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22 novembre 2024
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LE STADE DEMBA DIOP EN PASSE D’ÊTRE RÉHABILITÉ PAR LA FIFA
Gianni Infantino, le président de la FIFA s’est engagé à participer à la réhabilitation du stade Demba Diop et en faire un stade fédéral, a annoncé ce dimanche le président de la Fédération sénégalaise de football (FSF), Augustin Senghor.
Gianni Infantino, le président de la FIFA s’est engagé à participer à la réhabilitation du stade Demba Diop et en faire un stade fédéral, a annoncé ce dimanche le président de la Fédération sénégalaise de football (FSF), Augustin Senghor, invité de Radio Futurs Médias (RFM, privée).
‘’Nous avons rencontré le président Infantino qui a fait part des bonnes dispositions de la FIFA dans ce sens et le président Macky Sall est aussi dans les mêmes dispositions’’, a expliqué le président de la FSF.
D’ailleurs, le président de la République a donné son accord pour faire de ce stade une infrastructure fédérale pour que la FIFA, l’instance dirigeante du football mondial avec les retombées de la coupe du monde Russie 2018, puisse dégager les fonds dans ce sens.
‘’Nous avons discuté avec le président Infantino jusque tard dans la soirée de mardi après les CAF Awards et le dîner qui a suivi’’, a précisé le président Senghor.
Le stade Demba Diop, situé en plein cœur de la capitale sénégalaise et fermé depuis juillet 2017 après les incidents lors de la finale de la Coupe de la Ligue, deviendrait après sa réhabilitation une enceinte à l’anglaise avec 20.000 places assises.
La réhabilitation de cette infrastructure accompagnée de la construction d’un stade olympique de 50.000 places à Diamniadio et la remise à neuf du stade Léopold Sédar Senghor, seraient un signe positif de la volonté du Sénégal d’abriter ou de co-organiser la CAN seniors, a ajouté le président Senghor.
Au sujet de la CAN 2025, le président de la FSF a réitéré ses propos d’une co-organisation avec la Guinée, la Gambie et la Mauritanie.
‘’J’en ai parlé au vice-président de la Fédération guinéenne de football, je suis en contact avec la Fédération de la Gambie et j’irais très prochainement en Mauritanie’’, a informé le président de la Fédération sénégalaise de football, soulignant qu’il est important de convaincre les autorités politiques à accepter ce principe de co-organisation.
‘’Nous parlons souvent d’intégration en Afrique et je suis convaincu qu’au niveau du football et de cette CAN 2025, il est très possible de faire un grand pas dans ce sens’’, a fait valoir le président Senghor.
KARIM ET KHALIFA RETIENNENT LEUR SOUFFLE
La liste provisoire des candidats devant prendre part à l'élection du 24 février 2019 sera connue demain, 13 janvier.
Alors que tous les yeux sont rivés sur le combat Modou Lô/Balla Gaye 2, c'est aussi demain que sera proclamée la liste provisoire des candidats devant prendre part à l'élection du 24 février 2019.
Et, selon Les Échos, ce sera, sans doute, le jour le plus long pour deux des sept candidats retenus provisoirement : Karim Wade et Khalifa Sall. Pourront-ils passer ce cap fatidique ? Wait and see.
FINANCEMENT DES PME
''Un financement massif et sécurisé des PME sénégalaises reste un défi des structures financières spécialisées qui donneront les modalités et conditions de cet engagement financier'' Ministre du commerce.
Le ministre du Commerce, de la Consommation et de la Promotion des PME, a exhorté vendredi les structures financières spécialisées à relever le défi d’un "financement massif et sécurisé" des petites et moyennes entreprises (PME).
"Un financement massif et sécurisé des PME sénégalaises reste un défi des structures financières spécialisées qui donneront les modalités et conditions de cet engagement financier", a-t-il dit.
Il intervenait au cours d’une table-ronde organisée à Dakar, à l’occasion de la deuxième édition du Forum des PME sénégalaises, articulée autour du thème : "Accompagner les futurs champions".
"Ce financement doit s’appuyer sur toute notre intelligence collective pour booster les PME. Nous invitons le système bancaire à un financement massif et sécurisé des micro entreprises", a réitéré le ministre.
Il a à cet égard exhorté les institutions bancaires et d’assurances à définir les conditions et modalités pour y parvenir, réaffirmant que "le Sénégal a décidé d’accompagner ses futurs champions".
Il a souligné que la problématique est de définir, sans a priori, les modalités techniques, juridiques, économiques et financières indispensables pour "financer, promouvoir et développer des PME viables, créatrices de richesses et d’emploi, au bénéfice des générations futures".
"Nous vous invitons à une adhésion collective et communautaire pour un financement massif et sécurisé des PME pour faire face à des investissements parfois considérables devant concilier tous les intérêts des parties prenantes", a-t-il insisté.
Il a aussi émis l’idée d’une amélioration des synergies entre l’Etat, les acteurs d’appui au secteur privé et les assurances, pour permettre au secteur bancaire et financier d’agir avec efficacité.
COURSE DE RELAIS FARAFÉGNÉ-DAKAR
Au total 240 athlètes africains et européens répartis dans 20 équipes vont prendre part du 18 au 20 janvier à la première édition de la course de relais entre Farafégné en Gambie à Dakar au Sénégal, a appris l’APS jeudi du comité d’organisation.
Au total 240 athlètes africains et européens répartis dans 20 équipes vont prendre part du 18 au 20 janvier à la première édition de la course de relais entre Farafégné en Gambie à Dakar au Sénégal, a appris l’APS jeudi du comité d’organisation.
"Pour cette édition de lancement, nous attendons 20 équipes composées chacune de dix coureurs, de deux coureurs en réserve et d’un officiel, donc au total, c’est 13 personnes par équipe", a indiqué le coordonnateur de ce projet sportif dénommé "projet course relais-marathon Banjul-Dakar", Cheikh Sarr.
Il s’entretenait avec des journalistes au terme d’une réunion préparatoire présidée par le préfet du département de Fatick, Ndèye Guénard Mbodj.
"Cette course de relais verra la participation d’équipes de coureurs de la Gambie, du Sénégal, de l’Italie, de la France, et des participants d’autres pays", a-t-il ajouté, signalant, que "l’inscription par équipe est fixée à 1 million de francs CFA".
"En retour, le comité d’organisation s’engage à prendre en charge l’hébergement, la restauration et le transport de toutes les délégations pendant ces trois ou quatre jours", va-t-il précisé, soulignant que cette manifestation est organisée en partenariat avec les fédérations gambienne et sénégalaise d’athlétisme.
Selon lui, l’organisation de cet événement du 18 au 20 janvier entre les deux pays, "est aussi une façon pour le comité d’organisation de participer à l’inauguration du pont de Farafégné" prévue le 21 janvier prochain en présence du président sénégalais Macky Sall et de son homologue gambien Adama Barrow.
"L’objectif principal de cet événement sportif qui va réunir les populations sénégalaise et gambiennes est de raffermir davantage les liens de parenté entre les deux peuples", a ajouté le coordonnateur.
Il a souligné que les équipes participantes sont attendues à Dakar à la place de l’Obélisque, ultime étape de la course de relais où va se déterminer le tableau des vainqueurs de cette première édition.
"Après Dakar, nous allons retourner à bord de véhicules, vers le pont de Farafégné, où nous avions pris le départ, pour la remise des trophées aux vainqueurs par les président sénégalais et gambien, ", a-t-il encore indiqué.
Il estime que ce pont est "le symbole du désenclavement de la Casamance mais aussi de l’intégration", soulignant que le comité d’organisation a en outre prévu d’inclure un marathon à la course relais Farafégné-Dakar sur demande du ministre des Sports et maire de Fatick, Matar Bâ.
"Ce marathon prévu sur une distance d’un peu plus de 42 kilomètres, va partir de Kaolack à Fatick avec d’autres coureurs individuels, à la date du 19 janvier, coïncidant avec le deuxième jour de la course de relais", a-t-il indiqué, ajoutant que "l’inscription est à 20.000 francs par dossard".
THIÈS : DES ORDURES COLLECTÉES PAR LES CHARRETTES
"Le taux de collecte à Thiès est évalué à 30%. Tout le reste est enlevé par les charrettes qui travaillent pour leur propre compte",
Le pôle de l’Unité de coordination de la gestion des déchets solides (UCG) qui appuie les trois communes de Thiès, assure un taux de collecte de 30% des ordures ménagères, le reste étant enlevé par des charrettes, a indiqué jeudi le responsable du pôle de gestion des déchets de la région de Thiès, Ibrahima Mbaye.
L’UCG accompagne les communes, en mettant à leur disposition des camions bennes qui font la collecte domiciliaire dans les ménages, bien que le système ne couvre pas toute la ville, a dit M. Mbaye.
Il s’adressait à la presse en marge d’une opération de nettoiement d’une partie de la forêt classée de Thiès, réceptacle de dépôts sauvages d’ordures, initiée par le service départemental des Eaux et Forêts de Thiès.
"Le taux de collecte à Thiès est évalué à 30%. Tout le reste est enlevé par les charrettes qui travaillent pour leur propre compte", a dit Ibrahima Mbaye. Il déplore que les charretiers intervenant dans la collecte d’ordures moyennant paiement, ne soient pas encore organisés, au point de se voir aménager des dépôts relais.
"Le secteur des ordures est complexe. Tout le monde produit des ordures et personne ne veut cohabiter avec", a relevé M. Mbaye.
Il indique avoir depuis longtemps, appelé les collectivités territoriales à réfléchir ensemble sur des sites relais où elles pourront orienter les charretiers. Par cette méthode, elles pourraient contrôler leur collecte et empêcher qu’ils ne créent partout des dépôts sauvages, a-t-il expliqué.
"Les dépôts sauvages se sont multipliés dans la ville, parce que les charretiers s’empressent de se débarrasser de leurs ordures dans les endroits qui leur sont plus accessibles", a-t-il dit, notant que la seule décharge autorisée se situe en dehors de la ville.
Les charretiers qui utilisent des ânes, doivent parcourir en moyenne une distance moyenne de 2 km entre leur point de collecte et de décharge pour que leur activité soit rentable, a-t-il cependant relevé.
Pour le lieutenant-colonel Birame Dieng, inspecteur régional des Eaux et Forêts (IREF) de la région de Thiès, "la ville de Thiès qui était réputée pour sa propreté et sa beauté, est devenue sale". Les populations, les collectivités territoriales et les autorités administratives doivent se donner la main pour assurer la propreté de la ville, estime-t-il.
L’adjoint au préfet de Thiès, Aliou Bâ a abondé dans le même sens, appelant les collectivités territoriales à réfléchir à la gestion des ordures ménagères, une compétence qui leur est transférée. Elles doivent, a-t-il dit, penser par exemple à la création de centres d’enfouissement technique et à des stratégies de valorisation des déchets
Le responsable forestier a aussi relevé la nécessité pour les riverains de la forêt classée, de lutter contre certains comportements, favorables à la multiplication des dépôts sauvages. Cela, en dénonçant les personnes qui viennent y déposer des ordures.
MÉTÉO : DES PICS DE 34 À 36°C PRÉVUS À L’INTÉRIEUR DU PAYS
Selon les prévisionnistes, ‘’au cours de la journée du mardi, le ciel s’éclaircira progressivement sur la moitié nord du pays’’, tout en demeurant ’’passagèrement nuageux’’ au sud.
Le temps chaud va prédominer à l’intérieur du pays lors des prochaines 24 heures, ‘’surtout sur les régions Centre où les pics de la journée avoisineront 34° à 36°C’’, indique l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM).
Par contre, la chaleur sera moins marquée sur les régions proches du littoral et les localités Sud, annonce l’ANACIM qui tablent sur de bonnes visibilités.
La fraîcheur nocturne et matinale sera de mise sur l’ensemble du territoire avec des températures minimales qui oscilleront entre 16 et 22°C.
Selon les prévisionnistes, ‘’au cours de la journée du mardi, le ciel s’éclaircira progressivement sur la moitié nord du pays’’, tout en demeurant ’’passagèrement nuageux’’ au sud.
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TENTATIVE DE COUP D'ÉTAT AU GABON
Le gouvernement annonce que les mutins ont été arrêtés
Selon le ministre de la Communication Guy-Bertrand Mapangou, porte-parole du gouvernement, les mutins ont été arrêtés par les unités du GIGN gabonais. La situation est sous contrôle et l'ordre sera complètement rétabli dans deux ou trois heures, affirme-t-il.
DÉCÈS DE KARIM SÉGA DIOUF
L’ancien sélectionneur de l’équipe nationale de football du Sénégal, est décédé dimanche, à Rufisque, a appris l’APS de plusieurs personnalités du milieu du football.
L’ancien sélectionneur de l’équipe nationale de football du Sénégal, Karim Séga Diouf, est décédé dimanche, à Rufisque, a appris l’APS de plusieurs personnalités du milieu du football.
Natif de Rufisque, Karim Séga Diouf a dirigé plusieurs clubs sénégalais dont Le Ndiambour, le Port Autonome de Dakar, le Jaraaf, la Jeanne d’Arc, le Saltigué (deux fois), le Foyer de Bargny, l’AS Douanes.
Il avait réussi en 2012, avec l’actuel sélectionneur de l’équipe A du Sénégal, Aliou Cissé, à qualifier l’équipe nationale Olympique aux Jeux Olympiques de Londres.
Enseignant d’éducation physique formé au CNEPS de Thiès, Karim Séga Diouf est l’un des entraîneurs qui ont marqué le football local.
CRISE À DAKAR BAMAKO FERROVIAIRE
Les Syndicats de cheminots et l’administrateur général ont convenu de se rencontrer le 20 janvier, dans le cadre d’un séminaire à Thiès, pour discuter de la situation interne de l’entreprise, a indiqué vendredi le coordonnateur des formations syndicales.
Les Syndicats de cheminots et l’administrateur général de Dakar Bamako Ferroviaire (DBF), Kibily Touré, ont convenu de se rencontrer le 20 janvier, dans le cadre d’un séminaire à Thiès, pour discuter de la situation interne de l’entreprise, a indiqué vendredi le coordonnateur des formations syndicales.
Ils sont arrivés à cette décision au terme de plusieurs heures de pourparlers dans un hôtel de la cité du rail, sous les auspices du député Abdou Mbow qui faisait office de médiateur.
Les cheminots de DBF observent un mouvement de grève depuis lundi, pour une relance de leur société, en crise depuis trois ans.
Les syndicalistes ont fait part de leurs inquiétudes par rapport à l’avenir de l’entreprise qui est dans une situation ‘’catastrophique’’ depuis la reprise de la concession il y a trois ans, a rapporté à la presse, le coordinateur du cadre unitaire des syndicats de Dakar-Bamako ferroviaire, Mambaye Tounkara.
Presque à l’arrêt depuis six mois, DBF est confrontée à des retards de salaires, des difficultés de prise en charge médicale, de gestion du personnel, et au non-versement des cotisations sociales, a dit M. Tounkara, qui est aussi secrétaire général du Syndicat unique des travailleurs de Dakar-Bamako ferroviaire (Sutrail).
Suite à un mouvement de grève lancé le 31 décembre dernier, sept membres du syndicat ont été arrêtés puis libérés le lendemain, alors qu’ils bloquaient la circulation.
‘’Si des décisions ne sont pas prises d’ici le début des élections, l’avenir de DBF est sombre’’, a prévenu M. Tounkara.
L’administrateur général qui, a été nommé le 26 octobre, a indiqué avoir besoin de ‘’clarifier et corriger certaines choses, à l’interne’’. D’où sa proposition d’un séminaire avec le syndicat.
‘’Il nous a convié à un séminaire le 19 ou le 20 pour réfléchir sur la situation interne’’, a relevé M. Tounkara, soulignant que ‘’le médiateur, le député Abdou Mbow s’est porté garant pour plaider auprès des autorités afin que des solutions soient trouvées’’.
‘’Nous attendons son retour (de l’administrateur général) et le retour de Abdou Mbow qui s’est engagé à porter le bâton de pèlerin auprès des autorités’’, a relevé Mambaye Tounkara.
Concernant les solutions que l’administrateur général a proposées pour la prise en charge médicale des agents et de leurs familles, elles seront discutées avec la base, a-t-il dit.
Au sujet des salaires qui étaient souvent payés à partir du 10 de chaque mois, Kibily Touré a noté que des avancées ont été enregistrées, puisqu’il est venu aux négociations après les avoir payés avec une semaine d’avance, le 24 décembre.
Au mois de novembre, les cheminots avaient reçu leurs salaires d’octobre avec 10 jours de retard, a-t-il rappelé.
‘’La lutte continue jusqu’à présent et nous allons rencontrer la base pour lui faire part des propositions’’, a indiqué Mambaye Tounkara avant d’ajouter que le plus important dans la plateforme revendicative, c’est moins la régularité des salaires que la rénovation de l’entreprise.
Le syndicat en a ‘’marre des promesses non tenues’’, a-t-il dit.
LE GÉNÉRAL MOR SECK, NOUVEAU PATRON DES SAPEURS-POMPIERS
L'homme a fait sa formation militaire au Maroc, à l’Académie royale de Mekhnès, avant d’approfondir sa formation militaire au Sénégal, à l’Ecole d’application de l’infanterie de Thiès.
Le colonel Mor Seck a été promu mardi, général de brigade et commandant de la Brigade nationale des sapeurs-pompiers (BNSP), rapporte Le Soleil, dans sa livraison de mercredi.
Le général Seck succède à la tête de la BNSP au général de brigade Victor Tine, admis dans la deuxième section des cadres de l’armée, écrit le journal. Ancien commandant en second de la BNSP, le général Seck a eu à occuper plusieurs responsabilités au sein de ce corps.
Le nouveau patron des Sapeurs-pompiers a fait sa formation militaire au Maroc, à l’Académie royale de Mekhnès, avant d’approfondir sa formation militaire au Sénégal, à l’Ecole d’application de l’infanterie de Thiès.
Il a obtenu plusieurs diplômes professionnels en France, au Bénin, etc.
Marié et père de famille, le général Seck a commandé le troisième contingent des sapeurs-pompiers sénégalais au Koweït, dans la période1998-2001.
La Brigade nationale des Sapeurs-pompiers compte un effectif de quatre mille sept cent cinq (4.705) officiers, sous-officiers et militaires du rang et personnels civils répartis comme suit : 58 Officiers, 1166 Sous-Officiers, 3477 militaires du rang et 4 personnels civils.
Elle dispose de 62 engins d’incendie, 75 ambulances, 34 engins spéciaux, 265 motopompes, 20 électropompes et 96 véhicules d’intervention, de liaison et de commandement.