JOJ DAKAR 2026, LE SÉNÉGAL DANS LES DÉLAIS
Le Sénégal est en avance sur les délais de préparation des Jeux olympiques de la Jeunesse (JOJ) de 2026 qui se dérouleront du 30 octobre au 13 novembre
Dakar, 28 déc (APS) – Le Sénégal est en avance sur les délais de préparation des Jeux olympiques de la Jeunesse (JOJ) de 2026 qui se dérouleront du 30 octobre au 13 novembre, assure le président du Comité national olympique et sportif sénégalais (CNOSS), Mamadou Diagna Ndiaye.
« Tous les trois mois, nous faisons une visite de terrain, et nous avons constaté une avance sur les délais », a-t-il dit, mercredi, lors d’une session de formation à l’intention des reporters sportifs, à l’initiative du comité d’organisation des JOJ 2026, de concert avec l’Association nationale de la presse sportive (ANPS).
« Nous avons rencontré le président de la République lors du conseil présidentiel sur les JOJ de Dakar. Le chef de l’Etat a appelé tous les ministres impliqués à travailler davantage pour la réussite de ces Jeux, une première sur le continent africain », a signalé Mamadou Diagna Ndiaye.
A en croire le coordonnateur général du comité d’organisation des JOJ 2026, Ibrahima Wade, le Comité national olympique et sportif sénégalais compte s’appuyer sur la presse pour amener les jeunes à s’intéresser à ces joutes.
« Peu de personnes connaissent réellement l’olympisme au Sénégal. Donc, nous sommes là pour nous former afin de mieux relever les défis qui nous attendent » a-t-il relevé, avant d’ajouter : « Il est important pour nous de convier la presse sportive à cet atelier de partage. Nous sommes dans un processus d’apprentissage. Cette session avec les journalistes va désormais se tenir tous les six mois ».
Selon le directeur sportif du comité d’organisation des JOJ 2026, Balla Dièye, les Jeux olympiques de la Jeunesse que le Sénégal va organiser en 2026 seront, en termes de diversité sportive, « les plus grands jamais organisés ».
« Nous devons principalement fournir des infrastructures qui répondent aux exigences du Comité international olympique. Les fédérations nationales sont très exigeantes. Elles tiennent vraiment que leurs athlètes soient dans de bonnes conditions », a-t-il souligné.