Tengueuth FC a conforté sa place de leader de la Ligue 1 Startimes, en dominant, (4-1), le Stade de Mbour au Stade Caroline Faye de Mbour en match comptant pour la 9-ème journée.
Avec ce large succès, l’équipe de Rufisque relègue son dauphin, l’AS Pikine, à quatre points et totalise 20 points (+ 9). L’équipe pikinoise a été neutralisée (1-1) par le Ndiambour de Louga.
Niary Tally et Casa sports ont réussi les bonnes opérations de cette journée.
L’équipe des quartiers dakarois Niarry Tally, Grand-Dakar et Biscuiteries (NGB) a renoué avec la victoire en battant (2-0) Mbour Petite Côte (MPC). Niarry Tally était dans une situation difficile, avec de mauvais résultats.
A Ziguinchor, le Casa Sports a signé sa première victoire de la saison en remportant, (1-0), le classique devant le Jaraaf de Dakar. Les Ziguinchoirois s’éloignent ainsi de la zone rouge avec cette victoire et occupent la huitième place avec neuf points
-Voici les résultats de la 9-ème journée :
-Génération-Dakar Sacré-Cœur (1-1), Pikine-Ndiambour (1-1), Stade de Mbour-Tengueuth FC (1-4), Niarry Tally-Mbour petite côte (2-0), US Gorée-Douanes (0-1), Linguère-SONACOS (1-1), Casa-Jaraaf (1-0).
''EN 2000 J'AI REFUSÉ LE POSTE DE DIRECTEUR DE...''
Baldé fut commissaire de police et chef de la Brigade nationale des affaires économiques et financières.
En 2000, quand survint l'Alternance, Abdoulaye Baldé s'est vu proposé la direction de la police nationale et le secrétariat général de la Présidence. Mais il a opté pour le deuxième poste.
La raison ? "J'ai dit à Idrissa Seck que je risquais de déstructurer la police parce que j'étais commissaire et certains gradés pouvaient en être frustrés", a-t-il déclaré dans des propos rapportés par L'Observateur.
Baldé fut commissaire de police et chef de la Brigade nationale des affaires économiques et financières.
SADIO MANÉ DOIT PARLER À SON COACH
"Il doit prendre ses responsabilités et aller parler à son coach pour qu’il soit mis dans les meilleures conditions", a indiqué Diouf lors de la conférence de presse des Légendes en prélude de leur match de gala.
Sadio Mané, l’attaquant sénégalais, doit "prendre ses responsabilités et aller parler à son sélectionneur" pour qu’il puisse donner le meilleur de lui-même en sélection comme il le réussit si bien en club à Liverpool (élite anglaise), a estimé El Hadj Diouf, ce dimanche en conférence de presse.
"Sadio (Mané) n’est pas en sélection dans un cadre lui permettant de montrer son talent", a dit Diouf interrogé sur les performances de l’attaquant de Liverpool en équipe nationale du Sénégal.
"Il doit prendre ses responsabilités et aller parler à son coach pour qu’il soit mis dans les meilleures conditions", a indiqué Diouf lors de la conférence de presse des Légendes en prélude de leur match de gala.
Cette rencontre opposant une sélection de la génération 2002 à celle des Légendes africaines aura lieu ce lundi au stade Léopold Sédar Senghor à la veille des Aitéo CAF Awards prévus mardi au CICAD à Diamniadio.
"En équipe nationale pour réussir, il faut beaucoup de caractère", a rappelé Diouf.
Sur la même question, le Camerounais Samuel Eto’o a invité les Sénégalais à valoriser Sadio Mané qui reste actuellement le meilleur footballeur de ce pays.
"Au Brésil, ils savent bien le faire, en Afrique, ce n’est souvent pas le cas", a-t-il relevé, se disant convaincu que Sadio (Mané) donne le meilleur de lui-même en sélection.
"J’ai eu le même problème au Cameroun alors que j’empilais des buts, il y a toujours certains qui pensaient que ce n’est pas assez", a-t-il rappelé, indiquant au sujet de Sadio Mané que ses coéquipiers aussi doivent accepter son leadership.
"En Afrique, ce n’est pas le cas, il y a souvent de la jalousie", a-t-il déploré.
Habib Bèye, consultant de la chaine française Canal Plus, a déploré le classement de Sadio Mané au Ballon d’or 2018. "Je ne comprends pas qu’il puisse être classé derrière son coéquipier brésilien Firmino", a dit l’ancien capitaine de l’OM.
Sadio Mané fait partie du trio des nominés pour le Ballon d’or africain 2018 en compagnie de l’Egyptien Mohamed Salah et du Gabonais Pierre Emerick Aubameyang.
BOFA BAYOTTE : ''le dossier est au point mort''
Un an après la tuerie qui a fait quatorze morts, l'enquête est toujours au point mort. Une situation que déplore Me Assane Dioma Ndiaye, l'avocat des mis en cause du massacre de Bofa Bayotte.
Un an après la tuerie de Bofa Bayotte qui a fait quatorze morts, l'enquête est toujours au point mort. Une situation que déplore Me Assane Dioma Ndiaye, l'avocat des mis en cause du massacre de Bofa Bayotte.
D'après lui, les choses ne bougent pas et les personnes arrêtées ne sont pas toujours entendues sur le fond. "Il n'y a aucune délégation judiciaire pour les entendre", regrette Me Assane Dioma Ndiaye, interrogé par Le Quotidien.
Autre écueil soulevé par la robe noire : "Le premier juge d'instruction à qui le dossier a été confié avait commencé les auditions mais il a été affecté de façon inattendue. L'affaire est maintenant confiée au juge du 6e cabinet à Dakar."
KARIM AURAIT RENONCÉ À SA NATIONALITÉ FRANÇAISE
Libération, qui donne l'information, rapporte que le candidat de la coalition Karim Président 2019 a écrit aux autorités françaises pour demander à être déchu de sa nationalité française.
Karim Wade est déterminé à participer à la prochaine présidentielle, malgré le rejet de son inscription sur les listes électorales. À preuve, il a renoncé à sa nationalité française, obstacle à sa candidature.
Libération, qui donne l'information, rapporte que le candidat de la coalition Karim Président 2019 a écrit aux autorités françaises pour demander à être déchu de sa nationalité française. Ce, pour se conformer à la loi sénégalaise qui dispose que les candidats à la présidentielle doivent être de nationalité exclusivement sénégalaise.
Le journal informe que la requête a été satisfaite. D'ailleurs, souligne la même source, c'est sur cette base que le fils de Wade a obtenu un certificat de nationalité sénégalaise versé dans son dossier de candidature qui a été déposé au Conseil constitutionnel.
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MACKY FACE À LA PRESSE : LA QUESTION POLÉMIQUE
Contrat du géant français Total dans l'exploration et l'exploitation du pétrole au Sénégal.
Lors de son entretien face à la presse du 31 décembre dernier au Palais, le Président de la République, Macky Sall, a semblé fâché par la question du journaliste, Cheikh Yérim Seck. Question relative au contrat du Groupe français Total dans l'exploration et l'exploitation du pétrole au Sénégal, qui a amené notamment l'ex-ministre de l'énergie, Thierno Alassane Sall a démissionné du gouvernement.
SAINT-LOUIS : LES PÊCHEURS CONFRONTÉS À UNE PÉNURIE D’ESSENCE
Doudou Tall Ndiaye a dénoncé cette situation qui bloque à quai plus de 400 pirogues, empêchant leurs propriétaires de mener leurs activités quotidiennes de pêche.
Les pêcheurs de la Langue de Barbarie, de Guet Ndar, Goxu Mbathie et Santhiaba font face à une pénurie d’essence depuis un mois, a appris l’APS.
Ces pêcheurs sont confrontés à une pénurie qui ralentit leurs activités, a confié à l’APS leur porte-parole, soulignant que cette situation dure ’’depuis un mois’’.
Doudou Tall Ndiaye a dénoncé cette situation qui bloque à quai plus de 400 pirogues, empêchant leurs propriétaires de mener leurs activités quotidiennes de pêche.
A Saint-Louis, sur les 20 stations-services qui approvisionnent les pirogues, seules deux disposent d’essence, a-t-il dit.
’’Cette situation occasionne des bousculades énormes pour les pêcheurs, au niveau de ces dites stations d’essence, mais également, nous pénalise avec un manque à gagner énorme’’, fustige-t-il.
Selon Doudou Tall Ndiaye, chaque pirogue a besoin de 600 litres de carburant pour aller en mer. ‘’Mais, a-t-il déploré, la situation de pénurie ne nous permet pas un approvisionnement correct’’.
Le pêcheur Yague Mar Touré demande aux autorités d’intervenir afin que l’essence soit disponible au niveau de Langue de barbarie et à l’Hydrobase.
’’Pour un mois d’inactivité, sans pêche, l’économie sénégalaise perd des milliards de francs. Cette situation affecte nos familles pour la dépense quotidienne’’, a-t-il dit.
23E ÉDITION DU GAMOU DE BOROM DIAMAL
Situé à quelques encablures de Birkilane, dans la région de Kaffrine (centre), Diamal "fait partie des plus grands centres de formation en islam’’ au Sénégal.
La 23ème édition du Gamou de Borom Diamal sera célébrée les vendredi 1er et samedi 2 février prochains, à Diamal, dans la région de Kaffrine, sous l’égide du Khalife de Pire, Serigne Mansour Cissé, a appris l’APS.
La manifestation religieuse est placée sous "le haut patronage’’ du Président de la République, Macky Sall, selon son chargé de communication Babacar Cissé.
Le vendredi, les programmes débuteront à partir de 20h avec le professeur Thierno Ka, directeur de l’Institut islamique de Dakar, le Dr Djim Ousmane Dramé, chercheur à l’Institut fondamental d’Afrique noire (IFAN), et Lamine Cissé, consultant international.
Ils débattront du thème central "Revalorisation des œuvres de Borom Diamal, Mame El Hadj Abdoulaye Cissé’’ et comme sous-thème "Les œuvres de Borom Diamal pour la paix durable dans la sous-région".
Samedi, un récital de Coran et des prières pour la paix au Sénégal sont prévus dans la matinée, avant le démarrage, à partir de 16h, de la cérémonie officielle, en présence d’une forte délégation du Gouvernement.
La famille de Borom Diamal invite tous les khalifes généraux de l’ensemble des confréries à cette ziarra qui en est à sa 23ème édition.
Le foyer religieux de Diamal a été créé par Mame El Hadj Abdoulaye Cissé, plus connu sous le nom de Borom Diamal.
Situé à quelques encablures de Birkilane, dans la région de Kaffrine (centre), Diamal "fait partie des plus grands centres de formation en islam’’ au Sénégal, a rappelé Babacar Cissé.
DISTRIBUTION L'EAU : LA SDE EN ACTIVITÉ POUR 6 MOIS ENCORE
Selon Enquête, qui donne l’information, elle va assurer le service jusqu’au 30 juin prochain, suivant les termes d’un avenant signé par l’État fin décembre.
La SDE, dont le contrat pour la gestion de l’eau au Sénégal a expiré début décembre, bénéficie d’une rallonge de six mois. Selon Enquête, qui donne l’information, elle va assurer le service jusqu’au 30 juin prochain, suivant les termes d’un avenant signé par l’État fin décembre.
Cependant la Sde, qui a saisi d’un recours contentieux l’Autorité de régulation des marchés publics (Armp), devra poursuivre le combat pour récupérer définitivement le marché de l’eau attribué à Suez.
FATICK : 264 000 HECTARES DE TERRE AFFECTÉS PAR LA SALINISATION
"Dans le bassin arachidier incluant également les régions administratives de Kaolack, Kaffrine, Diourbel, Fatick est la plus affectée par le processus de salinisation des terres favorisé par les changements climatiques et l’action anthropique".
Le processus de salinisation a déjà affecté 264 500 hectares de terre de Fatick, en faisant la région la plus durement touchée par ce phénomène dans la zone du bassin arachidier, a révélé jeudi, le lieutenant Birahim Mbaye Seck, adjoint du chef du secteur des Eaux et forêts de Foundiougne.
"Sur une superficie de 389 500 hectares de terre salées dans le bassin arachidier, 264 500 se trouvent dans la région de Fatick", a-t-il notamment souligné en marge d’un forum organisé par l’Amical des élèves et étudiants de Keur Farba, un village de la commune Djilor Saloum, dans le département de Foundiougne.
"Dans le bassin arachidier incluant également les régions administratives de Kaolack, Kaffrine, Diourbel, Fatick est la plus affectée par le processus de salinisation des terres favorisé par les changements climatiques et l’action anthropique", a-t-il expliqué en citant les résultats d’une étude faite sur le niveau de dégradation des terres dans cette zone.
"Vous pouvez donc mesurer les conséquences que ce phénomène peut engendrer sur les populations, l’écosystème et la réduction des superficies cultivables, voire une disparition de certaines espèces forestières", a fait remarquer le responsable du service des Eaux et Forêts.
Selon lui, ce phénomène constitue un problème crucial au regard des difficultés qu’il pose aux populations de cette région.
"Les causes de cette salinisation des terres cultivables sont grandement liées aux changements climatiques, à la pression anthropique par exemple l’extraction du sable", a-t-il fait savoir non sans plaider pour une plus grande sensibilisation des populations sur les bonnes pratiques culturales.
Il a également souligné la nécessité d’œuvrer à une amélioration des techniques de récupération des terres en alternant la lutte mécanique et lutte biologique.