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12 février 2025
ELECTIONS DE REPRÉSENTATIVITÉ : LA CNTS/FC TRIOMPHE À KAOLACK
La Coordination nationale des travailleurs du Sénégal-Force du changement (CNTS/FC) a remporté les élections de représentativité syndicale dans la région de Kaolack (centre), selon les résultats publiés mercredi par la Commission électorale
Kaolack, 13 déc (APS) – La Coordination nationale des travailleurs du Sénégal-Force du changement (CNTS/FC) a remporté les élections de représentativité syndicale dans la région de Kaolack (centre), selon les résultats publiés mercredi par la Commission électorale en charge de ce scrutin.
Sur 12 310 travailleurs inscrits, seuls 3 434 travailleurs ont pu voter. Quelque 09 bulletins nuls ont été relevés, soit 3 425 suffrages valablement exprimés dans cette partie du Sénégal où le vote s’est ‘’bien déroulé’’, selon les organisateurs.
Ainsi, la CNTS/FC a obtenu 1030 voix contre 984 pour l’Union nationale des syndicats autonomes du Sénégal et 684 pour la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (CNTS).
L’Union nationale des travailleurs démocratiques (UNDT) a eu 17 voix, l’Union des travailleurs libres du Sénégal (UTDS/B) 6 voix, l’Union démocratiques des travailleurs du Sénégal 8 voix, l’Union démocratique des travailleurs du Sénégal-Force du changement (UDTS/FC) 8 voix.
L’Union démocratique des travailleurs du Sénégal (UDTS) a obtenu 55 suffrages, la Fédération générale des travailleurs du Sénégal (FGTS/A) 31, la FGTS/B 269, la Confédération des syndicats autonomes (CSA) 207, la CNTS/A 99 et la Confédération des syndicats libres du Sénégal (CDSL) 21 voix.
ELECTIONS DE REPRÉSENTATIVITÉ : LA CNTS/FC TRIOMPHE À KAOLACK
La Coordination nationale des travailleurs du Sénégal-Force du changement (CNTS/FC) a remporté les élections de représentativité syndicale dans la région de Kaolack (centre), selon les résultats publiés mercredi par la Commission électorale
Kaolack, 13 déc (APS) – La Coordination nationale des travailleurs du Sénégal-Force du changement (CNTS/FC) a remporté les élections de représentativité syndicale dans la région de Kaolack (centre), selon les résultats publiés mercredi par la Commission électorale en charge de ce scrutin.
Sur 12 310 travailleurs inscrits, seuls 3 434 travailleurs ont pu voter. Quelque 09 bulletins nuls ont été relevés, soit 3 425 suffrages valablement exprimés dans cette partie du Sénégal où le vote s’est ‘’bien déroulé’’, selon les organisateurs.
Ainsi, la CNTS/FC a obtenu 1030 voix contre 984 pour l’Union nationale des syndicats autonomes du Sénégal et 684 pour la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (CNTS).
L’Union nationale des travailleurs démocratiques (UNDT) a eu 17 voix, l’Union des travailleurs libres du Sénégal (UTDS/B) 6 voix, l’Union démocratiques des travailleurs du Sénégal 8 voix, l’Union démocratique des travailleurs du Sénégal-Force du changement (UDTS/FC) 8 voix.
L’Union démocratique des travailleurs du Sénégal (UDTS) a obtenu 55 suffrages, la Fédération générale des travailleurs du Sénégal (FGTS/A) 31, la FGTS/B 269, la Confédération des syndicats autonomes (CSA) 207, la CNTS/A 99 et la Confédération des syndicats libres du Sénégal (CDSL) 21 voix.
OUSMANE RACINE THIONE FACE A SABASSY FAYE
Le président du tribunal de grande instance hors classe de Dakar, Ousmane Racine Thione, va-t-il confirmer son collègue, Sabassy Faye, président du tribunal d’Instance de Ziguinchor qui avait ordonné le 12 octobre dernier la réintégration de Ousmane Sonko
Le maire de Ziguinchor, Ousmane Sonko, sera édifié aujourd’hui (jeudi 14 décembre) sur la question de sa réintégration ou non dans les listes électorales par le président du tribunal de grande instance hors classe de Dakar, Ousmane Racine Thione, qui avait mis en délibéré sa décision après l’audience du 12 décembre dernier. Quel que soit ce verdict qui est très attendu, il pourrait sonner le prolongement de la bataille judiciaire auprès de la Cour suprême sur cette affaire qui tient en haleine tout un peuple et balafre notre democratie.
L e président du tribunal de grande instance hors classe de Dakar, Ousmane Racine Thione, va-t-il confirmer son collègue, Sabassy Faye, président du tribunal d’Instance de Ziguinchor qui avait ordonné le 12 octobre dernier la réintégration de Ousmane Sonko dans les listes électorales de Ziguinchor et le fichier électoral général ? Le principal concerné va livrer sa réponse tout à l’heure. Exactement à 9 heures. En effet, deux jours après son audience sur cette question de la réintégration de Sonko dans les listes électorales tenue le 12 décembre dernier soit deux mois après son collègue de Ziguinchor, le juge Ousmane Racine Thione du tribunal de grande instance hors classe de Dakar avait mis en délibéré sa décision sur cette affaire renvoyée à son tribunal par la Cour suprême dans son arrêt du 17 novembre cassant et annulant la décision du tribunal de Ziguinchor qui était favorable à Ousmane Sonko. C’est donc aujourd’hui qu’il va livrer son verdict sur cette affaire qui tient en haleine le Sénégal depuis plusieurs mois déjà et qui risque de balafrer davantage la démocratie sénégalaise malmenée comme jamais depuis des années.
UN VERDICT ET DES RECOURS
Alors que cette décision du président du tribunal de grande instance hors classe de Dakar n’est pas encore connue, les deux parties ou du moins le camp du maire de Ziguinchor semble déjà affûter ses armes pour poursuivre la bataille judicaire auprès de la Cour suprême. En effet, s’exprimant à la sortie de la salle d’audience le mardi 12 décembre dernier, Me Ciré Clédor Ly, coordonnateur du collectif d’avocats du leader de l’ex-parti Pastef, dissout par un décret présidentiel du 31 juillet 2022 mais qui est attaqué devant la chambre administrative de la Cour suprême, a été formel en déclarant au sujet du verdict qui sera délivré aujourd’hui. «Nous attendons de voir si le Juge de Dakar va confirmer la décision de Ziguinchor ou s’il aura un autre point de vue qui sera nécessairement encore devant les chambres réunies de la Cour suprême», a-t-il prévenu.
Autrement dit, la défense de Sonko attaquera devant la Cour suprême la décision que rendra le juge du tribunal de grande instance hors classe de Dakar si jamais celle-ci est défavorable à son client.
Du côté de l’Etat du Sénégal où les autorités en place n’avaient pas hésité à piétiner les dispositions du Code électoral en refusant d’’exécuterla décision du président du tribunal d’Instance de Ziguinchor qui avait ordonné la réintégration de Sonko dans les listes électorales de Ziguinchor et le fichier électoral général, en invoquant le recours alors que ce dernier n’était pas suspensif, on pourrait également s’attendre la même réaction en cas d’un nouveau désaveu.
SONKO, UNE CANDIDATURE DE PLUS EN PLUS INCERTAINE
Face à ce nouveau tourbillon judicaire en vue, la question que se pose bon nombre de Sénégalais est celle de savoir si le maire Ziguinchor ne risque pas la forclusion en cas de nouveaux recours auprès de la Cour suprême. En effet, depuis le lundi 11 décembre dernier, le Conseil constitutionnel a démarré la phase de dépôt des candidatures pour tous les candidats déclarés à cette élection présidentielle du 25 février prochain. Cette opération de dépôt de toutes les pièces composant le dossier de candidature dont les parrainages (44.231 électeurs au minimum et 58.975 électeurs au maximum et une caution de 30 millions de francs CFA) va se poursuivre jusqu’au 26 décembre prochain.
A cette date, le Conseil constitutionnel va procéder au tirage au sort de l’ordre de passage des candidats pour la vérification des parrainages. A la suite, débutera officiellement le travail de vérification et de contrôle des signatures et cela risque de compromettre sérieusement les chances du leader du parti Pastef dissout d’intégrer la listes des candidats déclarés pour cette 13e élection présidentielle de l’histoire politique du Sénégal. Car, seuls 12 jours nous séparent de cette date du 26 décembre prochain et en cas de nouveau pourvoi, il sera très difficile voire impossible de voir la Haute juridiction statuer et rendre sa décision définitive. En effet, entre la décision de réintégration ou non de Ousmane Sonko dans les listes électorales de Ziguinchor et le fichier électoral général prononcée par le juge Sabassy Faye le 12 octobre et l’audience de la Cour suprême le 17 novembre dernier sur le recours déposé par l’Agent judiciaire de l’Etat du Sénégal contre cette décision, il s’était passé plus d’un mois.
Aujourd’hui si les choses devraient suivre cette même logique, on sera en pleine période de vérification et de contrôle des parrainages où seuls les candidats concernés par la régularisation des signatures invalidées pour cause de doublons sont souvent autorisés à faire une collecte pour remplacerles parrainages invalidés entre le 12 et le 14 janvier prochain. Il faut dire que le maire Ziguinchor semble d’ailleurs bien comprendre cette incertitude qui plane sur sa candidature à cette élection présidentielle en désignant son numéro 2 et collègue inspecteur des impôts, Bassirou Diomaye Faye, comme plan B à sa candidature. Membre du collectif de ses avocats, Me Bamba Cissé semble lui-aussi convaincu de la volonté manifeste du régime en place de nuire à la candidature de son client à travers cette procédure en déclarant au cours de sa plaidoirie : «il est difficile aujourd’hui de parler d’Etat de droit dans la mesure où l’Etat utilise tous les mécanismes possibles pour s’acharner contre une personne». «Nous ne sommes même pas sûrs que si on remporte cette manche, Sonko sera candidat parce que la Direction générale des élections peut encore défierla magistrature comme elle l’a fait après la décision de Sabassy Faye à Ziguinchor». Pour l’heure, c’est tout le Sénégal qui est dans l’expectative sur la candidature ou non du principal leader de l’opposition.
CAN 2023, LE SÉNÉGAL À UN MOIS DE REMETTRE SON TITRE EN JEU
Le Sénégal va remettre en jeu son titre de champion d’Afrique, dans un mois, en Côte d’Ivoire où se tiendra la 34e édition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) de football (13 janvier-11 février).
Dakar, 13 déc (APS) – Le Sénégal va remettre en jeu son titre de champion d’Afrique, dans un mois, en Côte d’Ivoire où se tiendra la 34e édition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) de football (13 janvier-11 février).
Le Sénégal est logé dans la poule C de la Coupe d’Afrique des nations de football en compagnie de la Gambie, la Guinée et de le Cameroun.
Le 6 février 2022, le Sénégal soulevait son premier trophée de CAN au Cameroun depuis sa première participation à une phase finale de CAN en 1965.
Entre temps, les Lions ont perdu deux finales en 2002 contre le Cameroun et en 2019 contre l’Algérie.
Les hommes d’Aliou Cissé iront en Côte d’Ivoire pour défendre leur titre et pour sans doute prendre leur revanche sur l’histoire puis que les Ivoiriens avaient remporté leur première CAN, lors de la 18e édition organisée au Sénégal.
Cette 34e édition revêtira également un cachet particulier car le Sénégal et tous ses pays voisins immédiats sont présents: la Guinée, la Guinée-Bissau, la Gambie, la Mauritanie et le Mali.
Les autres pays qualifiés sont : Afrique du Sud, Algérie, Angola, Burkina Faso, Cameroun, Cap-Vert, RD Congo, Côte d’Ivoire (pays hôte), Égypte, Ghana, Guinée Équatoriale, Maroc, Mozambique, Namibie, Nigeria, Tanzanie, Tunisie et Zambie.
Le tirage au sort des poules de la CAN s’est tenu le 12 octobre dernier, en Côte d’Ivoire.
Le Sénégal est dans la poule C avec le Cameroun, la Gambie et la Guinée.
La première édition de la CAN qui s’est tenue au Soudan en 1957 a vu la participation de trois équipes. Elle évoluera à 24 équipes, depuis 2019.
La Côte d’Ivoire est la dix-huitième nation à abriter la compétition depuis la première édition. Elle va accueillir la Coupe d’Afrique des nations pour la deuxième fois, après 1984.
Cette édition a été remportée par le Cameroun qui décrochait le trophée continental pour la première fois.
La CAN 2023 se déroulera dans cinq villes et cinq stades du pays : Abidjan (stade Alassane Ouattara et stade Félix Houphouët-Boigny), Bouaké (stade de la Paix), Korhogo (stade Amadou Gon Coulibaly), San-Pédro (stade Laurent Pokou) et Yamoussoukro (stade Charles Konan Banny). Le stade Alassane Ouattara accueillera le match d’ouverture et la finale.
En juin 2023, la CAF et le Comité d’organisation local ont dévoilé l’identité visuelle de la CAN 2023.