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2 avril 2025
QUALIFICATIONS COUPE DU MONDE 2026, CLASSEMENT DES MEILLEURS BUTEURS DE LA ZONE AFRIQUE
Les éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 battent leur plein en Afrique, et plusieurs attaquants se sont déjà distingués par leur efficacité devant le but. Voici le classement des meilleurs buteurs après 6 journées.
Les éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 battent leur plein en Afrique, et plusieurs attaquants se sont déjà distingués par leur efficacité devant le but. Voici le classement des meilleurs buteurs après 6 journées.
1. Mohamed Salah (Égypte) – 6 buts
L’inévitable Mohamed Salah porte l’Égypte sur ses épaules. Avec 6 réalisations en seulement quelques matchs, l’attaquant de Liverpool prouve qu’il reste l’un des joueurs les plus décisifs du continent. Son quadruplé contre Djibouti et plus récemment son but décisif face à l’Éthiopie permettent aux Pharaons de dominer leur groupe à quatre journées de la fin.
2. Mohamed Amoura (Algérie) – 5 buts
Étincelant avec Wolfsburg, l'attaquant de poche réédite ses performances en sélection. Avec 5 buts, Mohamed Amoura s’affirme comme un élément clé des Fennecs, notamment grâce à ses doublés contre le Mozambique et le Botswana lors de la dernière trêve.
3. Lassina Traoré (Burkina Faso) – 5 buts
Toujours jeune (24 ans), l'attaquant du Shakhtar continue de prouver son efficacité en sélection. Auteur de 5 buts, il a été déterminant pour les Étalons du Burkina Faso, inscrivant notamment un doublé décisif contre la Guinée Bissau. Son association avec Bertrand Traoré apporte une nouvelle dimension offensive aux Étalons.
4. Trézéguet (Égypte) – 5 buts
Dans l'ombre de Salah et Marmoush, Trézéguet joue un rôle clé dans la réussite égyptienne. Avec 5 buts, l‘ailier exilé au Qatar confirme son importance, notamment grâce à sa performance éclatante contre la Sierra Leone, où il a inscrit un doublé décisif.
5. Denis Bouanga (Gabon) – 5 buts
L’ailier du Los Angeles FC est en grande forme avec les Panthères du Gabon. L'ancien stéphanois devance de deux unités Pierre-Emerick Aubameyang comme meilleur buteur des siens avec 5 buts, faisant preuve de son sens du but lors d'un duel important avec la Gambie.
6. Jordan Ayew (Ghana) – 5 buts
Récemment intronisé capitaine par Otto Addo, en lieu et place de Thomas Partey ou de son frère André, pas convoqué, Jordan Ayew le rend bien à son coach. Avec 5 buts, l’attaquant de Leicester reste l’un des piliers du Ghana, et assure son rôle de leader dans une équipe en reconstruction.
7. Kamory Doumbia (Mali) – 5 buts
Peut-être moins attendu à ce niveau, Kamory Doumbia s’illustre avec le Mali. Auteur de 5 buts, le joueur du Stade de Reims a su saisir sa chance avec des Aigles globalement décevants, notamment grâce à une prestation mémorable contre les Comores où il a inscrit un doublé.
Classement des meilleurs buteurs des qualifications (Zone Afrique) :
Vincent Aboubakar (Cameroun)
Musa Barrow (Gambie)
Michael Olunga (Kenya)
Rayan Raveloson (Madagascar)
3 buts
Steve Mounié (Bénin)
Bertrand Traoré (Burkina Faso)
Sudi Abdallah (Burundi)
Bienvenue Kanakimana (Burundi)
Bryan Mbeumo (Cameroun)
Louis Mafouta (Centrafrique)
Myziane Maolida (Comores)
Emilio Nsue (Guinée Équatoriale)
Bereket Desta (Éthiopie)
Abubeker Nassir (Éthiopie)
Jim Allevinah (Gabon)
Pierre-Emerick Aubameyang (Gabon)
LES SCOUTS AU SERVICE DES PELERINS DANS LA MOSQUEE Al-HARAM JEUDI SOIR
Plus de 400 scouts de l’Association des scouts d’Arabie Saoudite ont activement participé à l’organisation et à l’accompagnement des pèlerins dans la Mosquée Al-Haram à La Mecque lors de la 27ème nuit du Ramadan
Plus de 400 scouts de l’Association des scouts d’Arabie Saoudite ont activement participé à l’organisation et à l’accompagnement des pèlerins dans la Mosquée Al-Haram à La Mecque lors de la 27ème nuit du Ramadan, rapporte l’Agence saoudienne de presse (SPA).
Cette opération s’est déroulée en coopération avec plusieurs autorités compétentes, selon la même source, ajoutant que ‘’les scouts ont joué un rôle crucial dans l’orientation des fidèles, la gestion des foules et le maintien de la fluidité des déplacements, contribuant ainsi à réduire l’encombrement dans les zones les plus fréquentées’’.
‘’Ils ont également apporté un soutien essentiel au secteur de la santé, en assistant les hôpitaux et centres médicaux, en guidant les patients et en prêtant main forte aux équipes médicales en cas d’urgence’’, salue l’Agence saoudienne de presse.
Elle note que ‘’cette initiative s’inscrit pleinement dans l’engagement annuel de l’Association à soutenir les services destinés aux pèlerins pendant le mois de Ramadan et le Hajj, en mettant en avant les valeurs de bénévolat et d’entraide’’.
Selon la SPA, ‘’les scouts saoudiens poursuivent leur mission auprès des pèlerins, illustrant l’esprit de volontariat et d’entraide qui caractérise leur mouvement. Ils assistent les pèlerins égarés en contactant leurs familles et en facilitant leur regroupement’’.
L’organe d’information du Royaume souligne aussi que ‘’’grâce aux applications mobiles, ils assurent également des services de traduction, aidant ainsi les pèlerins non arabophones à comprendre les consignes’’.
La SPA rappelle que ‘’ces actions s’inscrivent dans les programmes annuels de service public visant à renforcer les valeurs de solidarité et de bénévolat chez les jeunes’’.
LE PRIX DU RIZ, LA COMPTABILITE PUBLIQUE ET LA LOI D'AMNESTIE AU MENU DE LA PRESSE CE VENDREDI
Les parutions s'intéressent à la baisse annoncée du prix du riz, le débat sur la proposition de loi interprétative de la loi d’amnistie et la comptabilité publique
La baisse annoncée du prix du riz, le débat sur la proposition de loi interprétative de la loi d’amnistie et la comptabilité publique sont, entre autres, sujets au menu des quotidiens reçus, vendredi, à l’Agence de presse sénégalaise (APS).
Le Soleil ouvre sur la réduction du coût de la vie et annonce que ‘’le gouvernement brise le prix du riz’’.
‘’Le Conseil national de la consommation s’est réuni, jeudi, pour une révision du prix du riz brisé ordinaire. L’Etat et l’ensemble des acteurs de la chaîne de distribution ont convenu d’une baisse de 60 FCfa sur le kilogramme du riz brisé d’origine indienne, vietnamienne, thaïlandaise et myanmaraise. Le ministre a annoncé l’arrêté ministériel devant officialiser cette baisse dans les jours à venir’’, rapporte le journal.
‘’Le kg de riz va passer à 350 FCFA…’’, met en exergue Vox Populi. ‘’Le gouvernement reste fermement engagé pour soutenir ses citoyens en apportant des réponses concrètes aux défis sociaux Toutes les matières premières, on les surveille. Et dès qu’il y a une occasion de voir les prix en baisse, on va le faire’’, déclare le ministre du Commerce, Serigne Guèye Diop.
Selon Sud Quotidien, ‘’une baisse significative’’ du prix du riz sera annoncée le 3 avril par le chef de l’Etat.
Le même journal s’intéresse également à la proposition de loi interprétative de la loi d’amnistie et note que ‘’le débat ne s’estompe pas’’.
‘’Le débat sur les propositions de loi interprétative de la loi d’amnistie est très loin de connaitre son épilogue. Au contraire ! Elles sont en passe de devenir des patates chaudes entre les mains du régime pastefien. Alors qu’une vingtaine d’organisations de la société civile appellent les députés à rejeter cette “loi interprétative”, qui doit être examinée le 2 avril 2025 à l’Assemblée nationale, Birahime Seck est venu enfoncer le clou. Dans son post publié hier, le coordonnateur du Forum Civil qualifie les propositions de +juridiquement lamentables at moralement injustes +. Ce qui conforte le Collectif des familles des victimes qui exige ni plus, ni moins l’annulation de l’amnistie’’, écrit Sud.
La publication relève aussi que ‘’pendant ce temps, la nouvelle plateforme dénommée +Coalition Ensemble pour Demain+ la juge +dangereuse+” et que ”face à ce méli-mélo, la Commission nationale des droits de l’homme du Sénégal (CNDH-S) recommande l’avis du Conseil Constitutionnel’’.
Concernant ce texte législatif controversé toujours, Le Quotidien souligne que ‘’pour jouer les bons offices, la Commission nationale des droits de l’Homme au Sénégal a organisé hier un atelier de réflexion de haut niveau sur la question, avec l’appui technique et financier des Nations unies à travers le Haut-commissariat des droits de l’Homme, Onu-femmes (…)’’.
‘’L’objectif de cette rencontre, qui a réuni des acteurs compétents dans leur domaine, à savoir des universitaires, des parlementaires et d’éminents membres de la Société civile, est de réfléchir sur les impacts et les conséquences de cette loi interprétative dans le pays’’, explique le journal.
Le Quotidien évoque également les irrégularités révélées par la Cour des comptes sur les Finances publiques et souligne que ‘’si l’Etat décide d’engager des réformes audacieuses et crédibles comme le lui a exigé le Fonds monétaire international (Fmi), pour ficeler un nouveau programme de coopération, il peut compter sur le soutien de l’Ordre national des experts comptables’’.
‘’L’Onecca a annoncé hier, lors -de la 10ª réunion du Conseil de l’Association des ordres des experts-comptables en Afrique (Abwa, sigle en anglais), qu’il est +prêt à accompagner l’Etat dans la régularisation de certaines situations et d’aller dans le fond, afin d’éviter dans les années à venir de parler de dettes qui n’étaient pas retracées dans le rapport de la Cour des comptes+’’, rapporte la publication.
Selon L’As, ‘’les expert comptables offrent leur service à l’Etat’’.
Le quotidien EnQuête s’est livré à un exercice de fact-checking (vérification des faits) pour explorer ‘’la vérité derrière la dette cachée’’.
Le journal signale qu’’’ils sont nombreux, les observateurs, à confondre ou à faire l’amalgame entre +dettes cachées+ et malversations. Ce, malgré les précisions diplomatiques du chef de la délégation du Fonds monétaire international qui a effectué une mission au Sénégal ces derniers jours’’. Dans EnQuête, ‘’des experts expliquent les contours de la dette cachée qui ne rime pas forcément avec malversation’’.
UN EMPRUNT OBLIGATAIRE DE 150 MILLIARDS DE FCFA POUR STIMULER L’ÉCONOMIE
L’Etat du Sénégal, en partenariat avec Invictus Capital & Finance SA, a officiellement lancé ce jeudi son premier emprunt obligataire par appel public à l’épargne pour l’année 2025. Cette levée de fonds locale, d’un montant de 150 milliards de FCFA...
L’Etat du Sénégal, en partenariat avec Invictus Capital & Finance SA, a officiellement lancé ce jeudi son premier emprunt obligataire par appel public à l’épargne pour l’année 2025. Cette levée de fonds locale, d’un montant de 150 milliards de FCFA, s’inscrit dans une stratégie de mobilisation de ressources internes pour financer les investissements prévus dans le budget de l’Etat.
Un Engagement en Faveur du Patriotisme Économique
Cette opération historique, coordonnée par Invictus Capital & Finance, société de gestion et d’intermédiation financière locale, symbolise l’engagement du président Bassirou Diomaye Faye et du Premier ministre Ousmane Sonko en faveur d’une économie plus autonome et inclusive. En mobilisant l’épargne nationale, l’Etat du Sénégal entend renforcer sa souveraineté financière tout en stimulant la croissance.
Proposant des taux d’intérêt attractifs compris entre 6,40 % et 6,95 %, cet emprunt obligataire offre une opportunité intéressante pour les investisseurs institutionnels et particuliers. La cotation des obligations à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) garantira leur liquidité et leur attractivité sur le marché régional.
La Direction Générale de la Comptabilité Publique et du Trésor (DGCPT), sous la supervision du Ministère des Finances et du Budget, assure le pilotage de cette opération. Invictus Capital & Finance agit comme arrangeur principal et chef de file, confirmant ainsi son rôle clé dans le dynamisme du marché financier régional.
Avec une solide expérience en la matière, la SGI avait déjà mobilisé d’importants fonds pour l’Etat du Sénégal : 139 milliards de FCFA en juillet 2023, 137 milliards de FCFA en mars 2023, et 202 milliards de FCFA en janvier 2024. La société a également orchestré des opérations d’envergure pour des acteurs privés comme le Groupe EDK SA (10 milliards de FCFA), Sonatel (75 milliards de FCFA) et pour l’Etat ivoirien (90 milliards de FCFA en 2024).
Des Perspectives Économiques Prometteuses
Selon les projections du Fonds Monétaire International (FMI), la croissance économique du Sénégal devrait atteindre 9,3 % en 2025, portée par le démarrage de la production de gaz du projet Greater Tortue Ahmeyim. Toutefois, l’Etat fait face à des défis budgétaires avec un déficit prévu à 7 % du PIB, en baisse par rapport aux plus de 10 % observés antérieurement.
La dette publique, actuellement estimée à 99,67 % du PIB, demeure un sujet de préoccupation. Cependant, la stratégie de mobilisation des ressources internes et la rigueur budgétaire devraient contribuer à sa maîtrise.
En privilégiant une gestion transparente des fonds mobilisés et en maintenant une politique fiscale efficace, l’Etat du Sénégal entend restaurer la confiance des marchés et assurer une croissance durable. Cette opération traduit la volonté des autorités de renforcer l’indépendance économique du pays tout en offrant aux citoyens et aux investisseurs un instrument financier sûr et rentable.
L’ARMÉE DE L’AIR RENFORCE SES CAPACITÉS OPERATIONNELLES ET TECHNOLOGIQUES
À l’occasion des festivités du 4 avril célébrant la fête de l’Indépendance du Sénégal, un partenariat stratégique majeur a été annoncé entre l’Armée de l’air sénégalaise et Dr Drone Dynamics.
À l’occasion des festivités du 4 avril célébrant la fête de l’Indépendance du Sénégal, un partenariat stratégique majeur a été annoncé entre l’Armée de l’air sénégalaise et Dr Drone Dynamics. Cette collaboration se concrétise à travers la signature d’une convention, visant à renforcer les capacités technologiques et opérationnelles des Forces armées sénégalaises, dans un secteur clé pour la défense et la sécurité : les drones.
Sous le thème « Vers la souveraineté technologique et industrielle des Forces armées », cette alliance s’inscrit dans une dynamique nationale visant à promouvoir l’autonomie technologique et industrielle du pays. En mettant l’accent sur les expertises locales et l’intégration de technologies de pointe, l’initiative a pour ambition de positionner le Sénégal comme un acteur clé de l’innovation technologique en Afrique de l’Ouest.
Dr Drone Dynamics, reconnu pour son savoir-faire dans la conception de systèmes de drones et la formation dans ce domaine, apportera son expertise pour soutenir l’Armée de l’air sénégalaise dans la création de solutions stratégiques adaptées aux besoins de défense. Ce partenariat a également pour objectif de stimuler la recherche et l’innovation, deux éléments essentiels à la modernisation des capacités de défense du pays.
Avec ce partenariat, l’Armée de l’air sénégalaise marque un tournant dans la modernisation de ses équipements et dans son approche face aux enjeux sécuritaires. L’accord traduit également une volonté affirmée de renforcer la souveraineté nationale dans le secteur aéronautique et de garantir une meilleure anticipation des défis liés à la sécurité régionale.
Ce développement s’inscrit dans une vision plus large, celle de la volonté du Sénégal de se positionner en leader dans le domaine de l’innovation technologique, non seulement sur le plan africain, mais aussi à l’échelle mondiale. Un pas de plus vers l’autonomie et la modernité, en accord avec les enjeux contemporains de défense et de souveraineté nationale.
GAINDESAT-1A, LE LION DE L’ESPACE CONTINUE SA MISSION
Le premier satellite sénégalais, GAINDESAT-1A, poursuit son exploration spatiale et apporte des données précieuses pour le développement du pays. Mis en orbite le 16 août dernier, GAINDESAT-1A effectue un tour complet de la Terre toutes les 90 minutes...
Le premier satellite sénégalais, GAINDESAT-1A, poursuit son exploration spatiale et apporte des données précieuses pour le développement du pays.
Mis en orbite le 16 août dernier, GAINDESAT-1A effectue un tour complet de la Terre toutes les 90 minutes, soit 16 passages par jour, dont deux au-dessus du Sénégal. Lors de ces survols, l’équipe du projet spatial SENSAT dispose d’une fenêtre de sept minutes pour interagir avec l’engin.
Baptisé en référence au lion, symbole national du Sénégal, GAINDESAT-1A (Gestion Automatisée d’Informations et de Données Environnementales par Satellite) joue un rôle clé dans la surveillance de l’environnement et l’observation de la Terre. Il permet notamment de collecter des données essentielles à la gestion des ressources naturelles, en particulier celles liées à l’eau.
Avec ce projet novateur, le Sénégal s’affirme comme un acteur émergent dans le domaine spatial et pose les bases d’un futur prometteur pour l’utilisation des technologies satellitaires au service du développement durable.
L'ÉGYPTE EN SUBSTITUTION POUR L'ORGANISATION DE LA CAN DES MOINS DE 20 ANS
Encore l’Egypte ! Organisateur de la coupe d’Afrique des nations U-20 en 2023, remportée par le Sénégal, le pays des Pharaons a été désigné pour abriter cette même compétition prévue du 27 avril au 18 mai 2025
Encore l’Egypte ! Organisateur de la coupe d’Afrique des nations U-20 en 2023, remportée par le Sénégal, le pays des Pharaons a été désigné pour abriter cette même compétition prévue du 27 avril au 18 mai 2025. Ce, suite au désistement spectaculaire de la Côte d’Ivoire annoncé ce mardi. Un retrait qui n’est pas sans conséquences.
La fumée blanche est encore sortie du pays de pyramides. Après le désistement spectaculaire de la Côte d’Ivoire d’abriter la coupe d’Afrique des nations U-20, ce mardi 25 mars, la Confédération africaine de football (CAF) n’a pas perdu beaucoup de temps. Elle a désigné hier, jeudi 27 mars 2025, l’Égypte comme pays hôte de la compétition dont le Sénégal est détenteur du trophée.
« La Confédération Africaine de Football (CAF) a attribué à l'Association Égyptienne de Football (EFA) et au gouvernement égyptien les droits d’organisation de la Coupe d'Afrique des Nations U20 CAF 2025 », lit-on dans un communiqué de presse publié sur le site de l’instance suprême du football africain.
Et d’expliquer : « Cela fait suite à la décision de la Fédération Ivoirienne de Football (FIF) et du gouvernement de Côte d'Ivoire de se retirer de l’organisation du tournoi, en raison de circonstances imprévues ».
La CAF a même tenu a rappeler que « L'Association Égyptienne de Football et le gouvernement égyptien avaient précédemment soumis une candidature pour accueillir la Coupe d'Afrique des Nations U20 CAF 2025 ».
Le match d'ouverture de la Coupe d'Afrique des Nations U20 CAF 2025 se jouera le dimanche 27 avril 2025 et la finale le 18 mai 2025.
UNE CAN JUGÉE EXORBITANTE EN CÔTE D’IVOIRE
La Fédération Ivoirienne de Football a adressé un communiqué à la Confédération Africaine de Football (CAF), en annonçant qu’elle n’organiserait finalement pas la CAN U20 prévue du 26 avril au 18 mai prochain : « Par courrier officiel, le Gouvernement a notifié à la Fédération Ivoirienne de Football (FIF) le désistement de la Côte d’Ivoire en tant que pays hôte de la Coupe d’Afrique des Nations U20. Conformément aux instructions du Président de la FIF, le Directeur Exécutif a transmis cette information au Secrétaire Général de la Confédération Africaine de Football (CAF) ce mardi 25 mars 2025. »
Selon des sources dignes de foi, le président de la République, Alassane Dramane Ouattara (ADO) a refusé de mettre 5 milliards sur la table pour organiser cette CAN. «Nos autorités ont jugé la CAN U-20 trop exorbitante. On ne peut pas disposer d’autant d’infrastructures ultra-modernes, dépenser presque 500 milliards pour une CAN senior et se permettre de mettre 5 milliards encore pour une CAN U-20. Je pense que les gens ont fait preuve de gourmandise », confie un membre du Cocan 2023.
Mais au-delà de la vérité officielle, d’autres soutiennent qu’Abidjan n’aurait pas apprécié la « trahison » de Patrice Motsepe qui aurait promis au Chef de l’État ivoirien de faire élire le président de la Fédération ivoirienne de football (FIF), Idrissa Diallo, au Conseil de la Fifa. Une sorte de récompense pour la bonne organisation de la CAN 2023 mais aussi et surtout d’avoir accepté d’etre l’hôte de la CAN U-20.
Une promesse que le président de la CAF n’a pas pu tenir. Comme il n’avait pas tenir la promesse de faire organiser la CAN 2025 en Algérie en guise de récompenses aux autorités algériennes d’avoir pu organiser avec brio le CHAN et la CAN -17.
Reste maintenant à savoir si la CAF va appliquer son règlement en sanctionnant la Côte d’Ivoire. Comme elle l’avait contre le Maroc qui avait renoncé d’abriter la CAN 2015 en raison de la maladie Ébola. Le football africain avait failli mourir de sa belle mort si Issa Hayatou n’avait pas pu trouver une solution de rechange avec le président Teodoro Obiang Nguema de la Guinee Équatoriale.
LE MAROC SAUVÉ PAR LE TAS
La Confédération africaine de football (CAF), réunie au Caire le 11 novembre 2014, a annoncé que le Maroc refusait officiellement d’accueillir la Coupe d’Afrique des Nations, en janvier 2015. Le Maroc avait refusé d'organiser l'édition 2015 de la compétition aux dates prévues (17 janvier-8 février 2025), réclamant en vain son report du fait de l'épidémie d'Ébola en Afrique de l'Ouest. La CAF avait exclu le Maroc de l'édition 2015, trouvé un pays-organisateur de substitution en quatrième vitesse (la Guinée équatoriale) et avait ensuite suspendu le royaume chérifien pour les éditions 2017 et 2019.
Mais le TAS a considéré que "l’exclusion de l’équipe A du Maroc des deux prochaines éditions de la CAN n’était pas expressément prévue par les règlements en vigueur au moment du retrait de l’organisation de la CAN 2015 et en tous les cas, au vu des circonstances de l’affaire, n'était pas proportionnée à la faute de la FRMF (Fédération marocaine)". De ce fait, "la suspension de l’équipe nationale A de la Fédération Royale Marocaine de Football de toute participation aux deux prochaines éditions de la Coupe d’Afrique des Nations, en 2017 et 2019, est annulée", écrit ainsi la juridiction suprême du sport. .
SANCTIONS FINANCIÈRES PARTIELLEMENT ANNULÉES
Le Maroc avait également été sanctionné financièrement par la CAF. En premier lieu, la Confédération africaine de football avait infligé au Maroc une amende de 1 million de dollars (plus de 500 millions F CFA). Le TAS estime qu'il faut la ramener à 50.000 dollars (45.976 euros environs), ce qui correspond au montant maximum prévu par le règlement de la CAF en vigueur au moment des faits.
La CAF réclamait en outre, cette fois au titre des dommages et intérêts, une somme de 8,75 millions de dollars (8,05 millions d'euros). Sur ce point la décision du TAS est à double détente. "Sur le fond", le TAS "a estimé qu’aucune disposition réglementaire ne permettait à la CAF d'obliger unilatéralement la FRMF à verser une indemnité pour dommage". Mais le TAS "n’a toutefois pas écarté le droit de la CAF à obtenir la réparation d’un dommage éventuel, notamment par la mise en œuvre de la procédure d’arbitrage prévue spécialement dans le contrat d’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations". Cette partie du litige n’est donc probablement pas terminée, car le contrat d’organisation de la CAN-2015 prévoyait une autre voie de droit (une autre juridiction) qui peut encore être exploitée.
Ce qui pourrait jouer contre le Maroc dans ce dernier volet ? "Sur le fond, la FRMF ne pouvait pas se prévaloir d’un cas de force majeure dans la mesure où l’épidémie Ébola ne rendait pas impossible l’organisation de la CAN au Maroc", souligne le TAS.
Mais la Côte d’Ivoire n’est le Maroc. Surtout pas ce Maroc sous Fouzi Lekjaa. Affaire à suivre !
POUR LE DEVELOPPEMENT DE LA GOUVERNANCE LOCALE
Le ministre de l’Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement des Territoires du Sénégal, Balla Moussa Fofana, a présidé hier, jeudi 27 mars 2025, le lancement du Prix d'Excellence du Leadership Local, édition panafricaine 2025,
L’Observatoire International de la Démocratie Participative en Afrique (OIDP Afrique), en collaboration avec l’Union africaine et Cités et Gouvernements Locaux Unis d’Afrique (CGLUA), a lancé hier, jeudi 27 mars 2025, le Prix d'Excellence du Leadership Local (PELL), édition panafricaine 2025. Un lancement effectué à travers un format webinaire, sous la présidence du ministre de l’Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement des Territoires du Sénégal, Balla Moussa Fofana.
Le ministre de l’Urbanisme, des Collectivités Territoriales et de l’Aménagement des Territoires du Sénégal, Balla Moussa Fofana, a présidé hier, jeudi 27 mars 2025, le lancement du Prix d'Excellence du Leadership Local, édition panafricaine 2025, dont les soumissions se feront du 07 avril au 16 juin courant à travers une plateforme dédiée dont le lien est accessible sur le site et les réseaux de l’OIDP Afrique. Une initiative portée par l’Observatoire International de la Démocratie Participative en Afrique (OIDP Afrique), en collaboration avec l’Union africaine et Cités et Gouvernements Locaux Unis d’Afrique (CGLUA).
Selon les acteurs, ce prix entre dans le cadre de la promotion de la décentralisation, gouvernance locale et développement local en Afrique. Pour le secrétaire général de l'OIDP Afrique, Bachir Kanouté, «le PELL s’inscrit dans les recommandations de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine (UA) et des engagements adoptés par les Chefs d’État à travers la Charte Africaine des Valeurs et Principes de la Décentralisation, de la Gouvernance locale et du Développement local. Il vise à distinguer et primer les acteurs de l’écosystème de la décentralisation, gouvernance et développement engagés dans des initiatives innovantes favorisant l’accès aux services publics, la participation citoyenne et la gouvernance inclusive».
Et de signaler : «cette charte encourage les États parties à institutionnaliser des systèmes transparents de reconnaissance de l’excellence et de l’innovation dans la gouvernance et la décentralisation». Au-delà, ces objectifs, le PELL encourage également le partage des bonnes pratiques et des expériences inspirantes portées par les ministères, les Collectivités territoriales, les journalistes communicants, les universitaires-chercheurs, les enfants et jeunes créateurs et les citoyens transformateurs.
Rappelons qu’en plus de la présence du ministre Balla Moussa Fofana, par ailleurs vice-président de la Commission technique n°8 de l’Union Africaine sur la Fonction publique et l’Administration, les Collectivités locales, le Développement urbain et la Décentralisation, ce lancement a vu la participation de plus de 200 participants venant de plus de 30 pays notamment l’Angola, le Benin, le Burkina Faso le Congo, la République Démocratique du Congo, les Etats-Unis, l’Ethiopie, le Gabon, la Gambie, le Ghana, la Guinée, le Liberia, le Madagascar, le Mali, le Maroc, la Mauritanie, le Mozambique, le Niger, le Nigeria, le Sénégal, la Sierra Leone, la Tanzanie, le Togo, entre autres.
UNE BAISSE SIGNIFICATIVE DU PRIX DU RIZ ANNONCÉE POUR LE 3 AVRIL
Le ministre de l’Industrie et du Commerce, Serigne Gueye Diop a présidé, hier, jeudi 27 mars à Dakar, une réunion du Conseil National de la Consommation (CNC) consacrée à la révision du prix du riz brisé ordinaire, c’est-à-dire non parfumé.
Le ministre de l’Industrie et du Commerce, Serigne Gueye Diop a présidé, hier, jeudi 27 mars à Dakar, une réunion du Conseil National de la Consommation (CNC) consacrée à la révision du prix du riz brisé ordinaire, c’est-à-dire non parfumé. À l’issue de cette concertation, une baisse de 60 F CFA par kilogramme a été proposée. Cette réduction sera officiellement validée et annoncée par le président de la République lors de son discours à la Nation du 3 avril prochain.
Le ministre a rappelé que la détermination du prix officiel repose sur un processus méthodique impliquant grossistes, détaillants et commerçants. Les marges appliquées sont minutieusement analysées avant la transmission d’un rapport au président de la République, qui prend la décision finale.
Dr Serigne Gueye Diop a salué l’engagement du gouvernement indien, qui a joué un rôle déterminant dans cette révision tarifaire. Selon lui, cette baisse des prix représente une économie de plus de 100 dollars par tonne par rapport à l’année précédente. Il a également assuré que le Sénégal continuerait à surveiller l’évolution du marché mondial et à négocier avec ses partenaires commerciaux, notamment l’Inde, afin d’obtenir de nouvelles réductions profitant aux consommateurs.
Par ailleurs, il a tenu à rassurer ces derniers : toute diminution supplémentaire des cours mondiaux sera intégralement répercutée sur le prix de vente, tout en préservant un équilibre économique pour les importateurs. Cette mesure concerne principalement le riz importé d’Inde, de Thaïlande et du Vietnam.
OPTIMISATION DES CIRCUITS D’APPROVISIONNEMENT ET ÉLIMINATION DES INTERMÉDIAIRES
Dans le cadre de cette réforme (laquelle ? ) , plusieurs missions sénégalaises se sont rendues en Inde afin de négocier directement avec les producteurs et de supprimer les intermédiaires. Cette démarche vise à éliminer les surcoûts inutiles qui alourdissent le prix final du riz. À l’issue des négociations, le prix d’achat a été fixé entre 380 et 480 dollars la tonne, soit 240 F CFA le kilogramme. « Nous avons informé les consommateurs qu’une réduction des prix était envisageable. Une proposition de 350 F CFA par kilo a été retenue, soit 100 F CFA de moins que l’ancien tarif de 450 F CFA sous le précédent régime. Concrètement, le sac de riz de 50 kg, qui coûtait 22 000 F CFA, sera désormais vendu à 17 000 F CFA », a précisé le ministre.
RENFORCEMENT DES MÉCANISMES DE CONTRÔLE DES PRIX
Afin de garantir le respect strict des nouveaux tarifs, un dispositif renforcé de surveillance et de contrôle sera mis en place. Plusieurs mesures ont été adoptées, à cet effet, à savoir le recrutement de 1 000 volontaires chargés de vérifier l’application des prix et de lutter contre les pratiques abusives ; le déploiement de l’application "Yolel", permettant aux citoyens de signaler en temps réel toute irrégularité auprès des services compétents et la création de 11 nouveaux services d’enquêtes économiques, qui seront opérationnels dès mai afin de renforcer la lutte contre la fraude et la spéculation sur les prix.
UNE INITIATIVE AU SERVICE DU POUVOIR D’ACHAT ET DE LA SOUVERAINETÉ ALIMENTAIRE
Avec cette nouvelle tarification, le gouvernement sénégalais ambitionne de réduire le coût du panier alimentaire des ménages, tout en garantissant une stabilité durable du marché. Cette réforme s’inscrit dans une stratégie plus large, visant à renforcer la souveraineté alimentaire et à assurer un approvisionnement régulier en denrées essentielles. « Le Conseil National de la Consommation poursuivra ses travaux afin de surveiller l’évolution des marchés et d’ajuster, si nécessaire, la politique tarifaire en fonction des réalités économiques et sociales du pays », a conclu le ministère.
LES EXPERTS-COMPTABLES MOBILISES POUR UN AUDIT EXHAUSTIF
Mor Dieng, le président de l’Ordre National des Experts-Comptables et des Comptables Agréés du Sénégal (ONECCA) a réaffirmé l’engagement de son association à accompagner l’État dans la mise en conformité de sa situation comptable,
Mor Dieng, le président de l’Ordre National des Experts-Comptables et des Comptables Agréés du Sénégal (ONECCA) a réaffirmé l’engagement de son association à accompagner l’État dans la mise en conformité de sa situation comptable, en réponse aux irrégularités relevées par la Cour des comptes et corroborées par le Fonds monétaire international.
En conclave hier, jeudi 27 mars, à Dakar dans le cadre de la 105ème réunion du Conseil de l’Association des Ordres des Experts-Comptables en Afrique de l’Ouest (ABWA), comptant à son actif 120 000 comptables professionnels issus de 16 organisations comptables professionnelles d’Afrique de l’Ouest et du Centre, le président de l’ABWA, Mor Dieng a saisi la balle au bond pour mettre en exergue les défis comptables auxquels le Sénégal est confronté, notamment à la suite des écarts de gestion identifiés dans les audits institutionnels récents.
« Le rapport met en évidence deux problématiques majeures : d’une part, des failles dans le système d’informations, qui ont conduit à l’engagement de certaines dettes en dehors du circuit comptable du Trésor et d’autre part, des dysfonctionnements comptables ayant entraîné des irrégularités, notamment des dettes et des recettes non retracées », a expliqué Mor Dieng, président de l’ABWA.
Face à ces constats, il a souligné l’impérieuse nécessité de mener un audit approfondi, remontant potentiellement jusqu’à 2012, afin d’apporter une transparence totale sur la situation financière de l’État. Il a également plaidé pour l’implication de l’Ordre national des Experts Comptables et Comptables agréés du Sénégal (ONECCA) dans cette démarche, estimant que l’expertise nationale doit être mobilisée pour garantir la régularisation des comptes publics.
UN VIVIER DE COMPÉTENCES POUR UNE MISSION D’ENVERGURE
L’ONECCA se positionne comme un acteur clé de cette dynamique, fort de près de 300 cabinets et de quelques 3 000 professionnels hautement qualifiés. Ses membres opèrent selon des standards internationaux rigoureux, alignés sur les pratiques en vigueur en France, aux États-Unis et en Belgique. « Nous disposons des effectifs et des compétences nécessaires pour mener à bien cette mission. Nous sommes l’unique institution habilitée à effectuer ce travail avec la rigueur et la précision requises », a affirmé Mor Dieng avec conviction. Le Directeur général des Impôts et Domaines, Jean Koné, a apporté son soutien à cette initiative, soulignant que la transparence financière constitue un principe fondamental de la gouvernance actuelle. « L’ONECCA joue un rôle central dans la fiabilisation de l’information financière. L’État a besoin de partenaires de référence tels que l’Ordre pour garantir l’exactitude des données comptables et assurer la transparence vis-à-vis des citoyens et des partenaires internationaux », a-t-il déclaré.
UN ENJEU STRATÉGIQUE POUR LA GOUVERNANCE ÉCONOMIQUE
Selon Jean Koné, l’État doit s’entourer de partenaires de confiance, dotés d’une expertise avérée en matière de contrôle, de certification et de validation des comptes publics. Il a insisté sur le fait que, bien que ces missions soient historiquement associées aux entreprises privées, l’ONECCA est désormais appelé à jouer un rôle de premier plan dans la consolidation des finances publiques.
Au-delà des aspects purement techniques, la question de la transparence comptable revêt une dimension politique et économique majeure. Comme l’a rappelé Mor Dieng, la qualité de l’information financière conditionne l’efficacité des politiques économiques, la fiabilité des données statistiques et la crédibilité du pays sur la scène internationale. «Sans une information financière rigoureuse, il est impossible d’élaborer des politiques économiques pertinentes ni d’établir une fiscalité juste et efficiente. Une donnée comptable fiable constitue le socle du développement économique et social d’un pays. Et c’est précisément là que réside notre mission », a-t-il insisté.
Loin d’adopter une posture de censeur, l’ONECCA entend jouer un rôle d’accompagnateur, mettant son expertise au service de l’intérêt général pour renforcer la robustesse et la lisibilité du système financier sénégalais.
UNE DÉMARCHE INSCRITE DANS UNE DYNAMIQUE SOUS RÉGIONALE
Cette initiative s’inscrit également dans un cadre plus large, à l’échelle de l’Afrique de l’Ouest. L’ABWA, qui fédère plus de 120 000 professionnels comptables issus de 16 organisations, œuvre à l’harmonisation des normes comptables, au renforcement des capacités et à la promotion de l’éthique dans la profession.
À travers ces actions, l’ONECCA et l’ABWA entendent contribuer activement à la modernisation et à la sécurisation de l’information financière, pierre angulaire d’une gouvernance économique transparente et efficiente.