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1 mars 2025
PARRAINAGE DE SONKO : MODOU DIAGNE FADA EN PHASE AVEC LA DGE
Le ministre des Collectivités territoriales par ailleurs délégué régional de la collecte de parrainages à Louga pour le compte de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), Modou Diagne Fada, est en phase avec la position de la Direction général des élections
Le ministre des Collectivités territoriales par ailleurs délégué régional de la collecte de parrainages à Louga pour le compte de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), Modou Diagne Fada, est en phase avec la position de la Direction général des élections (Dge).
Ousmane Sonko radié des listes électorales puis réintégré par le Tribunal de Ziguinchor renforcé par la Commission nationale électorale autonome (Cena), la Dge refuse de remettre à l’opposant ses fiches de parrainage. La Dge justifie sa position par le pourvoi en cassation de l’État du Sénégal.
Comment comprendre qu’un organe de l’État refuse d’exécuter une décision de justice ? « Je crois qu’il n’y a pas encore de décision de justice définitive. Il y a une décision d’un Tribunal de première instance. Quand on vous condamne à un niveau inférieur, vous avez le droit de porter l’affaire à un niveau supérieur. C’est ça que l’État du Sénégal a fait à travers l’Agent judiciaire de l’État (Aje). Mais, nous ne sommes pas loin d’un dénouement définitif parce que le traitement du pourvoi à des délais », a répondu l’invité d’Aïssata Ndiathie Fall.
Le ministre persiste et signe : « Il y a des spécialistes du droit qui pensent que le recours n’est pas suspensif. D’autres pensent le contraire, que le pourvoi est suspensif. Mais en tout état de cause, ce que je dis en tant que non initié, c’est que la décision n’est pas encore définitive. »
Avant de conclure : « Je suis finalement fier de la Justice sénégalaise parce que si nous, pouvoir, avions la possibilité de tordre la main au juge de Ziguinchor, (Sabassy Faye, ndlr), mais il ne rendrait pas cette décision. Nos amis de l’opposition aussi, quand une décision de justice les arrange ils ne disent rien. Mais quand cela ne les arrange pas, ils ruent dans les brancards. Je considère pour une fois qu’ils devraient rendre hommage à la justice sénégalaise qui a rendu une décision qui n’arrange pas l’Aje. Il faut que la décision soit définitive pour être appliquée ».
PARRAINAGE DE SONKO : MODOU DIAGNE FADA EN PHASE AVEC LA DGE
Le ministre des Collectivités territoriales par ailleurs délégué régional de la collecte de parrainages à Louga pour le compte de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), Modou Diagne Fada, est en phase avec la position de la Direction général des élections
Le ministre des Collectivités territoriales par ailleurs délégué régional de la collecte de parrainages à Louga pour le compte de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), Modou Diagne Fada, est en phase avec la position de la Direction général des élections (Dge).
Ousmane Sonko radié des listes électorales puis réintégré par le Tribunal de Ziguinchor renforcé par la Commission nationale électorale autonome (Cena), la Dge refuse de remettre à l’opposant ses fiches de parrainage. La Dge justifie sa position par le pourvoi en cassation de l’État du Sénégal.
Comment comprendre qu’un organe de l’État refuse d’exécuter une décision de justice ? « Je crois qu’il n’y a pas encore de décision de justice définitive. Il y a une décision d’un Tribunal de première instance. Quand on vous condamne à un niveau inférieur, vous avez le droit de porter l’affaire à un niveau supérieur. C’est ça que l’État du Sénégal a fait à travers l’Agent judiciaire de l’État (Aje). Mais, nous ne sommes pas loin d’un dénouement définitif parce que le traitement du pourvoi à des délais », a répondu l’invité d’Aïssata Ndiathie Fall.
Le ministre persiste et signe : « Il y a des spécialistes du droit qui pensent que le recours n’est pas suspensif. D’autres pensent le contraire, que le pourvoi est suspensif. Mais en tout état de cause, ce que je dis en tant que non initié, c’est que la décision n’est pas encore définitive. »
Avant de conclure : « Je suis finalement fier de la Justice sénégalaise parce que si nous, pouvoir, avions la possibilité de tordre la main au juge de Ziguinchor, (Sabassy Faye, ndlr), mais il ne rendrait pas cette décision. Nos amis de l’opposition aussi, quand une décision de justice les arrange ils ne disent rien. Mais quand cela ne les arrange pas, ils ruent dans les brancards. Je considère pour une fois qu’ils devraient rendre hommage à la justice sénégalaise qui a rendu une décision qui n’arrange pas l’Aje. Il faut que la décision soit définitive pour être appliquée ».
LA CINGLANTE RÉPLIQUE D’ISMAÏLA MADIOR FALL A NDIAGA SYLLA
Le décret de nomination des membres de la Commission électorale nationale autonome (CENA) serait-il entaché d’irrégularités ? Oui, pense Ndiaga Sylla qui entend l’attaquer. Ismaila Madior Fall estime qu’il n’est pas habilité à le faire
Le décret de nomination des membres de la Commission électorale nationale autonome (CENA) serait-il entaché d’irrégularités ? Oui, pense Ndiaga Sylla qui entend l’attaquer. Ismaila Madior Fall estime qu’il n’est pas habilité à le faire et lui dénie toute qualité d’expert électoral.
Ndiaga Sylla invite les Sénégalais à se joindre à lui et à attaquer ce décret qu’il trouve irrégulier. « En ma qualité d’électeur, j’ai décidé d’attaquer le décret n°2023-2152 portant nomination des membres de la Commission électorale nationale autonome (CENA). En effet, ce décret viole le principe de la permanence de l’organe de contrôle et de supervision des élections et son corollaire, la clause de la fin et du renouvellement des mandats (art. L.4 et L.7 du code électoral). De plus, il y a un membre de la CENA nommé en 2018 et dont le mandat n’a pas expiré. J’invite tous partis politiques légalement constitués, les électeurs ainsi que les membres de la CENA à se joindre à l’initiative pour le respect des principes démocratiques et l’intégralité du processus électoral », a-t-il écrit, dans un communiqué parvenu à E-Media, ce samedi. Pour le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Ismaila Madior Fall, Ndiaga Sylla a tout faux. Il n’a pas, selon le constitutionnaliste, cette qualité.
« Expert en droit électoral auto-proclamé »
Dans un post sur X (ex-twitter), il écrit : « Non mon cher Ndiaga Sylla. Vous ne pouvez pas attaquer le décret de nomination des membres de la CENA parce qu’il s’agit d’un acte administratif. Vous n’avez pas qualité et intérêt à agir. Seul l’intéressé, auquel l’acte, en l’occurrence individuel, ferait grief, a intérêt à agir et pourrait le contester par la voie de l’excès de pouvoir. On n’est pas en matière d’élection locale dont un électeur peut contester la régularité. Votre initiative groupale ne saurait juridiquement prospérer, les appels à se joindre à votre initiative, tout comme vous, n’ont pas intérêt à agir car aucun de vos droits n’a été ni individuellement ni collectivement préjudicié. » Il ajoute : « L’auto-proclamation ‘’d’expert en droit électoral’’ ne donne pas le droit de dire ce qu’on veut. »
MARIE-CHRISTINE SARAGOSSE DÉFEND LA LIGNE ÉDITORIALE DE FRANCE MÉDIAS MONDE EN AFRIQUE
Sur la suspension de RFI et France 24 au Mali, au Burkina Faso et au Niger, elle analyse : " Pourquoi ferme-t-on certaines chaînes et pas d’autres ? Ils prétendent que l’on est « radio des mille collines » (...) La vérité, c’est que l’on est surpuissant"
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 05/11/2023
Dans une interview accordée au site d'informations Stratégies le 2 novembre 2023, Marie-Christine Saragosse, PDG de France Médias Monde (France 24, RFI, MCD), revient sur les enjeux actuels auxquels est confronté le groupe en Afrique.
Concernant le conflit israélo-palestinien, la dirigeante estime qu'"on ne peut pas être sans émotion par rapport à des morts d'enfants quelle que soit leur origine". Elle salue le travail de RFI qui "s'est délocalisée à Jérusalem, elle a fait parler des Israéliens comme des Palestiniens pendant trois heures d'émission spéciale".
Interrogée sur la chaîne égyptienne Al Qahera financée par le renseignement, Marie-Christine Saragosse répond: "Au vu du nombre de chaînes d’info nationales qui existent en arabe, nous avons de la concurrence, mais nous sommes probablement seuls sur notre ligne éditoriale".
Sur la suspension de RFI et France 24 au Mali, au Burkina Faso et au Niger, elle analyse: "Cela nous tape (...) Ces censures racontent surtout notre puissance. Pourquoi ferme-t-on certaines chaînes et pas d’autres ? Ils prétendent que l’on est « radio des mille collines » (...) La vérité, c’est que l’on est surpuissant en Afrique francophone".
Pour contrer la désinformation, elle appelle de ses vœux "une alliance internationale", citant comme exemple "Africa Check". La PDG met également l'accent sur le renforcement de la présence numérique de FMM en Afrique avec des initiatives comme "Afri’kibaaru" en langues africaines ou "ENTR" destiné à la jeunesse panafricaine.
Enfin, Marie-Christine Saragosse détaille les projets du groupe sur le continent, dont le lancement d'une rédaction délocalisée de France 24 à Dakar et la poursuite de la bourse Claude Verlon et Ghislaine Dupont en hommage aux deux journalistes tués au Mali il y a 10 ans.
221 MIGRANTS IRRÉGULIERS DONT UN NOURRISSON ÂGÉ DE 3 JOURS SECOURUS
Le 04 novembre 2023, la vedette Taouay a porté secours à une pirogue en panne moteur avec 221 migrants irréguliers à bord dont un nourrisson âgé de trois jours, annonce la marine nationale sénégalaise sur son compte X (ex-Twitter). L'embarcation venait de
Le 04 novembre 2023, la vedette Taouay a porté secours à une pirogue en panne moteur avec 221 migrants irréguliers à bord dont un nourrisson âgé de trois jours, annonce la marine nationale sénégalaise sur son compte X (ex-Twitter). L'embarcation venait de passer six jours dans une mer agitée et face à un courant défavorable, rapporte la même source.
Samedi, la marine sénégalaise annonçait que la Base navale Nord avait porté assistance à une pirogue en détresse au large de Saint-Louis, le 4 novembre 2023. "12 pécheurs ont été secourus par la vedette "Mlot Abdoulaye THIAM" et ramenés sains et saufs à terre".
MÉDIATEUR DANS LE SAHEL, AUTOCRATE AU TOGO
Le Togo s'est imposé sur la scène diplomatique africaine grâce à la "médiation et tolérance" prônée par le président Faure Gnassingbé. Pourtant, en interne, le régime s'est mué en "trompe-l'œil" autoritaire depuis 18 ans
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 05/11/2023
Selon Le Monde du 1er novembre 2023, le Togo s'est imposé sur la scène diplomatique africaine grâce à la "médiation et tolérance" prônée par le président Faure Gnassingbé. Pourtant, en interne, le régime s'est mué en "trompe-l'œil" autoritaire depuis 18 ans au pouvoir.
A l'occasion du Forum sur la paix à Lomé fin octobre, Gnassingbé a fait valoir sa stature de médiateur auprès des juntes maliennes, burkinabè et nigériennes, pour le plus grand plaisir de la diplomatie togolaise qui loue sa "discrétion". Pourtant, sitôt les invités partis, les avocats d'opposants ont été empêchés de tenir conférence de presse, témoignant du "paradoxe" Gnassingbé selon l'historien Michel Goeh-Akue: "médiation dehors, régime militaire chez lui".
Fils du général Eyadema, premier président togolais, Faure Gnassingbé est désormais le doyen des chefs d'Etat ouest-africains avec 18 ans au pouvoir, après une répression sanglante en 2005. Dès lors, sa diplomatie a servi sa longévité en développant des relations privilégiées avec les dirigeants sahéliens, à l'instar de sa médiation pour la libération des 49 soldats ivoiriens au Mali début 2023.
Aujourd'hui, c'est sa base aérienne de Niamtougou qui sert de "hub" aux échanges discrets avec les juntes, quand le port de Lomé voit transiter pour le Sahel plus de 15 000 conteneurs malgré les embargos ouest-africains. Un "pragmatisme" nécessaire aux intérêts togolais, plaident les autorités.
Mais en interne, le régime verrouille tout. Selon Amnesty International, "il est devenu impossible de manifester" face à la répression et à des élections "dont les résultats ne sont jamais proclamés". Sous couvert d'unité africaine, Faure Gnassingbé entend préserver sa longévité autoritaire, au grand dam de l'opposition togolaise.
VIDEO
LE CRI DU CŒUR D'AMY SARR FALL POUR LA JEUNESSE SÉNÉGALAISE
Face à l'ampleur de l'immigration irrégulière, elle appelle à agir en amont pour donner aux jeunes Sénégalais des raisons d'espérer. Selon elle, le sentiment de ne rien représenter dans la société et le vide spirituel sont des moteurs puissants du départ
Invitée de l'émission Objection ce dimanche sur Sud FM, Amy Sarr Fall, directrice d'Intelligences Magazine, a livré un vibrant plaidoyer en faveur de la jeunesse de son pays.
Face à l'ampleur de l'immigration irrégulière, elle appelle à agir en amont pour donner aux jeunes Sénégalais des raisons d'espérer et de s'accrocher. Selon elle, le sentiment de ne rien représenter dans la société et le vide spirituel sont des moteurs puissants du départ.
En cette année électorale, Amy Sarr Fall presse les acteurs politiques d'apaiser le climat afin de garantir le bon déroulement du scrutin. Elle met aussi l'accent sur l'urgence de réformer le système éducatif pour permettre aux jeunes de développer leur citoyenneté.
À propos de l'actualité internationale, l'invitée de Baye Omar Gueye se dit dévastée par la situation en Palestine et appelle à plus d'humanisme, rappelant que chaque vie compte de la même manière.
L'HÉRITIER BALDÉ DÉFIE LE ROI LÔ
Jour de vérité pour Modou Lô et Ama Baldé. Quatre ans après, le combat de légendes se tient enfin ce dimanche à Dakar. L'héritage de Falaye Baldé en jeu
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 05/11/2023
Le choc tant attendu entre le Roi des arènes Modou Lô et le challenger Ama Baldé aura enfin lieu ce dimanche 5 novembre 2023 à Dakar. Ce combat mythique, scellé depuis 2019 mais reporté à deux reprises en raison de blessures du détenteur de la couronne, promet de tenir en haleine les amateurs de lutte sénégalaise.
Fils de la légende Falaye Baldé, décédé en 2013 après une carrière exceptionnelle (137 combats, 2 matchs nuls et 3 défaites), Ama Baldé (33 ans) incarne l'héritier tout désigné. "Aux lutteurs bien nés, la valeur n’attend point le nombre d’années", comme le rappelle RFI. Entré dans l'arène dès l'âge de 20 ans, le lutteur de Pikine compte 13 victoires en 15 combats, ne s'inclinant que deux fois.
"Ama Baldé est plus volcanique. Il aime marcher sur ses adversaires et prendre le combat à son compte", analyse pour RFI Abdoulaye Dembélé, journaliste spécialiste de la lutte sénégalaise. Face à lui, Modou Lô (38 ans), installé sur le trône depuis juillet 2019 et deux victoires sur Eumeu Sène, possède "l'expérience d'affronter tous types d'adversaires". Le Roc des Parcelles sera donc favori pour ce combat événement.
En jeu également, la suprématie sur la banlieue dakaroise, avec d'un côté le champion des Parcelles Assainies et de l'autre "l'espoir de tout Pikine". La ville cherchera par la voix d'Ama Baldé à reprendre le trophée laissé par Eumeu Sène, venu soutenir le jour de la conférence de presse son "jeune frère".
Pour ce combat, promu par Luc Nicolaï, Modou Lô empochera 150 millions de cachet contre 100 millions pour son challenger. Lequel n'envisage que la victoire, pour lui comme pour sa ville de Pikine. La lutte sénégalaise tient donc son choc de l'année ce dimanche.
L’ASSOCIATION DES PROFESSIONNELS COMPTABLES, ADMINISTRATIFS, FINANCIERS… LANCÉE
Professionnels comptables, fiscalistes et économistes ont procédé, samedi 4 novembre 2023, à la mise sur pied de l'Association des Professionnels Comptables, Administratifs, Financiers, Fiscalistes et Economistes (APCAF). Il s’agit, selon son président Al
Professionnels comptables, fiscalistes et économistes ont procédé, samedi 4 novembre 2023, à la mise sur pied de l'Association des Professionnels Comptables, Administratifs, Financiers, Fiscalistes et Economistes (APCAF). Il s’agit, selon son président Alassane Sow, d’un cadre de concertation entre professionnels, comptables, administratifs, financiers et fiscalistes qui exercent dans des entités publiques, parapubliques, privées, fondations et ONGs.
« Les spécificités des différentes entités dans notre pays, le Sénégal suffisent pour justifier la mise sur pied d’un cadre d’échanges entre professionnels venant d’entités spécifiques et soucieux d’adapter les pratiques comptables à leur réalité afin d’harmoniser les bonnes pratiques dans des entités similaires », a notamment déclaré M. Sow devant la presse.
Le cadre de concertation que mettons aura pour mission de développer les échanges entre professionnels sur toutes les questions comptables, financières, juridiques, fiscales et sociales concernant les Agences, Projets, Programmes, Autorités, Haute autorités, Commissions, Délégations, Etablissements publics, Entreprises du secteur parapublic, Entreprises du secteur privé, ONGs, etc.
L’APCAF entend, également, faire la promotion des bonnes pratiques comptables et fiscales mais également porter le plaidoyer auprès de l’État du Sénégal.
M. Mor DIENG, président de l’Ordre Nationale des Experts Comptables et Comptables Agréés du Sénégal (ONECCA), est le président d’honneur de l’Association des Professionnels Comptables, Administratifs, Financiers, et Fiscalistes (APCAF).
« Dans ce monde en constante évolution, la collaboration entre nos différentes spécialités est essentielle pour répondre aux défis complexes auxquels sont confrontés nos Etats, nos entreprises et les organisations. En unissant nos forces, en partageant nos connaissances et en apprenant les uns des autres nous pourront offrir un meilleur service à tous les acteurs qui ont besoin de nous », a déclaré M. Dieng qui s’est dit honoré de voir la naissance de cette l’APCAF.
L’ASSOCIATION DES PROFESSIONNELS COMPTABLES, ADMINISTRATIFS, FINANCIERS… LANCÉE
Professionnels comptables, fiscalistes et économistes ont procédé, samedi 4 novembre 2023, à la mise sur pied de l'Association des Professionnels Comptables, Administratifs, Financiers, Fiscalistes et Economistes (APCAF). Il s’agit, selon son président Al
Professionnels comptables, fiscalistes et économistes ont procédé, samedi 4 novembre 2023, à la mise sur pied de l'Association des Professionnels Comptables, Administratifs, Financiers, Fiscalistes et Economistes (APCAF). Il s’agit, selon son président Alassane Sow, d’un cadre de concertation entre professionnels, comptables, administratifs, financiers et fiscalistes qui exercent dans des entités publiques, parapubliques, privées, fondations et ONGs.
« Les spécificités des différentes entités dans notre pays, le Sénégal suffisent pour justifier la mise sur pied d’un cadre d’échanges entre professionnels venant d’entités spécifiques et soucieux d’adapter les pratiques comptables à leur réalité afin d’harmoniser les bonnes pratiques dans des entités similaires », a notamment déclaré M. Sow devant la presse.
Le cadre de concertation que mettons aura pour mission de développer les échanges entre professionnels sur toutes les questions comptables, financières, juridiques, fiscales et sociales concernant les Agences, Projets, Programmes, Autorités, Haute autorités, Commissions, Délégations, Etablissements publics, Entreprises du secteur parapublic, Entreprises du secteur privé, ONGs, etc.
L’APCAF entend, également, faire la promotion des bonnes pratiques comptables et fiscales mais également porter le plaidoyer auprès de l’État du Sénégal.
M. Mor DIENG, président de l’Ordre Nationale des Experts Comptables et Comptables Agréés du Sénégal (ONECCA), est le président d’honneur de l’Association des Professionnels Comptables, Administratifs, Financiers, et Fiscalistes (APCAF).
« Dans ce monde en constante évolution, la collaboration entre nos différentes spécialités est essentielle pour répondre aux défis complexes auxquels sont confrontés nos Etats, nos entreprises et les organisations. En unissant nos forces, en partageant nos connaissances et en apprenant les uns des autres nous pourront offrir un meilleur service à tous les acteurs qui ont besoin de nous », a déclaré M. Dieng qui s’est dit honoré de voir la naissance de cette l’APCAF.