Un Camerounais de la diaspora, hardi et déterminé, au pied d'un hôtel suisse, râle et dénonce le président camerounais qui passe le plus clair de son temps à l'étranger et gère à peine son pays
Paul BIYA, président du Cameroun n’oubliera pas de sitôt de cette journée mémorable, où un de ses compatriotes a hurlé presque dans ses oreilles à l’hôtel Intercontinental de Genève. Président de la République depuis des décennies, les Camerounais ont toujours reproché à leur président, peut-être timidement, de passer une bonne partie de son temps à l’étranger, notamment en Suisse.
Se la coulant douce dans des hôtels huppés, avec famille et proches, il ne semble pas se soucier du quotidien ses compatriotes. D’ailleurs des camerounais disent que le président ne connaît pas, en réalité, ses ministres. C’est ainsi que ce camerounais à utiliser la manière forte.
Prenant son courage à deux mains, il dit à la ville au monde que son président se moque éperdument du sort de ses compatriotes, en l’assimilant à Boko haram, le révolté lui attribue plusieurs crimes.
El Hadj Diouf, ce fan du lutteur Modou Xaragne Lô pas comme les autres. Voici ce qu'il pense de son lutteur à propos du prochain combat de lutte de son mbeur contre Lac de Guiers 2. Regardez !
Booba est à Dakar. Il va se produire au Monument de la renaissance ce soir. Hier il a fait face à la presse. De cette rencontre, l'on retiendra les caprices de la star du rap français et le manque de professionnalisme de son staff. Seulement 5 minutes ont été réservées à chaque organe pour faire des interviews au grand mécontentement des journalistes qui ont été invités. Pire les réponses du rappeur étaient laconiques. Cette rencontre "bidon" n'a finalement enchanté aucun média.
Booba sera en concert ce soir au Monument de la renaissance. Si l'affiche a été annoncée en grande pompe sur tous les canaux de diffusion au point d'emballer ses nombreux fans, le comportement du rappeur hier face à la presse, ne donne pas trop envie de voir sa prestation ce soir.
En effet, il a fait face à la presse sans pour autant se livrer comme le ferait tout artiste "pro". Peu bavard avec les hommes de media, il s'est contenté du minimum : écouler les 5 minutes réservées à chaque organe (Il y avait au total une douzaine). Alors qu'il a convoqué les journalistes pour sacrifier à la traditionnelle conférence de presse d'avant concert à 16h, B2o, ainsi appelé par ses fans, ne s'est pointé qu'une heure et demie après et pour une rencontre qui n'en valait vraiment pas la peine.
Car Booba a tout simplement passé son temps à répondre aux interrogations par l'ironie. "Le rap sénégalais, c'est comme le rap polonais, il n'est pas connu", sert-il pour expliquer l'absence de collaboration entre lui et les artistes locaux.
Ses genres de réponses mal formulées et irritantes, conjuguées au comportement peu courtois des membres de son staff, ont laissé plus d'un sans un mot. Les impairs de cette rencontre sont nombreux. Le Duc exilé de Boulogne confortablement assis au coin, la casquette vissée sur la tête suivait imperturbable les membres de son staff parler avec arrogance à la presse :
"Monsieur, tu sors. Monsieur tu toi tu attends ou tu d….". Ils ont même presque occasionné un accrochage avec les services de sécurité de l'hôtel qui les ont assimilés à "de la racaille". Avec ce genre de comportement et d'organisation, on comprend mieux les raisons pour lesquelles Booba est souvent la cible de ses pairs en France.
Le rappeur semble bien coutumier des scandales. On se souvient qu'avant d'en venir aux mains à Los Angeles avec le rappeur Lafouine, Booba s'était attiré les foudres du rap francais, notamment de Rohff, un comorien d'origine. Après cette embrouille, il avait quitté la France pour les Usa où il poursuit sa carrière.
Certains de ses fans disent même que c'est à cause des menaces de Rohff qu'il ne peut plus résider en France. "Il ne se déplace pas en France sans ses gardes du corps", informe-t-on. Ce rappeur au sang chaud s'était aussi fait remarquer avec Kaaris, un rappeur qu'il a lui-même lancé et avec qui il a fini par se chamailler. Kaaris continue d'ailleurs à lui lancer des piques au sujet de ses morceaux. Mais Booba fait la sourde oreille.
En complément de la prophylaxie Broxo et pour un rétablissement complet et durable de votre écosystème bucco-dentaire, il est nécessaire de se soigner à la source, c'est à dire par une alimentation saine et équilibré, vivante et non morte (à l’aide de la cuisson vapeur douce).
"L’alimentation est la première médecine". Pour en savoir plus, nous vous encourageons vivement à suivre les recommandations du professeur Henri Joyeux dans la dernière édition de son livre "Changez d’alimentation".
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DISCOURS DE CAMPAGNE
Eminem sort de son silence pour s'en prendre à Donald Trump dans une chanson
AFP - Le rappeur américain Eminem est sorti de son silence mercredi avec une chanson où il s'en prend violemment à Donald Trump, un titre de presque huit minutes dans lequel il prend aussi fait et cause pour le mouvement Black Lives Matter.
Le chanteur de Detroit, qui est le rappeur ayant vendu le plus de disques de toute l'histoire, n'a pas beaucoup fait parler de lui depuis plusieurs années, mais il avait indiqué sur sa page Facebook travailler sur un nouvel album.
Il a finalement téléchargé sur YouTube une nouvelle chanson, intitulée "Campaign Speech" ("Discours de campagne"), dans laquelle il offre sa vision de l'Amérique d'aujourd'hui dans un rap freestyle, sans beaucoup de musique pour l'accompagner. Le morceau ressemble davantage à un long monologue rythmé qu'à une chanson.
Eminem y reste fidèle à sa réputation avec un style provoquant et fleuri. Il pointe du doigt le candidat républicain à la présidentielle, Donald Trump, qui représente le vrai danger selon lui.
Le rappeur avance notamment que les Américains devraient avoir peur du magnat de l'immobilier, "candidat imprévisible" avec "le doigt sur le bouton" (nucléaire), "qui n'a réponse à rien".
L'artiste de 44 ans n'a jamais beaucoup parlé de politique dans ses interviews mais a déjà avoué être davantage de gauche.
Dans "Campaign Speech" il ne cherche pas non plus à donner de leçons de morale, au contraire, expliquant même crument les fantaisies sexuelles auxquelles il s'adonnerait s'il était élu président à la place de Trump, lui-même accusé de diverses agressions sexuelles qu'il nie.
Eminem n'est pas le premier artiste à s'en prendre à Donald Trump, et des figures comme Katy Perry ou Jennifer Lopez prévoient de faire campagne pour la candidate démocrate Hillary Clinton dans les semaines avant les élections du 8 novembre.
Eminem, l'artiste blanc le plus emblématique de la scène hip-hop, évoque aussi les violents incidents qui ont causé des tensions raciales et galvanisé le mouvement Black Lives Matter.
Il s'imagine ainsi prendre sa revanche sur George Zimmerman, vigile de quartier qui avait tué Trayvon Martin, un jeune homme noir non armé, en Floride en 2012. Il s'imagine ainsi "ramener le torse de Zimmerman sur le pas de la porte du père de Trayvon comme un cadeau pour lui".
Face à la presse ce lundi, Yakhya Diop Yékini a annoncé avoir décidé de tourner le dos à l'arène. Le Quotidien révèle la vraie raison de cette retraite anticipée de l'ancien "Roi des arènes" qui est surtout liée à un genou défectueux.
"Ce n'est pas à cause de problèmes de santé que je quitte la lutte. J'ai pensé que l'heure de ma retraite a sonné. Tout lutteur qui ferait le nombre d'années que j'ai passées dans la lutte, devrait penser à raccrocher. Ça fait longtemps que j'avais voulu prendre ma retraite. J'ai fait 24 ans de carrière, je crois que ça suffit. Je veux me consacrer à autre chose."
Voilà les propos avancés par Yakhya Diop Yékini pour expliquer les raisons de sa retraite, après 24 ans de carrière, marquée par une quinzaine d'années de règne pour seulement deux défaites et un nul. Toujours au chapitre des raisons, l'enfant de Bassoul a également écarté ses deux seuls revers de sa carrière concédés face à Balla Gaye 2 et Lac de Guiers 2.
"Ce n'est pas à cause de mes deux seules défaites dans l'arène, non plus. Il se trouve que le moment est venu d'arrêter. Si ceux qui se faisaient battre prenaient leur retraite, je vous garantis que plusieurs lutteurs seraient partis depuis longtemps."
Seulement, quelques heures après la sortie du champion, on en sait un plus sur la vraie raison qui a poussé Yakhya Diop "Yékini" à ranger son Ngimb. Des sources proches de l'entourage du champion informent que la décision n'a pas été facile à prendre et qu'il s'agit plutôt d'une affaire de santé.
"Yékini souffre sérieusement de son genou droit. Il ne peut plus tenir sur ses deux jambes depuis bien longtemps. C'est seulement par amour pour la lutte et l'envie de continuer à faire plaisir à ses supporters qu'il a continué à lutter ces dernières années", confie notre interlocuteur.
Yékini opéré du genou hier
Résultat des courses, le chef de file de l'écurie Ndakaru s'est blessé à nouveau quelques jours avant son dernier combat contre Lac 2. "Il tenait à revenir en force après sa première défaite. Malheureusement, il s'est blessé au genou quelques jours avant le combat. D'ailleurs, le bruit courait comme quoi, il était dans une clinique deux à trois jours avant le combat. C'est la vérité. Mais il voulait honorer son engagement envers le promoteur et son adversaire. Un report aurait été mal perçu par les amateurs."
Pour confirmer ses propos, la source de préciser que l'enfant de Bassoul n'a pas passé la nuit chez lui, le jour de l'annonce de sa retraite. "Les gens ne l'ont pas remarqué, mais quand il est venu à la conférence de presse, il ne tenait pas sur ses deux jambes. Il avait très mal. Après le face à face avec la presse, il est allé à l'hôpital où il a passé la nuit. D'ailleurs, il a été opéré aujourd'hui (hier)", informe notre interlocuteur précisant que l'intervention chirurgicale a eu lieu à l'hôpital Fann.
Arrêter ou finir sur une chaise roulante
Pourquoi alors Yékini n'a pas expliqué les vrais raisons de sa retraite anticipée lors de ladite conférence de presse ? Sur la question, notre interlocuteur de souligner qu'"il ne voulait nullement créer une polémique. Lorsqu'il a dit qu'il était blessé lors de son combat contre Balla Gaye 2, les gens l'avaient mal pris. Et pourtant, c'est la vérité. C'est cette même blessure qui s'est réveillée et cela a même empiré, au point qu'il devait subir cette opération. Il ne voulait pas créer une autre polémique après une seconde défaite. Mais son genou ne pouvait plus supporter certaines charges à l'entraînement".
Quid d'un éventuel retour après la phase de rééducation d'une quarantaine de jours ? Sur ce chapitre, notre interlocuteur reste catégorique. "Le médecin lui a clairement dit qu'il ne peut plus lutter, après l'opération. Parce que son genou ne pourra plus supporter certains efforts comme la préparation d'un combat de lutte. S'il ne veut pas finir sur une chaise roulante. Voilà la véritable raison qui a poussé Yékini à prendre sa retraite", précise notre source.
PAR FODÉ MANGA DE SENEPLUS
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LA GAUCHE SENSIBILISÉE
EXCLUSIF SENEPLUS - Comment valoriser le littoral sénégalais sans le laisser aux mains de spéculateurs privés? La Gauche Sénégalaise est-elle consciente des enjeux de la préservation du domaine public maritime? Ibrahima Sène au micro de Moctar Ba
La destruction continue du Littoral a des conséquences énormes sur l’état de santé des populations sénégalaises. Sans compter le fait que le domaine public national est exproprié aux populations qui en sont toutes les propriétaires. Les hommes politiques sont-ils tous conscients des enjeux de la préservation du domaine public maritime national, morcelé à tort et à travers pour le compte des privés ?
Face à Moctar BÂ, Ibrahima Sène, le chargé des questions économiques et sociales du Parti pour l’Indépendance et du Travail (PIT), dit ne pas maîtriser tous les enjeux. Mais bien armé, son parti et lui même sauront mieux défendre ce patrimoine national en les traduisant en décisions politiques.
Suiviez le dialogue Moctar BÂ - Ibrahima SÈNE, c'est en marge du 14ème numéro de l'émission TV de SenePlus, SANS DÉTOUR.