LA VERITE DOIT PREVALOIR
Récemment, l'affectation du général Souleymane Kandé, chef d’État-major de l’Armée de Terre et commandant des forces spéciales, à New Delhi a suscité un tollé orchestré par une partie de la presse.
En tant qu'honnête citoyen épris de justice et de respect de la bonne gouvernance, je me vois dans l'obligation de m'exprimer face à la tentative manifeste de manipulation de l'opinion publique par certains journalistes et patrons de presse. Ces derniers, en perte de crédibilité, semblent déterminés à détourner l'attention des Sénégalais de leurs propres turpitudes en utilisant des stratégies de désinformation grossières.
Récemment, l'affectation du général Souleymane Kandé, chef d’État-major de l’Armée de Terre et commandant des forces spéciales, à New Delhi a suscité un tollé orchestré par une partie de la presse. Cette décision, conforme à la constitution qui stipule que le Président de la République nomme aux emplois civils et militaires, a été délibérément déformée pour semer la confusion et discréditer le gouvernement en place. Il est essentiel de rappeler que cette affectation relève des prérogatives constitutionnelles du Président, et toute tentative de la présenter autrement relève de la manipulation pure et simple.
La campagne de dénigrement dirigée contre le Premier Ministre Ousmane Sonko par cette même presse est tout aussi préoccupante. M. Sonko, connu pour son intégrité et son dévouement à la cause publique, est perçu comme une "pilule amère" par ceux qui préfèrent le statu quo et la corruption endémique. Ces attaques systématiques contre sa personne ne sont rien d’autre que des tentatives désespérées de détourner l’attention des véritables enjeux auxquels notre pays est confronté.
Il est important de comprendre que cette presse, qui aujourd'hui crie à l'injustice, a largement profité du régime de Macky Sall. Pendant des années, ces mêmes journalistes et patrons de presse ont bénéficié de faveurs et de protections, alors que le président Sall s'employait à couvrir leurs méfaits, leurs tromperies et leurs manipulations. Aujourd'hui, se voyant dépouillés de ces avantages indus, ils tentent de se poser en victimes pour masquer leurs propres forfaits.
Par ailleurs, certains de ces grands voleurs, délinquants fiscaux notoires, cherchent à détourner l’attention de leurs malversations financières. En jouant les "kamikazes", ils espèrent que la justice s’intéresse à des détails insignifiants, occultant ainsi les véritables motifs pour lesquels ils doivent être condamnés. Cette stratégie visant à se faire arrêter pour des peccadilles afin d’échapper à des sanctions bien plus sévères est non seulement malhonnête mais aussi irresponsable.
En tant que citoyen engagé, je refuse de voir mon pays déstabilisé par des individus qui cherchent à protéger leurs intérêts égoïstes au détriment du bien commun. Nous devons rester vigilants et ne pas nous laisser berner par ces manœuvres. La justice doit suivre son cours et aucun acte de délinquance, qu'il soit fiscal ou autre, ne doit rester impuni.
Il est également crucial de rappeler que la presse a un rôle fondamental dans la démocratie : celui d’informer de manière objective et de rendre compte de la vérité. Lorsqu’elle s’éloigne de cette mission sacrée pour servir des intérêts particuliers, elle trahit non seulement sa vocation mais aussi la confiance des citoyens.
Je remercie mes concitoyens pour leur discernement et leur soutien dans cette période de transition. Nous devons continuer à bâtir un Sénégal fondé sur la transparence, la justice et la bonne gouvernance. Ensemble, nous pouvons surmonter ces tentatives de déstabilisation et assurer un avenir meilleur pour notre nation.