DE PÈRE OUZA À KEUR GUI...
Les décibels des artistes ne sonnent pas toujours soft aux oreilles de nos gouvernants. C’est ainsi que certains tubes laissent parfois un goût amer à ceux qui président à nos destinées.
Les décibels des artistes ne sonnent pas toujours soft aux oreilles de nos gouvernants. C’est ainsi que certains tubes laissent parfois un goût amer à ceux qui président à nos destinées. Sous nos cieux, Ouza Diallo, Père Ouza comme disent les teenagers et autres mélomanes, fait figure de précurseur. Sauf que depuis un certain temps, écrit Walf Quotidien dans sa parution de ce vendredi, le groupe Keur Gui marche sur ses pas. En tout cas, le dernier clip de la bande à Thiat et Kilifeu, intitulé Sai-Sai, fait le buzz depuis peu. Les Sénégalais se rappellent aussi des envolées pimentées du Journal rappé initié par Makhtar Fall alias Xuman et son acolyte Cheikh alias Keyti