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6 octobre 2024
Sports
VERS UNE AMELIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL DES SELECTIONNEURS NATIONAUX
Le président de la Fédération sénégalaise de football, Me Augustin Senghor, a déclaré vouloir améliorer les conditions de travail des sélectionneurs nationaux, soulignant que c’est grâce à l’expertise locale que le Sénégal a pu engranger de bons résultat
Le président de la Fédération sénégalaise de football, Me Augustin Senghor, a déclaré vouloir améliorer les conditions de travail des sélectionneurs nationaux, soulignant que c’est grâce à l’expertise locale que le Sénégal a pu engranger de meilleurs résultats.
”Il y a des sélectionneurs qui ont un vécu international. Ils ont gagné des trophées continentaux et ils sont allés en coupe du monde. Il y a des nouveaux sélectionneurs qui sont arrivés (…)’’, a-t-il déclaré lors d’un atelier de partage d’expérience organisé par la Direction technique nationale. Cette rencontre, selon lui, ‘’permet de faire un partage des acquis et d’expérience et surtout, de prendre du temps, de gagner des raccourcis pour que ceux qui arrivent puissent travailler” sur la base de l’organisation déjà mise en place. ”La performance de haut niveau, c’est la coordination de beaucoup de travail. Nous avons montré l’exemple à l’Afrique toute entière (…) en recrutant des entraîneurs locaux (…) nous avons l’expertise technique nécessaire”, a dit Me Augustin Senghor qui a présidé cette réunion d’échange avec les différents staffs techniques nationaux. ”Tout le monde a suivi le cursus du football sénégalais ces dix (10) derrières années. (…) Un pays, qui en l’espace d’une année, a remporté cinq (5) à six (6) trophées continentaux, c’était du jamais vu’’, a souligné le président de la FSF. Il a annoncé le démarrage prochain, du championnat de Futsal.
Equipes nationales : l’osmose entre les staffs en ligne de mire
La Direction technique nationale (DTN) a réuni ce lundi, à Dakar, les membres des staffs techniques des différentes sélections nationales de football, “pour créer une osmose’’ entre ces différents staffs et ‘’essayer d’améliorer les acquis’’. L’objectif recherché est notamment de ‘’voir qu’est-ce qu’on peut améliorer pour mieux faire’’ dans l’encadrement des équipes nationales’’, a précisé le directeur technique national, Mayacine Mar.
Concrètement, il s’agit pour la DTN d’écouter les staffs des sélections nationales et ‘’essayer de voir ce que nous avons pu faire’’ depuis leur arrivée à la tête de ces sélections. En définitive, l’objectif consiste à ‘’permettre à l’ensemble des staffs de créer une osmose entre eux et essayer d’améliorer ce que nous avons pu faire depuis longtemps”, a expliqué Mayacine Mar. La dernière réunion de ce genre remonte à deux ans. Celle de ce lundi a permis, pendant une journée, d’aborder des thèmes, comme la philosophie de jeu et le profil des joueurs. Et c’est le coach de l’équipe A, Aliou Cissé, qui s’en est chargé, tandis qu’Alioune Badara Sène a abordé la question de l’utilisation des équipements sportifs. Quant à Adama Mbaye, il a évoqué celle des infrastructures sportives et de manière spéciale les centres de développement technique de Toubab Dialao et Guéréo dont il a la charge. Le directeur technique national, Mayacine Mar, souligne qu’il s’est agi de ‘’se retrouver, travailler mutuellement et créer une osmose entre les acteurs’’. Selon lui, avec le réaménagement des staffs, beaucoup de leurs membres, comme Ansou Diadhiou (adjoint des U20) viennent fraîchement de les intégrer. Il a indiqué que la tenue de cette réunion est guidée par la volonté de continuer à gagner en Afrique et dans le monde comme cela a été le cas avec les cinq trophées continentaux remportés en une année, dont la CAN sénior au Cameroun. Le président de la Fédération sénégalaise de football (FSF) a saisi l’occasion pour afficher sa fierté à l’endroit de la DTN qui, selon lui, a toujours cru en l’expertise locale. Augustin Senghor a relevé, par exemple, le patriotisme dont a fait preuve le coach des Lions, Aliou Cissé, en 2012 en laissant tout en France pour venir travailler au Sénégal. D’abord chez les Olympiques en tant qu’adjoint de feu Karim Séga Diouf puis chez les A.
DIAMBARS ET LE SPECTRE GRANDISSANT D’UNE RELEGATION
Battu ce samedi pour la 10ème fois de la saison, Diambars traverse une saison très compliquée et est plus que jamais au bord du gouffre.
Bés Bi le Jour |
Lamine Mandiang DIEDHIOU |
Publication 16/04/2024
Battu ce samedi pour la 10ème fois de la saison, Diambars traverse une saison très compliquée et est plus que jamais au bord du gouffre. La crainte d’une relégation à l’échelon inférieur, comme en 2018, plane dans les têtes des Académiciens à six journées de la fin avec cette inconstance chronique et un calendrier tout sauf facile.
Ce samedi 13 avril, Diambars (14ème, 14 pts) a perdu à domicile le match de la peur devant le Stade de Mbour (13ème, 18 pts) qui est juste devant lui au classement avec quatre points de plus. Une mauvaise opération qui confirme les déboires des Académiciens qui ont presque toujours végété cette saison dans la seconde partie de tableau. Un exercice 2023-2024 compliqué du champion du Sénégal 2013 qui peut s’expliquer par un ensemble de facteurs dont la délocalisation de ses rencontres au stade Lat-Dior, loin de son antre de Fodé Wade de Saly, le gros changement dans l’effectif avec le départ de plusieurs joueurs ou encore l’absence du président, Saer Seck, jadis au cœur de la gestion de l’Académie.
Sur le plan comptable, Diambars ne compte que 2 victoires contre 8 nuls et 10 défaites après 20 journées. L’actuelle lanterne rouge de la Ligue 1 est la pire formation à l’extérieur (4 points sur 30 points possibles) et 2ème plus mauvaise équipe à domicile (10 points pris sur 30 possibles). Si elle est tout sauf ridicule offensivement 17 buts marqués), c’est sa défense qui constitue son talon d’Achille avec 29 buts encaissés. Ce qui en fait la pire défense du championnat avec le pire goal-avérage (-12).
« Nous n’avons pas le droit de lâcher»
Des chiffres affligeants qui expliquent quelque peu le downfall de Diambars cette saison. Mais en dépit de cette spirale négative, Bruno Rohart montre toujours un brin d’optimisme à six journées de la fin. «Nous avons une équipe jeune qui commet de grosses erreurs individuelles, mais tant que ce n’est pas fini, nous devons nous battre. Il reste 6 matchs, soit 18 points à prendre, et il faudra prendre le maximum, travailler et espérer. Nous savons que ce sera extrêmement difficile, mais rien n’est fini pour nous», a confié le technicien français après le revers de son équipe dans le derby de Mbour. Mais l’ancien entraineur de Dsc ne veut pas pour autant baisser et croit plus que jamais à un sursaut d’orgueil de ses poulains. «C’est un point négatif, mais cela nous motivera encore plus. Nous savons que cela sera très dur, mais quelque part, c’est aussi de notre faute. Nous devons nous réfugier dans le travail, ne pas lâcher, car nous sommes Diambars, nous n’avons pas le droit de lâcher, même si nous sommes une équipe jeune. Nous devons aller chercher les points nécessaires et jouer jusqu’au bout. Nous croyons toujours au maintien, cela sera difficile, mais nous serons là», ajoute-t-il.
13 matchs de rang sans succès
Mais le calendrier s’annonce dantesque pour son équipe. Les prochaines sorties seront toutes des finales pour le maintien avec des déplacements compliqués à Jamono Fatick (21ème journée), la Linguère de Saint-Louis (23ème journée) et Dakar Sacré-Cœur (25ème journée) et les réceptions tout aussi difficiles de l’Us Ouakam (22ème journée), Guédiawaye Fc (24ème journée) et Génération (26ème journée).
A six journées de la fin, il faudra donc batailler ferme pour se maintenir dans l’élite pour les Académiciens de Saly qui se dirigent journée après journée vers la relégation. Le discours de Bruno Rohart se veut certes optimiste en dépit de ce calendrier compliqué et de cette spirale négative de 13 matchs sans victoire. Le dernier en date remonte au 16 décembre dernier devant Jamono Fatick (1-0). Une équipe que les Académiciens croiseront ce week-end avec l’objectif de renouer avec le succès pour endiguer cette mauvaise passe et se donner les moyens de croire au maintien.
VERS UNE AMÉLIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL DES SÉLECTIONNEURS NATIONAUX
Le président de la Fédération sénégalaise de football, Me Augustin Senghor, a déclaré vouloir améliorer les conditions de travail des nationaux, soulignant que c’est grâce à l’expertise locale que le Sénégal a pu engranger de meilleurs résultats.
Dakar, 15 avr (APS) – Le président de la Fédération sénégalaise de football, Me Augustin Senghor, a déclaré vouloir améliorer les conditions de travail des sélectionneurs nationaux, soulignant que c’est grâce à l’expertise locale que le Sénégal a pu engranger de meilleurs résultats.
”Il y a des sélectionneurs qui ont un vécu international. Ils ont gagné des trophées continentaux et ils sont allés en coupe du monde. Il y a des nouveaux sélectionneurs qui sont arrivés (…)’’, a-t-il déclaré lors d’un atelier de partage d’expérience organisé par la Direction technique nationale.
Cette rencontre, selon lui, ‘’permet de faire un partage des acquis et d’expérience et surtout, de prendre du temps, de gagner des raccourcis pour que ceux qui arrivent puissent travailler” sur la base de l’organisation déjà mise en place.
”La performance de haut niveau, c’est la coordination de beaucoup de travail. Nous avons montré l’exemple à l’Afrique toute entière (…) en recrutant des entraîneurs locaux (…) nous avons l’expertise technique nécessaire”, a dit Me Augustin Senghor qui a présidé cette réunion d’échange avec les différents staffs techniques nationaux.
”Tout le monde a suivi le cursus du football sénégalais ces dix (10) derrières années. (…) Un pays, qui en l’espace d’une année, a remporté cinq (5) à six (6) trophées continentaux, c’était du jamais vu’’, a souligné le président de la FSF.
Il a annoncé le démarrage prochain, du championnat de Futsal.
KHADY DIENE GAYE «OUBLIE» LES JOJ 2026 !
Dans sa déclaration lors de sa passation de services, vendredi, comme nouvelle ministre des Sports, Khady Diène Gaye a annoncé 17 mesures. Mais aucun mot sur les Jeux Olympiques de la Jeunesse «Dakar 2026», que l’Afrique va accueillir pour la première foi
Dans sa déclaration lors de sa passation de services, vendredi, comme nouvelle ministre des Sports, Khady Diène Gaye a annoncé 17 mesures. Mais aucun mot sur les Jeux Olympiques de la Jeunesse «Dakar 2026», que l’Afrique va accueillir pour la première fois.
9e ministre des Sports depuis l’indépendance, Mme Khady Diène Gaye a été officiellement installée vendredi, à l’issue de la passation de services avec son prédécesseur Mame Mbaye Niang.
Dans sa déclaration, la première femme à diriger le sport sénégalais a ratissé large, en annonçant 17 mesures qu’elle compte prendre, en droite ligne du projet de la Coalition «Diomaye Président».
Parmi ces mesures déclinées et qui sont très ambitieuses, on peut citer, entre autres, «la redynamisation du sport scolaire et universitaire pour mieux assurer la démocratisation de l’accès au sport». Dans ce cas, il faudra nécessairement, selon Mme Gaye, «reprendre l’organisation des Festivals nationaux du sport scolaire, relancer l’organisation des championnats nationaux universitaires, veiller à la régularité de la tenue des championnats du sport scolaire et favoriser la pluridisciplinarité dans les compétitions». Il y a aussi «l’accompagnement des collectivités territoriales dans l’aménagement d’installations sportives de proximité».
Longtemps réclamé par les anciens sportifs, «un processus de mise en place d’une mutuelle pour les sportifs pendant et après leur carrière» fait aussi partie des 17 mesures. Et cela passe par «l’élaboration d’un plan de reconversion des sportifs de haut niveau avec l’adoption du statut du sportif de haut niveau».
Mais le fait marquant de cette première sortie officielle de l’ex-Inspectrice régionale de la Jeu¬nesse et des sports de la région de Dakar, est la non-évocation, dans sa prise de parole, des Jeux Olympiques de la Jeu¬nesse (Joj) que Dakar va ac¬cueillir en 2026. Et qui est une pre¬mière pour le continent africain.
Un «oubli» d’autant plus étonnant que la nouvelle patronne du sport sénégalais sera «triplement» impliquée, car son ministère devant désormais gérer le sport, la jeunesse et la culture. Trois volets essentiels qui seront au cœur des Jeux de Dakar 2026. Surtout quand on sait que le compte à rebours a démarré depuis, marqué par les activités et initiatives du Comité d’organisation (Cojoj) qui se poursuivent.
Sûrement que la ministre aura l’occasion de se «réajuster» par rapport à cet évènement olympique et mondial, prévu dans deux ans et qui sera précédé, dans trois mois, des Jeux de «Paris 2024» où le Sénégal compte faire bonne figure.
Le Code du sport, le Fonds de financement… des dossiers qui dormaient dans les tiroirs
En attendant, il est bon de revenir sur quelques-unes des 17 mesures annoncées et où on note des «dossiers réchauffés» et qui dormaient dans les ti¬roirs.
Il y a celui de «l’adoption du Code du sport pour doter le secteur d’un cadre juridique qui intègre les nouvelles préoccupations et mutations intervenues dans le domaine du sport». Une réforme, selon la ministre, «qui va consacrer la refonte de la loi portant Charte du sport. L’élaboration de nouveaux textes pour une meilleure prise en charge des exigences modernes du secteur».
Vieille doléance du monde sportif, la mise en place d’un Fonds national de développement du sport (Fnds) a encore été évoquée au chapitre du financement du sport. Et dans la même foulée, il y a l’autre vieux dossier de «l’accompagnement de nos clubs sur le chemin de la professionnalisation», avec la participation de l’Etat qui se fait toujours attendre.
Une transition vite trouvée pour parler de «l’incitation des entreprises du secteur parapublic et du privé à orienter leur Responsabilité sociétale d’entreprise (Rse) vers le sport».
L’Office de gestion des infrastructures relooké ?
Sur la gestion des infrastructures sportives, Mme Gaye parle de «la mise en place d’un cadre de gestion formelle et optimisée des infrastructures sportives de grande envergure».
Evidemment, à travers ces mots, on pense directement à l’Office national de gestion des infrastructures sportives. Une structure mise en place par l’ancien ministre des Sports, Lat Diop, et qui a même nommé un nouveau Directeur général récemment.
Chahuté par l’ancien Directeur de la haute compétition (Dhc), Boun Daouda Diop, qui a émis des réserves par rapport à cette structure qu’il ne trouve pas opportune, cet Office de gestion va-t-il être un mort-né ? On attend de voir
HABIB BEYE REVE DE L’OM ET DU SENEGAL
Leader incontesté du National, le Red Star se prépare à retrouver une Ligue 2 qu’il avait quittée en 2019. Il le doit en partie à l’exceptionnel travail de son entraîneur, Habib Beye. Mais ce dernier sera en fin de contrat en fin de saison et a de l’ambit
Leader incontesté du National, le Red Star se prépare à retrouver une Ligue 2 qu’il avait quittée en 2019. Il le doit en partie à l’exceptionnel travail de son entraîneur, Habib Beye. Mais ce dernier sera en fin de contrat en fin de saison et a de l’ambition…
Comment devenir entraîneur professionnel en Ligue 1 ? En étant l’adjoint d’Habib Beye en National ! On caricature bien sûr, mais force est de constater que ses deux derniers adjoints officient désormais au plus haut niveau : Pierre Sage est depuis décembre l’entraîneur de l’Olympique Lyonnais et Sébastien Bichard est depuis mars le coach (en tandem avec Pascal Gastien) du Clermont Foot Auvergne.
BICHARD QUITTE LE RED STAR POUR CLERMONT
Le départ de ce dernier à l’aube du dernier tiers de la saison aurait pu être refusé d’un revers de main par Habib Beye, mais l’ancien international sénégalais a ouvert la porte à son adjoint :« On est assez armé et structuré dans le staff pour pallier à son départ, a-t-il expliqué en conférence de presse. Le voir en L1 aujourd’hui comme Pierre Sage à Lyon est une fierté qui montre la grande force du club et du staff. Quand Sébastien est venu me voir, j’aurais pu ne voir que mon intérêt personnel. Mais je n’aurais pas pu me regarder dans un miroir si je l’avais empêché de vivre cette expérience en L1 qui va changer sa vie. J’ai dit à mon président de le laisser vivre cette opportunité qui ne peut pas se refuser. » Un tel projet se présentera-t-il prochainement pour Habib Beye ?
Pour le monde du football, cela paraît inéluctable : l’ex Marseillais a la dimension pour devenir coach de Ligue 1. A la tête du Red Star depuis septembre 2021, l’ancien capitaine de l’OM impressionne le milieu. L’entraîneur du GOAL FC (National) Fabien Pujo, l’un des rares à l’avoir battu cette saison, n’a que des mots élogieux à son égard : « Le Red Star va être champion de National et c’est amplement mérite. De notre côté, on peut se dire que c’est prestigieux de les avoir battus en début de saison (3- 1). Il y a chez eux un projet de jeu, propre, très visible. »
LA LIGUE 1 LUI TEND LES BRAS
L’entraîneur des gardiens du GOAL FC, Nicolas Puydebois (notamment ancienne doublure à l’OL dans les années 2000), poursuit avec un enthousiasme similaire : « Il a beaucoup de notoriété caril est dans la lumière en tant que consultant Canal +. Après, comme coach, on voit bien par les résultats qu’il a une vraie philosophie de jeu et que les joueurs adhèrent à son discours. Aujourd’hui, oui, il a des prédispositions pour aller plus haut. Il mérite potentiellement d’aller en Ligue 2 voire au-dessus. » Fabien Pujo n’en doute absolument pas : « Habib, c’est le meilleur consultant Ligue des Champions. Le mec, on ne va pas lui apprendre le football ! Il maîtrise le foot à la perfection. Si je dois être visionnaire, je me dis qu’on aura Habib Beye dans quelques années à la tête d’une grosse équipe de Ligue 1, d’autant qu’il est aussi très méthodique dans son parcours. J’ai un profond respect pour le technicien et également pour l’homme car on peut avoir une vraie relation avec lui.»
BEYE RESTE HUMBLE
Comme beaucoup de techniciens de sa génération, Habib Beye s’inspire de Pep Guardiola. Comme l’Espagnol à Manchester City, il a mis en place au Red Star un jeu tourné vers l’offensive. « Si on s’intéresse à son projet de jeu, j’adore ce qu’il dégage : c’est un football protagoniste, explique Pierre Thimonier. L’entraîneur adjoint du GOAL FC décrypte : « Il aime prendre l’initiative du jeu. Il met l’accent sur le fait de marquer un but de plus que l’adversaire plutôt que sur la volonté de réaliser un clean-sheet. Quand on étudie le projet de jeu du Red Star, on sent une grande réflexion sur la position des joueurs, la façon de figer la défense adverse par du jeu de position avant d’utiliser les espaces. C’est délicat de défendre contre eux, on a beaucoup de respect pour le coach qu’il est et surtout le football que son équipe propose. » Seulement sous contrat avec le Red Star jusqu’à la fin de cette saison, Habib Beye serat-il toujours sur le banc du club de la Seine Saint-Denis la saison prochaine ? Sollicité par le Stade Brestois il y a un an et demi, par Sochaux et Amiens l’été dernier, le Sénégalais devrait sûrement recevoir d’autres propositions. Et cela n’aurait rien d’étonnant de le voir débarquer très vite au même étage que ses anciens adjoints. Ses rêves ultimes ? L’Olympique de Marseille et la sélection du Sénégal.
(SOURCES QUOTIENFOOT)
TEUNGEUTH FC FONCE VERS LE TITRE, GFC DOUBLE LE JARAAF
Le Teungeuth FC poursuit La marche victorieuse après sa performance sur la plus petite des marges ce samedi 13 avril face à l’US Gorée dans le cadre de la 20e journée de Ligue 1.
Le Teungeuth FC poursuit La marche victorieuse après sa performance sur la plus petite des marges ce samedi 13 avril face à l’US Gorée dans le cadre de la 20e journée de Ligue 1. Les Rufisquois (1er, 40 pts) comptent provisoirement 5 points d’avance sur son dauphin de Guédiawaye FC (2e, 35 pts). Après le match nul concédé dans le classico, face au Casa Sports, le Jaraaf a perdu la deuxième place. C’est au profit de Guédiawaye FC qui a réussi la bonne opération en allant battre l’Us Ouakam. Au bas du tableau, le statu quo reste de mise au classement. Le Stade de Mbour et Diambars qui se sont opposés dans le duel des «mal-classés», soldé par un large succès des Stadistes (3-0), restent toujours en position de relégables.
Teungueth FC reste toujours perché en haut du peloton de la Ligue 1 qui a abordé ce week-end sa 20e journée. En déplacement ce samedi sur la pelouse de l’US Gorée (6e ; 27 points), les Rufisquois ont réussi encore à accentuer leur avance au classement en s’imposant sur la plus petite des marques (0-1) . Un précieux succès qui leur permet de faire un pas ferme dans la course vers le titre de champion au terme de la 20e journée. Le leader garde désormais une avance de cinq points sur son nouveau dauphin. Il s’agit de Guédiawaye Fc (2e ; 35 points) qui a réussi l’une des meilleures opérations de la journée en allant battre (2- 4) au stade de Ngor, l’Us Ouakam ( 9e ; 22 points). Un large succès qui permet aux «Banlieusards» de déloger le Jaraaf de sa position de dauphin en le reléguant à la troisième place (32 points). Ralentis suite à une première défaite de la saison essuyée lors de la précédente journée devant Génération Foot, les «Vert et Blanc» ont été contraints au partage des points (0-0) dans le «classico» qui les a opposé hier, dimanche au stade de Ngor, aux Ziguinchorois du Casa sports (11e ; 21 points). Le Jaraaf peut valablement nourrir des regrets en laissant échapper trois précieux points au vu de ce pénalty raté en plein match par son joueur vedette Fallou Fall. Les lignes du classement se sont aussi resserrées à l’issue de la journée. Revenue avec le point de nul (0-0) lors de son déplacement sur la pelouse de la Sonacos de Diourbel, l’As Pikine, s’est maintenue à la 4e place (30 points). Les Pikinois sont à deux longueurs de leurs adversaires du jour (5e ; 28 points). Pour les autres rencontres, la Linguère de Saint-Louis ( 8e ; 28 points) a été contrainte à domicile au partage des points ( 0-0) par Dakar Sacré-cœur ( 7e ; 27 points).
Au même moment, le promu Jamono Fatick faisait la meilleure sensation de la 20e journée en s’imposant largement (1-3) devant Dakar Sacré cœur ( 7e, 27 points).
Un succès qui fait grandement du bien puisqu’il permet au promu de relever un peu la tête dans sa lutte qu’il va désormais mener pour le maintien.
Pour l’heure, les Fatickois restent confinés à la 12e place et premiers non-relégables (19 points). De son côté, le Stade de Mbour a réalisé un carton dans le derby de la Petite côte, Diambars (3-0)
Respectivement lanternes rouges 14e et 15e avant le coup d’envoi, les deux équipes mbouroises restent confinés au bas du tableau. Surpris lors de la précédente journée par Dakar Sacré cœur (0-1), les Stadistes se sont offerts une bonne bouffée d’oxygène (18 points).
A six journées de la fin, il faudra encore batailler ferme pour se maintenir dans l’élite. Tout comme les Académiciens de Saly qui foncent après journée vers la relégation.
TEUNGETH–US GOREE ET LE «CLASSICO» JARAAF–CASA SPORT AU SOMMET
Football, La Ligue 1 entre ce samedi 13 avril dans sa 20ème journée avec en ouverture trois rencontres.
La Ligue 1 entre ce samedi 13 avril dans sa 20ème journée avec en ouverture trois rencontres. Outre le derby et non moins duel des mal classés entre Diambars et Stade de Mbour, le déplacement du leader sur la pelouse de l’Us Gorée sera l’une des affiches attendues à sept journées de la fin du championnat. La journée se poursuivra demain dimanche avec un certain «classico» qui promet entre le Jaraaf et le Casa sports.
Haut perché depuis le début de la phase retour, Teungueth Fc amorce ce samedi 13 avril une étape encore décisive dans la course vers le titre à l’occasion de la 20eème journée. A sept journées de la fin de l’exercice, les Rufisquois (1er ; 37 points), tenteront lors de leur déplacement sur la pelouse de l’Us Gorée au stade municipale de Patte d’oie, d’accentuer leur avance et surtout de tenir à bonne distance leur dauphin du Jaraaf qu’ils larguent à 5 longueurs (2ème ; 32 points).
Là où leurs hôtes goréens (7ème ; 27 points), auront à cœur de sortir du ventre mou et de regagner le peloton de tête. Les autres rencontres, aux allures de lutte pour le maintien, seront toutes aussi attendues. C’est principalement le derby mbourois qui opposera Diambars FC (14ème, 14 pts) au Stade de Mbour (13ème, 15 pts).
Battus lors de la précédente journée respectivement par Teungueth FC (2-1) et Dakar Sacré coeur (0-1), Académiciens et Stadistes devront batailler ferme pour décrocher les trois points. Une quête qui sera précieuse dans cette lutte qui s’annonce difficile pour le maintien dans l’élite. Il faut noter que les Stadistes sont à un seul petit point de Jamono de Fatick, première équipe relégable (12ème, 16 points). Les Fatickois seront de leur côté, animés par la même détermination de s’éloigner de la zone de relégation en rendant visite ce samedi à Dakar Sacré-cœur (6e ; 27 points).
La 20ème journée se poursuivra demain dimanche 14 avril avec cette affiche considérée comme le «classico» du championnat de Ligue pro et qui opposera au stade municipal de Ngor, le Jaraaf (2ème, 32 pts) au Casa Sport (11ème, 20 pts). Les «Vert et Blanc» qui ont essuyé leur première défaite face à Génération Foot (1-0) lors de la précédente journée, sont entrés dans une phase cruciale de la course vers le titre et auront un besoin pressant de renouer à domicile avec la victoire afin de rester en contact avec le leader.
Battus à l’aller au stade de Kolda, les Ziguinchorois également dans un tournant. Une contreperformance sera sans doute malvenue car elle risque de peser dans la lutte rencontre pour le maintien.
Les autres rencontres de cette 20e journée mettront aux prises, Guédiawaye FC (3ème, 32 pts) à l’US Ouakam (8ème, 22 pts). Quatrième au classement, l’As Pikine (4ème ; 29 points) effectuera le déplacement chez les Diourbelois de la Sonacos (5ème, 27 pts). Au même moment, la Linguère (9ème, 22 pts) croise sur sa pelouse les Académiciens de Génération Foot (10ème, 20 pts).
PROGRAMME 20 JOURNÉE LIGUE 1
SAMEDI 13 AVRIL
Stade Lat Dior 16h 30 :
Diambars FC- Stade de Mbour
Stade de Ngor 16h 30 :
Dakar-Sacré cœur- Jamono de Fatick Stade
Municipal de Patte d’Oie 16h 30 :
Us Gorée- Teungueth FC
DIMANCHE 14 AVRIL
Stade Mawade Wade de Saint Louis 16h 30 :
Linguère- Génération Foot
Stade Lat Dior de Thiés 16h 30 :
Sonacos- As Pikine
Stade municipal de Ngor 16h 30 :
Jaraaf- Casa Sport
Stade Amadou Barry 16h 30 :
Guédiawaye FC- Us Ouakam
PAPE GUEYE PROCHE D’UN RETOUR EN ESPAGNE
Selon le média Relevo, le milieu de terrain sénégalais, en fin de contrat avec l'Olympique de Marseille en juin, est en passe de trouver un accord total avec Villarreal, l’ancienne formation de son compatriote Nicolas Jackson.
Prêté au Sevilla FC la saison dernière, avec un titre de Ligue Europa, Pape Guèye est proche d’un retour vers l’Espagne. Selon le média Relevo, le milieu de terrain sénégalais, en fin de contrat avec l'Olympique de Marseille en juin, est en passe de trouver un accord total avec Villarreal, l’ancienne formation de son compatriote Nicolas Jackson.
Libre en juin prochain et annoncé depuis quelques jours à l'AS Monaco, Pape Guèye va prendre la direction de Villarreal, l’ex club de Nicolas Jackson. D'après les informations du média espagnol Relevo de mardi dernier, le dossier de l'international sénégalais serait très avancé. Les deux parties, en négociations depuis décembre, seraient proches d'un accord concernant le futur contrat du milieu de terrain des Lions. Lors du dernier mercato d'hiver, la formation espagnole voulait déjà recruter l'ancien joueur du FC Séville mais ce dernier avait finalement choisi d'attendre afin de quitter l'OM au terme de son bail le 30 juin prochain. L’intérêt du club Sous-Marin Jaune a été confirmé par Le quotidien La Provence. Son ancien entraineur à l’OM, Marcelino, qui officie dans le club valencien depuis son départ de la Marseille avait manifesté son intérêt pour le profil du milieu des Lions du Sénégal et aimerait le récupérer.
Le technicien espagnol avait utilisé le natif de Montreuil durant la préparation estivale avant que ce dernier ne purge sa suspension de quatre mois, point final de son litige avec Watford. Le champion d’Afrique avait été prêté au FC Séville à l’hiver 2023, où il avait su rebondir, signant notamment 16 apparitions pour 1 but inscrit. La Provence rappelle que le milieu sénégalais de 24 ans, peu utilisé par l’ex entraineur olympien Gattuso, a été relancé par Louis Gasset dès son arrivée sur le banc de l’OM. « J’ai parlé avec la direction. Si vous me donnez une mission, j’aimerais avoir tous les atouts. C’est un joueur que j’apprécie beaucoup. Ce qui s’est passé, ce n’est pas mon problème", relevait l’ancien sélectionneur de la Côte d’Ivoire.
A en croire le même quotidien régional, le départ du Sénégalais laissera en tout cas un goût amer à ses dirigeants. Pablo Longoria déclarait à son sujet en janvier, alors qu'il essayait de lui trouver une porte de sortie au mercato d'hiver pour récupérer une indemnité de transfert : "On a soutenu le joueur, on a couvert les frais d’avocat et payé une indemnité à Watford, on lui a permis de s’entraîner..." Malgré cela, la carrière du milieu défensif devrait plutôt se poursuivre du côté de l'Espagne, loin de l'OM.
PAR Bassirou Diomaye Faye
À TOUS LES FONCTIONNAIRES DU SÉNÉGAL
Je tiens à souligner l'importance cruciale de la transparence et de l'intégrité dans nos actions. Je vous invite à incarner pleinement les principes de « Jub, Jubal, Jubanti ». Que la droiture, la probité et l'exemplarité commandent chacun de vos actes
Dans ce message daté du 8 avril 2024 adressé à toutes les femmes et hommes de l'administration sénégalaise, le président Bassirou Diomaye Faye rappelle avec ferveur les valeurs cardinales qui doivent guider leur engagement quotidien au service du pays: intégrité, probité, transparence. Il insiste sur l'importance de placer le bien commun et le développement inclusif de la nation au-dessus de toute autre considération. Le chef de l'Etat exhorte ses collaborateurs à redoubler d'efforts pour concrétiser la vision d'un Sénégal uni et prospère.
Chères collaboratrices, chers collaborateurs,
En cette période charnière de notre histoire, où chaque pas vers l'avenir se dessine sous le signe de la promesse et de l'espoir, il m'est apparu essentiel de m'adresser directement à vous, femmes et hommes dévoués au service de notre nation. Vous constituez sans nul doute la colonne vertébrale de notre administration et le cœur battant de notre pays.
Le Sénégal, notre cher pays, se tient aujourd'hui à l'aube d'une ère nouvelle, porté par la vision d'un avenir dans lequel chaque citoyen, où qu'il se trouve, peut jouir des fruits de notre effort collectif. Un Sénégal réconcilié, transparent et équitable, où le développement durable et inclusif n'est pas un idéal lointain, mais une réalité tangible, à portée de mains.
Si notre pays bénéficie d'une solide réputation de démocratie, de stabilité et de paix, nous le devons en grande partie à votre engagement, votre professionnalisme et votre travail sans relâche. Vous êtes les gardiens de nos valeurs républicaines, les artisans de notre développement et les sentinelles de notre cohésion sociale.
Aujourd'hui, je vous invite, avec toute la considération et le respect que je vous porte, à incarner pleinement les principes de « Jub, Jubal, Jubanti ». Que la droiture, la probité et l'exemplarité commandent chacun de vos actes. Que votre travail quotidien soit imprégné de ce souci permanent du bien commun, ou le service à nos concitoyens et leur bien-être priment sur toute autre considération.
Dans le sillage de notre engagement collectif vers un Sénégal uni et prospère, je tiens à souligner l'importance cruciale de la transparence et de l'intégrité dans nos actions et décisions. Notre administration joue un rôle fondamental dans la concrétisation des aspirations de notre nation, et c'est dans cette optique que je souhaite rappeler les principes directeurs qui doivent guider notre conduite.
La loi 2012 - 22 du 27 décembre 2012, portant Code de transparence dans la gestion des finances publiques, établit un cadre légal clair pour l'intégrité des acteurs impliqués dans la gestion des affaires publiques. Elle souligne l'exigence d'un comportement éthique et déontologique irréprochable pour tous les agents de l'État, en insistant sur le fait que la transparence n'est pas une option, mais une obligation. Cette loi, en ses points 7.2 et 7.3, rappelle que nous, agents publics, avons le devoir de veiller scrupuleusement à la bonne gestion des ressources qui nous sont confiées et de signaler toute infraction aux règles régissant les finances publiques. Cette démarche n'est pas seulement légale ; elle est morale, réaffirmant notre engagement envers les citoyens que nous servons.
C'est pour cette raison que nous accordons une importance particulière à la protection des lanceurs d'alerte. Il est essentiel que chacun se sente libre et soutenu de partager, en toute sécurité, des informations concernant des irrégularités ou des pratiques contraires à l'éthique et à la loi. Cet engagement reflète notre volonté collective de bâtir un gouvernement vertueux, fondé sur l'éthique de responsabilité et l'obligation de rendre compte.
Je vous exhorte à adopter ces principes dans votre travail quotidien, en vous rappelant que votre contribution est précieuse pour assurer l'intégrité et la transparence de notre gouvernance.
Ensemble, renforçons notre détermination à servir avec honneur et dignité, dans le respect des lois qui nous guident et pour le bien-être de tous les Sénégalais.
Notre mission, collective et individuelle, est d'œuvrer sans cesse à l'amélioration de la qualité de vie de chaque Senégalaise et de chaque Sénégalais. Notre engagement au service du pays transcende les obligations administratives. Il s'incarne dans notre vocation sincère de servir notre Patrie et dans notre foi en ses immenses potentialités.
Je suis conscient des défis qui nous attendent. Le chemin du développement, de la justice et de l'équité est semé d'embüches. Mais je suis également convaincu que notre détermination et notre unité nous permettront de franchir ces obstacles pour la réalisation de notre projet commun.
Je suis conscient des défis qui nous attendent. Le chemin du développement, de la justice et de l'équité est semé d'embûches. Mais je suis également convaincu que notre détermination et notre unité nous permettront de franchir ces obstacles pour la réalisation de notre projet commun.
En ma qualité de président de la République, je m'engage à être à vos côtés, à soutenir vos efforts et à veiller à ce que les conditions de votre engagement soient toujours les meilleures.
Ensemble, dans la solidarité, construisons le Sénégal de demain.
Faisons de notre pays une terre où chaque citoyen peut se réaliser et contribuer au bien-être collectif.
Je vous invite donc, avec ferveur et espérance, à redoubler d'efforts et à vous joindre à moi dans cette grande œuvre nationale.
Soyons les bâtisseurs infatigables d'un Sénégal prospère et rayonnant, à l'image des aspirations profondes de notre peuple.
Avec toute ma confiance et mon admiration pour votre engagement indéfectible au service de la République.
KOULIBALY DÉFIE BENZEMA EN FINALE DE LA SUPERCOUPE D'ARABIE SAOUDITE
Objectif premier trophée de la saison. En attendant d’être sacré pour une 19e fois record en championnat, Al-Hilal espère consolider sa confiance à travers la victoire.
iGFM (Dakar) Al-Ittihad défie Al-Hilal jeudi (17h30 GMT) en finale de la Supercoupe d’Arabie saoudite. Le duel Benzema-Koulibaly sera à l'honneur.
Objectif premier trophée de la saison. En attendant d’être sacré pour une 19e fois record en championnat, Al-Hilal espère consolider sa confiance à travers la victoire. Celle qui inaugurera un possible triplé cette saison, sachant que les Bleus et Blancs sont qualifiés pour les demi-finales de la Ligue des champions d’Asie. Pour les Jaunes et Noirs en revanche, il s’agit de sauver leur saison. Eux qui sont distancés en Saudi Pro League (4es à 30 points du leur adversaire du soir) en plus d’avoir été éliminés de toute compétition asiatique.
Mission parait quasi impossible pour Al-Ittihad ?
À première vue, la mission parait quasi impossible pour Al-Ittihad. En effet, la bande à Hamdallah a perdu ses cinq dernières confrontations cette saison contre le club de Bounou et compagnie. Pis, les coéquipiers de Kalidou Koulibaly restent sur une incroyable série de 35 succès consécutifs. C’est simple : ils n’ont plus connu de contre-performance depuis le résultat nul contre Damac (1-1) le 21 septembre passé.
Al-Ittihad devra livrer une partition quasi parfaite pour faire tomber l’ogre riyadien. Il pourra s’inspirer du Al-Nassr de Sadio Mané, qui a battu Al-Hilal lors de leur dernière finale, en Coupe arabe des clubs champions (1-3 le 12 août dernier), mais qui n'a pas fait le poids lundi en demi-finales (1-2).