L’artiste sénégalaise Viviane Chidid, a été nommée ambassadrice de ONU Femmes pour « mettre fin à la violence à l’égard des femmes et des filles », un combat dans lequel elle s’est engagée à accompagner ONU Femmes, l’Entité des Nations Unies pour l’autonomisation des femmes et l’égalité des sexes, révèle un communiqué de l’Agence des nations unies.
C’est en marge de la campagne des 16 jours d’activisme pour mettre fin à la violence faite aux femmes et aux filles (du 25 novembre au 10 décembre) tenue dans la ville de Guédiawaye que l’annonce a été faite par la coordonnatrice du programme Sénégal de ONU Femmes, Dienaba Wane Ndiaye.
« Nous te nommons ambassadrice de ONU Femmes pour porter le mouvement pour l’élimination de la violence faite aux femmes et contribuer à leur autonomisation », a-t-elle soutenu devant les autorités de la ville parmi eux le préfet du département de Guédiawaye, Chérif Mouhamadou M. Blondin Ndiaye et le Dr. Papa Samba Dieye, Médecin chef du district de Guédiawaye et les représentants des cinq maires de communes.
Selon Mme Ndiaye citée par le communiqué, Viviane est une femme qui a toujours démontré son engagement pour la cause des femmes à travers sa musique avec des actions qui entrent en droite ligne avec le mandat de ONU Femmes.
SENSIBILISATION CONTRE L'EXCISION DES FILLES
Soukeyna Diaw de "Génération Filles" prône son abandon pour permettre aux filles d'être entières
La responsable du programme « Génération filles », Soukeyna Diaw a appelé, mardi à Dakar, à mettre un terme à l’excision qui est violation des droits des femmes et peut nuire à la bonne santé des filles.
« Il est temps de mettre fin à l’excision, cette violation des droits des femmes et permettre aux filles d’être entières et en bonne santé. Il faut donner de la valeur aux femmes », a-t-elle dit.
Soukeyna Diaw animait un point de presse sur l’exposition dénommée « Visage de la résistance » destinée à sensibiliser les populations sur les méfaits de l’excision.
« La stratégie principale c’est la communication sociale pour le changement, il faut renforcer la communication entre les activistes et les pratiquantes mais également aller au plus prés des communautés, échanger, sensibiliser sur les conséquences de l’excision », a souligné Mme Diaw.
Elle a appelé que « l’expression de ces femmes qui veulent changer doit être prise en compte », ajoutant qu’on « doit travailler avec les parents pour trouver une solution à ce problème ».
Pour sa part, l’infirmier d’Etat et responsable de l’éducation et de l’information pour la santé du district sanitaire de Maka Coulibantang (Tambacounda, Serigne Seck a souligné avoir, à travers le cadre offert par l’exposition, l’opportunité de « discuter et de sensibiliser les populations sur l’excision qui est toujours très répandue dans notre région ».
Insistant sur l’implication des hommes dans la lutte pour l’abandon de l’excision, M. Seck a laissé entendre que « leurs pouvoirs de décision peuvent servir la cause et accélérer la marche vers l’abandon de l’excision ».
Mariama Gnamadio, animatrice, activiste-Sénégal, a estimé que le vote de la loi interdisant la pratique devrait être précédé d’une large communication avec les populations locales pour les convaincre d’adhérer à l’interdiction.
Selon elle, « cela n’a pas été le cas et c’est pourquoi cette question est toujours d’actualité ».
« Pour moi l’analphabétisme et la croyance que l’abandon de la pratique bafouerait la culture sont les principales causes de la persistance du phénomène » a souligné Mme Gnamadio.
PAR NDEYE FATOU NDIAYE
LA CINQUANTENAIRE INDIGNÉE ET EN COLÈRE
A ce stade de manque de vision de notre président, il sera difficile de tracer une route du développement des entreprises nationales et du citoyen - La question qui tue : 50 ans et beaucoup de poussières assisterai-je à une amorce de changement vertueux ?
A ce stade de manque de vision et de leadership patriotique de notre président, il sera difficile voire impossible de tracer une route du développement des entreprises nationales et du citoyen.
Quelques dossiers qui m'indignent et me révoltent:
- Indignée par les APE qui vont permettre à l'Europe d'exporter chez nous 5899 produits hors taxes alors que 98% des 405 892 sociétés que compte notre pays sont informelles. Comment un pays sans tissu industriel et vivant de taxes peut-il être l’ambassadeur d’un tel projet ? Avez-vous entendu l’étude d’un plan pour nos entreprises pour faire face à ce tsunami?
- Indignée par l'adhésion du Maroc à la CDEAO en une année de négociation ; la durée des tractations annonce une bonne dose d’improvisation. Les chiffres parlent : le PIB du Maroc est équivalent de ceux du Sénégal, de la Côte d’Ivoire et du Ghana réunis. Seul le Nigéria y gagne. Un pays comme le Sénégal dispose de très peu de sociétés suffisamment accompagnées pour grandir et rivaliser avec les mastodontes marocains et surtout il a leur cédé une bonne partie de son secteur bancaire & assurances.
- Indignée par le retour en force de la France qui avait déserté le pays durant les sombres années d'ajustement structurels. Elle veut reprendre sa place et remettre sur pied la coopération bilatérale aux fins d’évincer chinois, indiens, brésiliens, pays voisins...
- Indignée par ce show de Ouaga devant des étudiants qui ont déshonoré tous les jeunes africains. Où est-ce qu'ils sont allés les chercher? Le saviez-vous: Il y a toujours un M. Afrique à l'Elysée en la personne de Frank Paris. Et... Kaboré a-t-il réparé la clim?
- Indignée par l'aéroport AIBD dont le montage financier donne la priorité au retour sur investissement des turcs et de Lagardère.
- Indignée par l'autoroute de Lafarge-SENAC qui va nous racketter pour aller vers l'aéroport parce c'est l'unique accès routier pour s'y rendre.
- Indignée par ce TER qui va coûter près, sinon plus, de 600 milliards pour 50 km, alors que l’axe Dakar-Bamako-Niamey est la meilleure option pour une économie intégrée sous-régionale.
- Indignée par les contrats léonins sur les hydrocarbures et les mines adossés sur des codes qui datent de Mathusalem. Je suis désolée mais l’adhésion aux ITE n’a pas empêché, encore moins sanctionné, le montage obscure PETROSEN-PETROTIM-KOSMOS avec 200 milliards passés dans la nature.
- Indignée par Bolloré qui reprend les actifs de Nécotrans au port de Dakar pour un franc symbolique; la décision a été prise au tribunal de Paris. Et pour finir, M. Kanté, concepteur de ce fiasco, promu responsable du PSE.
- Indignée par la situation des jeunes qui meurent chaque jour depuis plus de 10 ans sur les routes de l'immigration. Arrêter ce phénomène n'a jamais été une cause nationale dans aucun des pays concerné. Il est à parier que s’il n’y avait pas télescopage avec le terrorisme et le jihadisme cette question n’occuperait pas la place qu’elle a aujourd’hui.
- Indignée par la justice définitivement muselée et aux ordres du pouvoir du moment.
- Indignée triplement par les carences endémiques: pas d'eau, d'électricité, de routes, de structures et de prises en charge de santé pour une bonne part de la population; plein de saletés et nuisances sous toutes les formes et partout.
- Indignée par arrêt des publications des rapports sur la gestion de nos deniers publics (l'ARMP, OFNAC, COUR DES COMPTES, IGE..). Silence, on pille. Il parait que ceux qui en parlent sont aigris.
- Indignée par un paysage politique sciemment maintenu dans une situation qui flatte les egos laissant croire à près de 300 chefs de parti et candidats indépendants qu’ils sont tous capables d’être président d’une république et une opposition prise en otage par le PDS qui serait capable de s’allier en 2019 avec l’APR si Karim Wade était libéré.
Eh bien, pour tout cela et bien d’autres choses encore, je suis en colère et indignée. Je le suis parce que pendant ce temps-là, le peuple ne se mobilise que pour défendre des causes partisanes ou de lobbies. Beaucoup ont accepté leur sort confortable ou de laissé pour compte, pendant que d'autres participent à une comédie appelée dialogue politique espérant qu'il en sortira miraculeusement une avancée démocratique alors que ce n’est pas du tout l’objectif de ceux qui l’ont initié.
La question qui tue : 50 ans et beaucoup de poussières assisterai-je à une amorce de changement vertueux dans mon pays ?
PROCESSUS DE PAIX EN CASAMANCE
La génération 82 veut apporter sa partition dans les efforts enclenchés par le gouvernement du Sénégal pour le retour d'une paix définitive dans la partie sud du pays
Les jeunes qui sont dans des universités sénégalais veulent une paix durable en Casamance. Ils ont organisé une série d’activités pour consolider le processus de paix.
Les jeunes nés en 1983 s’engagent dans la consolidation du processus de paix en Casamance. Ils se rendent dans des universités pour sensibiliser leurs camarades à s’impliquer. « 35 ans après le début de la crise casamançaise, les jeunes qui ne se sont jamais prononcés sur la question faute d’espace d’expression montent au créneau pour partager avec toute la jeunesse et particulièrement les universitaires », a lancé, Saliou Konté, Dp à la fondation Friedrich Ebert. Après les universités Assane Seck de Ziguinchor, Gaston Berger de Saint-Louis, celle de Thiès a pris le relai en début de semaine.
Selon Henri Ndecky, coordonnateur de la dynamique de paix en Casamance et la sous-région (Banjul, Bissau, Conakry), toute la jeunesse sénégalaise est concernée par la fin de la crise casamançaise et particulièrement les jeunes des universités. « En venant partager avec eux, toutes les potentialités de développement économique dont regorgent les régions sud du Sénégal, nous cherchons à ce que la jeunesse sénégalaise comprenne que nous sommes tous interpellés, en tant que jeunes Sénégalais sur un conflit qui n’a que trop duré », a-t-il confié.
Dans un discours aux relents de plaidoyer, Henry Ndecky affirme que les attentes de cette couche de la population, c’est la fin définitive du conflit. « Nous tendons la main à l’Etat du Sénégal, au Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc) et à toutes les forces sociales pour qu’ensemble, nous puissions réussir à faire bouger les lignes vers la paix », a-t-il martelé.
Considérant le Plan Sénégal émergent comme une opportunité de développement pour la Casamance, le professeur Nouha Cissé a fait une communication sur les potentialités socioéconomiques de la Casamance naturelle. Devant les étudiants de l’Université de Thiès, il est revenu sur les potentialités agricoles de la région sud qui, selon lui, confèrent à la Casamance le rôle de « grenier » du pays.
Le professeur Nouha Cissé a aussi fait cas de l’exploitation du zircon. Il a rappelé que l’origine de la crise était une insatisfaction de la prise en charge de la demande, économique et sociale des populations et aussi l’enclavement géographique. Pour le conférencier, pour engager dans la direction de pouvoir régler efficacement ces problèmes, Nouha Cissé indique que le Plan Sénégal émergent est un cadre adéquat si toute la jeunesse du Sénégal se mobilise.
PAR NOS REPORTERS MAMADOU LY, ADAMA DIOP ET ALIOUNE SALL
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LE PAGNE DANS TOUS SES ECLATS
EXCLUSIF SENEPLUS - Colliers, sandales, robes, sacs, accessoires, le Sipadak met en valeur le wax
Adama Diop, Mamadou Ly et Alioune Sall |
Publication 05/12/2017
La deuxième édition du salon international du pagne africain organisée à Dakar, SIPADAK, s’est tenue du 04 au 06 novembre à la place du souvenir. Des stylistes, des modélistes, des designers, des commerçants sont venus de différents pays africains pour exposer leurs œuvres.
Voir vidéo.
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ESCLAVAGE DÉGUISÉ
TF1 révèle la triste réalité de l'esclavage que des milliers d'enfants béninois vivent au quotidien dans des maisons et marchés du Bénin - La situation au Sénégal n'est pas bien différente
Une vidéo publiée le 26 novembre 2017 par la chaîne de télévision TF1 révèle la triste réalité de l'esclavage que des milliers d'enfants béninois vivent au quotidien dans des maisons et marchés du Bénin. La situation au Sénégal n'est pas bien différente.
Voir cette vidéo qui expose les assaults permanents sur des droits humains de base.
Dans sa rubrique "Plat du jour", Sophie, nous propose aujourd'hui de découvrir les omelettes tropicales, un plat riche et fait à base de plusieurs ingrédients.
Voir vidéo.
LUTTE CONTRE L'EXCISION ET LE MARIAGE PRECOCE
Rose Gakouba, représentante résidente du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) plaide pour une harmonisation des lois interdisant ces deux pratiques
La représentante résidente du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) par intérim au Sénégal, Rose Gakouba, a plaidé mardi en faveur de l’harmonisation des lois interdisant la pratique de l’excision et des mariages précoces. ‘’Il y a également un véritable effort à faire pour arriver à les harmoniser, mais aussi à les appliquer dans toutes leur rigueur’’, a-t-elle notamment dit lors d’une conférence de presse à la fin d’un processus de déclaration d’abandon de l’excision à Sédhiou de 87 communautés.
Selon elle, il est nécessaire, une fois la loi harmonisée, de faciliter sa diffusion dans les langues locales et de mener des formations pour renforcer les capacités pour que les populations comprennent que le mariage précoce et l’excision constituent des violations des droits humains. D’après Rose Gakouba, il est important de parvenir à l’abandon de la pratique de l’excision et de voir les communautés se mobiliser pour manifester publiquement leur engagement. Selon elle, il doit en être de même en ce qui concerne les mariages précoces et le mariage des enfants. ‘’Il faut retourner à l’ancrage religieux, culturel et aux stigmates pour retrouver les raisons qui amènent les populations à s’adonner à l’excision’’, a-t-elle suggéré.
Elle estime aussi qu’il faut renforcer l’information, la sensibilisation et la formation qui sont des éléments importants pour enrayer la pratique de l’excision. La représentante adjointe de l’UNFPA par intérim estime que si les acteurs et les communautés sont informés et sensibilisés sur les dangers et méfaits de l’excision ou des mariages des enfants, ils comprendront mieux que ces pratiques n’ont aucun fondement islamique. Pour elle, si les communautés sont informées que ces pratiques sont purement culturelles, qu’elles font mal aux filles et qu’il n’y a pas nécessité à les faire, en sus des renforcements de capacité sur les lois interdisant l’excision, le mariage précoce des enfants et les risques sanitaires, il y a espoir de parvenir à un mouvement de changement au niveau des cultures. Selon elle, le taux d’excision des filles de moins de 15 ans est passé de 18% en 2013 à 13,6% en 2016.
Elle en déduit que "l’espoir est permis’’. ‘’Il y a des progrès, certes, mais il y a des efforts à faire et à l’horizon 2030, il faudra y parvenir dans le cadre de l’atteinte des Objectifs du développement durable (ODD)’’, a exhorté Rose Gakouba. D’après elle, vu la volonté politique, celle des communautés et les changements qui s’opèrent, rien n’empêche le Sénégal de figurer parmi les premiers pays à abandonner totalement l’excision et les mariages précoces des enfants.
PAR ADAMA DIOP DE SENEPLUS
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L'ECHOGRAPHIE DES GROSSESSES PRECOCES
EXCLUSIF SENEPLUS - Seize millions de mineures concernées - Les difficultés lors des accouchements - La responsabilité des parents - Guigni Fall Sy fait le bilan
Le séminaire de formation sur les grossesses précoces organisé par le réseau international des femmes actives tidianes a été l'occasion, pour Madame Guigni Fall Sy sage-femme au district de Guédiawaye, de déplorer le nombre très élevé de mineures qui accouchent, chaque année, dans le monde.
"Au total 16 millions de mineurs accouchent par an", a-t-elle déclaré. La sage-femme est revenue sur les difficultés que rencontrent ces jeunes filles lors de l’accouchement.
Voir la vidéo.
PLAIDOYER POUR UNE APPLICATION EFFECTIVE DE LA PARITE
Un nouveau baromètre fait le point sur l'égalité de genre au sein des entreprises sénégalaises - Plusieurs femmes estiment que des améliorations doivent être apportées en vue d’assurer "des conditions de travail équitables aux hommes et aux femmes"
Un baromètre sur le genre dans les entreprises souligne les efforts à faire par le Sénégal en matière de "traitement équitable", 53% des femmes interrogées jugeant que des améliorations doivent être apportées en vue d’assurer "des conditions de travail équitables aux hommes et aux femmes".
Au total, "53% des femmes interrogées estiment que les entreprises sénégalaises ont des améliorations à apporter pour assurer des conditions de travail équitables aux hommes et aux femmes, 48 % dans l’évolution de carrière et la promotion, 44% dans les conditions de recrutement et 42% dans l’évolution des salaires", rapporte un résumé de cette étude.
Elle démontre, d’une manière générale, que "la question de l’égalité des genres est considérée comme importante au Sénégal dans la mesure où 63% des hommes et 58% des femmes estiment que leur entreprise accorde au sujet une importance supérieure à 8 sur 10", ajoutent les auteurs de cette enquête.
Ils précisent que les répondants au baromètre sont constitués de 63,3 % de femmes et de 36,7 % d’hommes. "Parmi les femmes qui ont répondu, 14,5 % sont des dirigeantes, 61 % sont des femmes managers ou cadres et 24% des employées".
L’étude présentée le week-end dernier à Dakar, a été réalisée par le cabinet "Beautiful Soul", spécialisé dans l’accompagnement au changement des organisations et dans le développement du leadership, en partenariat avec l’hebdomadaire panafricain Jeune Afrique.
Cette enquête menée "auprès de 106 entreprises représentatives" se veut "un tableau de bord pour les entreprises du secteur privé qui leur permet de prendre conscience de l’opportunité que représente la diversité en matière de genre pour l’amélioration de leur performance".
Avec ce baromètre, "nous voulons fournir un outil pratique aux dirigeants pour leur permettre de créer un environnement propice à l’éclosion de talents, notamment féminins", explique Patricia Sennequier, Fondatrice de "Beautiful Soul", citée dans le résumé de l’étude.
"Les entreprises qui ont une plus grande proportion de femmes dans leurs conseils d’administration et comités de direction sont plus performantes financièrement", signale-t-elle, avant d’ajouter que sur le continent africain, "celles qui comptent au moins un quart de femmes dans leurs organes dirigeants ont un bénéfice avant intérêts et impôts (EBIT) en moyenne 20% plus élevé que le bénéfice moyen de leur secteur".
"Or, déplore la fondatrice de Beautiful Soul, les entreprises panafricaines de référence ne comptent que 14,4% de femmes dans leurs conseils d’administration".
Ainsi, le baromètre insiste-t-il sur la nécessité pour les entreprises de "répondre aux besoins d’accompagnement qu’expriment les femmes interrogées", dont "plus de 55 % (...) considèrent l’accès aux formations et l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle indispensables à l’atteinte de leurs objectifs d’évolution".