L'INSTANT DÉTENTE DE RENARD À DAKAR
Le sélectionneur du Maroc, aperçu ces derniers jours dans les rues de la capitale sénégalaise, a alimenté bien des rumeurs
Le coach de l’équipe nationale de football du Maroc, Hervé Renard, a été aperçu dans la capitale sénégalaise, Dakar. Que faisait le Français dans ce pays d’Afrique de l’Ouest ?
Hervé Renard à Dakar. En clair, un renard, qui coache des Lions (de l’Atlas), s’est invité dans la Tanière des Lions de la Teranga (hospitalité). A l’approche du Mondial, certains pourraient penser que le sélectionneur du Maroc était à la recherche de binationaux pour des renforts. Loin de là. Hervé Renard était tout juste venu décompresser au Sénégal. En quoi faisant.
Selon certains journaux sénégalais, Hervé Renard a tenu à être à Dakar pour assister à une soirée du musicien congolais Fally Ipupa. Ce dernier était dans la capitale sénégalaise pour les besoins d’un concert à la Place du Souvenir, dans le cadre du premier anniversaire de la radio King Fm. Le chanteur congolais a assuré à 200% mettant tous les Sénégalais d’accord. Ce ne sont pas les artistes sénégalais Mbathio Ndiaye, Aida Samb, Sidy Diop, Pama Dieng, Pape Birahim, entre autres, qui diront le contraire, eux qui étaient de la partie. C’est lors de la soirée jouée dans un hôtel de Dakar que le coach du Maroc a été aperçu.
A noter que le sélectionneur des Lions de l’Atlas a été annoncé en Algérie pour coacher les Fennecs. ce qui lui a fqait sortir de ses gongs pour apporter un cinglant démenti. « Afin de couper immédiatement court à toutes rumeurs et spéculations infondées rapportées par certains médias aujourd’hui, je le dis calmement mais fermement : « Je suis très très bien au Maroc (...). Je ne suis aujourd’hui préoccupé que par la volonté de réaliser le meilleur parcours possible lors de cette Coupe du monde en Russie, attendue depuis 20 ans par le peuple marocain (...). Rien ni personne ne pourra nous détourner de notre volonté de mettre tous les atouts de notre côté pour y parvenir. Et si ces basses manœuvres sont malheureusement courantes à l’approche de grandes échéances, elles n’honorent pas leurs auteurs cachés derrière un anonymat providentiel », a écrit Hervé Renard.