DOUZE POINTS DE DESACCORD DONT LA MISE EN ŒUVRE DES PERMIS A POINT
Cinquante-cinq (55) points de discussions ont été débattus pendant les séminaires préparatoires des états généraux sur le transports.
Cinquante-cinq (55) points de discussions ont été débattus pendant les séminaires préparatoires des états généraux sur le transports.
Douze (12) ont fait l’objet de désaccords. Les permis à point en font partie. Comme motifs de refus, certains acteurs ont estimé qu’ils n’ont pas assez d’informations sur les modalités de son application, d’autres ont trouvé qu’il faut d’abord renouveler le parc automobile et lutter contre la corruption avant sa mise en œuvre.
Certains transports ont exprimé leurs inquiétudes sur l’application de la mesure compte tenu des réalités socio-économiques du pays.
L’organisation des autoécoles n’a pas aussi fait l’objet d’un consensus. Les propriétaires des auto-écoles souhaitent une défiscalisation de leur activités en estimant qu’ils ne sont pas des commerçants, mais plutôt, des enseignants.
La règlementation de la charge à l’essieu a aussi fait l’objet de discorde. Les acteurs ont reconnu la nécessité de contrôler le poids, la charge à l’essieu et le gabarit, mais exigent entre autres, un accompagnement des acteurs dans le renouvellement du parc.
Sur le plan ferroviaire, la pomme de discorde est le regroupement des sociétés de patrimoines à une seule structure.
Dans le domaine de l’aviation, les acteurs sont divisés par l’harmonisation des grilles salariales voulue par des travailleurs de l’Aéroport Blaise Diagne de Diagne de Diass (AIBD).