LE FOOTBALL EST MAGIQUE
Le coach sénégalais de Sopousse un gros ouf de soulagement après la victoire en toute fin de match aux dépens du Paris FC de Moustapha Name, hier. Qui tentera d’accompagner Toulouse et l’AC Ajaccio en Ligue 1 pour la saison prochaine ?

Le coach sénégalais de Sopousse un gros ouf de soulagement après la victoire en toute fin de match aux dépens du Paris FC de Moustapha Name, hier. Qui tentera d’accompagner Toulouse et l’AC Ajaccio en Ligue 1 pour la saison prochaine ? Sochaux a une carte à jouer.
« C’est clair qu’on est passés par tous les scénarios possibles », a réagi Omar Daff, qui reconnait que l’entame a été catastrophique. En effet, Moustapha Name manquait un penalty au bout de quatre minutes de jeu seulement mais les supporters parisiens n’ont pas tardé à fêter l’ouverture du score signée Siby, à la 8e minute. Ambri égalise, d’un tir puissant (1-1, 45e+1), avant la mi-temps. Manque de pot pour l’adversaire, Paris FC est réduit à dix, après le second carton jaune pour le champion d’Afrique. La formation d’Omar Daff aura finalement le dernier mot, grâce à Maxime do Couto qui s’est illustré dans le temps additionnel, 90+2.
« Cette équipe du PFC a eu des balles de match pour vraiment plier le match dans le premier quart d’heure. On s’est réorganisé et on a été beaucoup plus solides. Les faits de jeux tournent en notre faveur. On a été patients et on a construit cette victoire », souffle l’entraineur et ancien international sénégalais. Avant de poursuivre : "Ce que je voulais, c’est que les garçons restent calme. Le football est magique, jusqu’au bout il faut y croire.
Il faut garder une ligne de conduite et sa sérénité, je pense que c’est ce qu’on a fait, on n’a pas paniqué. On ne s’est pas désorganisé, on a poussé petit à petit cette équipe à la faute. Aujourd’hui, les garçons ont réussi à remobiliser toute une région. Maintenant, on est des compétiteurs, on en veut plus. On va continuer à faire ce qu’on sait faire. je suis fier d’eux, mais ce n’est pas fini. Il y a un match à Auxerre, il faut aller chercher un match de plus là bas. Je suis un entraîneur heureux, mais j’ai dit aux garçons il reste encore trois matchs à jouer pour y arriver ».