LA LISTE OFFICIELLE DES MEDIAS RECONNUS PAR LA LOI PUBLIEE AU PLUS TARD LE 30 NOVEMBRE
La liste officielle des médias conformes aux régimes juridiques les concernant sera publiée “au plus tard le 30 novembre”, dans le cadre des actions engagées pour la transparence et la restructuration du secteur
La liste officielle des médias conformes aux régimes juridiques les concernant sera publiée “au plus tard le 30 novembre”, dans le cadre des actions engagées pour la transparence et la restructuration du secteur, a-t-on appris mercredi du ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique.
“En six mois, des actes forts ont été posés en faveur de la transparence et de la restructuration dans le secteur des médias. Suite à la première réunion de la commission de validation des déclarations des médias, la liste officielle des médias conformes aux régimes juridiques qui les concernent sera publiée au plus tard le 30 novembre”, annonce le ministère de tutelle dans un communiqué transmis à l’APS.
Cette annonce fait suite à la première réunion de la commission de validation des déclarations des médias, dans le cadre des “efforts visant à renforcer la transparence et la restructuration du secteur”.
Le ministère de la Communication a prévenu que cette publication sera “immédiatement suivie de la mise en demeure des médias non conformes à la réglementation”.
“Ces derniers risquent une suspension s’ils continuent d’ignorer la législation en vigueur et s’exposeront à des sanctions légales en cas de persistance dans l’illégalité”, a mis en garde la tutelle.
Le ministère de la Communication précise que si la régulation et l’autorégulation ne sont pas de son ressort, il se veut par contre “pleinement investi dans le processus de restructuration et d’assainissement du secteur des médias”.
Concernant la restructuration du fonds d’appui et de développement de la presse, le ministère de la Communication estime que la répartition doit se faire “sur une base transparente”.
“Ce fonds ne se limite pas simplement à donner des appuis financiers, mais il doit devenir réellement un levier pour permettre d’impulser la montée en puissance économique du secteur des médias”, estime le ministère de tutelle.