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5 février 2025
DÉCÈS DU PÈRE DE CHEIKHOU KOUYATÉ
Le milieu de terrain sénégalais, Cheihou Kouyaté, a perdu son père, informe le journaliste de la TFM, Mamadou Ndiaye actuellement à Yamoussoukro pour la couverture de la Coupe d'Afrique des Nations
iGFM (Dakar) Le milieu de terrain sénégalais, Cheihou Kouyaté, a perdu son père, informe le journaliste de la TFM, Mamadou Ndiaye actuellement à Yamoussoukro pour la couverture de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 2023.
Présentement en Côte d’Ivoire avec les Lions du Sénégal pour les besoins de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 2023, le vice-capitaine sénégalais a appris cette mauvaise nouvelle, au lendemain de la large victoire (3-0) contre la Gambie.
L’EQUITE ET L’INCLUSION, UNE SOURCE DE CONFIANCE DES POPULATIONS DANS LES POLITIQUES PUBLIQUES
L’équité et l’inclusion en plus d’être une question de justice sociale, sont une source de confiance des populations dans les politiques publiques déclinées, a déclaré mardi à Diamniadio, le président de la République.
Diamniadio, 16 jan (APS) – L’équité et l’inclusion en plus d’être une question de justice sociale, sont une source de confiance des populations dans les politiques publiques déclinées, a déclaré mardi à Diamniadio, le président de la République.
« Au demeurant, l’équité et l’inclusion sont plus qu’une question de justice sociale. Elles sont aussi une source de confiance des populations dans les politiques publiques déclinées sur le terrain, au-delà des pétitions de principe », a déclaré Macky Sall.
Le chef de l’Etat intervenait à l’ouverture de la Journée nationale de l’équité sociale et territoriale axée sur le thème « L’équité sociale et territoriale au cœur du Plan Sénégal émergent ».
Selon le président de la République, « il ne s’agit pas seulement de déclarer l’équité, mais de la pratiquer en lui donnant un contenu concret par une approche qui sort des sentiers battus de l’ordinaire ».
Il a à ce propos cité quelques initiatives phares de son action sociale.
Macky Sall a évoqué le Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC) dont »le modèle innovant a pu inspirer d’autres pays africains ».
Le PUDC »nous a permis de construire plus de 827 km de pistes de désenclavement, d’électrifier 974 villages et d’installer 328 forages dont plusieurs forages multi villages », a t-il dit non sans rappeler la distribution d’équipements pour l’allégement des travaux des femmes.
Il y a le Programme d’urgence de modernisation des axes et territoires frontaliers (PUMA) qui a réalisé 249 km de pistes, électrifié 97 localités et permis le désenclavement de 284 villages, sans compter la construction de structures de santé et d’autres commodités, a souligné le chef de l’Etat.
Le Programme de modernisation des villes (PROMOVILLES) a positivement impacté plus de 3 millions d’habitants avec 198 km de voiries et 3998 lampadaires, s’est réjoui Macky Sall.
Quant au Programme des bourses de sécurité familiale, il a permis à 355 626 ménages de bénéficier d’une allocation initiale de 25 000 FCFA portée à 35 000 FCFA en 2023, a-t-il fait savoir.
« De 2013 à nos jours, des transferts de l’ordre de 268 milliards de Fcfa ont été effectués au titre des BSF (Bourses de sécurité familiale) », a relevé Macky Sall.
S’agissant du Programme de couverture sanitaire universelle, dont l’objectif est d’étendre au maximum de bénéficiaires l’accès aux soins de santé, »il nous a permis de passer d’un taux de couverture de 20% en 2012 à 53,2 % en 2023″, s’est il encore réjoui.
Macky Sall a également cité la DER/FJ, « un instrument dédié à l’autonomisation des femmes et des jeunes » qui compte à ce jour plus de 250 000 bénéficiaires, avec une gamme de prêts variés, y compris les plus petits, appelés nano crédits, a souligné Macky Sall.
« A ces différents instruments, s’ajoutent les interventions du Fonds de Solidarité nationale et celles du Commissariat à la Sécurité alimentaire et à la Résilience devenu récemment Direction générale », a ajouté le président de la République.
DÉCLARATION SUR L’HORREUR !
Le Sénégal n’est pas un jouet qui doit être entre des mains de gens qui font du «ngaralé». Quand on est poursuivi par la justice sénégalaise, on est Français ou Américain.
Le Sénégal n’est pas un jouet qui doit être entre des mains de gens qui font du «ngaralé». Quand on est poursuivi par la justice sénégalaise, on est Français ou Américain.
Quand on veut être candidat, on est Sénégalais. Bi ou double nationalité, pour diriger notre pays, nous devons l’aimer et ne jamais le comparer à un autre.
C’est l’avenir du pays et des risques de haute trahison qui sont en jeu.
La législation doit être corsée sur ce point avec un contrôle a priori. Et non juste une confiance aveugle à une «déclaration sur l’honneur». Pour éviter l’horreur.
GAZA, LE BILAN DES VICTIMES DE LA GUERRE S’ALOURDIT À 24 285 TUÉS
Le ministère palestinien de la Santé à Gaza a déploré ce mardi un bilan encore plus lourd des victimes de la guerre menée par Israël contre la bande de Gaza avec “24 285 martyrs et 61 154 blessés“
Le ministère palestinien de la Santé à Gaza a déploré ce mardi un bilan encore plus lourd des victimes de la guerre menée par Israël contre la bande de Gaza avec “24 285 martyrs et 61 154 blessés“, depuis le 7 octobre dernier.
C’est ce qui ressort d’un communiqué rendu public par le ministère sur Telegram, révélant les derniers chiffres de “la 102e journée de la brutale agression israélienne contre la bande de Gaza“.
Le ministère a rapporté que “l’occupation israélienne a commis 15 massacres contre des familles dans la bande de Gaza, faisant 158 martyrs et 320 blessés au cours des dernières 24 heures”.
“Plusieurs victimes sont toujours sous les décombres et sur les routes et les ambulances, ainsi que les équipes de la protection civile, ne peuvent pas les secourir”, a ajouté la même source.
Concernant le bilan total depuis le début de l’agression israélienne, le ministère de l’enclave palestinienne a déploré “24 285 martyrs et 61 154 blessés”.
Les opérations militaires meurtrières menées par Israël contre la bande de Gaza a provoqué une “catastrophe humanitaire sans précédent“ et contraint plus de 85 % de la population de la bande déplacement en l’espace de trois mois, ce qui équivaut à 1,9 million de personnes, selon les données publiées par les autorités palestiniennes et les Nations unies.
LE PROCUREUR S’OPPOSE À LA LIBERTÉ PROVISOIRE DE PAPE SANÉ ET LE CONVOQUE
Nouveau rebondissement dans l’affaire Pape Sané. La liberté provisoire que lui avait accordée le juge est remise en cause par le procureur de la République.
Il est, en effet, convoqué ce jeudi 19 janvier 2024 par le Parquet. C’est le chroniqueur de Wal Fadjri lui-même qui confirme la convocation, tout en déclarant ne guère être surpris.
« Je m’y attendais. Depuis qu’Abdou Karim DIOP dirige le Parquet, qui avez-vous vu bénéficier d’un contrôle judiciaire ou d’une liberté provisoire sans qu’il ne fasse appel ? Il n’y en a pas. Il est dans son rôle et je le laisse jouer son rôle. Dans chaque société, chaque personne à son rôle à jouer et lui c’est d’envoyer en prison. On le lui reconnaît. Mais, nous aussi on a le sien et on le fait et on va continuer de le faire insha Allah. ( …)», explique Pape SANÉ, dans sa chronique du mardi à l’émission R’eveil de WalfTv.
Poursuivant, le journaliste qui laisse apparaitre toute sa déception, étale sa détermination à continuer à faire son travail. « Cette dextérité qu’a le procureur de mettre les journalistes et les opposants en prison alors que les détournements de fonds, la drogue dans ce pays sont autant de choses à traiter mais bon. Cela ne va pas nous empêcher de faire notre travail», dit-il.
Pour rappel, arrêté le 13 novembre dernier, par la Section de recherches de la Gendarmerie, Pape SANÉ a été accusé de diffusion de « fausses nouvelles » sur une ancienne publication sur sa page Facebook, rendant hommage au général Jean Baptiste TINE. Après près d’une semaine de détention, il a été provisoirement libéré et placé sous contrôle judiciaire. C’est à cela que le procureur s’oppose en convoquant le journaliste.
UN INDIVIDU MORTELLEMENT HEURTÉ PAR LE TER
Le trafic du TER a été interrompu, ce matin, dans le sens Dakar-Diamniadio, après qu’il a heurté un individu à hauteur de Keur Mbaye Fall.
Le Train express Régional (TER) est bloqué depuis ce matin, pour cause il a heurté un individu à hauteur de Keur Mbaye Fall, ce qui a occasionné l’arrêt de la circulation dans le sens Dakar-Diamniadio.
Selon notre source, l’identité de la victime n’est pas encore connue, mais les sapeurs-pompiers et les éléments de la gendarmerie sont sur place pour secours et constatations.
Face à la tragédie, les passagers ont fini par descendre du train pour prendre des bus et car rapides afin de continuer leur route.
S’agissant des responsables du TER, ils ont publié un communiqué pour déplorer l’accident. « une personne étrangère aux activités du TER a traversée les voies et a été accidenté par un train », souligne la note.
La circulation des trains a repris en début d’après-midi sur toute la ligne.
DECOLLAGE DES RECETTES DOUANIERES
Le montant des recettes douanières tourne autour de 5 à 6 milliards FCFA par jour depuis la mise en œuvre de la dématérialisation intégrale des formalités de dédouanement, a déclaré, mardi à Dakar, le Directeur général des Douanes, Mbaye Ndiaye.
Dakar, 16 jan (APS) – Le montant des recettes douanières tourne autour de 5 à 6 milliards FCFA par jour depuis la mise en œuvre de la dématérialisation intégrale des formalités de dédouanement, a déclaré, mardi à Dakar, le Directeur général des Douanes, Mbaye Ndiaye.
Avec la dématérialisation, ‘’nous sommes dans une dynamique positive avec des recouvrements tournant entre 5 et 6 milliards par jour, ce qui atteste de la qualité des nouvelles procédures’’, a-t-il dit lors de la journée d’évaluation de la dématérialisation des procédures douanières et du commerce extérieur.
Cette mesure met fin à l’utilisation du support papier pour les formalités de dédouanement en vue d’une plus grande plus efficacité dans le traitement des dossiers.
»On route (transfert) l’ensemble des systèmes d’information de la douane pour permettre d’imprimer davantage de célérité aux formalités de dédouanement mais aussi réduire le coût des formalités de passage en douane », a-t-il expliqué.
Selon M. Ndiaye, la dématérialisation est une importante ‘’réforme’’ qui permet de sécuriser le recouvrement des recettes douanières mais aussi ‘’contribuer à l’amélioration de l’environnement des affaires’’.
Le directeur général des Douanes est revenu sur les contraintes auxquelles les acteurs économiques sont confrontés dans le cadre de cette modernisation du système qui a débuté le 1er janvier dernier.
‘’Aujourd’hui, avec la dématérialisation, on peut tout simplement, à partir de son bureau, collecter de manière électronique l’ensemble [des] documents, (…) ce qui permet non seulement de supprimer les déplacements physiques mais surtout d’accroître la célérité et la rapidité des formalités douanières’’, a-t-il fait valoir.
Pour sa mise en œuvre, la douane a fait face à des difficultés d’ordre logistique mais également à de la résistance de la part des acteurs concernés.
‘’Mais la sensibilisation a permis de dépasser ces contraintes et aujourd’hui, ce sont des formalités qui sont bien maîtrisées et je vous assure que même au niveau des recouvrements des recettes’’, a dit le DG, Mbaye Ndiaye.
Les commissionnaires agréés en douane, les organisations professionnelles d’importateurs et les autres participants ont salué cette ‘’mesure phare’’ qui permet de révolutionner les formalités de dédouanement et de les inscrire de manière durable dans la révolution numérique.
Cheikh Loum Pouye, président du Conseil de discipline des commissionnaires en douane au Sénégal (CDCDS), dit être convaincu qu’ »une dématérialisation des procédures douanières bien encadrée [constitue] sans aucune doute un gage de transparence pour l’amélioration des affaires dans notre pays ».
LE BRT MIS EN CIRCULATION EN MI-FÉVRIER 2024, SELON MANSOUR FAYE
Ceux qui pensaient prendre le Bus Rapid Transit (BRT) au lendemain de son inauguration peuvent déchanter. Les travaux ne sont pas encore terminés à 100%. Il reste quelques détails à terminer.
Ceux qui pensaient prendre le Bus Rapid Transit (BRT) au lendemain de son inauguration peuvent déchanter. Les travaux ne sont pas encore terminés à 100%. Il reste, selon le ministre des Transports terrestres et du Désenclavement, quelques détails à terminer. Ainsi, il prend date pour le mois de février pour la mise en circulation du BRT.
«Nous pouvons retenir la mi-février, vers la deuxième décade du mois de février, pour voir des passagers ciblés emprunter le BRT progressivement. Ce sera mis en service et les Sénégalais pourront, chacun à son tour, effectivement prendre le BRT », déclare-t-il.
A noter que le BRT a été inauguré ce 14 janvier par le président Macky SALL. Mais à l’instar du TER, l’inauguration est suivie de travaux avant la mise en circulation.
ÉVASION DE DÉTENUS A LA MAC DE MBOUR, L’ADMINISTRATION PÉNITENTIAIRE DÉMENT L’OBS
Dans son édition de ce mardi, le journal « l’Observateur » renseigne qu’à la Maison d’arrêt et de correction de Mbour, des détenus ont pris la poudre d’escampette après la victoire du Sénégal face à la Gambie.
Dans son édition de ce mardi, le journal « l’Observateur » renseigne qu’à la Maison d’arrêt et de correction de Mbour, des détenus ont pris la poudre d’escampette après la victoire du Sénégal face à la Gambie.
Une information battue en brèche par la Direction générale de l’Administration pénitentiaire. Dans un communiqué, elle dément catégoriquement cette allégation. « Aucun détenu ne manque à l’appel à la Maison d’arrêt et de correction de Mbour », renseigne le document.
UN PROBLEME DE BILLETS POLLUE LA CAN
Alors que la fête s’annonçait belle avec une cérémonie d’ouverture en grande pompe, les stades de la Can peinent à se remplir. Et d’après les informations, un trafic malsain de billets se cache derrière ce constat amer.
Woury DIALLO (Envoyé spécial à Yamoussoukro) – |
Publication 16/01/2024
Après l’ouverture en fanfare de la Can 2023 samedi dernier, la Caf, la Côte d’Ivoire et son Cocan font face à un sérieux problème de billets qui impacte tous les pays participants et leurs supporters. D’où l’explication de la faible affluence notée dans les stades, comme lors du match d’ouverture, pourtant annoncé à guichets fermés, et qui a enregistré seulement 36 658 supporters dans un stade de 60 000 places.
Alors que la fête s’annonçait belle avec une cérémonie d’ouverture en grande pompe, les stades de la Can peinent à se remplir. Et d’après les informations, un trafic malsain de billets se cache derrière ce constat amer.
Pour preuve : au match d’ouverture de la Can 2023 ce samedi entre la Côte d’Ivoire et la Guinée-Bissau, le Stade d’Ebimpé d’Abidjan n’a pas fait le plein. Alors que ce stade qui accueille l’ouverture et la finale, ainsi que les rencontres du pays organisateur, peut accueillir 60 000 personnes, seuls 36 658 supporters étaient présents. D’après les informations re¬cueillies sur place, tous les tickets ont été vendus pour ce match qui devait se jouer à guichets fermés.
Sur les 60 000 places, 8500 ont regardé Nigeria-Guinée Equatoriale
Ce dimanche, sur les mêmes installations, le match entre les Super Eagles du Nigeria et la Guinée Equatoriale a connu une affluence très médiocre. Sur les 60 000 places, 8500 supporters ont fait le déplacement pour cette rencontre qui se joue dans le Groupe A. Pour l’image de la compétition et de la Côte d’Ivoire, il s’agit d’un sacré coup dur quand on sait que la Caf reste attentive à ce genre de situation. Les Ivoi¬riens, grands amateurs de football, font l’essentiel pour se rendre dans les stades, sauf que d’autres personnes sont en train de rendre les choses compliquées.
Des billets de 10 mille vendus à…25 mille au marché noir
En effet, d’après les recoupements, des sociétés et/ou personnes, qui pensent se faire beaucoup d’argent avec cette Can 2024, ont très tôt acheté les tickets pour les revendre à un prix plus cher au moment des matchs. Certaines sources révèlent des billets de 10 mille vendus à…25 mille au marché noir.
D’ailleurs, après le match Côte d’Ivoire-Guinée-Bissau, l’ancien sélectionneur, Claude Le Roy, n’a pas manqué de souligner l’ambiance au stade qui a manqué lors de cette rencontre d’ouverture.
Ce dimanche, nombreux ont été les supporters qui ont suivi le match entre l’Egypte et le Mozambique sur leurs téléphones aux abords du stade alors qu’ils étaient en possession de tickets électroniques payés.
«On est bloqués à l’entrée du stade car les machines n’acceptent pas les billets électroniques (sur nos téléphones)… mais uniquement les billets physiques. Pour pouvoir rentrer au stade, on doit donc racheter un ticket… et on est très nombreux dans le même cas», a pesté un expatrié arrivé pour suivre la compétition. Plusieurs réactions allant dans le même sens font le plein sur les réseaux sociaux. En fait, tous les pays participants et leurs supporters sont impactés dont le Sénégal.
Aux dernières nouvelles, la Caf et le Cocan s’activent pour régler le problème.