Son single fait partie des tubes les plus suivis du moment. Et pourtant, on ne lui connaissait pas un talent de chanteuse. Sonia Diop, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, vient de démarrer une carrière musicale en trombe, avec son morceau «Criminal Love», dont le clip a largement dépassé les 650 000 vues sur Youtube. Invitée de Seneweb, celle qui a joué dans la série Nafi, nous révèle les secrets de sa métamorphose.
DÉVELOPPEMENT CULTUREL
Tambacounda : des élèves réalisent un film sur la paix et la tolérance
Tambacounda, 29 déc (APS) - Environ 40 élèves de différents collèges et lycées de Tambacounda (est) ont réalisé un court métrage sur "la paix et la tolérance", en vue d’ancrer davantage ce sujet au sein de leurs communautés marquées par une diversité ethnique et culturelle.
Dans le but de contribuer au développement culturel, ces jeunes formés par "Imagination Afrika", une association à but non lucratif, ont réalisé un film sur la diversité ethnique et culturelle de leur région, dans le but d’amener leurs communautés à cultiver la tolérance pour une paix durable.
Ils abordent ainsi plusieurs thématiques dans cette œuvre, parmi lesquelles les problèmes de castes dans la société qui disent-ils constituent "un frein" à l’épanouissement des populations et au développement des terroirs.
Selon Fatimata Dieng, responsable de ce projet à "Imagination Afrika", ce film vise à sensibiliser les jeunes adolescents sur la tolérance et l’extrémisme violent, afin qu’ils deviennent des acteurs du changement escompté dans ce domaine.
"La région de Tambacounda est frontalière avec plusieurs pays. Donc, la diversité culturelle est une réalité dans la zone. Pour faire régner la paix et la tolérance, nous devons mettre les jeunes au premier plan pour un environnement assaini", a-t-elle dit lors de la projection du film au centre culturel régional.
Dans le cadre de la mise en œuvre de ce projet, des jeunes élèves ou non scolarisés ont été formés pendant deux ans en multimédia, codage et création de sites web pour véhiculer des messages portant sur la paix, le culte du travail, le courage et le leadership, a souligné Fatimata Dieng
"Imagination Afrika" a en projet de développer des programmes, des activités et surtout des expositions consacrés au développement de la culture en vue de développer "la pensée créative et critique" chez les enfants, selon Mme Dieng.
AFFAIRE KALIDOU KOULIBALY : LA LETTRE SALÉE DE BALOTELLI
De Ronaldo à Sadio Mané en passant par le maire de Milan, Koulibaly a eu de prestigieux souteneurs. Et la lettre de Mario Balotelli est un message à la connerie humaine: basta cosi.
Kalidou Koulibaly émeut le monde du football : A son corps défendant, le timide défenseur de Naples et des lions a fait la une de l’actualité hier après avoir subi des sifflets et chants racistes lors du match contre Inter de Milan. De Ronaldo à Sadio Mané en passant par le maire de Milan, Koulibaly a eu de prestigieux souteneurs. Et la lettre de Mario Balotelli est un message à la connerie humaine: basta cosi.
-"LA DIFFÉRENCE N'EXISTE PAS" ...PAR MARIO BALOTELLI-
Les Italiens ont été, historiquement, un peuple d’émigrants. L’habitude d’accepter ceux qui viennent de l’extérieur leur arrivera naturellement, avec le temps. Voilà ce que les racistes voudraient m’entendre dire. Mais non. La bonne formule est une autre: NOUS, Italiens, AVONS ETE, un peuple d’émigrants. L’habitude d’accepter ceux qui viennent de l’extérieur NOUS arrivera naturellement, avec le temps.
Les mots en majuscule ne changent pas seulement la forme, mais surtout la substance du concept à exprimer. Dans certains stades, on me criait: « Il n’y a pas de noirs italiens », mais je suis la preuve du contraire. Bien qu’italien à tous les effets, je ne le suis devenu pour la loi qu’au moment de ma dix-huitième année. Cela a parfois été difficile, et je souffrais. Je souffrais en tant que footballeur, car jusqu’à mes 18 ans je n’ai jamais pu défendre les couleurs de l’Italie dans les sélections de jeunes. Je souffrais en tant qu’être humain, car même si je suis italien à cent pour cent, né à Palerme de parents ghanéens, puis adopté par une famille italienne, tout le monde ne s’en rendait pas compte, surtout quand j’étais plus petit. La loi que nous avons en Italie est mauvaise, peut-être est-ce pour cette raison qu’aujourd’hui encore, certains voient le noir comme la couleur de la différence, du moins bien, de la tâche au milieu de la photo d’équipe.
On me criait: « Il n’y a pas de noirs italiens », mais je suis la preuve du contraireMario Balotelli
J’ai déménagé très jeune à Concesio, dans la province de Brescia, où je vivais avec mes parents adoptifs. Il m’est arrivé qu’à l’école, des enfants ne veuillent pas que je joue au ballon avec eux, ou bien qu’ils m’accusent de choses que je n’avais pas faites. J’avais déjà un caractère exubérant mais surtout, je n’avais pas le même visage qu’eux. J’étais, je suis, plus sombre. Les enfants ne pouvaient pas être racistes mais ils entendaient probablement certains discours chez eux. Là, ils s’appropriaient ce discours, sans en comprendre le sens, vu leur âge. Je pleurais, parfois je m’énervais vraiment, je le disais à maman qui m’embrassait, je le disais à papa qui répondait, en souriant: « Mario, laisse tomber. » Mais toujours laisser tomber est très difficile.
Plus grand, on m’a jeté un sac de bananes lors d’un moment de détente avec les moins de 21 ans, devant un bar de Rome. Quand je m’entraînais à Coverciano (Clairefontaine italien, Ndlr), avec les A, on m’a crié « nègre de merde » depuis l’extérieur du terrain. Les cris de singe m’ont accompagné dans plusieurs stades où j’ai joué… Une fois, sur le lac de Garde, des jeunes sont montés dans un bus en criant: « Négro tu nous dégoûtes, rentre chez toi. » En réalité, eux étaient égarés, pas moi. Égarés, et fous.
Le changement est aux mains des nouvelles générations. Il faut leur apprendre que nous sommes tous égaux, malgré les apparentes différences. Puis mes enfants, Pia et Lion, raconteront ça à mes petits enfants, et les futures générations iront mieux que nous, ça oui.
Bien sûr, si j’avais été blanc, j’aurais eu moins de problèmes. Est-ce que j’aurais fait quelques bêtises de trop? Peut-être que oui. Est-ce que j’aurais eu des comportements déplacés sur des terrains de foot? Peut-être que oui. Est-ce qu’on m’aurait tout pardonné plus vite? Sans aucun doute. L’Italie n’est pas un pays raciste, mais il y a des racistes. La France n’est pas un pays raciste, mais il y a des racistes. Dans chaque pays du monde, ceux qui ont une pensée pourrie existent. Le devoir de tout le monde est de ridiculiser cette façon de penser moyenâgeuse qui ne peut plus exister en 2018.
Récemment, des élections ont eu lieu en Italie. La Lega, un parti pas vraiment inattaquable du point de vue du racisme, a fait élire un sénateur noir, Tony Iwobi. Je me suis mis en colère parce que cela me semble être une défaite: ce monsieur a été utilisé sans s’en rendre compte. Son élection avec ce parti politique précis a permis au chef de ce groupe de dire: « Vous voyez, il existe des noirs italiens qui pensent comme nous. » La bonne façon de penser serait plutôt: il existe des noirs italiens. Point. Et celle encore plus juste: il existe des Italiens. Stop. S’il avait été élu avec n’importe quel autre parti, rien à dire, mais il ne faut pas faire passer ce sénateur pour une exception, sinon nous repartirions encore de zéro.
Je veux conclure par une anecdote que m’a racontée un journaliste italien qui suit la sélection, Alessandro Alciato. Son fils, à la crèche, était inscrit dans une classe multiethnique. Après son premier jour de classe, il essayait de décrire un camarade avec qui il avait joué mais dont il ne se souvenait plus du prénom: « Papa, c’est celui qui avait les chaussures roses, un pantalon de survêtement gris, une veste moitié blanche et moitié grise. Mais si, celui qui aime bien jouer aux Lego et qui hier, au goûter, a mangé du pain avec du Nutella. » Le fils du journaliste avait la peau blanche, son ami, noire. Il ne s’est pas rendu compte de la différence, parce qu’il ne la voyait pas. Car il n’existe pas de différence.
PATTE D'OIE : 20 MARAÎCHERS ARRÊTÉS POUR UTILISATION DE L'EAU DE FOSSES
Ils perforaient les tuyaux de l’office Nationale de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) pour arroser avec l’eau des fosses septiques leurs jardins potagers.
Le service d’hygiène, qui a effectué une descente à Patte d’Oie Builders, a arrêté plus de 20 jardiniers. Ils perforaient les tuyaux de l’office Nationale de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) pour arroser avec l’eau des fosses septiques leurs jardins potagers.
Il s’agit, selon Senego, de salades et de légumes souillés notamment des tomates et oignons….
Cette eau contient des bactéries, des virus, des parasites. Elle est très dangereuse pour la santé pouvant entraîner des maladies très graves.
Le lutteur à la retraite Yékini donne son point de vue sur le combat Modou Lô-Balla Gaye, prévu le 13 janvier. Pour rappel, Il est proche du premier et a affronté le second.
ÉQUIPE NATIONALE
Aliou Cissé reste jusqu'en 2021 et touche 15 millions. Et le ministère des Sports a impliqué l'Agent judiciaire dans la négociation du nouveau contrat.
Ceux qui parlaient d'avenant jusqu'à la fin de la prochaine Can en juin pour l'entraineur national Aliou Cissé, en place depuis le 5 mars 2015, ont tout faux. Du moins si l'on en croit le journal sportif Record dans sa parution de ce samedi.
Non seulement il reste en place jusqu'en 2021 et bat le record de longévité sur le banc des Lions, mais il a vu son salaire revu sensiblement à la hausse, car passant de 9 à 15 millions de Fcfa. Idem pour son adjoint Régis Bogaert dont le traitement est multiplié par 2, c'est à dire qu'il perçoit maintenant 5 millions. Le préparateur des gardiens, l'ancien international Tony Sylva, que d'aucuns considérait comme le parent pauvre, il passe de 500.000 à 1,5 million.
Pour parer à toute éventualité, notamment au cas où l'objectif assigné à Cissé et compagnie ne serait pas atteint, à savoir jouer la finale de la prochaine, le ministère des Sports a impliqué l'Agent judiciaire dans la négociation du nouveau contrat.
Dakar, 28 déc (APS) - Le ministre des Sports a adressé une lettre de soutien et d’encouragement au défenseur sénégalais de Naples (Italie), Kalidou Koulibaly, victime de chants racistes lors du match entre l’Inter Milan et son club, mercredi.
‘’Comme tous vos compatriotes, je voudrais m’associer à l’élan unanime de sympathie pour vous exprimer ma solidarité et mon affection face au comportement raciste et d’un autre âge dont vous avez été victime à l’occasion du match opposant votre club, Naples, à l’Inter de Milan’’, écrit Matar Ba dans la lettre dont une copie est parvenue à l’APS.
Le ministre des Sports souligne que Koulibaly a ‘’fait montre de maturité, de discernement, de dignité et de sérénité’’. Son attitude ‘’honore toute la communauté sportive nationale, africaine et internationale’’, se réjouit Matar Ba.
‘’Vous avez compris que le sport est jeu, fraternité, solidarité, communion des cœurs et des esprits, mais dans le respect des règles édictées et connues de toutes les parties. Dans cet univers, il n’y a pas de place pour des contre-valeurs comme le racisme’’, ajoute-t-il.
M. Ba a saisi l’occasion pour ‘’renouveler’’ au footballeur son ‘’soutien indéfectible’’ pour tout ce qu’il incarne ‘’en tant que membre éminent de l’équipe nationale de football et, de ce fait, porte-étendard et repère de toute une jeunesse’’.
Les chants racistes des supporters de l’Inter ont été unanimement condamnés par le monde du football et ont suscité des réactions chez de nombreuses organisations sportives.
Jeudi, la Fédération sénégalaise de football a dénoncé et condamné ‘’avec la plus grande fermeté les propos racistes’’ dont a été victime Kalidou Koulibaly.
Ce vendredi, FIFPro, le syndical mondial des footballeurs, et l’UEFA ont publié un communiqué commun en réaction à cet ‘’incident raciste inacceptable’’. Koulibaly a reçu le soutien de plusieurs joueurs, dont celui du Portugais Cristiano Ronaldo.
PAR MAMADOU DIOP
UNE HONTE NATIONALE
EXCLUSIF SENEPLUS #Enjeux2019 - Pourquoi le Sénégal, pays démocratique, partie prenante à de nombreux instruments juridiques internationaux de défense des droits humains, pratique-t-il encore la traite des enfants ?
#Enjeux2019 - En dépit des réalisations indéniables sur le plan social de l’Etat, allant par exemple de la CMU, à la mise en place de la bourse de sécurité familiale, il y a une tache sur le visage de notre pays qui doit enfin être éradiquée. Il s’agit du phénomène des talibés.
Des dizaines de milliers d’enfants errent dans les rues de nos villes, abandonnés à eux-mêmes et à tous les dangers que peuvent receler la rue, pour des petits êtres vulnérables et sans défense. Il y a une faillite de la société qui laisse ce phénomène prospérer sans qu’aucune initiative - malgré les changements de régime - ne vienne y apporter une solution. L’élite politique, les familles religieuses et la société de façon générale posent un regard sur un drame national en feignant de ne rien voir. Or, le phénomène des enfants de la rue doit faire l’objet d’une prise en charge politique pour devenir un enjeu sociétal.
Il faut tout de même reconnaître la prise de position forte du maire de la Médina visant à interdire la mendicité des enfants sur le territoire de sa commune. Mais quelque fut l’importance de cette prise de position, son application semble douteuse.
L’échéance électorale de 2019 sera-t-elle un prétexte pour poser enfin un débat là-dessus ? J’en doute, car même dans la confrontation, souvent vive et tranchée, les hommes politiques, du pouvoir comme de l’opposition, évitent d’aborder ce drame, faisant, comme l’ensemble de la société, l’impasse sur une honte nationale.
Il existe pourtant une loi au Sénégal interdisant la mendicité. Donc, il se pose une inadéquation entre les principes (lois et règlements) et la réalité sociale (près de 50 000 enfants de la rue au Sénégal). Souvent, les autorités sénégalaises se complaisent dans les discours stériles pour « calmer » les bailleurs sans un début de solution.
- Où en est la législation ? -
Malgré des mesures sévères constamment annoncées par les plus hautes autorités pour éradiquer le phénomène des enfants de la rue, le mal est toujours aussi persistant. A y voir de plus près, il semble que la rigueur dans l’application des textes a fait défaut.
Or, il existe de temps en temps une forme de regain de volonté pour mettre un terme à la mendicité des enfants. Souvent, ces poussées volontaristes font suite à des drames. Par exemple, en 2013, neuf enfants sont tués dans l’incendie de leur école à la Médina, l’émoi et le choc ont fait réagir le chef de l’Etat, qui promettait « des mesures très sévères » à l'endroit de tous ceux qui organisent la mendicité des enfants.
Ces paroles n’ont guère été suivies d’effet…jusqu’en juillet 2016, avec une nouvelle annonce du président de la République du « retrait en toute urgence des enfants des rues, tout en prévoyant des amendes et peines de prisons pour ceux qui les faisaient mendier ». Aucun effet significatif n’a suivi malgré l’espoir d’une partie de la population de voir enfin une mesure forte, définitive visant à mettre fin à cette traite humaine.
Deux ans plus tard, à la veille d’une échéance électorale cruciale où un bilan fait face à des multiples propositions, le mal est toujours prégnant, voire plus profond. Aujourd’hui, selon des chiffres de Human Right Watch, ils sont plus de 50 000 enfants rien qu’à Dakar.
Selon l’ONG, dans un rapport intitulé « Insuffisance du programme gouvernemental pour protéger les enfants Talibés au Sénégal : Réaction timide », de juillet, près de 60 opérations de rue ont été menées par la police et les travailleurs sociaux. Mais elles n’ont permis de recueillir « que » près de 1 500 enfants qui mendiaient dans les rues de Dakar.
Malgré l’existence d’un dispositif réprimant la mendicité allant jusqu’à une peine de 5 ans d’emprisonnement ferme, aucune poursuite judiciaire n’a été notée contre les maîtres coraniques impliqués.
Cheville ouvrière de l’Etat dans l’accueil des enfants de la rue, le Centre Guindi constate que les résultats sont encore trop faibles au vu de l’ampleur du mal.
S’il est vrai que l’Etat a manifesté une certaine volonté, du moins dans les textes, la mise en pratique fait toujours défaut. « La menace d’arrêter tout enfant trouvé dans la rue n’a jamais été suivi d’effets. Dans les axes les plus fréquentés de la capitale, les enfants sont visibles et ne se cachent même plus », explique un ancien encadreur dans un centre d’accueil.
- Un business sans éthique mais florissant -
Pourquoi le Sénégal, pays démocratique, partie prenante à de nombreux instruments juridiques internationaux de promotion et de défense des droits de l’homme, pratique-il encore la traite humaine, notamment d’enfants ? Il s’agit d’une question souvent formulée et qui peut trouver de nombreuses réponses. Outre, l’incapacité de l’Etat à faire appliquer les lois existantes comme nous l’avons mentionné plus haut, il y a aussi l’existence d’un fort lobby maraboutique qui sape les rares volontés de l’Etat pour mettre fin à la mendicité des enfants. Pays à 95% musulman, avec une configuration sociale qui accorde une place particulière aux docteurs de la foi, une partie des marabouts ont imposé une sorte d’omerta sur ce qu’il est convenu de reconnaître comme un business sur le dos d’enfants.
Car il faut admettre que le drame des talibés nourrit bon nombre de « maîtres coraniques » à tel point que des familles, dont certaines viennent de la sous-région, s’y sont lancées rendant plus inextricable la difficulté de la question.
Ce drame des talibés sera-t-il au cœur des débats relatifs à la prochaine présidentielle ? La classe politique aura-t-elle la maturité pour arriver à un consensus national visant à sortir tous les enfants du Sénégal de la rue, afin d’être à la hauteur de notre ambition de pays démocratique et soucieux du respect des droits de tous les humains ?
Mamoudou Diop est journaliste spécialisé en Economie. Il est diplômé en anglais, en journalisme et en communication.
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LE PROCHAIN PRÉSIDENT DOIT ENGAGER DE PROFONDES RÉFORMES
EXCLUSIF SENEPLUS #Enjeux2019 - Mettre en avant les intérêts du Sénégal et des Sénégalais - Respecter les promesses de campagne – Rester dans la bonne gouvernance - Des Sénégalais énumèrent les enjeux de la présidentielle
#Enjeux2019 - "Les Sénégalais n’ont pas encore atteint la maturité requise pour choisir le meilleur profil pour le poste de président de la République", estime Pape Mor Sylla. Commerçant au marché Kermel de Dakar, il pense que le prochain chef de l'Etat doit lancer le chantier des réformes pour mettre le pays sur les rails du développement.
Mame Thierno met l’accent sur le respect des promesses de campagne par les différents aspirants à la présidence. Mounirou Sakho et Mohamed Diagne abodent dans son sens.
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LES PRÉSIDENTS SE SUCCÈDENT ET SE RESSEMBLENT
EXCLUSIF SENEPLUS #Enjeux2019 - Las des changements de régime sans amélioration significative de leurs conditions de vie, des citoyens sénégalais exposent leurs priorités aux aspirants à la magistrature suprême
#Enjeux2019 - A quelques jours de la publication de la liste des candidats à l’élection présidentielle de février 2019, les sénégalais dessinent le profil du futur président et donnent des orientations sur ce que devrait être ses priorités pour le pays.
Accès à l'emploi, réduction de la pauvreté, augmentation du panier de la ménagère...les préoccupations des uns et des autres, ont une consonnance éminemment sociale. Tant le niveau de vie de la population s'étiole au fil des années, malgré les professions de foi des gouvernants.