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25 février 2025
SANGOMAR, LE PÉTROLE QUI FÂCHE DÉJÀ LE SÉNÉGAL ET LES MAJORS
A l'aube de l'exploitation de Sangomar, le Sénégal exige 42 millions d'impôts impayés mais les compagnies s'y opposent. Ce différend précoce cache-t-il en réalité une lutte d'influence pour le contrôle futur des milliards promis par le pétrole ?
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 19/11/2023
Alors que le Sénégal s'apprête à devenir un producteur pétrolier majeur grâce au gisement offshore de Sangomar, ce nouvel El Dorado apparaît déjà comme une pomme de discorde entre Dakar et les géants du secteur.
C'est ce que révèle le magazine panafricain Jeune Afrique dans son édition du 16 novembre. Selon les informations obtenues par le journal, l'autorité fiscale sénégalaise réclame pas moins de 42,7 millions de dollars d'impôts et taxes à Woodside Energy et Capricorn Energy, les exploitants du champ.
Problème, les majors australienne et britannique rechignent à payer la note, alléguant des raisons juridiques selon JA. S'annoncerait-il déjà des bisbilles en coulisses sur la répartition du magot pétrolier ?
Car avec ses réserves estimées à plus de 600 millions de barils de pétrole, Sangomar pourrait rapporter des milliards de dollars aux deux partenaires industriels. Le Sénégal, qui détient 18% via Petrosen, veut aussi sa part du gâteau...au risque d'envenimer les relations avec les géants du secteur.
Interrogé par Jeune Afrique, Woodside Energy fait la sourde oreille. Capricorn Energy promet de "se défendre" juridiquement. Les prémices d'un conflit à couteaux tirés pour le contrôle des futurs revenus pétroliers sénégalais ?
ARTICLE 19 RÉCLAME LA LIBÉRATION DU JOURNALISTE PAPE SANÉ
L’organisation ‘’Article 19 condamne vivement la répression contre les journalistes, les médias et les libertés d'opinion au Sénégal.
Journaliste à Walfadjri, Pape Sané est arrêté en début de semaine. L’organisation ‘’Article 19 condamne vivement la répression contre les journalistes, les médias et les libertés d'opinion au Sénégal. Article 19 a documenté le cas de Sané, ainsi que plusieurs autres cas où des journalistes et des activistes ont été emprisonnés et accusés de diffuser de ‘fausses informations’, en vertu de l'article 255 du Code pénal sénégalais’’, lit-on dans un communiqué reçu à ‘’EnQuête’’.
Par conséquent, ‘’Article 19 appelle les autorités sénégalaises à abroger ces dispositions qui étouffent la liberté d'expression et la liberté de la presse, et les exhorte à s'abstenir de poursuivre les journalistes pour des faits liés à l'exercice de leur devoir. Pape Sané a été arrêté dans son lieu de travail et transféré à la Section de recherches de la gendarmerie le 13 novembre, juste après la diffusion de l'émission ‘Kepar Gui’ sur Walf Fm. À la fin de son audition par la gendarmerie, on lui a signifié son placement en garde à vue’’, ajoute-t-on dans le texte.
Pape Sané est poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles suite à un texte sur le général Tine, commandant de la gendarmerie nationale, publié sur Facebook. "La démocratie a besoin d'un journalisme critique et d'une pluralité de voix et d'informations. Nous demandons aux autorités du Sénégal de libérer le journaliste Pape Sané sans condition et d’abandonner toutes les charges contre lui. Arrêter un journaliste pour avoir exprimé une opinion critique pousse les médias vers l'autocensure, limitant ainsi le droit du public à l'information et la liberté de la presse’’, a dit le directeur régional d’Article 19 Sénégal et Afrique de l’Ouest, Alfred Nkuru Bulakali.
Pour lui, rapporte-t-on dans le communiqué, ‘’au lieu de réprimer la liberté d'expression, les autorités devraient promouvoir un haut niveau de tolérance pour différentes opinions sur leurs actions et leur conduite, y compris les opinions critiques, comme recommandé par les principes de la Commission africaine des Droits de l’homme et des peuples sur la liberté d’expression et l’accès à l’information. Elles devraient également favoriser une culture de transparence et un environnement médiatique pluraliste et indépendant, garantissant ainsi au public une pluralité d'informations et d'opinions".
Article 19 rappelle que ‘’Pape Sané rejoint la liste de personnes poursuivies pour avoir prétendument diffusé de fausses nouvelles depuis juin 2022. Article 19 réitère son appel à abroger l'article 255 du Code pénal’’.
D’ailleurs, l’organisation rappelle que ‘’le droit international des Droits de l'homme, y compris l'article 19 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP), stipule que toute restriction à la liberté d'expression doit : être prescrite par la loi ; poursuivre un ou plusieurs objectifs légitimes ; et être nécessaire (exigeant qu'il doit y avoir un besoin social pressant motivant la restriction) et proportionnée à l'objectif légitime poursuivi’’.
LE SÉNÉGAL GAGNE 4-0 CONTRE LE SOUDAN DU SUD
L’équipe nationale de football du Sénégal l’a remporté samedi au stade Abdoulaye Wade de Diamniadio sur un score de quatres buts à zéro contre le Soudan du Sud dans un match comptant pour la première journée des éliminatoires pour la Coupe du monde 2026.
Dakar, 18 nov (APS) -L’équipe nationale de football du Sénégal l’a remporté samedi au stade Abdoulaye Wade de Diamniadio sur un score de quatres buts à zéro contre le Soudan du Sud dans un match comptant pour la première journée des éliminatoires pour la Coupe du monde 2026.
Le premier but du Sénégal a été marqué à la 38ème seconde de jeu par Pape Matar Sarr qui a reçu une belle passe de Sadio Mané.
L’ancien de Liverpool qui fête sa centième cape en équipe nationale a marqué le deuxième but à la sixième minute.
Lamine Camara qui a été titularisé au milieu de terrain, a marqué le troisième but sénégalais d’un lob somptueux.
En début de la deuxième période, Mané a réussi un doublé en concrétisant un pénalty accordé par l’arbitre du Lesotho.
Les Lions sont ultra dominateurs durant toute la rencontre. Mais ils pêchent souvent dans le dernier geste pour alourdir le score.
LE SÉNÉGAL MÈNE 3-0 À LA MI-TEMPS CONTRE LE SOUDAN DU SUD
L’équipe nationale de football du Sénégal mène trois buts à zéro à la mi-temps contre le Soudan du Sud dans un match comptant pour la première journée des éliminatoires pour la Coupe du monde 2026.
Dakar, 18 nov (APS) -L’équipe nationale de football du Sénégal mène trois buts à zéro à la mi-temps contre le Soudan du Sud dans un match comptant pour la première journée des éliminatoires pour la Coupe du monde 2026.
Le premier but du Sénégal a été marqué à la 38ème seconde de jeu par Pape Matar Sarr qui a reçu une belle passe de Sadio Mané.
L’ancien de Liverpool qui fête sa centième cape en équipe nationale a marqué le deuxième but à la sixième minute.
Lamine Camara qui a été titularisé au milieu de terrain, a marqué le troisième but sénégalais.
Les Lions sont ultra dominateurs dans ce premier acte. Mais ils pêchent souvent dans le dernier geste pour alourdir le score.
DES CHAMPS DE MAÏS ENTIERS RAVAGÉS À KAFFRINE
Plusieurs champs de maïs ravagés par un feu de brousse. Des champs entiers sont partis en fumée, soit des pertes estimées à 60 millions de francs CFA. Cela s’est passé à Maka Yop.
Plusieurs champs de maïs ravagés par un feu de brousse. Des champs entiers sont partis en fumée, soit des pertes estimées à 60 millions de francs CFA. Cela s’est passé à Maka Yop dans le département de Koungheul. Les populations, dans le désarroi, appellent l’Etat au secours
LE BUDGET 2024 ADOPTÉ À LA MAJORITÉ PAR LES DÉPUTÉS
Le projet de loi de finances de l’année 2024 portant sur 7 003,6 milliards de FCFA a été adopté samedi par la majorité des députés de l’Assemblée nationale.
Dakar, 18 nov (APS)-Le projet de loi de finances de l’année 2024 portant sur 7 003,6 milliards de FCFA a été adopté samedi par la majorité des députés de l’Assemblée nationale, a constaté l’APS.
Quatre-vingt-dix députés ont voté pour l’adoption du budget de l’année à venir, tandis que 32 parlementaires ont voté contre et 10 députés se sont abstenus.
Le rapport économique et financier annexé au projet de loi des finances initiales 2024 présenté à l’Assemblée nationale, repose sur le cadrage macroéconomique 2023-2024, selon le ministre des Finances et du Budget.
Mouhamadou Moustapha Ba qui défendait le projet devant l’institution parlementaire a expliqué que ‘’ce projet met en exergue la volonté du gouvernement de poursuivre la mise en œuvre de son important programme économique et social inscrit dans le PSE dont la phase II du PAP2A atteint son point d’achèvement à fin 2023’’.
‘’Ce budget 2023 a été exécuté dans un contexte international particulier marqué par l’avènement de la Covid-19 et de la crise entre la Russie et l’Ukraine, avec en corollaire des tensions sur les échanges extérieurs de certains produits et un relèvement conséquent des cours des matières premières de base et des niveaux des prix intérieurs’’, s’est défendu M. Ba
Il a fait observer que sur le plan interne, ‘’la dynamique de l’activité économique serait renforcée en 2024, par le démarrage effectif et l’exploitation des ressources pétrolières et gazières qui devraient avoir un impact significatif sur la croissance’’.
LE TAUX DE CROISSANCE PROJETÉ À 9,2% EN 2024 AU SÉNÉGAL
Le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) réel est projeté à 9,2% en 2024 contre une prévision de 4,1% en 2023, a appris l’APS samedi du ministre des Finances et du Budget.
Dakar, 18 nov (APS) - Le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) réel est projeté à 9,2% en 2024 contre une prévision de 4,1% en 2023, a appris l’APS samedi du ministre des Finances et du Budget Mouhamadou Moustapha Ba qui défend le projet de loi de finances initiale (LFI) 2024 devant l’Assemblée nationale.
Notant que cette croissance serait essentiellement tirée par le secondaire (+20,6%) et, dans une moindre mesure, par les secteurs primaire (+4,8%) et tertiaire (+6,0%).
‘’Globalement, le déficit budgétaire, dons compris, est projeté à 1045,4 milliards FCFA, soit 5,5% du PIB dans la LFI 2023, contre une réalisation de 1054,2 milliards FCFA, soit 6,1% du PIB à fin décembre 2022’’, a déclaré M. Ba dans le rapport de la commission de l’Assemblée nationale sur l’examen du projet de loi de finances 2024.
Le projet de loi de finances initiale estimé à 7003,6 milliards FCFA, est en cours de discussion à l’Assemblée nationale dont les plénières pour la LFI se sont ouvertes samedi.
‘’Les ressources totales de l’État sont projetées en hausse de 10,8% (+383,2 milliards FCFA), passant de 3 536,3 milliards FCFA en 2022 à 3 919,5 milliards FCFA pour l’année 2023. Elles sont constituées de recettes budgétaires pour une valeur de 3 640,5 milliards FCFA et de dons à hauteur de 279 milliards FCFA’’, a expliqué le ministre des Finances et du Budget.
Il a souligné que la pression fiscale au titre de l’année 2023 s’établirait à 18,3% du PIB, contre ‘’18,2% observé un an auparavant’’.
Il a noté que ‘les dépenses publiques sont prévues à 4 964,8 milliards FCFA à la fin de l’exercice 2023 contre 4 590,4 milliards FCFA en 2022, soit un accroissement de 374,5 milliards FCFA (+8,2%)’’.
‘’Cette évolution, relève-t-il, serait portée par la progression de l’investissement qui devrait s’accroître globalement de 3 092 milliards FCFA (+24,2%) pour s’établir à 1 588,2 milliards FCFA en fin 2023’’.
Le ministre a signalé que les dépenses courantes ‘’passeraient globalement, de 3 311,4 milliards FCFA en 2022 à 3 376,7 milliards FCFA en 2023, soit une hausse de 2,0%’’.
Pour lui, cela traduit ‘’les effets de la progression de la masse salariale et des charges d’intérêt’’.
‘’En effet, la masse salariale (hors prestations sociales) est attendue en hausse de 12,0% pour aboutir à 1 235 milliards FCFA en 2023’’, a informé Mouhamadou Moustapha Ba.
‘’Cette évolution devrait refléter la prise en compte des engagements de l’État en termes de revalorisation des salaires des agents du secteur public’’, a-t-il fait observer.
M. Ba a par ailleurs indiqué que ‘’la pression fiscale est projetée à 19,4% du PIB en 2024 contre 18,3% au titre de la LFI 2023, soit une progression de 1,1% correspondant à une hausse de 693,3 milliards FCFA’’.
‘’Cette progression serait le résultat mécanique de la croissance avec 9,2% d’augmentation du PIB, de l’embellie certaine des taxes sur les biens et services ainsi que du renforcement des dispositifs de contrôle la DGID (Direction générale des impôts et domaines)’’, explique-t-il.
AMARA DIOUF OUT POUR LE RESTE DE LA COMPÉTITION ?
Ça ne sent pas bon pour Amara Diouf. Sorti sur blessure à la 37ème minute, le capitaine des Lionceaux pourrait avoir disputé son dernier match du tournoi.
Ça ne sent pas bon pour Amara Diouf. Sorti sur blessure à la 37ème minute, le capitaine des Lionceaux pourrait avoir disputé son dernier match du tournoi. En effet, la pépite âgée de 15 ans souffrirait d’une entorse du genou, selon son père, Ady Diouf qui s’est exprimé dans une radio de la place. Une blessure qui nécessite au moins deux semaines d’arrêt. Ce qui conduirait Amara Diouf à faire une croix sur le reste de cette Coupe du monde U17. Un énorme coup dur pour l’équipe de Serigne Saliou Dia qui perdrait l’une de ses pièces maitresses.
Attendu pour communiquer par rapport à cela, la Fédération sénégalaise de football (Fsf) dit «attendre les résultats des examens qui vont sortir demain (dimanche)», selon une source. Un communiqué ne saurait tarder pour éclairer la lanterne des nombreux supporters sénégalais suspendus à l’état de santé du numéro 10 des Lionceaux.
La France comme adversaire en huitième
Dans l’attente d’une confirmation officielle par rapport au forfait ou non d’Amara Diouf, les Lionceaux connaissent leur adversaire en huitième. Ils affronteront la France mercredi à 12h Gmt. Les Bleuets ont surclassé les Etats Unis (3-0) ce samedi dans le match pour la première place du groupe E. une victoire qui les permet de réussir un sans-faute et aussi de pouvoir affronter le deuxième du groupe D, le Sénégal.
Une rencontre à portée historique entre l’ancien colonisateur et le colonisé. Un duel aux allures de revanche ou confirmation du match d’ouverture de la Coupe du monde seniors 2002 où le Sénégal d’El Hadji Diouf avait piégé la France (1-0), championne du monde en titre, grâce à un but de Pape Bouba Diop.
Battue par le Japon (2-0) lors de sa troisième et dernière sortie en phase de groupes, l’équipe nationale du Sénégal des moins de 17 ans devra donc surmonter l’obstacle de la France pour espérer continuer l’aventure. Une tâche qui s’annonce compliquée face à un adversaire en pleine confiance mais aussi avec des Lionceaux qui pourraient jouer sans leur star, Amara Diouf.
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L'ONU EN CRISE EXISTENTIELLE
75 ans après sa création, l'ONU appelle à une réforme face aux divisions croissantes en son sein. Cela paraît cependant impossible sans l'accord de ses membres permanents. L'institution semble condamnée à l'impuissance
Créée en 1945, l'Organisation des Nations Unies fête cette année ses 75 ans. Mais l'euphorie des débuts a laissé place au doute : l'ONU est-elle encore capable de remplir sa mission première, garantir la paix et la sécurité dans le monde ?
Rassemblant 193 pays, l'ONU chapeaute de nombreuses agences traitant des grands défis mondiaux, du climat à la santé. Mais son organe clef dans la résolution des conflits, le Conseil de Sécurité, semble paralysé. La faute au droit de veto de ses 5 membres permanents (États-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni) qui bloque toute action concertée.
Un veto que la Russie n'hésite plus à utiliser pour défendre ses intérêts, empêchant toute sanction contre le régime Syrien ou l'invasion de l'Ukraine. Pékin suit le pas, formant avec Moscou un tandem rival des Occidentaux.
Dans ce climat de division croissante, une réforme du Conseil paraît indispensable. Mais impossible sans l'accord de ses membres permanents. L'ONU semble condamnée à l'impuissance.
Pourtant, elle reste le seul cadre permettant de rassembler toutes les nations face aux défis communs et de faire respecter le droit international. Son rôle est plus que jamais essentiel, à condition d'opérer sa mue. L'ONU parviendra-t-elle à se réinventer pour entrer pleinement dans le 21e siècle ? L'avenir de la gouvernance mondiale est en jeu.
UN BUDGET 2024 DE CROISSANCE DE 7 000 MILLIARDS ADOPTÉ PAR L'ASSEMBLÉE
Le ministre des Finances a défendu ce budget axé sur la croissance économique malgré la crise. Il mise sur l'exploitation prochaine du pétrole et du gaz pour relancer l'activité au Sénégal
Le projet de loi de finances de l’année 2024 portant sur 7 003,6 milliards de FCFA a été adopté samedi par la majorité des députés de l’Assemblée nationale, a constaté l’APS.
Quatre-vingt-dix députés ont voté pour l’adoption du budget de l’année à venir, tandis que 32 parlementaires ont voté contre et 10 députés se sont abstenus.
Le rapport économique et financier annexé au projet de loi des finances initiales 2024 présenté à l’Assemblée nationale, repose sur le cadrage macroéconomique 2023-2024, selon le ministre des Finances et du Budget.
Mouhamadou Moustapha Ba qui défendait le projet devant l’institution parlementaire a expliqué que ‘’ce projet met en exergue la volonté du gouvernement de poursuivre la mise en œuvre de son important programme économique et social inscrit dans le PSE dont la phase II du PAP2A atteint son point d’achèvement à fin 2023’’.
‘’Ce budget 2023 a été exécuté dans un contexte international particulier marqué par l’avènement de la Covid-19 et de la crise entre la Russie et l’Ukraine, avec en corollaire des tensions sur les échanges extérieurs de certains produits et un relèvement conséquent des cours des matières premières de base et des niveaux des prix intérieurs’’, s’est défendu M. Ba
Il a fait observer que sur le plan interne, ‘’la dynamique de l’activité économique serait renforcée en 2024, par le démarrage effectif et l’exploitation des ressources pétrolières et gazières qui devraient avoir un impact significatif sur la croissance’’.