. Je n’ai rien contre lui, mais c’est sa furie de ne pas être accompagné par des gens compétents qui m’écœurent. L’Etat le regarde faire. Nous avons tellement appuyé la sonnette d’alarme et il n’a pas réagi. On ne fera plus rien» a-t-il conclu , le découragement étant visible sous ses traits.
«L’ATHLETISME SENEGALAIS A FAIT UN BOND VERS L’AVANT PENDANT LES JEUX DE LA FRANCOPHONIE»
Selon Pape Serigne Diène, son directeur technique national, Avec cinq médailles engrangés (2 or et 3 argents), l’athlétisme sénégalais a fait un bond significatif aux derniers Jeux de la Francophonie de Kinshasa.
Avec cinq médailles engrangés (2 or et 3 argents), l’athlétisme sénégalais a fait un bond significatif aux derniers Jeux de la Francophonie de Kinshasa. Des performances qui, selon Pape Serigne Diène, son directeur technique national, correspondent au plan de relance stratégique de développement mis en place pour booster la discipline. Elles offrent aussi de bonnes perspectives pour les prochains championnats du monde à Budapest (19 au 27 août) mais aussi pour les JO Paris 2024
L’athlétisme sénégalais a fait un bond qualitatif lors des Jeux de la Francophonie avec une moisson de cinq médailles dont deux en Or et 3 en argent. Qualifié aux Mondiaux de Budapest et aux JO 2024, avec à la clé le 14ème meilleur chrono de l’année sur la distance, Louis François Mendy s’est illustré en remportant l’or au 110 m haies (13"38). Cheikh Tidiane Diouf lui a emboité le pas en remportant le précieux métal dans l’épreuve des 400m avec un chrono de 45s 78.
Outre les sprinteurs, les athlètes sénégalais se sont illustrés avec les médailles d’argent avec les performances au triple saut de Amath Faye (16m61), dans le relais 4X100 m hommes (39"32) et aux 100 m. Mamadou Fall Sarr étoffait le tableau en décrochant la médaille d’argent avec un chrono de 10s17. Ce chrono lui a permis aussi d’égaler le record du Sénégal au 100m, établi par Oumar Loum en 2002.
Selon Pape Serigne Diène, ces performances sont le fruit du plan de relance mis depuis quelques années par la Fédération sénégalaise d’athlétisme. «Par rapport aux précédentes campagnes, l’athlétisme a fait un bond vers l’avant pendant ces jeux de la Francophonie. C’était prévisible puisque l’on avait mis en place un plan stratégique de développement. Il fallait commencer par la formation des cadres mais ratisser large en organisant assez de compétitions à l’échelle nationale, donc dans toutes les régions du Sénégal. On en a fait pendant quatre ans», explique-til. «On était conscients que notre discipline traversait des zones d’ombre. Après avoir fait le maillage au niveau national, nous nous sommes orientés vers la gestion de l’élite. La gestion de l’élite étant très délicate, difficile car cela requiert de beaucoup de moyens», ajoute-t-il.
Les résultats engrangés aux Jeux de la francophonie ouvrent ainsi de bonnes perspectives vers les rendez-vous majeurs. Dans cette perspectives, Louis François Mendy qui a réalisé les minimas, accomplissant dans la foulée la deuxième meilleure performance africaine de tous les temps derrière le SudAfricain Antonio Alkana, sera la tête de file de l’athlétisme sénégalais aux prochains championnats du monde de Budapest (19 au 27 août 2023) et aux Jeux olympiques de Paris.
MOUSTAPHA GAYE JETTE L’EPONGE
Après le poste d’entraineur, Moustapha Gaye a décidé de mettre fin à ses fonctions de Directeur technique national (DTN) qu’il a cumulé pendant trois ans avec celui d’entraineur.
Après avoir annoncé son départ à la tête de l’équipe nationale féminine, Moustapha Gaye a pris la décision de quitter ses fonctions de Directeur technique national (DTN) qu’il a cumulé pendant trois ans avec celui d’entraineur. Il a annoncé sa décision dans une lettre qu’il a adressée au président de la Fédération sénégalaise de Basketball. S’il a évoqué des «raisons personnelles», le technicien semble être emporté par les critiques de joueuses et même de responsables fédéraux qui ont éclaté après la finale de l’Afrobasket féminin perdue au Nigeria. Mais aussi des mesures qu’auraient demandé la FIBA à l’encontre de l’ex sélectionneur des «Lionnes».
Après le poste d’entraineur, Moustapha Gaye a décidé de mettre fin à ses fonctions de Directeur technique national (DTN) qu’il a cumulé pendant trois ans avec celui d’entraineur. Le désormais ex-sélectionneur a annoncé sa démission hier, jeudi 10 août, dans une lettre rendue public et adressé au président de la Fédération sénégalaise de basket. «Monsieur le président de la fédération sénégalaise de basket ball, Je viens par ce message vous demander de me décharger de mes fonctions de directeur technique national pour des raisons personnelles. Tous mes remerciements et ma gratitude d’avoir pensé à moi pour cette fonction combien prestigieuse. Merci encore pour ces trois années de collaboration. Mes remerciements sincères à tous les membres du comité directeur et bonne chance pour l’atteinte de vos objectifs futurs», lit-on dans ce message largement relayé dans les sites d’informations et partagé dans différentes plateformes. S’il n’a pas évoqué que les «raisons personnelles» pour motiver son départ, le désormais ex sélectionneur semble faire les frais de son coup de sang lors de l’Afrobasket.
UNE VAGUE DE RECRIMINATIONS SUR LA TETE DU TECHNICIEN
Une attitude malheureuse qui n’est pas sans rappeler le geste assez violent contre la joueuse sénégalaise d’origine malienne, Ramata Dao en plein Afrobasket remporté en 2015 à Yaoundé (Cameroun). Comme si la vive altercation avec la joueuse Fatou Pouye lors de la victoire des «Lionnes» devant le Cameroun, n’avait pas suffit, voilà que le coach des Lions essuyait cette fois des critiques de la meneuse Cierra Dillard. Après la finale perdue contre le Nigéria, la joueuse américaine naturalisée lui reproche d’avoir abandonné son équipe à la mitemps. ‘’La différence entre les équipes dans un championnat, c’est l’entraîneur. C’est la première fois que je vois un entraîneur abandonner et lâcher son équipe à la mi-temps d’un match’’, lançait-elle sur son compte instagram avant de supprimer le message. Ces vagues des récriminations ne semblent toutefois pas altérer sa volonté de se démettre de ses fonctions de sélectionneur.
A l’en croire sa décision de mettre fin au cumul de son poste de sélectionneur et de directeur technique était, selon lui, déjà bien envisagé. « Le cumul de fonction prendra fin au soir du 6 aout. Le président Babacar Ndiaye l’a annoncé il y a quelques temps, c’est pourquoi je ne voulais pas en parler. On en a parlé lui et moi et le cumul ne peut pas continuer. Moi-même je ne le souhaite pas. Le cumul est terminé à partir de cet Afrobasket et j’en suis ravi. Parce que j’ai beaucoup de choses à faire dans la direction nationale, au niveau du management des équipes nationales », confiait-il. Malgré cette position, Moustapha Gaye n’a pas été épargné par certaines récriminations souvent au sein de la Fédération sénégalaise de basket (Fsbb).
Aurait-t-il été contraint de céder à la demande de FIBA Afrique qui aurait demandé à la Fédération sénégalaise de basket de prendre des mesures à l’encontre de l’ex sélectionneur des « Lionnes ». Ou a-t-il cédé à une pression du bureau fédéral ? Quoiqu’il en soit, El Hadji Sarr, troisième vice-président de la Fédération sénégalaise de basket a déjà annoncé la couleur.
Le responsable fédéral est, en effet, revenu à la charge pour administrer, dans des propos qui lui sont prêtés, un «dunk» sur la tête du patron technique du basketball sénégalais. « Démission ou pas du DTN, une évaluation sans complaisance se fera. Trop de chose se sont passées pour penser que la Fédération ne donnera pas suite, il y va de notre crédibilité », a-t-il écrit dans un post largement partagé dans les réseaux sociaux. Ce qui dénote d’une tension qui couvait déjà à la veille de l’Afrobasket de Kigali. On se rappelle que Moustapha Gaye avait déjà fait une sortie pour apporter une réponse musclée au vice-président qui dénonçait le cumul de DTN et de sélectionneur. La fin de l’été risque d’être volcanique au sein de l’instance fédérale.