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27 novembre 2024
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L' AHURISSANT ÉTAT DE L'ÉCOLE SÉNÉGALAISE
EXCLUSIF SENEPLUS #Enjeux2019 - Des élèves qui bravent le vent et les rayons du soleil pour suivre les cours, un tableau mangeur de syllabes et de voyelles, effectif pléthorique dans les classes - Incursion dans un abri provisoire
#Enjeux2019 - C’est jour de classe au Cem 3 de Vélingara. Monsieur Mandiang épelle les mots qu’il vient d'écrire sur le tableau. Une quarantaine d’élèves fixent sans sourciller ce tableau noir mangeur de syllabes et de voyelles. Ils essayent de transcrire correctement les lettres invisibles enfouies dans les centaines de troues qui ornent ce grand rectangle accroché à deux poteaux en bois.
‘’Regardez ce tableau, on ne voit qu’une partie des mots écrits par le professeur’’, confie l'élève Ousmane Baldé. Il regarde autour de lui et lance avec impuissance, ‘’c’est ici notre classe, un abri provisoire’’. Dans cet établissement de la commune de Vélingara, 160 élèves en classe de sixième étudient dans des classes faites essentiellement de ‘’krinting’’ soutenus par des poteaux en bois.
Selon le principal de l’établissement, Kéba Bayo, la situation est très difficile mais c’est la seule alternative qui lui permet d’accueillir tous les élèves recus à l’examen d’entrée en sixième et orientés dans son établissement. "Nous construisons ces abris provisoires. Ils nous permettent de contenir le flux d’élèves qui entrent en sixième. C’est une situation très difficile mais je pense que c’est aussi un mal nécessaire’’, déclare-t-il.
"Il doit prendre ses responsabilités et aller parler à son coach pour qu’il soit mis dans les meilleures conditions", a indiqué Diouf lors de la conférence de presse des Légendes en prélude de leur match de gala.
Sadio Mané, l’attaquant sénégalais, doit "prendre ses responsabilités et aller parler à son sélectionneur" pour qu’il puisse donner le meilleur de lui-même en sélection comme il le réussit si bien en club à Liverpool (élite anglaise), a estimé El Hadj Diouf, ce dimanche en conférence de presse.
"Sadio (Mané) n’est pas en sélection dans un cadre lui permettant de montrer son talent", a dit Diouf interrogé sur les performances de l’attaquant de Liverpool en équipe nationale du Sénégal.
"Il doit prendre ses responsabilités et aller parler à son coach pour qu’il soit mis dans les meilleures conditions", a indiqué Diouf lors de la conférence de presse des Légendes en prélude de leur match de gala.
Cette rencontre opposant une sélection de la génération 2002 à celle des Légendes africaines aura lieu ce lundi au stade Léopold Sédar Senghor à la veille des Aitéo CAF Awards prévus mardi au CICAD à Diamniadio.
"En équipe nationale pour réussir, il faut beaucoup de caractère", a rappelé Diouf.
Sur la même question, le Camerounais Samuel Eto’o a invité les Sénégalais à valoriser Sadio Mané qui reste actuellement le meilleur footballeur de ce pays.
"Au Brésil, ils savent bien le faire, en Afrique, ce n’est souvent pas le cas", a-t-il relevé, se disant convaincu que Sadio (Mané) donne le meilleur de lui-même en sélection.
"J’ai eu le même problème au Cameroun alors que j’empilais des buts, il y a toujours certains qui pensaient que ce n’est pas assez", a-t-il rappelé, indiquant au sujet de Sadio Mané que ses coéquipiers aussi doivent accepter son leadership.
"En Afrique, ce n’est pas le cas, il y a souvent de la jalousie", a-t-il déploré.
Habib Bèye, consultant de la chaine française Canal Plus, a déploré le classement de Sadio Mané au Ballon d’or 2018. "Je ne comprends pas qu’il puisse être classé derrière son coéquipier brésilien Firmino", a dit l’ancien capitaine de l’OM.
Sadio Mané fait partie du trio des nominés pour le Ballon d’or africain 2018 en compagnie de l’Egyptien Mohamed Salah et du Gabonais Pierre Emerick Aubameyang.
"NOUS DEVONS GAGNER LA COUPE DU MONDE"
L’attaquant camerounais, Samuel Eto’o, a appelé dimanche les footballeurs africains à croire en leurs moyens de remporter la Coupe du monde, une compétition largement à la portée des sélections du continent.
L’attaquant camerounais, Samuel Eto’o, a appelé dimanche les footballeurs africains à croire en leurs moyens de remporter la Coupe du monde, une compétition largement à la portée des sélections du continent.
"Mon plus grand regret, c’est de n’avoir pas remporté la Coupe du monde. En 2002 comme en 2010 nous avions l’équipe pour le faire", a-t-il dit à Dakar au cours d’une conférence de presse, en prélude de la cérémonie Aitéo CAF Awards 2018 prévue mardi soir au CICAD.
Samuel Eto’o fait partie des anciens internationaux africains invités par la CAF pour jouer un match de gala ce lundi en hommage à Jules Bocandé, l’ancien capitaine des Lions décédé en mai 2012 en France.
"Des pays comme le Cameroun, le Sénégal, le Ghana et le Nigeria ont eu des générations qui auraient pu remporter la Coupe du monde, mais c’est dommage qu’ils n’y ont pas cru", a-t-il insisté, appelant à changer cet état de fait.
L’ancien défenseur des Bafana-Bafana, Mark Fish, vainqueur de la CAN 1996, a abondé dans le même sens, estimant que la génération ayant conquis l’Afrique aurait pu viser plus loin.
"Mais, nous nous sommes suffi de cette coupe d’Afrique", a regretté l’ancien défenseur central sud-africain qui a salué l’initiative de la CAF d’associer les Légendes à la célébration des Ballon d’or.
Les footballeurs africains qui animent les plus grands championnats du monde ne sont pas jugés à leur juste valeur, a pour sa part estimé Habib Bye, l’ancien capitaine de Marseille qui a joué quatre phases finales de CAN et une Coupe du monde avec le Sénégal.
"Samuel Eto’o aurait dû gagner la Coupe du monde", a-t-il dit, estimant que la place attribuée à Sadio Mané pour le Ballon d’or 2018 est injuste.
"En Afrique, il y a toujours eu du talent et je garderais toujours les merveilleux moments passés en équipe nationale du Sénégal", a-t-il par ailleurs ajouté.
HABIB BEYE : COMMENT J'AI REJOINT LES LIONS
‘’El Hadj Diouf est le premier à m’inviter à venir jouer avec Les lions’’
Dakar, 6 janv (APS) – Habib Beye, l’ancien défenseur des Lions a révélé que son coéquipier de l’époque, El hadj Diouf, a été le premier à l’inviter à venir porter le maillot du Sénégal.
‘’Oui, je n’ai pas oublié que c’est le premier à m’inviter à venir jouer pour le Sénégal’’, a déclaré ce dimanche, en conférence de presse, l’ancien capitaine de l’OM qui a joué quatre phases finales de CAN et une coupe du monde avec le Sénégal.
‘’Et je n’échangeais contre rien au monde, ces moments passés en sélection avec de grands talents’’, a-t-il rappelé.
Né en France d’un père sénégalais et d’une mère française, Habib Beye faisait partie à l’époque d’une liste élargie de sélectionnables français alors qu’il évoluait au RC Strasbourg (France).
Beye fait partie des anciens internationaux africains invités par la CAF pour jouer un match de gala ce lundi en hommage à Jules Bocandé, l’ancien capitaine des Lions décédé en mai 2012 en France.
Ce sera à la veille des Aitéo CAF Awards 2018 qui auront lieu au CICAD mardi, dans la soirée. Parlant de Jules Bocandé, l’ancien capitaine de l’OM a déclaré que ce dernier avait guidé ses pas en équipe nationale.
‘’J’ai joué quatre phases finales de CAN et une coupe du monde et il était toujours là pour nous guider’’, a rappelé Habib Beye.
Ancien capitaine des Lions, Bocandé qui a joué au Casa Sports, à Seraing (Belgique), à Metz, au PSG et au RC Lens (France) a été sélectionneur national à la fin de sa carrière avant d’être intégré dans les staffs techniques nationaux de 2001 à 2008.
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MACKY FACE À LA PRESSE : LA QUESTION POLÉMIQUE
Contrat du géant français Total dans l'exploration et l'exploitation du pétrole au Sénégal.
Lors de son entretien face à la presse du 31 décembre dernier au Palais, le Président de la République, Macky Sall, a semblé fâché par la question du journaliste, Cheikh Yérim Seck. Question relative au contrat du Groupe français Total dans l'exploration et l'exploitation du pétrole au Sénégal, qui a amené notamment l'ex-ministre de l'énergie, Thierno Alassane Sall a démissionné du gouvernement.
Elle a fait les chœurs de presque tous les artistes avant de se retrouver au -devant de la scène avec succès. A l’aise dans presque tous les genres, Daba Sèye vient de sortir un album de six titres. Bien entendu, c’est pour se faire une place au soleil. Dans cet entretien, elle flétrit la situation de la musique sénégalaise qui stagne, selon elle, par la faute de personnes qui sont loin d’être des musiciens. Entretien…
Daba, vous venez de mettre sur le marché un nouveau produit. Pouvez-vous nous en parler ?
J’ai travaillé pendant longtemps pour confectionner cet album. Cela m’a pris quatre ans, car je ne devais pas décevoir mes fans. Après avoir travaillé durant tout ce temps, j’ai fini par sortir un album de six titres intitulé « Nimou Nexxé Ni ». Comme je ne suis motivée que par la satisfaction du public, j’ai voulu leur offrir un bon produit.
Pourquoi ce titre assez provocateur ?
Je parle essentiellement de l’amour, de la beauté et de la complexité de la vie. C’est également pour aborder de belles choses de la vie. Je veux dire par là de l’amour, de la bonté, de la persévérance. Bref, de grandes qualités qui fondent la vie. J’ai donc voulu relever ce défi et j’ai sorti cet album. Vous pouvez constater par vous-même que j’ai grandi à tous les niveaux tant sur le plan vocal que sur le plan rythmique. Je ne peux pas chantonner ou faire dans la demi-mesure. Je pense que le moment venu, le public pourra juger de lui-même.
Pourquoi la récurrence de la thématique de l’amour. Est-ce un hommage à ton producteur de mari ?
Non, pas du tout ! C’est juste une coïncidence. C’est vrai que mon mari est très impliqué dans mon travail. C’est lui mon producteur et il a tout investi pour que cet album connaisse un grand succès.
Pourquoi n’avez-vous pas insisté sur le côté traditionnel qui fait votre force ?
J’ai fait mes « mbapaats » pour la chanson. Je n’ai pas brûlé les étapes. Sur le côté traditionnel, je ne peux vraiment pas l’occulter. J’ai appris à chanter sans micro. Dans cet album, il y a deux titres qui sont joués sur ce registre. Donc je ne peux pas me permettre de ne pas miser sur le volet traditionnel.
Juste un album de six titres. N’est-ce pas un signe d’essoufflement ?
Non, pas du tout ! Il faut savoir que la production musicale est très chère et cela ne nous rapporte pas grand-chose. On le fait juste pour satisfaire nos fans et pour ne pas se faire oublier du public.
On a aussi remarqué l’absence d’invités qui est une tradition musicale au Sénégal ?
A ce niveau, je ne suis pas du tout pressée. Je marche à mon rythme et je ne ferme la porte à personne. Cependant, j’avais contacté un collègue artiste, mais il était occupé et cela n’a pas abouti. Mais encore une fois, je n’exclus personne.
Là, vous pouvez le dire mais on parle de vos clashs avec Secka ou encore Coumba Gawlo ?
Ah, non ! Il faut arrêter. Je n’ai aucun problème avec un artiste sénégalais. Coumba Gawlo et Secka sont des aînés et des parents et je ne leur manquerai jamais de respect. Il s’agit juste d’interprétations et de mauvais procès. Encore une fois, Daba Séye n’a de problème avec aucun artiste sénégalais. Je rappelle que j’ai commencé par faire des chœurs pour de grands artistes. J’ai chanté pour presque tous les grands artistes. Mais c’est Assane Mboup qui m’a vraiment permis d’être professionnelle. J’ai travaillé avec tous les artistes. Je peux citer Salam Diallo, Fallou Dieng, Secka, Kiné Lam, Thione Seck et tant d ‘autres…
Vous disiez que vous n’alliez plus faire de chœur pour les artistes
Je pense que je devais marquer mon territoire et creuser mon trou. J’étais très sollicitée et c’est très facile de dormir sur ses lauriers. Il fallait vraiment que je fasse cette sortie pour calmer les ardeurs. N’empêche, par la suite, j’ai fait les chœurs pour Thione Seck et Kiné Lam . Donc je suis vraiment une chanteuse et je serai toujours ainsi.
On vous accuse d’être dépensière et de faire des folies pour votre habilement. On parle de vos fameuses lunettes à un million
C’est vraiment me faire un mauvais procès que de penser que je vais acheter des lunettes à un million. Je suis une artiste et j’aime bien les belles choses, mais je ne suis pas prête à faire des folies. C’est une amie qui m’avait offert ces lunettes et vraiment cela m’a causé un grand tort que d’entendre que j’ai dépensé cette folle somme pour juste frimer. Je m’inscris en faux contre cette assertion qui m’a vraiment porté préjudice
En 2016, quand vous preniez d’assaut le Grand Théâtre, certains doutaient de votre capacité à relever le défi. Pourtant ça avait été une réussite. Pourquoi vous n’y êtes- pas retournée ?
Je suis une chanteuse et j’ai cela dans le sang. Comme je l’avais annoncé, je ne suis vraiment pas obnubilée par le fait de remplir le Grand Théâtre. Même s’il y avait deux personnes, j’allais me produire et leur offrir un beau spectacle comme s’il y avait un millier de personnes dans la salle. Les temps sont durs et il ne faut vraiment pas toujours solliciter les fans pour ces spectacles. Je suis obligée de prendre cela en compte. Je peux vous dire que cette année 2019, je serai encore au Grand Théâtre. Ce sera au mois d’avril. Je ne suis pas du tout pressée et dans toute chose, je préfère y aller mollo- mollo, car cela fait partie de mon tempérament. Je ne suis pas pressée et je ne suis la concurrente de personne. J’ai un parcours dans la musique. J’ai également mon business à côté. Je vais souvent à Paris pour acheter des cheveux naturels que je revends à Dakar. J’ai une fidèle clientèle et cela marche grâce à Dieu.
Justement, pourquoi ne pas tenter le marché international ?
Je travaille dans mon coin et je marche sur les traces de nos aînés, Youssou Ndour, Papa Thione, père Ismaël Lô et tous les autres. Je suis très souvent en tournée aux USA. A chaque fois, j’y vais pour jouer en version acoustique
Était- il difficile de produire cet album après quatre ans de silence ?
Non, pas du tout ! C’est mon mari qui a entièrement produit cet album. Il a vraiment mis toutes ses économies sur ce produit. Il est vrai que certains amis, très bien placés dans ce pays, nous soutiennent et ils ne veulent même pas que je les cite. Mais pour l’essentiel, c’est mon mari qui a produit cet album. Seul mon premier album a été produit par feu Babacar Lo. Cependant pour le second et le troisième, on l’avait fait ensemble, mon mari et moi. Mais pour cette fois ci, il a décidé de tout prendre en charge. Dans le cadre du travail, je privilégie le respect comme je l’aurai fait pour n’importe quel producteur.
Votre mari a toujours été jusqu’ici dans l’ombre. Mais pour votre point de presse, il était au -devant …
Il a toujours été à mes côtés. Il me soutient depuis le départ. C’est vraiment lui qui détient toutes les idées. Il me pousse toujours au dépassement. Je ne suis qu’une chanteuse. Mais c’est lui la cheville ouvrière. C’est un artiste et très fin connaisseur. Sa présence, c’est pour montrer que seul mon succès lui importe.
Comment gérez-vous votre famille et toutes ces charges liées au boulot ?
C’est vrai que l’autre jour, en y pensant, j’ai encore pleuré. Je suis une personne très sensible. Cependant, je veille vraiment à l’éducation de mes enfants. Surtout sur le côté de la religion. Chaque vacance scolaire, je les envoie à l’école coranique. Il faut qu’ils apprennent à connaitre vraiment leur religion .Pour ce faire, je les envoie au Daara de Serigne Souhaibou. J’attache une grande importance à leur éducation religieuse.
Comment voyez-vous l’évolution de la musique ?
A vrai dire les choses ne marchent pas comme elles devraient l’être. On sort juste des albums pour continuer à exister, mais on n’y gagne rien. Je profite de l’occasion pour lancer un vibrant appel aux ténors. Et surtout à Youssou Ndour qui est la référence suprême dans la musique sénégalaise. Lui et ses collègues comme Thione Seck, Baba Maal, Ismaël Lo et tous les grands, doivent sérieusement se pencher sur l’avenir de notre musique. Ils n’ont pas le droit de vendanger leur formidable travail. Il y a des gens qui sont en train de tout gâcher dans notre milieu et ils n’en font pas partie. Il faut que les ténors prennent leur décision et qu’ils sauvent notre musique qui risque de mourir si on y prend garde. Il y a trop d’instruis. Il faut que nos grands soutiennent vraiment les artistes qui en veulent et qui ne songent pas à s’amuser avec notre métier.
Dans le duel entre Wally et Pape Diouf, les gens disent que vous êtes plus proche du dernier…
Ecoutez, il ne faut pas chercher la petite bête. Wally est mon fils et on a partagé le micro en de nombreuses circonstances. Tout le monde connait les relations particulières que j’entretiens avec son père. Quand à Pape Diouf, c’est lui-même qui m’a invitée et j’ai assuré les chœurs au sein de son orchestre à mes débuts. Je n’ai érigé aucune barrière entre les artistes. Il faut que les artistes sénégalais apprennent à collaborer et à travailler ensemble. C’est vraiment ce qui fait la force des artistes américains. S’il y a bien une chose qui me dérange, c’est le manque de collaboration qui existe entre les artistes de mon pays. Il faut changer cette perception et surtout nous faire confiance. Il faut vraiment que certaines pratiques disparaissent. Je pense que Youssou Ndour est la personne la mieux indiquée pour réunir tous les artistes en organisant régulièrement de grandes soirées ou six à sept artistes sont invités et mis au -devant de la scène.
Que pensez-vous de l’influence grandissant de l’afro beat et du rythme Nanja ?
J’ai un avis très tranché sur cette question. Les Nigérians ne viendront jamais au Sénégal puiser dans notre Mbalakh. Aussi, je ne vois pas de raison à aller puiser dans leur musique. Je ne vais pas le faire et je ne suis pas prête à le faire. Nous avons une musique très riche qui peut aller partout. On peut bien s’ouvrir, mais pas à n’importe quel prix. Youssou Ndour, qui est notre référence, joue partout avec nos « Sabars » et il le fait très bien. Et ça lui réussit au même titre que Thione Seck, Baba Maal ou encore Ismaël Lo. C’est à nous de valoriser notre musique. C’est vraiment une question de fierté et de dignité. Je ne vais jamais échanger notre Mbalakh avec une autre musique.
Le mot de la fin
Je remercie tous les artistes sénégalais car je pense que je suis vraiment aimée et choyée par tous les artistes. Je les exhorte à l’unité qui est notre grande force. Que la paix règne dans notre pays et que la présidentielle de février se passe dans un climat pacifique.
BASKET : COUP D'ARRÊT POUR ASTOU TRAORÉ
Pour des douleurs au genou droit, Astou Traoré, la capitaine des Lionnes du basket suspend momentanément sa carrière pour se soigner.
Pour des douleurs au genou droit, Astou Traoré, la capitaine des Lionnes du basket et pensionnaire de Duran Maquinaria (D1 espagnole), suspend momentanément sa carrière pour se soigner.
«La blessure n’est pas trop grave, mais je n’arrive pas à m’entraîner normalement. Je ne peux même plus courir, a-t-elle confié à Stades. Ainsi j’ai décidé d’arrêter la compétition et de me soigner.»
DE PÈRE OUZA À KEUR GUI...
Les décibels des artistes ne sonnent pas toujours soft aux oreilles de nos gouvernants. C’est ainsi que certains tubes laissent parfois un goût amer à ceux qui président à nos destinées.
Les décibels des artistes ne sonnent pas toujours soft aux oreilles de nos gouvernants. C’est ainsi que certains tubes laissent parfois un goût amer à ceux qui président à nos destinées. Sous nos cieux, Ouza Diallo, Père Ouza comme disent les teenagers et autres mélomanes, fait figure de précurseur. Sauf que depuis un certain temps, écrit Walf Quotidien dans sa parution de ce vendredi, le groupe Keur Gui marche sur ses pas. En tout cas, le dernier clip de la bande à Thiat et Kilifeu, intitulé Sai-Sai, fait le buzz depuis peu. Les Sénégalais se rappellent aussi des envolées pimentées du Journal rappé initié par Makhtar Fall alias Xuman et son acolyte Cheikh alias Keyti
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MADIKCKÉ PROMET UNE GÉNÉRALISATION DES BOURSES
En marge de la présentation de son programme de société pour les échéances de 2019, Me Madické Niang est revenu sur les secteurs et actions prioritaires qu’il compte réaliser dès son accession à la magistrature suprême.
"En marge de la présentation de son programme de société pour les échéances de 2019, Me Madické Niang est revenu sur les secteurs et actions prioritaires qu’il compte réaliser dès son accession à la magistrature suprême. À en croire le leader de la coalition Madické 2019, la question pétrolière et gazière, l’éducation ainsi que l’administration de la justice seront les points à élucider en premier lieu. « Une fois élu, je vais renégocier les contrats pétroliers », a-t-il déclaré ce mercredi 02 janvier."
MERCATO : KOULIBALY, C'EST MINIMUM 120 MILLIONS D'EUROS !
Du haut de ses 27 ans, l’international sénégalais arrivé de Genk en 2014 est une véritable muraille derrière ; un défenseur très complet tout aussi bon dans l’anticipation et la lecture du jeu que dans les duels.
Match après match, Kalidou Koulibaly s’affirme comme l’un des meilleurs défenseurs du championnat italien, et même de la scène européenne. Du haut de ses 27 ans, l’international sénégalais arrivé de Genk en 2014 est une véritable muraille derrière ; un défenseur très complet tout aussi bon dans l’anticipation et la lecture du jeu que dans les duels. Et du côté de Naples, on sait très bien à quel point un joueur de ce calibre, au sommet de son art, est précieux...
Naples a déjà refusé bon nombre d’approches de cadors européens lors de ces derniers mercatos. Récemment, on apprenait que Manchester United était prêt à mettre plus de 100 millions d’euros sur la table pour le joueur ! Et si on se fie aux informations de la Gazzetta dello Sport, les Mancuniens vont devoir aligner encore plus d’argent sur la table s’ils souhaitent s’offrir le Lion de la Teranga, tout fraîchement nommé meilleur joueur de l’année de sa sélection.
-120 MILLIONS D'EUROS RÉCLAMÉS PAR NAPLES-!
Effectivement, le sulfureux président napolitain Aurelio De Laurentiis demande 120 millions d’euros pour son joueur, un montant qui ferait de Kalidou Koulibaly le défenseur central le plus cher de l’histoire, et de loin, devant Virgil van Dijk qui a coûté 84 millions d’euros à Liverpool il y a un an. De quoi refroidir considérablement les clubs intéresses ? On le saura très bientôt...
« Je n’aime pas aborder ce sujet, du mercato, du futur. Je me sens très bien au Napoli. Le fait de jouer en Italie m’a ouvert beaucoup de portes et permis de côtoyer toutes sortes de football. Sur le plan tactique, pour un défenseur, l’Italie c’est le must. Aujourd’hui, je me sens armé pour affronter toutes les variétés de football, mais je le répète je suis heureux ici », confiait récemment le principal intéressé. Reste à voir si une proposition succulente d’un club anglais par exemple pourrait lui faire tourner la tête.