Suite et certainement pas fin de la vague d'indignations après les cris racistes dont le meilleur défenseur de la Série A a été victime mercredi au cours du match Inter Milan-Naples.
En effet, les deux attaquants de Liverpool, Sadio Mané et Mohamed Salah, ont apporté leur soutien à Kalidou Koulibaly. Le natif de Sédhiou qui s'est dit très amer, est convaincu son coéquipier en équipe nationale ne se laissera jamais abattre par ces basses attaques. "Je suis amer. Mais je te connais suffisamment, ces actes abominables ne vont nullement t’atteindre. Par rapport à notre race, nous en sommes fiers. Et au delà, nous allons continuer à la défendre comme nous défendrons les couleurs de notre Patrie", a écrit Mané. Quant à l'Egyptien Mohamed Salah, il a publié une photo où il est en duel avec Koulibaly (lors de Naples-Liverpool en Ligue des champions), pour dénoncer en anglais, le racisme dans le football et dans le monde.
L'autre sénégalais de Premier League, Idrissa Gana Gueye a publié sur son compte Twitter une photo de Kalidou Koulibaly avec le message imprimé "Je Suis Koulibaly. Say No To Racism", légendée avec deux coeurs (bleu et rouge).
MERCATO : LA SITUATION SE PRÉCISE POUR PAPY DJILOBODJI
Prêté par Sunderland à Dijon la saison dernière, le défenseur sénégalais de 30 ans a résilié son contrat avec les Black Cats en septembre. Il est désormais libre de s’engager où il le souhaite et Guingamp semble être une option très sérieuse.
Alors même que le mercato d’hiver n’est pas encore officiellement lancé, l’En Avant de Guingamp n’a pas attendu pour se renforcer et s’est attaché les services de deux joueurs. L’attaquant bordelais Alexandre Mendy et le latéral suédois Johan Larsson, en provenance de Brondby. Avec un objectif affiché : arracher le maintien. Lanterne rouge de Ligue 1, les Bretons n’ont semble-t-il pas fini de prospecter pour étoffer leur effectif.
Pire défense de Ligue 1 avec 34 buts encaissés, l’En Avant serait dorénavant tout proche d’accueillir un renfort en défense centrale. Selon le Télégramme, il s’agit de l’ancien Nantais Papy Djilobodji. Prêté par Sunderland à Dijon la saison dernière, le défenseur sénégalais de 30 ans a résilié son contrat avec les Black Cats en septembre. Il est désormais libre de s’engager où il le souhaite et Guingamp semble être une option très sérieuse.
LUTTE CONTRE LES STUPÉFIANTS
Un tournoi pour sensibiliser à travers le sport, sur les risques liés à l’usage de des stupéfiants, à partir de dimanche.
Le Réseau des journalistes pour la lutte contre les stupéfiants (RCJS) organise à partir de dimanche, un tournoi de football regroupant huit organes de presse nationaux, annonce-t-il dans un communiqué transmis à l’APS.
L’objectif de ce tournoi est de sensibiliser à travers le sport, sur les risques liés à l’usage de des stupéfiants, écrivent ses responsables dans ce communiqué.
Le Groupe Futurs médias (GFM), l’AS D-médias, Le Soleil, 7 tv, Maison presse-APS, Senenews et 2 S tv sont les structures qui vont participer à ce tournoi, selon la même source.
PAR HADY BA
ÉDUCATION, COMMENT SORTIR DE L’ORNIÈRE?
EXCLUSIF SENEPLUS #Enjeux2019 – Jusqu’à quel niveau l’État peut-il financer l’enseignement supérieur ? Décide-t-on de retourner au modèle d’avant 2000 où l’État ne prenait en charge que les frais d’études d’une minorité laissant les autres à leur sort ?
#Enjeux2019 - Si une campagne électorale sénégalaise se focalisait sur les dossiers plutôt que sur les personnes, nul doute que l’éducation et singulièrement l’enseignement supérieur serait au cœur des débats. L’on ne peut parler de développement sans une population bien formée et le Sénégal ne remplit pas encore les normes de l’UNESCO en terme de pourcentage d’étudiants. Le pays s’est par ailleurs toujours flatté, bien avant Senghor, d’être une méritocratie lettrée où le savoir joue un rôle important dans la distribution des postes et des honneurs. Le consensus actuel, partagé par la quasi-totalité des acteurs, est que le système scolaire, à tous les niveaux, ne marche pas. L’on peut se poser deux questions : 1) Pourquoi ne marche-t-il pas ? 2) Que faudrait-il faire pour lui redonner son lustre d’antan ? À ces deux questions évidentes s’ajoute une troisième : le diagnostic ainsi posé, aussi largement partagé soit-il, est-il exact ?
Dans cet article, nous nous focaliserons exclusivement sur l’enseignement supérieur et nous ne prendrons pas pour argent comptant ce consensus selon lequel notre système universitaire serait dans un état désastreux. Un diagnostic plus fin est nécessaire si l’on veut parvenir à des solutions intéressantes et à même d’être implémentées.
- Du faux distinguo public-privé -
Quand on parle de l’enseignement supérieur sénégalais, on pense généralement aux universités publiques. D’une certaine manière, c’est compréhensible puisque ce sont ces établissements qui font régulièrement la une de l’actualité du fait de grèves récurrentes d’enseignants ou d’étudiants. Les universités publiques concentrent par ailleurs la majorité des étudiants sénégalais avec le mastodonte UCAD qui en accueille presque 80 000. Cette vision n’est donc pas fausse. Elle est cependant biaisée : le pays comptait en 2017 plus de 162 000 étudiants ; 114 000 d’entre eux sont dans le public, le reste dans le privé local et –pour moins de 15 mille d’entre eux– à l’étranger. Par ailleurs, même dans le public, il y a des disparités énormes entre Dakar qui est en sous-effectif d’enseignants et en sureffectif d’étudiants et certaines universités nouvelles comme Thiès qui ont des taux d’encadrement raisonnables.
Sur le plan pédagogique, il y a également des disparités –y compris entre facultés d’une même université– concernant les taux d’encadrement, de promotion et d’abandon. Il n’en demeure pas moins que tous les établissements publics souffrent dans une certaine mesure des mêmes maux : le taux d’encadrement est généralement bas et les budgets alloués par l’État sont rarement suffisants pour payer à la fois les salaires des personnels et les dépenses incompressibles comme l’eau et l’électricité. De ce fait, les intrants pédagogiques eux-mêmes ne sont pas assurés, compromettant ainsi la qualité de l’enseignement. Il est compréhensible qu’un chimiste éduqué dans une université dépourvue de produits chimiques ne devienne pas un bon chimiste ! De même, la pédagogie par l’échec semble être la norme dans la plupart des universités publiques ; ce qui fait que des étudiants peuvent échouer à l’Ucad par exemple et aller mener une carrière plus qu’honorable dans des universités indéniablement meilleures. Les établissements privés pourraient offrir une solution aux problèmes du public.
Malheureusement, sauf rares exceptions, la plupart n’ont pas de personnel propre et se contentent de cannibaliser le public en sous-payant ses enseignants. Elles sont également victimes du paradoxe de l’étudiant-client : dès lors qu’il paie très cher pour ses études, l’apprenant a tendance à considérer que le diplôme est dû et qu’il n’a pas à s’impliquer davantage dans sa formation. Cela mine l’autorité pédagogique des enseignants et contribue à dévaluer une formation pourtant payée à prix d’or. Les résultats des concours nationaux montrent ainsi que rares sont les produits du privé à s’imposer face à ceux du public. Cela semble militer pour une qualité plus grande de ce dernier, malgré tous les problèmes dans lesquels il se débat. De plus, alors que le privé arrivait jusqu’à très récemment à remplir sa promesse d’offrir une année scolaire stable, l’État y a envoyé 40 000 étudiants et l’a complètement déstabilisé. L’État payant de manière erratique, certaines écoles privées se sont mises à exclure les élèves qui, en retour, se sont mis à fomenter des troubles.
- L’État, principal problème du système universitaire -
L’exemple des troubles récents dans le privé est emblématique : le principal problème du système universitaire sénégalais semble être l’État du Sénégal. Nul ne doute de la qualité des enseignants du supérieur. Quoiqu’on dise des étudiants, nul ne doute qu’ils fassent preuve d’une motivation sans faille. Les troubles dans le public comme dans le privé surviennent en protestation de la faiblesse des moyens dont disposent les acteurs. Le budget de l’enseignement supérieur tourne autour de 189 milliards pour 162 mille étudiants. Cela veut dire que l’État provisionne moins de 100 mille francs par mois et par étudiant ; toutes dépenses comprises. Ce calcul est cependant trompeur : si l’on prend l’UCAD avec ses 49 milliards de budget pour 80 000 étudiants, le coût total annuel d’un étudiant n’y est que de 51 042 francs CFA, et l’Ucad produit elle-même pas moins d’un tiers de son budget, le reste venant de la dotation de l’État.
L’on mesure souvent l’efficacité d’un système éducatif par le temps moyen de diplomation des étudiants et leur insertion dans le marché du travail. Le supérieur public est généralement contre-performant dans ces deux domaines avec même ce résultat paradoxal que les diplômés s’insèrent moins bien que les non diplômés. Comment y remédier ?
Une première piste de solution passe, bien évidemment, par une meilleure adéquation Formation/Emploi. La Concertation Nationale sur l’Avenir de l’Enseignement Supérieur (CNAES) de 2013 avait préconisé la création de filières professionnalisantes et la promotion des STEM. Non seulement cette recommandation essentielle n’a pas été mise en œuvre mais en plus la seule école qui forme les enseignants des filières techniques est en sous-effectif parce que sous équipée. De ce fait, même si l’on mettait en place les filières techniques, il faudrait du temps pour former les formateurs dans ces disciplines-là.
Une seconde piste de solution est une augmentation des budgets des universités permettant le développement de nouveaux curricula et une meilleure efficacité tant interne qu’externe. Se pose alors la question du financement de cette montée en puissance. Vu le dénuement de la population estudiantine, il est impossible de lui faire payer le coût réel des études. À quel niveau l’État est-il prêt à monter pour financer l’enseignement supérieur ? Il est clair qu’il faudrait au moins un doublement voire un triplement des budgets pour espérer éduquer correctement la jeunesse sénégalaise. Est-ce économiquement soutenable ? Si tel n’est pas le cas, décide-t-on de retourner au modèle d’avant 2000 où l’État ne prenait en charge que les frais d’études d’une minorité laissant les autres à leur sort ?
Ces débats ne sont absolument pas posés par les candidats à la présidentielle. L’enseignement supérieur sénégalais est à la croisée des chemins. Le public et le privé sont désormais profondément minés par un État incapable de prendre ses responsabilités et de dire clairement s’il se positionne pour le modèle scandinave assurant un droit effectif à l’éducation ou le modèle libéral dans lequel seule une minorité d’étudiants est prise en charge, le reste se débrouillant tout seul. Une campagne électorale devrait être l’occasion d’en décider. Rien ne permet d’espérer que nous aurons une campagne électorale de cette qualité.
Hady Ba est docteur en sciences cognitives de l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS). Syndicaliste au Sudes, il est enseignant en philosophie à la faculté des Sciences et techniques de l’éducation et de la formation (Fastef).
"PRÉSIDENT KOUTIA" INTERPELLÉ PAR LES GENDARMES
« Mon dossier sera bien sûr accepté. Tous les Sénégalais ne me croyaient pas. Ils pensaient que je faisais de la comédie, mais aujourd’hui, c’est clair. Si ma candidature est invalidée, il n’y aura pas d’élection ».
Le célèbre comédien Samba Sine alias Kouthia, qui était venu « déposer » sa candidature pour l’élection présidentielle du 24 février 2019, est interpelé par les éléments de la gendarmerie.
Il a débarqué au Conseil constitutionnel à 21h 30 à bord d’un taxi, accompagné des membres de l’équipe ‘’Kouthia Show’’. Le leader du Mouvement « Faral Sénégal », a vite été interpelé alors qu’il faisait face à la presse. Selon des informations, ils seraient accusés de faire de la comédie dans une institution comme le Conseil Constitutionnel.
« Mon dossier sera bien sûr accepté. Tous les Sénégalais ne me croyaient pas. Ils pensaient que je faisais de la comédie, mais aujourd’hui, c’est clair. Si ma candidature est invalidée, il n’y aura pas d’élection », a menacé Samba Sine avant son interpellation.
Jusqu’au moment où ces lignes sont écrites (22h 00), Kouthia et sa bande ne sont toujours pas libérés.
RACISME DANS LA SÉRIA A
Le défenseur de Naples Kalidou Koulibaly a été victime de cris racistes, lors de la défaite de son équipe ce mercredi sur la pelouse de l'Inter Milan (1-0), en Serie A.
Le défenseur de Naples Kalidou Koulibaly a été victime de cris racistes, lors de la défaite de son équipe ce mercredi sur la pelouse de l'Inter Milan (1-0), en Serie A.
À l'occasion de la victoire de l'Inter Milan contre Naples (1-0), le défenseur central napolitain Kalidou Koulibaly, expulsé en deuxième mi-temps, a été victime de cris racistes émanant des travées du stade Giuseppe-Meazza. « On a demandé à trois reprises au procureur fédéral la suspension du match à cause des cris racistes. Il y a eu des annonces faites au micro mais le jeu a continué. Ça a rendu Koulibaly nerveux. La prochaine fois, nous quitterons le terrain nous-mêmes, ce n'est pas acceptable », a expliqué son entraîneur, Carlo Ancelotti.
Kalidou Koulibaly a réagi lui-même sur son compte Twitter après la rencontre. « Je regrette la défaite et d'avoir quitté mes frères, a-t-il expliqué. Mais je suis fier de la couleur de ma peau. D'être français, sénégalais, napolitain : homme. »
« Cela fait mal d'entendre des chants racistes envers mon frère, le reste n'est que secondaire. Il ne reste que de la tristesse », a regretté de son côté son coéquipier Faouzi Ghoulam.
ASSANE DIOUF SERA FIXÉ SUR SON SORT LE 8 JANVIER 2019
En effet, le délibéré a été fixé à cette date, au terme d'une audience marathon qui s'est terminée tard dans la soirée au tribunal correctionnel de Dakar, ce mercredi.
Assane Diouf sera fixé sur son sort le 8 janvier 2019. En effet, le délibéré a été fixé à cette date, au terme d'une audience marathon qui s'est terminée tard dans la soirée au tribunal correctionnel de Dakar, ce mercredi.
Durant les débats, le procureur a requis 5 ans de prison ferme contre Assane Diouf. Le maître des poursuites a retenu 4 chefs d’inculpation contre Assane Diouf : trouble à l'ordre public, injures par le biais d'un système informatique, outrage à un ministère de culte et diffamation.
VIDEO
L'APPEL SANS DÉTOUR DE COUMBA GAWLO SECK
«La politique, chez nous, est devenue barbare et...». Coumba Gawlo Seck, ne se réjouit pas de la façon dont la politique est aujourd’hui pratiquée au Sénégal.
La présidentielle de 2019 approche à grands pas. Cependant, Coumba Gawlo Seck, ne se réjouit pas de la façon dont la politique est aujourd’hui pratiquée chez nous. Et elle l’a dit dans son entretien avec Seneweb.
EUMEU SÈNE, DE LIEUTENANT À GÉNÉRAL
Le lutteur Mamadou Ngom, dit Eumeu Sène, lieutenant pendant plusieurs années notamment auprès de Mohamed Ndao Tyson, a gravi les échelons un à un pour se coiffer de la toge de "Roi des arènes".
Le lutteur Mamadou Ngom, dit Eumeu Sène, lieutenant pendant plusieurs années notamment auprès de Mohamed Ndao Tyson, a gravi les échelons un à un pour se coiffer de la toge de "Roi des arènes", à la faveur de sa victoire nette et sans bavure aux dépens de Bombardier le 28 juillet dernier.
Une consécration pour ce lutteur qui ne faisait rien comme les autres, ni au niveau de sa taille (1m 75) ni dans les outrances verbales d’avant combat. Des joutes dont raffolaient les amateurs de lutte et qui auraient le don de "vendre les affiches auprès des amateurs".
Le nouveau du "Roi des arènes", consacré ’’meilleur lutteur avec frappe’’ par l’Association nationale de la presse sportive (ANPS) début décembre, a amené ce titre à son fief de Pikine, un quartier de grands lutteurs. Il a obtenu cette consécration au moment où des espoirs aux dents longues à l’image d’Ama Baldé et Boy Niang 2 ont commencé à titiller la cour des grands.
Longtemps embusqué derrière son mentor Tyson, après avoir fait ses armes dans les séances de lutte traditionnelle et fait un passage à l’écurie Hal Pulaar, le natif de Pikine a pris le pari d’ériger sa propre écurie.
On retiendra ainsi d’Eumeu Sène qu’il a tissé sa toile lentement et sûrement jusqu’en cette après-midi du 28 juillet au stade Léopold Sédar Senghor. "Tay Shiniger’’ a impressionné à cette occasion son monde après sa victoire au courage contre Gris Bordeaux, le Tigre de Fass, au stade Demba Diop.
Rossé de coups par son adversaire, le visage en sang, il a malgré tout réussi à déjouer tous les pronostics pour gagner ce combat que des férus de lutte ont appelé "le clasico" de la lutte avec frappe opposant Fass à Pikine en mai 2011.
Ce combat est entré dans les annales de la lutte avec frappe pour son âpreté mais aussi la capacité de résilience d’Eumeu Sène.
Et comme rien n’est simple pour Eumeu Sène, il a chuté contre Modou Lô, de l’écurie "Rock énergie", des Parcelles Assainies, après avoir fini de battre à deux reprises Balla Gaye 2 de l’école de lutte du même nom de Guédiawaye (banlieue dakaroise).
Le "Roc des Parcelles Assainies" doit lui affronter début janvier 2019 le "Lion de Guédiawaye’’. Lô n’avait pas réussi à faire le poids devant le fils de Double Less lors de leur première confrontation en août 2012.
La lutte avec frappe ayant ses propres règles différentes des autres sports de combat, des promoteurs ont néanmoins réussi à décrocher l’affiche Eumeu Sène contre Bombardier alors que le lutteur de Mbour (ouest) avait fini de faire le vide autour de lui sans battre Yékini, l’ancien champion de l’arène sénégalaise.
Appelé "combat royal", cet affrontement a finalement eu lieu le 28 juillet 2018 au stade Léopold Sédar Senghor après plusieurs reports. Le jour de gloire était enfin arrivé. Et le chef de file de l’écurie "Tay Shinger" de monter ainsi sur le toit de la lutte sénégalaise avec frappe.
Le lutteur de Pikine s’est définitivement invité dans la cour royale de la lutte en donnant l’exemple de l’humilité et de la résilience, des vertus cardinales en sport mais aussi des leçons dans la vie de tous les jours.
AYA NAKAMURA, MOI HAUTAINE ?
Aya Nakamura finit l’année 2018 sur une très mauvaise note. Alors qu’elle était en déplacement au Sénégal, la jeune chanteuse s’est mis ses fans à dos.
Aya Nakamura aurait sans doute préféré finir l’année d’une meilleure façon. Déjà il y a quelques semaines, la jeune chanteuse était au cœur d’une polémique après avoir pris la mouche. La raison : la prononciation de son nom de scène écorché à maintes reprises lors des NRJ Music Awards.
A l’issue de la cérémonie, la jeune chanteuse s’était indignée du traitement qui lui avait été réservé, écrivant ainsi : « On n’invite pas les gens quand on n’arrive pas à dire son nom correctement !! » Voilà qui en était assez pour déclencher une vive polémique, certains prenant la défense de la chanteuse tandis que d’autres avaient fustigé sa susceptibilité. Mais loin de finir l’année sereinement, Aya Nakamura s’est, cette fois-ci, attirée les foudres de ses fans.
Aya Nakamura se justifie… Et ça ne passe pas du tout
Alors qu’elle fait le tour des grandes salles de concerts françaises, la chanteuse franco-malienne s’est récemment rendue au Sénégal. Comme le relatent plusieurs médias locaux, le comportement d’Aya Nakamura à son arrivée à Dakar, aurait fortement agacé ses fans, venus en masse pour la rencontrer. La raison ? La chanteuse les aurait tout bonnement snobés, refusant de prendre un selfie avec eux, comme en témoigne une vidéo partagée en masse sur les réseaux sociaux.
Le résultat a a été quasiment immédiat puisque beaucoup de fans ont choisi de boycotter le concert de la jeune femme, vendredi 21 décembre. Loin de faire salle comble, Aya Nakamura a tout de même assuré le show. L’affaire aurait pu s’arrêter là…
Sauf que la chanteuse a tenu à répondre à ses détracteurs, comme le rapporte le site SeneNews. Interrogée sur les réseaux sociaux par un internaute sur son comportement, Aya Nakamura se serait justifiée en affirmant que ses fans ne lui auraient « pas dit bonjour ». Pas sûr que cette excuse puisse apaiser la polémique…