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25 novembre 2024
Sports
ÇA NE FAIT FORCEMENT PAS PLAISIR D’ETRE SUR LE BANC
Taulier de l’équipe nationale du Sénégal lors du sacre à la Can 2022, Abdou Diallo a perdu son statut d’indiscutable au profit d’un Moussa Niakhaté, intraitable jusqu’ici.
Taulier de l’équipe nationale du Sénégal lors du sacre à la Can 2022, Abdou Diallo a perdu son statut d’indiscutable au profit d’un Moussa Niakhaté, intraitable jusqu’ici. Une situation qui ne lui plait pas et il est prêt à se battre pour cela. Le défenseur des Lions s’est aussi projeté sur la Can 2024 et est aussi revenu sur l’importance de ces deux matchs avant le grand rendez-vous continental de janvier prochain.
Première séance avec 14 joueurs
«Nous sommes habitués à cela. Ceux qui jouent le dimanche sont toujours absents le lundi. C’était une séance de reprise qui s’est bien passée. Les sensations sont bonnes, donc Alhamdoulilah».
Ambiance dans le groupe avec ces deux matchs avant la Can
«On est dans une très bonne ambiance. On a gagné le dernier match contre le Cameroun. On est bien et confiant. On se prépare tranquillement pour gagner ces matchs qui seront importants pour 2026».
Concurrence en défense
«Je la vis comme toute concurrence. Ça ne fait forcément pas plaisir d’être sur le banc. Mais je me bats et j’attends mon tour».
Utilisation comme arrière gauche
«Peut-être dépanner mais je suis un central».
Avis sur la poule à la Can
«C’est un niveau très élevé. C’est un groupe très dense mais je pense que ça va être une question de mentalité vu les affiches. Ça va être un combat. Il va falloir repartir sur les mêmes bases que 2022 parce qu’eux (les adversaires) seront prêts».
Retrouvailles avec la Guinée à la Can
«On appréhende ce match de la même manière qu’en 2022. Nous y étions allés en vaillants Lions, il faut y retourner de la même manière pour avoir le même résultat».
Matchs à 14h
«Effectivement c’est plus dur de jouer à 14 heures. Mais après je suis un joueur, ce n’est pas ce sur quoi je dois me concentrer parce qu’à la fin il faut gagner le match. A la dernière Can on a joué tous nos matchs à 14h (Ndlr : les deux premiers à 13h Gmt) mais on s’en est sorti et nous étions tous contents à la fin».
Match à huis clos contre le Soudan du Sud
«Il n’y a pas de regret parce que le match contre l’Egypte était exceptionnel. Mais on va faire avec. Merci de me l’apprendre parce que je ne le savais pas (rires)».
Qualification à un troisième Mondial de rang
«Oui, c’est un objectif. Ce serait dommage de ne pas être au rendez-vous aux Etats-Unis – Mexique – Canada. Il ne faut pas qu’on se loupe».
LES LIONCEAUX EN HUITIÈMES DE FINALE DU MONDIAL U17
L’équipe nationale des moins de 17 ans s’est qualifiée en huitièmes de finale de la coupe du monde de la catégorie, grâce à son succès (4-1) devant la Pologne en match comptant pour la deuxième journée.
L’équipe nationale des moins de 17 ans s’est qualifiée en huitièmes de finale de la coupe du monde de la catégorie, grâce à son succès (4-1) devant la Pologne en match comptant pour la deuxième journée de la poule D de cette compétition qui se joue en Indonésie.
A la mi-temps, les Lionceaux menaient 2-0 grâce à un but d’Idrissa Gueye (18-eme mn) et un but contre son camp de Szala, à la 30-ème minute.
A quelques minutes de la pause, le match a été longuement interrompu à cause des conditions climatiques locales. Après la reprise du jeu, Idrissa Gueye enchaîne deux buts aux 52-ème mn et 69-ème mn. Entre temps, la Pologne avait réduit le score grâce à Regula, à la 65-eme mn.
Avec cette deuxième victoire en autant de sorties, les Lionceaux sont assurés de disputer les huitièmes de finale de la Coupe du monde.
Les protégés de l’entraineur Serigne Saliou Dia vont disputer leur troisième match face au Japon, vendredi.
«LA DECISION D’INTERDICTION DE JOUER SUR NOS TERRAINS NE FAIT PAS PROGRESSER LE FOOTBALL LOCAL»
C’est la conviction de l’entraineur de Diambars, Bruno Rohart, trois semaines après l’entrée en vigueur de la mesure prise par la Ligue pro.
La décision de priver les Académies de jouer sur leurs propres installations est un frein à la progression du football. C’est la conviction de l’entraineur de Diambars, Bruno Rohart, trois semaines après l’entrée en vigueur de la mesure prise par la Ligue pro.
«La décision d’interdiction sur nos terrains ne fait pas progresser le football local. Je pense que des décisions comme ça sont incompréhensibles. J’adore jouer à Djibril Diagne contre Génération Foot parce qu’on a l’impression de jouer dans un club européen et je pense que tout le monde a envie de jouer au stade Fodé Wade», a déclaré Bruno Rohart, à l’issue du déplacement de Diambars, ce samedi 11 novembre, sur la pelouse du Jaraaf (1-1) au stade Iba Mar Diop.
Le technicien français estime qu’en interdisant l’accès au stade Fodé Wade et Djibril Wade, c’est l’ensemble du football local sénégalais qui en pâti au regard de la qualité de leurs installations, de ses vestiaires et de ses pelouses. «C’est mon avis personnel mais aussi celui de plusieurs supporters du football local. On est bien chez nous, on a les bonnes conditions, de bons vestiaires et un très bon terrain. Mais, comme je l’ai dit c’est mon avis personnel, c’est la direction du club qui décidera de tout ça. Je trouve dommage pour le football local sénégalais d’interdire de jouer à Djibril Diagne et Fodé Wade. Vous pouvez demander à tous les coaches et les équipes, c’est agréable de jouer chez nous, on a une pelouse toute neuve, qui est la meilleure du Sénégal, on a tout ce qu’il faut pour jouer à domicile. On ne peut pas dire qu’on a un public agressif, c’est plus sympa quand ils viennent jouer à Fodé Wade car il y a une bonne ambiance» soutient-il. L’entraineur de Diambars FC n’en reste pas moins optimisme pour une issue heureuse à ce différend qui a déjà entraîné le forfait lors de leur deuxième journée suite au refus de recevoir leurs matchs au stade Lat Dior de Thiès.
«J’espère qu’on va trouver une issue favorable parce que ça n’a pas lieu d’être, c’est un faux combat qui n’a pas lieu d’être. En tout cas, on est déterminés à jouer chez nous et je suis persuadé que toutes les équipes aussi ». Il faut rappeler qu’en plus des lourdes sanctions auxquelles, Génération Foot et le Diambars FC encourent, selon les textes de la Ligue professionnelle, le risque d’être rétrogradées.
MODOU LÔ ET AMA BALDE RÉCOMPENSÉS POUR LEUR FAIR-PLAY
Une cérémonie s’est tenue dans les locaux du Comité national de gestion (Cng) de lutte, ce lundi après-midi, 13 novembre, en présence de Modou Lô et d’Ama Baldé, récompensés pour leur fair-play.
Une cérémonie s’est tenue dans les locaux du Comité national de gestion (Cng) de lutte, ce lundi après-midi, 13 novembre, en présence de Modou Lô et d’Ama Baldé, récompensés pour leur fair-play, lors du combat royal qui les a opposé le 5 novembre dernier.
Bira Sène, le président de l’instance dirigeante du sport de chez nous, explique que « cette cérémonie de mérite est destinée à récompenser les lutteurs » qui se sont distingués avant de se réjouir : « Modou Lô et Ama Baldé se sont comportés en véritables gentlemen. »
Ainsi, a-t-il poursuivi, « à titre symbolique, le ministre des Sports, Lat Diop, tient à immortaliser le geste o combien beau dans les coeurs et dans les esprits que les adversaires ont bien voulu nous gratifier, montrant ainsi à la face du monde que le sport de chez nous est aussi du fair play. Dès lors, il nous revient de leur dire solennellement et avec force pour que toutes les générations de la lutte le retiennent et s’en inspirent ».
Les deux lutteurs ont reçu des cadeaux.
QUATORZE LIONS AU PREMIER GALOP
L'équipe du Sénégal a débuté sa préparation, ce lundi à Diamniadio, pour les deux premières journées des éliminatoires de la Coupe du monde 2026, contre le Soudan du Sud le 18 novembre 2023 à Dakar et le Togo 3 jours après à Lomé.
iGFM (Dakar) L'équipe du Sénégal a débuté sa préparation, ce lundi à Diamniadio, pour les deux premières journées des éliminatoires de la Coupe du monde 2026, contre le Soudan du Sud le 18 novembre 2023 à Dakar et le Togo 3 jours après à Lomé. 14 Lions sont présents à cette première séance qui a démarré peu avant 18h GMT.
Après la séance de prierre habituelle initiée par le sélectionneur national, Aliou Cissé, le groupe a par la suite effectué deux tours de terrain, avant d'entrer dans le vif du sujet. Mais Sadio Mané et Lamine Camara ont quant eux continué leur footing sous la direction du kiné de l'équipe nationale.
Les 14 Lions présents :
Abdoulaye Seck, Lamine Camara, Seny Dieng, Dion Lopy, Ismael Jackobs, Pathé Ciss, Habib Diallo, Abdoulaye Niakhaté Ndiaye, Pape Matar Sarr, Edouard Mendy, Koulibaly, Sadio Mané, Abdou Diallo, Gana Gueye
ABDOU DIALLO SE LÂCHE
Le défenseur sénégalais, Abdou Diallo, s'est exprimé, ce lundi à Diamniadio, sur la concurrence en équipe nationale. Selon lui, aucun joueur ne ressent du plaisir en restant sur le banc.
iGFM (Dakar) Le défenseur sénégalais, Abdou Diallo, s'est exprimé, ce lundi à Diamniadio, sur la concurrence en équipe nationale. Selon lui, aucun joueur ne ressent du plaisir en restant sur le banc.
"Je la (concurrence) vis comme toute concurrence. Ça ne fait pas plaisir d’être sur le banc forcément. Mais je me bats et j’attends mon tour", a-t-il déclaré, ce lundi soir, après la première séance de l'équipe du Sénégal, en prélude aux deux premières journées des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.
A gauche juste pour dépanner mais...
"Peut-être dépanner mais je suis un central", a précisé Diallo sur son utilisation comme arrière gauche en équipe nationale.
Interrogé sur la première séance des Lions marquée par seulement 14 joueurs sur les 26 convoqués, le défenseur d'Al-Arabi SC (Qatar) répond. "On est habitué. Ceux qui jouent le dimanche sont toujours absents le lundi. C’était une séance de reprise qui s’est bien passée. Les sensations sont bonnes, donc Alhamdoulilah (Dieu merci). "On a fait un peu de jeu avec le ballon, de possession de balle. On n’a pas attaqué les jeux et les duels. C’était plutôt ludique", a-t-il précisé, indiquant que le groupe a repris confiance depuis la victoire contre le Cameroun en octobre.
Pour rappel, le Sénégal affronte le Soudan du Sud le samedi 18 novembre 2023 à Diamniadio, à l'occasion de la première journée des qualifications à la Coupe du monde 2026. Trois jours après, les Lions iront défier le Togo à Lomé, pour le compte de la deuxième journée.
MATAR BA SORT DE SON MUTISME
Discret depuis son départ du ministère des Sports, il y a un peu plus d’un an, Matar Ba, qui a été tout récemment élu président de la COP à la Convention internationale contre le dopage en sport, s’est prononcé sur sa nouvelle mission.
Discret depuis son départ du ministère des Sports, il y a un peu plus d’un an, Matar Ba, qui a été tout récemment élu président de la Conférence des parties (COP) à la Convention internationale contre le dopage en sport, s’est prononcé sur sa nouvelle mission dans un entretien accordé à E-media mais aussi à d’autres médias. L’actuel chef de cabinet du président de la République a posé son regard sur le sport sénégalais mais aussi son pronostic sur la Can 2024.
Grands axes de son programme à la présidence de la COP9
C’est d’abord la conformité. Il faut qu’on se batte pour cela et aussi l’engagement politique de l’ensemble des États, des présidents, pour que le sport soit doté de tous les moyens nécessaires pour faire le travail. L’autre chose qui nous a fait vivre le retard, c’est l’incompréhension entre l’AMA, le CIO et les différents partenaires. C’est pourquoi, j’ai inscrit mon mandat sur le dialogue. Il faut que l’AMA sache qu’elle agit sur un pays. Il faut que les pays sachent aussi que l’AMA n’est pas un concurrent mais un partenaire. Ce sont des équilibres à trouver. J’espère qu’on pourra le faire comme c’était le cas à nos débuts au ministère des Sports. Le plus important, c’est l’athlète, il faut le protéger et faire de sorte que ces efforts ne soient teintés de tricherie.
Regard sur le sport sénégalais depuis son départ
«J’étais sportif, donc je reste sportif. Je l’avais annoncé avant de partir de toute façon. Concernant l’évolution du sport, on est sur une bonne pente, il faut le dire. J’en profite pour féliciter les Lionceaux (U17) qui ont battu l’Argentine. C’est une belle prouesse. On a gagné en roller une médaille. On gagne beaucoup de médailles. On se bat, maintenant, il faut maintenir ce cap. Il ne faut pas que des divergences au niveau des clubs, des candidats potentiels puissent impacter négativement cette dynamique unitaire qui nous a permis aujourd’hui de gagner dans toutes les disciplines. L’Etat aussi doit continuer à se battre parce que l’investissement dans le domaine du sport n’est pas fixe. C’est un investissement qui évolue. Donc, il faut que chaque année on évolue au niveau de la manne financière injectée dans le domaine du sport. Ce qui nous donne raison, c’est la configuration de nos populations. Cela est valable pour tous les pays africains. Il faut que les dirigeants accordent plus d’importance au secteur sportif. Parce que c’est ce qui va garantir la stabilité de nos pays. Les jeunes, il y’en a qui jouent pour se faire plaisir mais d’autres pour devenir professionnels.
On doit donner de la chance à tout le monde. Ceux qui n’ont pas de travail, ils peuvent se faire plaisir en faisant une activité sportive. Pour ce faire, il faut avoir des infrastructures accessibles, un financement adéquat aux ambitions de nos gouvernants qui ne sortent pas du développement du sport sénégalais. En tout cas, j’ai beaucoup d’espoir et je sais que le sport va continuer à monter. Il faudrait qu’on sache continuer et qu’on arrête de repartir toujours à zéro. Quand on remplace quelqu’un, il faut se battre pour ne pas descendre. C’est la philosophie qu’on doit savoir. Le manager doit avoir cette philosophie. Quand on remplace quelqu’un, il faut se battre pour ne pas abimer ce qu’il a fait. Le sport sénégalais a besoin de ça. De la quiétude, la stabilité et du financement».
Possible présence à Abidjan après une absence remarquée à Doha
«Pour le Mondial, je n’ai pas décliné l’invitation. J’étais sur autre chose. J’ai pensé honnêtement que ma présence pouvait déranger parce que quand on sort d’un ministère où on a passé huit ans, il ne faut pas être là-bas pour gêner le nouveau ministre. Il avait besoin de tous les appuis, d’un environnement calme pour gérer ça. Je n’avais pas envie d’être là-bas et que les Sénégalais viennent me voir pour me poser des questions concernant la mission du nouveau ministre. Donc, j’ai été républicain et j’ai toujours prié pour que le Sénégal gagne parce que l’équipe du Sénégal n’appartient pas à un ministre. Elle appartient à l’ensemble des Sénégalais. Je pense que je suis un Sénégalais. Donc, là aussi, si je suis invité, je pense que j’irai voir un match ou 2 parce qu’on sera en pleine campagne électorale ou à la veille où on aura besoin de l’ensemble des responsables politiques pour garder le régime. Là aussi, c’est un combat qui impose une présence sur le terrain. Mais je serai toujours avec l’équipe nationale. Je donnerai des conseils à qui me le demande et je prierai toujours pour que l’équipe nationale gagne parce que j’ai compris et je l’ai vécu. Quand l’équipe nationale gagne le trophée, la joie qu’on procure à l’ensemble des Sénégalais mérite un combat de tous les jours».
Pronostic CAN 2023
«Je ne fais jamais de pronostic. Quand j’étais ministre des Sports, je suis resté un an en vous disant que si on va en finale, c’est un échec. On voulait le trophée parce qu’on maîtrisait. Et depuis que je suis parti, je ne suis pas allé au stade et je n’ai pas parlé à l’entraîneur. Quand on fait des pronostics, il faut avoir des baromètres. Je ne peux que prier pour que l’équipe nationale gagne encore le trophée. Si j’étais toujours ministre des Sports, j’allais me battre pour conserver le titre. Je prie pour le ministre des Sports actuel, qui vient d’arriver. C’est un ami, on se parle très souvent. Mais il faut que les gens se battent comme on l’avait fait en 2022. On s’est battu dans l’unité. On a été persévérant. On a tiré dans la même direction et Dieu nous a écoutés. Nous avons gagné le trophée. Il ne faut pas changer de fusil d’épaule. Tout en sachant que la prochaine CAN sera très relevée parce que le football évolue. Ce sera une CAN très disputée, il faut un mental d’acier et qu’on taise nos divergences, nos combats inutiles et que la presse sportive accompagne positivement comme elle le faisait avec nous».
NICOLAS JACKSON ENCHAINE, GANA GUEYE EN SAUVEUR, KREPIN SORT SUR BLESSURE
Une semaine après avoir claqué un retentissant triplé contre Tottenham, Nicolas Jackson a enchaîné, hier dimanche, lors du match à rebondissements qui a opposé son club à Manchester City (4- 4) pour le compte de de la 12e journée de Premier League
Une semaine après avoir claqué un retentissant triplé contre Tottenham, Nicolas Jackson a enchaîné, hier dimanche, lors du match à rebondissements qui a opposé son club à Manchester City (4- 4) pour le compte de de la 12e journée de Premier League.
L’attaquant sénégalais a encore été décisif, en marquant le 3e but de son équipe. Menés au score (2-3), les Blues se sont appuyés sur l’attaquant des Lions pour égaliser à la 67e. Sur une frappe de Gallagher repoussée du portier Ederson, il a surgi au bon moment pour remettre le ballon au fond des filets. Object de critiques, la quatrième réalisation réussie en moins de quelques jours permet à Nicolas Jackson d’engranger de la confiance. Ce, à la veille du rassemblement de l’équipe du Sénégal pour les besoins des deux premiers matchs des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.
Avant de rejoindre, Idrissa Gana Guèye s’est illustré en club avec son premier but de la saison. Le milieu de terrain d’Everton a inscrit l’un des buts victorieux, lors du déplacement sur la pelouse de Crystal Palace (2-3). Entré en début de seconde période, à la place d’Amadou Onana, le milieu de terrain a délivré les Toffees à la 86e.
Avant de rejoindre, Idrissa Gana Guèye s’est illustré en club avec son premier but de la saison. Le milieu de terrain d’Everton a inscrit l’un des buts victorieux, lors du déplacement sur la pelouse de Crystal Palace (2-3). Entré en début de seconde période, à la place d’Amadou Onana, le milieu de terrain a délivré les Toffees à la 86e.
DAKAR SACRE-CŒUR MENE LA COURSE
Marquée par une flopée de match nul, la 3e journée du championnat de Ligue 1 a souri, le week-end, à Dakar SacréCœur.
Marquée par une flopée de match nul, la 3e journée du championnat de Ligue 1 a souri, le week-end, à Dakar SacréCœur. Grâce à leur bonne opération, réalisée dimanche, sur la pelouse de Casa Sport, au stade Municipal de Kolda (0-1), les Académiciens gardent la tête du classement avec 7 points au compteur. Ils sont talonnés par les Rufisquois de Teungueth FC qui ont profité de la réception, au stade Ngalandou Diouf, de la Linguère de Saint Louis (5e ; 4 points) pour s’imposer sur la plus petite des marque (1-0) et prendre la deuxième place (6 points). L’Us Gorée complète le podium de cette 3e journée, après le match nul obtenu (1-1) en déplacement au stade Lat-Dior de Thiès où la Sonacos de Diourbel (5e ; 4 points) a élu domicile.
Considéré comme la grande attraction de cette journée, le derby de la Banlieue qui a opposé au stade Alassane Djigo l’As Pikine (7e ; 4 points) à Guédiawaye FC (4e ; 5 points) s’est soldé sur un score de parité (1- 1). Idem pour le duel qui a opposé au stade Iba Mar Diop, le Jaraaf de Dakar à Diambars (1- 1). Avec ce troisième nul, les «Vert et Blanc» se placent à la 9e place (3 points). Ils sont à 1 point des pensionnaires d l’Institut de Saly (11e ; 2 points).
Accroché (1-1) sur sa pelouse de Caroline Faye par le promu, US Ouakam (12e, 1 point), le Stade de Mbour occupe la 10e place (2 points). Avec cette défaite le Casa Sports est pour le moment à l’avant dernière place du classement (1 point).
En attendant le match qui mettra aux prises Génération Foot (1 points) aux promus de Jamono Fatick (8e ; 3 points). Un match que la Ligue pro a programmé au stade de Lat-Dior, conformément à la décision de délocaliser les rencontres aux stades Fodé Wade et Djibril Diagne, domiciles de Génération Foot et Diambars.