CONFIDENTIEL DE 'BES BI LE JOUR' DE CE VENDREDI
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1 mois après sa libération Nitdoff de nouveau en prison
Nitdoff a été placé sous mandat de dépôt, hier, selon la Rfm. L’activiste et proche de Sonko avait été arrêté par la Section de recherches de Colobane à la suite d’une autosaisine du parquet. Poursuivi pour outrage au chef de l’État, outrage envers les autorités et les dépositaires de la force publique, appel à l’insurrection et actes et manœuvres à compromettre la sécurité publique et ayant entraîné des troubles politiques graves, il avait été placé sous contrôle judiciaire depuis le 16 octobre dernier. Mais ce jeudi, les choses se sont emballés pour lui, puisqu’il a été inculpé, puis placé sous mandat de dépôt. Un séjour qui risque d’être long.
Prison de Rebeuss Seydi Gassama demande la libération de Aliou Sané
Dans un post sur X, Seydi Gassama réclame la libération du coordonnateur de Y’en a marre. «J’ai rendu visite, hier, à Aliou Sané détenu arbitrairement à la prison de Rebeuss par le régime du Président Macky Sall, depuis le 5 octobre 2023. Il est en bonne santé et son moral est bon malgré l’arbitraire dont il est victime. Nous demandons sa libération immédiate et sans condition», a lancé le droitde-l’hommiste, patron de Amnesty Sénégal. Le vicecoordonnateur du F24 a été arrêté devant son domicile et conduit à la prison de Rebeuss, alors qu’il avait bénéficié d’une liberté provisoire.
Passation de service avec Thérèse Faye Néne Fatoumata Tall prend les commandes de Fongip
Néné Fatoumata Tall a été officiellement installée à la tête du Fonds de garantie des investissements prioritaires (Fongip). Nommée Administratrice générale de cette structure par le Président Macky Sall, le 8 octobre dernier, elle a reçu, hier, le témoin des mains de Thérèse Faye Diouf. L’ancienne ministre de la Jeunesse a ainsi pour tâche de rendre fluide le financement de l’économie à travers les micros, petites et moyennes entreprises. Mais surtout la garantie de crédits bancaires pour le développement de projets porteurs de croissance.
Bignona Une histoire de chiots vire au drame
Dans le département Bignona, les habitants du village de Mlomp n’en reviennent toujours pas. Au quartier Etamay de cette localité, c’est une histoire de chiots qui a coûté la vie à un père de famille. Des péripéties de ce drame, Bés bi a appris que le meurtre est parti d’une mésentente entre deux voisins. Irrité par la présence de canidés dans son domicile, M. Sambou interpella leur propriétaire afin que celui-ci les déplace. Mais en vain. F. Sambou continuait à faire la sourde oreille malgré les remontrances de son voisin. Ce dernier, las de se répéter, décide enfin d’effectuer la tâche en tentant de se débarrasser de la portée de chiots. Non content de ce geste, F. Sambou rattrapa en cours de route son voisin qu’il roua de coups avant de le poignarder à mort.
Mouvement d’humeur Les agents de l’Administration dans la rue ce samedi
Le Collectif interministériel des agents de l’Administration qui continue de dérouler son plan d’actions a décidé de passer à la vitesse supérieure. Oumar Dramé et ses collègues annoncent une marche nationale le samedi 25 novembre. Ils réclament, entre autres, la généralisation de l’indemnité de logement, le paiement intégral de la prime de prudence des chauffeurs de l’Etat, la reconnaissance et le reclassement des diplômes, le statut des contractuels et des décisionnaires de l’Administration, et dénoncent les dures conditions de transport et de restauration dans les sphères ministérielles de Diamniadio.
Budget du ministère des Collectivités territoriales Le cri du cœur des adjoints aux maires
Le vote du budget du ministère des Collectivités territoriales est prévu ce vendredi. À cet effet, le collectif des adjoints aux maires a invité les députés, du pouvoir comme de l’opposition, à profiter de l’occasion pour plaider la prise en charge de leurs doléances consignées dans un mémorandum. En premier, il s’agit, selon les agents des municipalités, de la question de la revalorisation du statut de l’élu local. «La revalorisation de l’indemnité mensuelle qui est actuellement de 50 000 FCFA, l’allocation des indemnités de session aux conseillers municipaux, la prise en charge médicale de l’élu local dans le budget de sa collectivité, l’allocation d’une indemnité de retraite pour les adjoints ayant deux mandats successifs, la prise en charge des indemnités des adjoints dans les fonds de dotation», ont-il réclamé dans un communiqué rendu public, hier