Ablaye Ndiaye s’impose à Dioffior…
Lun di dernier à Dioffior, il y a eu un grand gala de lutte simple qui a vu la présence de 34 lutteurs dont de grands noms comme Ablaye Ndi aye, Momar, Ngor, Ibou Nd iaye. Mais en finale, ce dernier (240.000) a perdu face à Ablaye Ndiaye (400.000), qui s’était imposé la veille à Adrien Senghor. Côté animation, Mbayang Loum et I bou Sène ont cassé la baraque.
…Où les amateurs mettent 700.000 les 1er et 2 mai
Après une première bien réussie la saison dernière, les amateurs de lutte simple, dont Doudou Faye est le président, remettent ça à Dioffior, les 1er et 2 mai 2015. Pour cette deuxième édition du Drapeau du maire Youssou Diom, il y aura une enveloppe totale de 700.000 FCFA (200.000 le vendredi et 500.000 le samedi pour les lourds).
Djily Mbaye veut rebondir
«On m’avait contacté pour croiser Gambien mais le cachet qu’on m’avait proposé était déris oir e. Cependant, je ne désespère pas de trouver un combat pour montrer que je me suis refait une santé», confie Djily Mbaye de Fass , rencontré lundi dernier vers 22 heures à l’Olympique Club.
DCE : Kaffrine sélectionne le 2 mai
Pour constituer l’équipe qui la représentera au tournoi doté du Drapeau du chef de l’État, à Fatick, du 21 au 23 mai, la région de Kaffrine effectue sa sélection le samedi 2 mai. Tous les lutteurs qui voudront porter les couleurs de cette belle région y sont invités.
Alou Badou prêt contre Balla Diouf
Son dernier combat remonte au 3 mai 2013 où il avait courbé l’échine devant Ciré Séras (Diamaguène icap Mbao). Le pensionnaire de Ndakaru se dit prêt à reprendre sa place dans l’arène en défiant quiconque osera lui faire face. Entre autres potentiels adversaires, Alou Badou nomme Issa Pouye, Balla Diouf…
Usine Doolé se désaltère
Avant de prendre le meilleur sur Maurice Diouf dimanche dernier à Bargny, lors de la journée organisée par Baol Productions New Look, Usine Doolé a pris la peine de se désaltérer pour reprendre des forces avant les empoignades.
Bathie Séras devant le magistrat aujourd’hui
Le lutteur Bathie Séras sera présenté devant le magistrat instructeur ce matin au tribunal de Dakar. Le chef de file de l’écurie Guinaw Rail a été inculpé pour troubles à l’ordre public suite aux manifestations du 23 mars dernier.
Poignée de main chaleureuse entre Aziz et Tyson…
Le promoteur Aziz Ndiaye et son contractuel du 3 mai, Tyson, se sont chaleureusement salués samedi dernier à l’hôtel Terrou Bi. Une courtoisie qui démontre, si besoin en était encore, la bonne relation entre eux.
…Qui fait son mystique
S’il est vrai que tout a été calme et élégant à l’intérieur de la salle du gala, le mystique n’a pourtant pas été en reste. À l’arrivée de Tyson, ses poulains n’ont pas manqué de sacrifier à ce rituel. C’est la preuve que Mbeurou Askan Wi ne rigole pas.
«AVEC 200 MILLIONS, JE PEUX FAIRE UN EXCELLENT TOUR, EN 2016»
MICHEL THIOUB, DIRECTEUR DU TOUR CYCLISTE DU SENEGAL
Le 14e Tour du Sénégal de cyclisme a pris fin, dimanche dernier, avec la victoire du Maroc. Certes, son directeur Michel Thioub est satisfait du déroulement, mais il sollicite davantage de moyens pour relever le défi, en 2014. Même avec un budget de 200 millions Cfa.
Les techniciens ont déploré le manque de préparation de l’équipe nationale ?
Ce n’est pas bien, ils nous ont abandonnés. On est presque des orphelins. Comment nous, pays organisateur, nous n’arrivons pas à avoir des maillots vert, jaune et rouge, nous n’arrivons pas à avoir, des pneus, des chambres à air. Nous avons des fusils, mais nous n’avons pas des balles pour combattre. C’est inadmissible. Tous les pays qui sont là sont mieux préparés que nous. Les Congolais ont quitté directement l’Afrique du Sud pour venir au Sénégal pour nous combattre. On était là, on les regarde avec les mains vides. Je trouve ça inadmissible. Il faudrait qu’il ait beaucoup plus de considération pour notre équipe nationale. Quand on nous invite au Burkina Faso, nous n’arrivons pas à y aller. Car le Sénégal ne peut pas nous payer des billets d’avion. On est même désarçonné quand la Rdc qui nous invite à son tour et nous paye les billets d’avion. Comment on peut les combattre. Je ne vais pas les attaquer sur le terrain, je ne le ferai pas. A chaque fois qu’on est sur la ligne d’arrivée, j’ai honte de les battre.
Est-ce que vous avez averti à temps le ministère des Sports ?
Le Tour était prévu au mois de décembre. Si l’arbitrage nous a prévu cet argent sur cette enveloppe dans le cadre de la préparation du Tour du Sénégal, qu’il ait une toute petite partie pour qu’on aille en Rdc, ils le savaient ils ont décaissé cet argent. Maintenant, avec la maladie qui sévissait en Afrique de l’Ouest, il y a eu des équipes réticentes qui ne voulaient pas venir. Et le médecin m’a dit que je ne parte pas en Afrique de l’Ouest. Il m’a dit ‘tu risques d’y laisser ta peau’. Les pays qui devaient participer m’ont dit qu’ils ne peuvent pas venir parce qu’y a Ebola en Afrique de l’Ouest et un cas au Sénégal. On a averti que le Tour serait reporté du 21 au 26 avril.
Je suis sûr qu’il y a des fédérations, quand elles partent, même si rien n’est budgétisé, on s’arrange toujours à les donner quelque chose. Le Cneps appartient au ministre des Sports, ils auraient pu nous amener là-bas pour nous regrouper. Avant c’est moi qui achetait les maillots du Sénégal. Pour me faire rembourser, c’était tout un problème. Maintenant que je n’ai plus d’argent, je n’ai pas pu les acheter. Il fut un temps où les coureurs Sénégalais étaient les mieux habillés. Au Burkina, on disait que les Sénégalais sont très élégants. On fait partie de la dernière roue de la charrette. Il a fallu gonfler les coureurs à bloc jusqu’à ce qu’ils gagnent une étape. Ils ont obtenu cette victoire à l’arrachée. Qui peut bomber la poitrine en disant qu’il a aidé cette équipe du Sénégal. Ni moi ni personne d’autre. C’est ça que je déplore et à partir d’aujourd’hui ils vont être plus regardants.
Est-ce que vous allez être pris en compte par les autorités avec ces résultats ?
Je suis sûr que l’arbitrage ne va pas nous favoriser. Pour le cyclisme, on est mort, on ne va pas au Jo, ni aux Jeux africains, aux Championnats du monde. Nous avons des circuits, on ne peut nous juger sur les Jo, on nous juge sur les Africa Tours. Les courses Africa Tour nous permettent de glaner des points pour aller aux championnats du monde tels que les Burkinabés l’ont eu. Les Marocains l’ont eu parce qu’ils sont dans le circuit Africa Tour. Il y a le Tour du Rwanda, du Maroc, du Faso. Le Sénégal y était avant qu’on s’arrête, c’était le circuit Africa Tour.
Etes-vous satisfaits de la relance du Tour du Sénégal ?
C’est ma première satisfaction, c’est une victoire pour tout le Sénégal. Autour de nous, les gens disaient que le Tour du Sénégal est mort, notamment les pays limitrophes. C’est ce qui m’a donné du courage. Il me fallait récupérer deux ans après ma maladie. Il me fallait ça pour récupérer parce que je me suis couché cinq ans. Après 6 ans, je réapprends à marcher. Psychologiquement, quand je marche j’ai peur. Je me dis est-ce que je ne vais pas tomber. C’est comme s’il y a des trous devant moi. Psychologiquement, je ne suis pas encore retapé. Si j’ai fait le Tour, c’est pour le Sénégal. Parce que les gens nous classaient derniers. On n’avait plus une valeur marchande. Les gens ne sont pas plus compétents que nous, pourquoi ils nous traitent des derniers de la classe. Cela m’a donné du courage pour revenir. J’espère que le Tour va continuer. Le Sénégal a repris le tour, nous avons frayé un chemin sur l’échiquier africain.
Les perspectives après le Tour, malgré une absence de cinq ans ?
Je n’attendrais même pas un an pour qu’on s’inscrive sur l’Uci. Il faut que les autres pays nous respectent. C’est cela que je demande, c’est mon souci. Propulser le Sénégal à un certain niveau. Le Tour du Sénégal appartient à tout le monde. Quand je serai mort, les gens vont m’oublier. De grâce, que les gens aient un peu de patriotisme pour nous aider pour que le Tour puisse survivre. Le Paris-Dakar est mort parce qu’il ne nous appartient pas.
Quelles sont les démarches pour l’homologation du Tour à l’Uci ?
C’est des circuits Africa Tour et les primes sont lourdes. Les trois commissaires doivent avoir un véhicule de toit ouvrant. Nous n’avons pas de toit ouvrant, il faut investir sur ces véhicules. Il n’y a pas beaucoup de toits ouvrants au Sénégal. C’est une condition sine qua non, les cameramen et les photographes à moto. Avec 200 millions, je peux faire un excellent tour, en 2016. Je ne demande pas les 500 millions du Faso, ni le milliard du Gabon et du Rwanda. Quand on galère avec un tout petit budget, on est très économe. Le Gabon amène des professionnels, des coureurs Italiens parce qu’ils mettent 80 millions de primes. Ils mettent de l’argent et avec l’argent, vous avez les meilleures équipes. Il faut de l’argent pour organiser un bon tour et il y a de l’argent au Sénégal. C’est des problèmes de volonté politique.
Ce manque de volonté politique est-il dû au refus des autorités de soutenir le Tour ?
Les autorités étaient sceptiques de la faisabilité du Tour, beaucoup de gens n’y croyaient pas. Je ne vis que de défis. Je suis fier d’avoir tenu le Tour. J’ai été coureur, on m’a tellement battu j’ai tellement gagné. Donc je ne suis pas frileux d’une défaite. Combien de fois j’ai souffert dans ma vie. Je n’ai jamais pu gagner un championnat du Sénégal parce que c’est une course sur loterie. Tant que j’ai du souffle, je me battrai toujours pour que le Tour ait lieu. On sait que le Tour 2016 aura lieu. On ne peut pas faire un Tour à 15 jours ou à un mois de l’évènement. Le Tour veut passer à la vitesse supérieure. Tout ce que j’ai réussi, c’est grâce à Dieu. Je ne crois pas à la justice des hommes, je ne crois qu’à la volonté divine.
Ama Baldé et ses fruits
Le chef de file de l’écurie Falaye Baldé prend très au sérieux ce tournoi TNT. Présent à Saint Louis pour la traditionnelle signature de contrat, le prochain adversaire de Tapha Tine n’a pas lésiné sur le volet mystique. Ainsi, Ama Baldé a inondé le podium de fruits.
Baye Ndiaye en guichet automatique
L’argent a coulé à flots samedi à l’hôtel Terrou Bi. Si certains ont offert de l’argent aux différents musiciens qui se sont succédé sur la scène, celui qui aura marqué les esprits c’est Baye Ndiaye. En effet, le frère du promoteur Aziz Ndiaye, comme un guichet automatique, a plusieurs fois mis la main à la poche pour offrir des billets de banque à Waly Seck. Qui disait que rewmi dafa Mack ?
Bour Saloum défie Baye Mandiaye
Sunu Lamb, qui a fait une descente inopinée à la salle de musculati on Excaf (RDV), a trouvé sur place Bour Saloum. Le pensionnaire de Boul Faalé qui a raté le coche devant Bébé Saloum 2, en marge de Mandione / Bruce Lee, se dit «prêt à croiser Baye Mandiaye, Wouliwouliwat, Nokia et Khéweul de Baol.»
Lamine Golo et son combat en Gambie
Lamine Golo a été contacté par le promoteur gambien, Lamine Thiam, le 19 avril dernier, pour affronter un autre jeune lutteur gambien. On nous apprend que ce combat n’a finalement pas eu lieu. Lamine Golo veut un autre combat pour renouer son nguimb.
Mbaye Fall salue le professionnalisme de Tyson
On a surpris Mbaye Fall hier lundi en train de réaliser une interview avec Tyson. Le manager général de l’émission OEil du Tigre salue le professionnalisme de Mike : «Je tiens à dire que Tyson est un vrai professionnel. Il pouvait refuser que je l’interroge en me traitant de membre de Fass. Il a été très professionnel et a dit que même si Tapha Guèye était là, il allait l’interviewer sans problème.»
Ablaye Ndiaye et An 2000, seuls ténors à Adrien Senghor
Lors de la 27ème journée de lutte sans frappe à Adrien Senghor, dimanche dernier, les ténors de l’arène ont brillé par leur absence. Il n’y avait qu’Amadou Abdoulaye Ndiaye et Fallou Ndiaye connu sous le nom d’An 2000. Des absences qui se sont fait sentir dans l’ambiance.
Dakar et le Drapeau du chef de l’État
En vue du Drapeau du chef de l’État, la région de Dakar sélectionne son équipe. Le jeudi 7 mai, tous ceux qui voulent représenter la région de Dakar peuvent se rendre à l’arène Adrien Senghor. Ce sera à partir de 15 heures et l’entrée est gratuite. Ceux qui voudront soutenir leurs lutteurs n’ont pas de souci à se faire.
Gris 2, l’ange gardien de Gris Bordeaux
Gris Bordeaux a un garde du corps spécial. Il s’agit de son frère Gris 2, qui l’a suivi partout lors du face-à-face de samedi dernier à l’hôtel Terrou Bi. Dès que Gris se lève pour danser, il le rejoint sur la piste, le suivant comme son ombre.
Mbaye Tyson, le bras droit de Mike
Il y a plusieurs lutteurs à Boul Faalé mais Mbaye Tyson est devenu l’un des hommes de confiance de Mohamed Ndao Tyson. La preuve, il était assis à côté de son maître lors du diner de gala organisé samedi dernier.
L’ETAT S’ALIGNE SUR LE MOUVEMENT ASSOCIATIF SENEGALAIS
CREATION DE LA FONDATION POUR LE DEVELOPPEMENT DU SPORT
Le projet de création d’une Fondation pour le développement du sport sénégalais est validé par l’Etat, qui a abandonné son Fonds pour s’aligner sur le mouvement associatif.
C’est la fin de la tergiversation. Pendant des années, l’Etat et le mouvement associatif ont adopté des positions divergentes sur la forme juridique de l’organe en charge du financement du sport sénégalais. Le ministre des Sports a opté pour un Fonds de développement du sport à la place de la Fondation proposée par le Comité national olympique et sportif sénégalais (Cnoss). Mais depuis samedi dernier, les difficultés semblent être aplanies. Car, le ministre des Sports, Matar Ba, qui participait à la cérémonie d’ouverture du Comité directeur du Cnoss, à l’hôtel Terrou-bi, a révélé que «le président de la République, lors du Conseil des ministres délocalisé de Kaffrine, a annoncé la création de la Fondation pour le développement du sport sénégalais».
«Je pense qu’on vous rejoint dans votre belle idée de créer une Fondation pour pouvoir accompagner l’Etat pour mieux gérer le sport. Il est donc nécessaire et utile que le partenariat gagnant qui lie l’Etat au Cnoss puisse se consolider et s’élargir. C’est dans ce cadre que s’inscrit l’action de mon département», s’aligne la tutelle.
Ventant le mérite de cette structure qui tient à cœur le président Diagna Ndiaye, le ministre soutient que «cette fondation va accompagner l’Etat dans la prise en charge des problèmes du sport, et ça permettra aussi aux grandes entreprises du Sénégal et de très grands responsables d’être ensemble et de réfléchir pour venir accompagner le département». «Ce n’est pas une nouvelle doléance. C’est une proposition du Cnoss, il y a de cela quelques années. Et aujourd’hui, je pense que nous allons vers cette création d’une grande Fondation qui permettra de régler beaucoup de problèmes», précise Matar Ba.
Pour sa part, le président du Cnoss a argumenté sur la préférence de la Fondation au Fonds : «Au Cnoss, on est attaché à l’esprit de la Fondation. Si vous sollicitez des donateurs, ils ne paient pas de taxes. Alors que pour le Fonds, il y a une autre philosophie. Les fonds sont fiscalisés».
Sponsorisation des sports
En attendant l’effectivité de la création de la Fondation pour le développement du sport, le Cnoss multiplie des actions pour appuyer les fédérations. Ainsi, son président annonce «la sponsorisation des sports professionnels». «Nous allons essayer de voir, pour chaque fédération, comment avoir un sponsor attitré. Tout dernièrement, Canal+ a sponsorisé le canoë-kayak. Le tennis, comme cela se fait en France par Paribas, est soutenu par la Bicis. Ce sont des choses qui sont en cours d’exécution», explique M. Ndiaye.
En tout cas, le ministère compte sur le mouvement associatif, pour «la synergie des efforts et des volontés, examiner et diagnostiquer, à tout moment, la situation du sport sénégalais et de lui apporter des réponses conséquentes et appropriées».
Dans le souci de dissiper les malentendus, Matar Ba estime «essentiel que certaines contradictions comme les primes et les autres récompenses dues aux athlètes puissent être gérées avec beaucoup plus de responsabilité afin d’éviter notre syndrome de Maputo».
«Ces mesures exigent une concertation continue et sans limite entre le département et le mouvement associatif (…) Nous avons une obligation d’être ensemble et d’éliminer certaines limites, qui n’ont pas de sens», lance M. Ba.
LE CNOSS VA DÉCAISSER ENTRE 75 ET 100 MILLIONS CFA
En réunion de Comité exécutif samedi, le Comité national olympique et sportif sénégalais (Cnoss) a fait le bilan de l’exercice 2014. Satisfaite du travail réalisé au cours l’année précédente, l’équipe du président Diagna Ndiaye promet une enveloppe de 75 à 100 millions de francs Cfa pour la préparation aux prochains jeux africains prévus en septembre à Brazzaville.
Le Comité national olympique et sportif sénégalais entend mettre «entre 75 et 100 millions de francs Cfa» pour soutenir les athlètes sénégalais qualifiés aux prochains Jeux africains prévus en septembre prochain à Brazzaville. L’annonce a été faite samedi par le secrétaire général du Cnoss, Seydina Diagne, à l’issue de la réunion du Comité exécutif faisant le bilan de l’exercice 2014.
«Nous allons rencontrer le gouvernement pour voir dans quelle mesure venir en aide aux athlètes durant la phase de préparation. Un plan programme a été établi et il tourne autour d’une somme comprise entre 75 et 100 millions de francs Cfa. Le Comité olympique va prendre en charge cela pour les soutenir. En attendant l’appui de l’Etat et autres», informe Seydina Diagne. Faisant le bilan de l’exercice 2014, le secrétaire général de souligner qu’il a porté sur trois grands axes : «Les événements phare, les relations entre les partenaires et les perspectives.»
Sur ce, le Cnoss entend, pour le présent exercice, renforcer les liens de solidarité avec les différentes fédérations pour un meilleur accompagnement. Mais également pour continuer le dialogue fructueux et permanent avec le ministère des Sports. Dans la même lancée, les membres ont décidé d’apporter un suivi pour les 9 athlètes bénéficiant d’une bourse olympique.
«Ce sont des athlètes à qui on donne deux millions chaque trois à quatre mois. Nous l’avons commencé depuis septembre 2014. Et cela n’a rien à voir avec la prise en charge en termes de billets d’avion et d’hébergement d’hôtel. Nous avons décidé de poursuivre cet accompagnement», informe Seydina Diagne.
Avec 32 athlètes lors des Jeux Olympiques de Londres 2012, le Cnoss se fixe comme objectif, la qualification d’une cinquantaine lors des prochains Jo de 2016 à Rio au Brésil. «Nous pensons que cela devrait pouvoir se faire. Surtout avec l’organisation du prochain championnat d’Afrique U23 qui sera organisé en décembre au Sénégal et qualificatif aux Jo de 2016. Avec ce qu’on a vu avec les U20 lors de la dernière compétition qu’on a organisée, il y a de la place pour atteindre cet objectif», a-t-il dit.
Retard des travaux du siège
Au-delà, les membres du Cnoss affichent beaucoup d’espoir sur les deux sélections masculines et féminines de basket du Sénégal lors des prochains championnats d’Afrique. Deux compétitions qualificatives aux prochains Jo 2016. Si les Dames sont déjà qualifiées, les Hommes espèrent une invitation de la Fiba-Afrique lors au début du mois prochain.
Au cours de ce présent exercice, le Cnoss entend rendre pérennes ses actions sur la formation accordée aux techniciens et autres cadres des instances fédérales, un peu partout dans le monde.
Par ailleurs, le président du Cnoss a fait part du retards noté dans le démarrage des travaux du nouveau siège du comité situé au Cap Manuel, derrière l’ancien Palais de Justice. Un retard qui s’explique, selon Diagna Ndiaye, par «l’état du terrain sur lequel se trouve le siège qui bouge assez. Donc, il y a de petits problèmes techniques qui nous empêchent de démarrer».
Le Cnoss pour une fondation du sport
Venu présider la réunion, le ministre des Sports a rappelé la volonté du président de la République de mettre en place (enfin) la Fondation pour venir en appui à la famille sportive. Une vieille doléance du mouvement sportif.
Même si certains préconisent la mise en place d’un Fonds pour le développement du sport. Interpellé sur la question, Diagna Ndiaye d’opter pour la fondation : «C’est plus facile de mettre sur pied une fondation qu’un fonds. S’il s’agit d’un fonds, si le privé ou le sponsor doit mettre son argent, c’est fiscalisé. Vous allez payer des impôts là-dessus. Les donateurs ne paient pas d’impôts. Donc, fondation ou fonds, notre faveur, c’est la fondation.»
En attendant la rencontre avec le chef de l’Etat lors d’un Conseil présidentiel sur le financement du sport annoncé pour bientôt, les membres du Cnoss ont accueilli à sa juste mesure, la promesse de Macky Sall.
Un sponsor pour chaque fédération
Prenant l’exemple de la Fédération de Tennis sponsorisée par la banque Bnp Paribas, le président du Cnoss annonce une réunion réflexion portant sur le sponsoring pour chaque instance fédérale.
«On essaie de voir pour chaque fédération, le sponsor attitré. On a ouvert le débat, mais c’est une quête de longue haleine. Nous allons poursuivre la réflexion», informe Diagna Ndiaye.
Ama Baldé conquiert Saint-Louis
Ama Baldé commence à conquérir tout le public sénégalais. On en a eu la preuve samedi dernier, à Saint-Louis. À chaque fois que le fils de Falaye Baldé danse ou bouge, toute la ville crie de joie et d’émotion. Comme quoi, le fils de Falaye a du monde derrière.
Zoss découvre Ndar et l’apprécie
Zoss a déclaré samedi dernier, au cours de leur face-à-face dé localisé à Saint-Loui s, que c’était la première fois qu’il se rendait à Nda r. Mais selon toute vraisemblance, le frangin de Garga Mbossé a bien aimé la ville de Mame Coumba Lamb.
La Place Abdoulaye Wade, grande attraction des Ndar Ndar
Le premier face- à-face des combats de la deuxième journée du Tournoi de la TNT a été organ isé à la Place Abdoulaye Wade de Saint-Louis, samedi. Un espace p ublic qui s’est révélé trop petit pour accueillir tout le beau monde qui s’était déplacé.
Malick Thiandoum en larmes
Le présentateur de l’émission Grand Combat était ému après le discours d’apaisement de Golbert Diagne. Et pour magnifier les propos du comédien, Malick Thiandoum a versé de chaudes larmes sur les épaules du père de Malal Junior. Sacré Thian !
Zoss glisse sur le podium
Le Show Man a échappé à une seconde chute dans ce tournoi. En effet, debout sur le podium pour sa prestation de tousse, Zoss a glissé mais est parvenu à se redresser sans toucher le sol.
La bourde de Golbert Diagne
Le comédien a été trompé par le présentateur de la Sen Tv, Malick Thiandoum. En effet, Golbert Diagne avait cru que c’était la Sen Tv qui avait organisé le tournoi TNT. «Je remercie Bougane Guèye Dany d’avoir organisé ce face to face à Saint Louis», a-t-il dit devant le micro. No comment.
Panne de carburant
L’un des bus qui transportait les journalistes à Saint-Louis pour la couverture de la signature de contrat du gala du 10 mai est tombé en panne, à l’entrée de la ville du Nord, pour manque de carburant. Un pompiste a sauvé les journalistes en ravitaillant le bus.
Tyson et Gris au même moment
Les adversaires du 3 mai sont entrés dans la salle à 21h30. Gris Bordeaux et Tyson étaient assis sur la même table. Avec le promoteur, le parrain Pape Mael Diop, Gaston Mbengue, Ibrahima Ndao, le directeur de cabinet du ministre des Sports, Abass Ndoye, le président de Fass, Mbaye Tyson de Boul Faalé.
Les lutteurs des préliminaires privés de micro
Le 3 mai prochain au stade Demba Diop, Aziz Ndiaye prévoit une journée de dix combats. Lors de ce dernier face-à-face entre Gris Bordeaux et Tyson, les lutteurs engagés dans les préliminaires n’ont pas eu droit à la parole, par souci de timi ng. Ils ont peut-être oublié que Tyson et Gris sont passés par là.
EQUIPE NATIONALE - MATCH AMICAL : Angola ou Burkina, on saura aujourd’hui
C’est ce lundi que la Fédération sénégalaise de football va se pencher sur le match amical que les «Lions» devraient livrer le 3 juin prochain. Selon un membre de la Fédération contacté hier, «le sélectionneur national Aliou Cissé est revenu samedi d’une tournée en Europe. On va se voir aujourd’hui pour se pencher sur l’adversaire du match amical qu’on devrait livrer».
BASKET – INSTALLATION DE LA FEDERATION : Les clubs de l’intérieur craignent un diktat de Dakar
Les Comités régionaux de normalisation du basket (Crnb) de Thiès, Saint-Louis, Louga, Diourbel, Dakar ainsi que des clubs étaient en conclave hier au Cneps de Thiès. Cette rencontre nous informe-t-on était l’occasion donnée pour les responsables des instances régionales d’exception de se prononcer sur l’avenir des prochaines ligues. Dans les textes qui seront prochainement soumis à l’appréciation des clubs, les présidents de Ligue ne sont plus membres de droit du comité directeur de la Fédération.
JUDO : CHAMPIONNAT D’AFRIQUE : L’or fuit encore le Sénégal
Les 36es championnats d'Afrique de judo bouclés dimanche à Libreville n’ont pas souri au Sénégal qui rentre sans la moindre médaille d’or. Une diète en vigueur depuis 2011 avec Hortance Diédhiou (-57 kg). La combattante s’est à nouveau contentée de la médaille de bronze à l’image de ses coéquipiers Monica Sagna ( +78 kg et open) et Baboucar Mané (open). A ses quatre métaux bronzés en individuels s’ajoutent les deux autres acquis par équipe par les hommes et les dames.
Au classement le Sénégal termine 11e chez les dames sur 22 pays et 8e sur 25 chez les hommes.
Dakar, 26 avr (APS) - Aliou Cissé, le sélectionneur national, est rentré à Dakar samedi après une absence d’environ un mois, pour engager la préparation de la phase pratique des éliminatoires de la CAN 2017, a appris l’APS.
Le successeur d’Alain Giresse qui était en Europe a remporté les deux premiers matchs amicaux de son magistère contre le Ghana et le Havre sur la même marque de 2-1.
Le premier match a été joué le 28 mars et le second le 31 du même mois
Après ces deux premiers matchs, le sélectionneur national nommé en mars a continué son séjour en France où il a suivi une formation sur le coaching mental à Clairefontaine, le centre technique de la Fédération française de football selon des médias sénégalais.
Le jeune technicien a ensuite rejoint l’Angleterre où vit sa famille. Il y a aussi rencontré des internationaux sénégalais dont Diafra Sakho (West Ham).
Sakho n’avait pas été appelé pour les deux premiers matchs amicaux des Lions en raison d’un différend avec la Fédération sénégalaise de football à la suite de la gestion de sa blessure pendant la CAN 2015.
Avec le retour du sélectionneur national, on en saura davantage sur l’agenda de l’équipe nationale du Sénégal qui démarre les éliminatoires de la CAN 2017 contre le Burundi, le 11, le 12 ou le 13 juin prochain.
Avant cette échéance, les Lions ont la possibilité de jouer deux matchs amicaux de préparation en fin mai ou début juin contre le Burkina Faso ou l’Angola.
Si la Fédération burkinabé de football préfère la tenue du match en France, côté angolais, rien n’a été décidé quant au lieu du déroulement de la rencontre.
Le Sénégal a été versé dans le groupe K des éliminatoires. En plus du Burundi, les deux autres adversaires sont le Niger et la Namibie.
FÉDÉRATION SÉNÉGALAISE DE BASKET - QUEL PRÉSIDENT ?
Le choix se fera au mois de juin, pour élire le prochain président de la Fédération sénégalaise de basket. Aucune candidature n’est encore affichée, mais les manœuvres de couloir ont démarré. De même que les noms des candidats possibles commencent à circuler. Notamment ceux de Serigne Mbaye, Me Babacar Ndiaye, Mathieu Faye ou Baba Tandian. Waa Sports les passe en revue, à travers ce qui les particularise et pourrait jouer en leur faveur.
Baba Tandian, un retour possible
Son retour à la Fédération sénégalaise de basket fait grand débat dans le milieu. Si d’aucuns avancent l’idée selon laquelle rien n’empêche Baba Tandian de se présenter comme candidat, les nouveaux textes rédigés par le Cnbs semblent l’exclure. Dans ces textes, dont copie est parvenue à Waa Sports, il est indiqué : "Ne peut être reçu comme candidat aux postes de dirigeants, toute personne ayant été sanctionnée dans l’exercice de ses missions au sein du basket-ball soit par la fédération, par les autorités en charge du sport (ministère, Cnoss…) ou par les instances internationales de gestion du basket-ball."
Il se trouve, cependant, qu’aucune sanction ne pèse, pour l’instant, sur l’ancienne équipe fédérale. Ni venant de la part du ministère ni des instances internationales de basket. Reste à savoir ce qui pourrait arriver d’ici juin. D’autant plus que des sources proches des responsables du basket soutiennent que rien n’est encore définitif sur ces textes et qu’il est du ressort de l’assemblée générale extraordinaire de les adopter.
Si Tandian a l’opportunité à se présenter, il serait dans la peau du candidat sortant venu défendre son bilan. Et là, il aurait du mal à cacher les "cafards" qui ont entaché son règne. D’abord, la fraude sur l’âge de certains joueurs des sélections U18 filles et garçons victorieuses de la Coupe d’Afrique en 2012 avant d’être sanctionnées et leurs titres retirés.
Ce scandale a d’ailleurs été fatal à l’ancienne fédération dont il était la personne morale. Ensuite, l’amende des 310 millions de francs Cfa payés à la Fiba-monde, liée à cette affaire.
Toutefois, Baba Tandian ne manque pas d’atouts pour aller au "combat". Comme sa capacité à pré-financer les activités du basket. "En termes de financement de nos activités, nous n’avions aucun problème sous le règne de Baba Tandian, confie un membre de l’ancienne fédération. Il était toujours présent au moment où nous avions besoin de liquidités pour financer le championnat ou les campagnes des équipes nationales. Il a aussi été d’un grand apport à beaucoup de clubs en difficulté financière".
Sa passion pour la discipline est aussi sans bornes.
C’est aujourd’hui que se tient le lancement de la première étape de ï, un nouveau concept du sport automobile. Ce sont des moments d’échanges et de partages des différents acteurs du secteur du sport automobile au Sénégal, mais aussi une vitrine pour conscientiser les acteurs sur la problématique de la prévention routière.
C’est ce samedi 25 avril 2015 que les organisateurs du Machine Game Style procèdent à la première étape qui consiste à la présentation du concept aux différents acteurs du sport automobile. Un événement dédié à Demba Dia, un grand passionné du sport automobile décédé.
C’est une occasion pour les adeptes de l’automobile de découvrir une nouvelle facette du sport automobile qui n’est pas aussi développée au niveau du Sénégal. Ce sera aussi un moment d’échanges et de partage entre les acteurs avec l’objectif de revaloriser le monde de l’automobile au Sénégal. Comme l’a, d’ailleurs, expliqué le président du comité d’organisation lors d’un point de presse tenu en prélude de cette journée du 25 avril.
«Cette première journée d’aujourd’hui va permettre au public de découvrir déjà le concept Machine Game Style qui a l’ambition de revaloriser le monde de l’automobile au Sénégal et de faire renaitre l’amour et la passion que les amateurs avaient pour les courses», a déclaré Oumar Diop.
Qui précise que «c’est une opportunité qu’on va saisir pour sensibiliser les conducteurs et tous les acteurs du secteur de la mécanique sur la campagne de prévention routière qui préoccupe la plus haute sphère des autorités du pays».
Ce sera la première étape de la grande journée prévue dans quelques mois et dédiée au défunt artiste Demba Dia, grand passionné du sport automobile sénégalais. Bachir Sy, membre du comité d’organisation, soutient que «toute la famille du feu Demba Dia prendra part à la manifestation, elle l’a donné son accord, ainsi que sa famille mécanique qui est actuellement engagée dans des courses au plan international.
Hilaire Chabi, un de ses proches collaborateurs annonce d’ailleurs que tous les amis de Demba Dia qui évoluent dans le milieu feront le dé- placement sur Dakar pour participer à l’événement». Mamadou Aladji Ly, un des parrains de l’événement, soutient que «l’initiative est à encourager, puisque ce n’est pas seulement l’aspect sportif qu’il faut retenir mais aussi le canal qu’il peut constituer pour véhiculer des messages surtout en ce concerne la campagne de prévention routière qui préoccupe les acteurs et les autorités du pays au plus haut niveau».
Les organisateurs ont tenu à saluer l’engagement de l’artiste Ndongo D du Groupe Daara J Family qui n’a cessé de leur apporter conseils et assistance pour la réussite de l’événement ainsi que le Collège pour l’animation et la fidélisation de l’électorat marron qui a grandement contribué à la réussite de cette journée.
Toutefois les organisateurs appellent les conseillers municipaux de Dakar ainsi que les ministères de tutelles à s’impliquer d’avantage dans le concept qui se dé- finit comme un cadre d’échanges pour la jeunesse et les foyers des établissements privés et publics. Rappelons que la grande journée de course, qui devait se tenir, a été renvoyée à une date ultérieure en raison des travaux qui ont démarré au niveau du pont de la Patte D’oie.