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7 février 2025
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L'ART DE VERSIFIER L'INSUPPORTABLE
En marge d'une prestation avec l'artiste Puy Barral, la slameuse sénégalaises a accordé une interview à Africa Globe Tv. La slameuse est revenue sur certaines thématiques qu’elle aborde dans ses textes comme l'amour, la polygamie, entre autres - Entretien
La slameuse Samira Fall était récemment en concert avec l’artiste espagnole Puy Barral à l'Institut Cervantes de Dakar dans le cadre d'un projet pour honorer la tradition orale intitulé "Quand personne ne se souvient".
En marge de leur prestation commune, la slameuse sénégalaises a accordé une interview à Africa Globe Tv. Elle est revenue sur certaines thématiques qu’elle aborde dans ses textes comme l'amour, la polygamie,entre autres.
Samira nous explique ou confirme qu’elle transcrit en vers les situations de la vie qu’elle ne supporte pas. Samira Fall dit être inspirée par son environnement, par sa société ou des histoires qu'elle entend. Elle annonce un album pour la nouvelle année.
Suivez son entretien sur AfricaGlobe Tv
SIÈGE DES BRICS, DE NOUVEAUX MEMBRES INTÈGRENT LE CERCLE
2024 démarre avec l’intégration officielle de l’Égypte et de l’Éthiopie au sein des BRICS lundi.
2024 démarre avec l’intégration officielle de l’Égypte et de l’Éthiopie au sein des BRICS lundi, d’après l’Agence de Presse Sénégalaise (APS).
En effet, Le 24 Août 2023, les BRICS ont organisé leur 15e sommet à Johannesburg, en Afrique du Sud, dont la priorité était « la question de l’élargissement » du groupe qui, depuis cette assemblée, est constitué du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine, de l’Afrique du Sud, de l’Arabie Saoudite, de l’Iran et des Émirats-Arabes Unis.
MARIÈME FAYE SALL FAIT UNE SURPRENANTE APPARITION AU CONCERT DE YOUSSOU NDOUR
La première était en compagnie de ses proches et quelques gardes du corps pour assister la soirée. L’image immortalisée par les centaines de fans qui filmaient la scène va sans doute faire le tour de la toile.
Le Roi du mbalax, Youssou Ndour a livré un show spectaculaire ce lundi, à la place du souvenir Africain pour la soirée VIP. S’il y a une chose à laquelle les fans de l’artiste international ne s’attendaient pas, c’est de croiser la première dame. En effet, Marieme Faye Sall a fait une surprenante apparition avant même l’arrivée sur scène du chanteur.
La première était en compagnie de ses proches et quelques gardes du corps pour assister la soirée. L’image immortalisée par les centaines de fans qui filmaient la scène va sans doute faire le tour de la toile.
CE SERA L’UNE DES ÉDITIONS DE LA CAN LES PLUS DIFFICILES
Star du Sénégal lors du sacre du 6 février 2022, Sadio Mané rêve de conserver ce titre de champion d’Afrique en Côte d’Ivoire dans les prochains jours.
Star du Sénégal lors du sacre du 6 février 2022, Sadio Mané rêve de conserver ce titre de champion d’Afrique en Côte d’Ivoire dans les prochains jours. Dans un entretien accordé à CafOnline, le numéro 10 des Lions s’at- tend néanmoins à disputer une des éditions les plus difficiles de l’histoire de la Coupe d’Afrique des Nations (Can).
Le meilleur joueur de la dernière édition de la Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies s’est entretenu avec CAFOnline sur les chances de son pays de conserver le titre glané lors de la précédente édition au Cameroun et sur ce qu’un tel exploit signifierait pour lui ou pour la nation.
Logé dans le groupe C considéré comme celui de la «mort», le Sénégal sera en compagnie du Cameroun, de la Guinée et de la Gambie. Interpellé sur ce groupe difficile et sur le reste du tournoi, Sadio Mané a déclaré que son équipe s’attendait à une compétition difficile pour la simple raison que toutes
les grandes nations africaines seront présentes à cette édition en terre ivoirienne et auront toutes pour objectif de soigner leur participation. «Nous savons que ce ne sera pas facile mais nous serons là pour faire de notre mieux et essayer de passer chaque tour. Nous nous attendons à une rude concurrence. Cette compétition sera l’une des plus fortes depuis que j’y participe parce que tous les grands pays sont ici et ils ont tous leurs objectifs. Mais nous verrons ce qui se passera», a déclaré le capitaine.
Lastarde31ansa également indiqué qu’un deuxième trophée consécutif représenterait un exploit particulier, le trophée de la CAN CAF TotalEnergies étant considéré par le joueur comme le meilleur qu’il ait remporté au cours de sa brillante carrière. «Premièrement, remporter la CAN a été le meilleur trophée que je n’ai jamais remporté de ma vie et revenir sur cette scène serait spécial et un grand exploit. C’est un rêve de jouer dans cette compétition depuis que je suis enfant et nous ferons de notre mieux. Gagner la CAN aura un grand impact pour notre football car nous avons gagné toutes les autres catégories, ce qui est formidable pour le pays», a conclu Mané.
Le Sénégal débutera la défense de sa couronne contre la Gambie, le lundi 15 janvier 2024, avant le duel très attendu des Lions face aux Lions Indomptables du Cameroun, trois jours plus tard. Ils joueront leur dernière rencontre de groupe contre la Guinée, le mercredi 23 janvier.
par Amadou Tidiane Wone
POLITIQUES DE LA MISÈRE ET MISÈRES DE LA POLITIQUE
Le bilan matériel du président sortant est bien loin de ce que l’on pourrait penser d’un pays émergent. Les réalisations déclarées sont autant de remparts cache-misère d’une réalité peu reluisante du pays
Les œuvres humaines sont imparfaites. Par nature. Un bilan humain doit toujours comporter deux colonnes. Les succès d’une part. Les échecs de l’autre. C’est la balance, d’un côté ou de l’autre, qui donne du crédit positif ou négatif au bénéfice de son auteur. Cela en conformité avec le verset 9 de la Sourate 55 du Saint Coran, Ar. Rahmane : « Donnez [toujours] le poids exact et ne faussez pas la pesée ». En ne donnant, par exemple, qu’un seul versant du bilan… Lorsque l’on liste les réussites, il faut aussi énoncer les contre-performances et les échecs. Ne serait-ce que pour mieux mettre en valeur les succès !
Le dernier message solennel du président de la République à la nation sénégalaise doit donc être apprécié à l’aune des promesses faites en 2012 d’une part. Mais ces promesses, ainsi que les réalisations qui en ont été les conséquences, doivent également faire l’objet d’une évaluation détaillée des coûts réels des réalisations, rapportés à leur opportunité, et aux impacts objectifs sur le quotidien des citoyens de notre pays. Un catalogue de réalisations ne suffit pas à établir les bons choix stratégiques qui les motivent ni les acquis structurants pour le pays qui en découlent. Il va falloir regarder, dans le détail, les réalisations, les modalités de passation des marchés, le respect des règles y afférentes, les retombées de ces réalisations sur le développement de notre pays. Notamment en termes d’emplois effectivement créés dans la durée, autre que les emplois journaliers ou saisonniers. Mais aussi quel impact sur le dynamisme du secteur privé national ? Il faut également et, par-dessus tout, traquer les coûts cachés, déceler les surcoûts dus à la corruption, identifier les détournements éventuels d’objectifs et/ou de deniers publics pour avoir une idée précise de l’état des lieux à la veille de changer de président de la République. Évaluer la CREI, première institution judiciaire réactivée en 2012, aurait dû faire l’objet d’un paragraphe, au moins, dans le discours du chef de l’État. Que d’accusations lancées à l’époque dont on ne saura jamais le bien fondé ni les issues finales. Quelle sera la suite des dossiers de l’OFNAC placés « sous le coude » du président sortant ? Autant de sujets absents du message d’adieu et qui nous laissent un goût d’inachevé…
Nous espérons que ce travail de fourmi sera effectué par les différents candidats à la succession du président de la République. Car, c’est sur son bilan, et sur les nouvelles perspectives offertes par les candidats à sa succession, que devra se dérouler la campagne électorale à venir. Mais non sous la forme de monologues parallèles si commodes pour ceux qui n’ont, au fond, rien à dire !
En attendant, il semble bien que le bilan matériel du Président sortant, soit bien loin de ce que l’on pourrait penser d’un pays émergent ! Les réalisations déclarées sont autant de remparts cache-misère d’une réalité peu reluisante de notre pays dont le classement parmi les pays les plus pauvres du monde est sans appel. Toutes les nouvelles autoroutes masquent une détérioration, dans le même temps, du réseau des routes nationales de notre pays. L’entretien et l’élargissement du réseau des routes nationales me semblent urgents et nécessaires. Car, parallèlement à l’autoroute allant vers Kaolack, emprunter la route nationale qui y mène, relève du parcours du combattant : les nids de poules et le cortège incessant de camions qui font la liaison internationale avec les pays voisins, sont à la limite du supportable. Les localités n’ayant accès ni à l’eau courante ni à l’électricité sont légion à l’intérieur du pays. Que dis-je ? Dans la banlieue de Dakar et dans certains quartiers de la capitale, la précarité est visible à l’œil nu ! Des abris provisoires (qui durent…) faisant office de salles de classe à des classes où s’entassent plus de 100 élèves ( !) Il y’aurait matière à regrets. Tout de même. Ayons le triomphe modeste !
Au demeurant, la multiplication des autoponts et trémies, dans Dakar intra muros, a-t-elle eu les effets escomptés sur la fluidité de la circulation ? Aux usagers d’y répondre ! Les embouteillages récurrents, intempestifs et lassants, sont-ils le signe d’une amélioration notable de la fluidité attendue des gros investissements liés au TER et au BRT ? Évidemment qu’avec des cortèges qui ouvrent la voie avec des motards on a une vue déformée de la réalité. J’ai connu cela.
La multiplication des universités, fermées pour certaines, est-elle à ranger dans la colonne des succès ? Les contenants (bâtiments flambants neufs) valent-ils les contenus pédagogiques et les perspectives professionnelles et éducatives qui en constituent les vocations ?
Au bout de douze années de Présidence de S.E. Macky Sall, les sénégalais sont-ils plus heureux ? Mieux dans leur peau ? Mieux dans leurs têtes ? L’accès aux soins de santé et aux services éducatifs de qualité est-il garanti pour tous ? Questions simples… Questions incontournables pour faire une balance juste.
En vérité, s’il y’a un élément essentiel du bilan qui a été passé sous silence, c’est le bilan immatériel : les assauts répétés sur notre vivre-ensemble, la cacophonie de l’ignorance dans les réseaux asociaux, la méchanceté qui ne se cache plus mais qui dégouline de baves incendiaires jusque dans les travées de l’Assemblée Nationale, le mal vivre des jeunes qui fuient notre pays avec l’énergie du désespoir, les tensions ethniques latentes, les raidissements dans le landerneau politicien où les débats aboutissent systématiquement devant les cours et tribunaux… La chasse aux sorcières qui, depuis quelques années, a rempli nos prisons d’adolescents aux portes de la vie. Tout cela alimente un stress général qui fait douter, jusque dans les premiers soutiens du président Macky Sall dont d’aucuns, et non des moindres, ont refusé de le suivre dans le choix de son successeur…
L’après APR a commencé ! Avec quelles conséquences imprévisibles ? L’avenir est à venir car, les militants de la première heure se sont fait voler la mise par des transhumants qui guettent, déjà, la moindre occasion pour déménager. Juste le temps de voir dans quel sens tourne le vent. On peut gager que l’après parrainage sera riche de retournements de situations. Misères de la politique ! En conséquence, de nouvelles configurations des forces en présence vont survenir. Espérons qu’au bout de ce gymkhana les intérêts supérieurs de notre peuple seront saufs !
Alors, qui pour nous tirer de toutes ces calamités ?
En principe, on se donne un chef d’État pour qu’il rassemble et apaise son peuple. Qu’il contribue, par son comportement exemplaire, à le tirer vers le haut par l’incarnation des valeurs cardinales garantes de l’harmonie et des équilibres sociaux. Au moins, une certitude que j’ai acquise au bout de ces douze ans : Un chef d’État ne doit pas rester chef d’un parti ! Est-ce si difficile à comprendre ?
Nous attendons donc des engagements fermes, de la part de ceux qui vont briguer nos suffrages, sur ce point crucial pour la restauration de l’État de Droit, et le renforcement de la crédibilité de nos institutions. Ce sera le premier pas vers une dépolitisation de l’appareil d’état qui doit se mettre au service des intérêts supérieurs de la Nation et non servir les intérêts d’un parti ou d’un clan. Pour réparer notre pays si abîmé, plus qu’un homme providentiel ou une femme, il va falloir beaucoup d’humilité à tous les sénégalais, mais aussi beaucoup de courage ! Pour changer en chacun de nous ce qui doit l’être ! Nos valeurs sociales et morales sont à terre. Le culte de l’apparence et du gain facile, à tous prix, a atteint des niveaux inadmissibles. L’argent-roi est devenu la nouvelle idole avec son cortège de comportements outranciers orchestrés par des politiques de la misère qui ravalent les citoyens au rang de laudateurs impénitents. Et cela passe le temps à organiser des cérémonies, dites religieuses parfois, pour se flatter les uns les autres. Juste un prétexte pour rassembler le contenu des enveloppes gouvernementales et les subsides des pauvres. Le mal est profond. Les hommes politiques auront-ils le courage de nettoyer la plaie en profondeur ? Et d’apporter le langage de vérité qui sied face au gouffre ? Une rupture profonde d’avec nos lassitudes est devenue pressante et nécessaire. Le morcellement de la classe politique en micro-organisations sans âmes, ni visions, toutes ces formes d’escroqueries qui prospèrent à la faveur du prisme déformant des réseaux sociaux, doivent faire l’objet d’un traitement en profondeur, avec intelligence et fermeté.
Bref, il faut absolument siffler la fin de la récréation si notre génération veut faire œuvre utile !
En attendant, bonne année à tous et à toutes ! Meilleurs vœux de bonne santé et de bonheur tout simplement !
Vivement la fin février 2024 dans la Paix, et le début du vrai changement !
CONSEIL CONSTITUTIONNEL, ALIOUNE SARR RECALÉ AU PARRAINAGE
Clap de fin pour l’ancien ministre du Commerce, Alioune Sarr, dont le dossier de candidature a été passé au crible par le Conseil constitutionnel ce mardi matin.
Clap de fin pour l’ancien ministre du Commerce, Alioune Sarr, dont le dossier de candidature a été passé au crible par le Conseil constitutionnel ce mardi matin. Le dossier du maire de Notto Diobass a été invalidé à l’étape du parrainage.
C’est son mandataire qui donne l’information à sa sortie du Conseil constitutionnel. Selon lui, sans rentrer dans les détails, «il y a eu des problèmes ».
Responsable de l’AFP, Alioune Sarr a tourné le dos à la coalition Benno Bokk Yaakaar pour se présenter. Seulement, 22éme sur la liste après le tirage au sort, l’aventure se termine pour lui.
A noter que le Conseil constitutionnel contrôle ce mardi 20 dossiers de candidats à la candidature à l’élection présidentielle du 25 février 2024.
PRÉSIDENTIELLE 2024, CHEIKH ABDOU MBACKÉ BARA DOLY RECALÉ
« Le Conseil constitutionnel a relevé 15.000 parrains qui ne figurent pas dans le fichier électoral »
Encore un candidat à la candidature qui passe à la trappe. Le député Cheikh Abdou Mbacké Bara Doly est recalé sans être soumis au contrôle de la langue officielle qu’il dit écrire, parler et lire. C’est à l’étape du parrainage qu’il a calé.
Selon son mandataire, qui a fait face à la presse, ce n’est pas le nombre de signatures qui a posé problème mais plutôt leur validité. « Le Conseil constitutionnel a relevé 15.000 parrains qui ne figurent pas dans le fichier électoral », renseigne-t-il.
DAOUDA NDIAYE PASSE L’ÉTAPE DU PARRAINAGE
C’est sans difficulté que le médecin, qui s’est révélé au grand public lors de la pandémie du Covid 19, a pu passer le parrainage. Son mandataire a appelé les militants à se préparer pour la mise en place du directoire national en vue de l’élection
C’est sans difficulté que le médecin, qui s’est révélé au grand public lors de la pandémie du Covid 19, a pu passer le parrainage, selon son mandataire. En effet, à sa sortie du Conseil Constitutionnel, il a fait face à la presse pour donner l’information et appeler les militants et sympathisants à se préparer pour la mise en place du directoire national en perspectives de l’élection du 25 février 2024.
«On a même pas fait 10 minutes là- bas. On rend grâce à Dieu car aujourd’hui, le Conseil Constitutionnel nous a permis d’avoir une victoire. On a fait un travail extraordinaire avec les collecteurs, les délégués régionaux et nos informaticiens pour en arriver à ce résultat. On a eu 7156 rejets et 46561 parrains. On est passé au premier tour et on rend grâce à Dieu. Nous demandons à tous de se préparer pour la mise en place du directoire national car on a du pain sur la planche. On va faire du président Daouda NDIAYE le 5é président du Sénégal », déclare le mandataire.
A noter que la candidature de Mbacké SARR qui est passé en premier devant la commission a été invalidée.
CHEIKH BAMBA DIEYE CALE A L’ÉTAPE DES PARRAINAGES
Après Mbacké Sarr, Alioune Sarr, Ibrahima Hamidou Dème, c’est autour de l’ancien ministre de passer à la trappe.
Le filtre des candidas pour la prochaine présidentielle du 25 février 2024 fait encore des victimes.
Après une petite pause du Conseil Constitutionnel sur le contrôle des parrainages, c’est la reprise dès ce mardi avec un autre lot de candidats qui prétendent au fauteuil présidentiel.
Ainsi, Cheikh Bamba Dieye, dont le dossier a été épluché, n’a pas été retenu à l’issue du contrôle. Après Mbacké Sarr, Alioune Sarr, Ibrahima Hamidou Dème, c’est autour de l’ancien ministre de passer à la trappe.
Il tombe avec moins de 15.000 parrainages obtenus. Un chiffre, très loin de permettre à Cheikh Bamba DIEYE de prendre part à la course pour la présidentielle.
L’EX-CANDIDAT DE UC/BUNT-BI REJOINT LA COALITION SONKO PRÉSIDENT 2024
Selon Dr El Hadji Ibrahima Mbow, cette décision est motivée par le souci de l’intérêt supérieur de la Nation au détriment de l’intérêt personnel.
Après avoir renoncé à sa candidature, le leader de l’Union Citoyenne Bunt Bi a décidé de rallier la coalition de Ousmane Sonko pour la présidentielle de février 2024. En effet, selon Dr El Hadji Ibrahima Mbow, cette décision est motivée par le souci de l’intérêt supérieur de la Nation au détriment de l’intérêt personnel. A l’en croire, lui et son parti compte s’investir pour l’élection de Ousmane Sonko.
«Je réitère l’engagement de l’Union Citoyenne Bunt-Bi à servir l’intérêt supérieur du Sénégal, au-delà des enjeux personnels et partisans. Nous croyons fermement que, au-delà des individualités, c’est une équipe qui pourra relever les défis cruciaux de la 3e alternance. Avec espoir, 2024 verra des élections inclusives, transparentes, apaisées et consolidantes de notre démocratie», déclare-t-il.
A noter que l’UC Bunt Bi fait désormais partie des Leaders Alliés du Candidat Ousmane Sonko (LACOS) dont les principes, souligne-t-il, entre en droite ligne avec les résolutions de son parti.