Chérif Younouss Ndiaye, membre de l’équipe d’appui technique de la Confédération africaine des organisations professionnelles de pêche artisanale (CAOPA), a déclaré que les gilets de sauvetage constituent ‘’moyens efficaces de protection des pêcheurs’’, soulignant qu’en cas de problèmes en mer, ‘’ils peuvent contribuer à la préservation de l’intégrité physique et matérielle des acteurs et de leurs biens’’.
’’Dans le domaine de la pêche, surtout artisanale, il y a beaucoup de problèmes de sécurité auxquels les pêcheurs font face. Les gilets contribuent à préserver l’intégrité physique des personnes qui embarquent à bord des pirogues pour aller mener leurs activités dans des plans d’eau, en haute mer ou au niveau des Aires marines protégées (AMP)’’, a-t-il insisté.
M. Ndiaye, technicien supérieur des pêches à la retraite, par ailleurs, s’exprimait mercredi, au cours d’un atelier diagnostic de l’AMP de Joal-Fadiouth (Mbour, ouest). Cette rencontre fait partie d’une série d’ateliers initiés par la confédération africaine des organisations professionnelles de pêche artisanale (CAOPA), dans le cadre l’élaboration d’un programme de renforcement des AMP de Cayar, Sangomar et Joal-Fadiouth.
La CAOPA a profité de ces ateliers pour offrir un important lot de gilets de sauvetage aux comités de gestion des différentes AMP concernées par ce programme qui va être appuyé par la Société suédoise de conservation de la nature (SSCN), un des partenaires stratégiques de la CAOPA.
’’Nous voulons participer ainsi dans cette politique globale de l’Etat qui vise à réduire les accents en mer avec parfois des morts d’homme’’, a relevé Chérif Younouss Ndiaye, précisant que ces gilets sont offerts dans le cadre des programmes de la CAOPA et de l’Association pour la promotion et la responsabilisation des acteurs maritimes (APRAPAM).
NIGERIA : UN ANCIEN CHEF D'ÉTAT MAJOR DE L'ARMÉE ABATTU PAR BALLES
Alex Sabundu Badeh, le maréchal en chef de l’air a été abattu ce mardi dans sa voiture au Nigeria.
L’homme de 61 ans est mort suite à ses blessures par balles. Son véhicule a été attaqué alors qu’il revenait de sa ferme, le long de la route entre Abuja et Keffi, explique le communiqué des autorités nigérianes.
“C’est avec un coeur lourd que j’annonce avec regret la mort malheureuse de notre ancien chef d‘état-major, le maréchal en chef de l’air Alex Sabundu Badeh”, a indiqué Ibikunle Daramola, porte-parole de l’armée de l’air.
Aucune précision n’a été donnée sur les auteurs de l’attaque ou leurs motivations.
Le maréchal Badeh, qui a servi le Nigeria sous la présidence de l’ex chef d’Etat Goodluck Jonathan, avait cessé ses activités en 2015, à l’arrivée au pouvoir de l’ancien général Muhammadu Buhari.
Il a été accusé de corruption et de détournements d’argent alors qu’il était à la tête de l’armée, au plus fort du conflit avec le groupe jihadiste Boko Haram, et était dans l’attente de son procès avec nombreux autres membres de l’ancien gouvernement.
La situation sécuritaire se dégrade dans le pays le plus peuplé d’Afrique (180 millions d’habitants) à quelques mois de la présidentielle prévue en février prochain.
Le président Buhari, candidat à sa propre succession, est largement critiqué pour avoir laissé s’aggraver de nombreux conflits aux quatre coins du pays.
NIGERIA : UN ANCIEN D'ÉTAT MAJOR DE L'ARMÉE ABATTU PAR BALLES
Alex Sabundu Badeh, le maréchal en chef de l’air a été abattu ce mardi dans sa voiture au Nigeria.
L’homme de 61 ans est mort suite à ses blessures par balles. Son véhicule a été attaqué alors qu’il revenait de sa ferme, le long de la route entre Abuja et Keffi, explique le communiqué des autorités nigérianes.
“C’est avec un coeur lourd que j’annonce avec regret la mort malheureuse de notre ancien chef d‘état-major, le maréchal en chef de l’air Alex Sabundu Badeh”, a indiqué Ibikunle Daramola, porte-parole de l’armée de l’air.
Aucune précision n’a été donnée sur les auteurs de l’attaque ou leurs motivations.
Le maréchal Badeh, qui a servi le Nigeria sous la présidence de l’ex chef d’Etat Goodluck Jonathan, avait cessé ses activités en 2015, à l’arrivée au pouvoir de l’ancien général Muhammadu Buhari.
Il a été accusé de corruption et de détournements d’argent alors qu’il était à la tête de l’armée, au plus fort du conflit avec le groupe jihadiste Boko Haram, et était dans l’attente de son procès avec nombreux autres membres de l’ancien gouvernement.
La situation sécuritaire se dégrade dans le pays le plus peuplé d’Afrique (180 millions d’habitants) à quelques mois de la présidentielle prévue en février prochain.
Le président Buhari, candidat à sa propre succession, est largement critiqué pour avoir laissé s’aggraver de nombreux conflits aux quatre coins du pays.
LIBERTÉ PROVISOIRE ENCORE REFUSÉE À MIKE TEIHO
Affaire du soldat français placé sous mandat de dépôt à Rebeuss.
La justice ne veut pas lâcher le militaire Français, Mike Teiho accusé d’avoir agressé Oumar Watt. Elle vient encore de lui refuser la liberté provisoire. Sa deuxième demande de liberté provisoire a été rejetée, d’après L’‘Observateur.
Le journal précise que son avocat a saisit la Chambre d’accusation pour obtenir sa libération. La requête a été introduite depuis lundi dernier. Teiho a été placé sous mandat de dépôt à Rebeuss depuis le 27 septembre dernier pour coups et blessures volontaires ayant entraîné une incapacité de travail de plus de 50 jours. Les faits se sont déroulés au mois de septembre dernier dans une discothèque.
DU "CONTENU LOCAL" DANS LES CHAINES DE TÉLÉVISION
Babacar Diagne qui a invité les télévisions à mettre en place des programmes avec des contenus tirés des réalités locales, a déploré le ‘’mimétisme’’ dans certaines télévisions qui véhiculent des croyances développées par les Occidentaux.
Le président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) a invité lundi à Kaolack les télévisions à développer des contenus locaux dans leurs programmes.
Babacar Diagne qui a invité les télévisions à mettre en place des programmes avec des contenus tirés des réalités locales, a déploré le ‘’mimétisme’’ dans certaines télévisions qui véhiculent des croyances développées par les Occidentaux.
Selon lui, les télévisions occidentales font croire par exemple que les Africains sont les plus grands migrants vers l’Europe alors que cela est ‘’faux’’ car les pays de l’Est et le Moyen Orient sont les plus grands pourvoyeurs de l’Europe en matière de migration.
Lors d’une visite à la Télévision du Saloum (TVS) en compagnie de son promotteur, l’homme d’affaires Serigne Mboup, le président du CNRA a relevé que ‘’80 pour cent des émigrés africains sont dans la légalité contrairement à une idée bien répandue chez les Européens’’.
’’Les télévisions reprennent sans les analyser ces genres d’idées qui donnent de fausses informations sur l’Afrique et sa population contribuant ainsi à donner une mauvaise image d’eux’’, a t-il déploré.
Pour remédier à ce phénomène, Babacar Diagne estime qu’il faut développer du contenu à ‘’partir des réalités socio-économiques de nos pays à l’image de ce que tente de faire la TVS’’.
’’Cette télévision parle beaucoup des réalités de son terroir et mérite d’être accompagnée pour entrer notamment dans la TNT et s’ouvrir d’autres horizons en terme d’audience’’, a-t-il dit.
En compagnie de Serigne Mboup, également président de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Kaolack, M. Diagne a aussi visité l’espace Cœur de ville où plusieurs projets tendant à rendre la ville de Kaolack plus visibles sont en cours.
Il était accompagné également des conseillers Djiby Diakhaté et Lucky Patrick Mendy récemment nommés au CNRA.
Pour Babacar Diagne, la télévision ne se limite pas à la diffusion d’émissions musicales ou religieuses, invitant les rédactions à réfléchir au contenu de leurs programmes.
’’Certes la religion est une bonne chose et la musique également fait partie de la vie mais la télévision ne doit pas limiter à la diffusion de la musique ou d’émissions religieuses’’, a dit M. Diagne
Rokhaya Diallo-Hamidou Anne-Penda Mbow-Alymana Bathily-René Lake
SÉNÉGAL, ENJEUX 2019
EXCLUSIF SENEPLUS - Jusqu'à l'élection présidentielle de février, publication d'une série d'articles d'analyse de fond des défis qui se posent au développement du pays - La conversation est dès à présent ouverte et tout le monde peut y prendre part
#Enjeux2019 - A partir de cette semaine, SenePlus.com lance un projet de publication d'une série d'articles d'analyse de fond des principaux défis qui se posent au développement du Sénégal.
"Enjeux 2019", titre de cette série de publications que vous retrouverez sur SenePlus.com et dans les colonnes de quelques uns de ses partenaires de la presse écrite, a pour objectif de susciter, de mener, d'entretenir et de prolonger dans le fond et dans la durée des débats nationaux d'ici au 24 février 2019, date de la prochaine élection présidentielle.
Avec le soutien de la fondation Open Society Initiative for Africa (OSIWA), SenePlus a sollicité plusieurs contributions écrites auprès d'experts, d'activistes, et de leaders d'opinion représentants un groupe de citoyens divers en tous points : âge, genre, ethnie, religion, opinion ou engagement politique, école de pensée philosophique ou idéologique, et spécialité professionnelle notamment.
Les discussions, les conversations et les débats autour des "Enjeux 2019" seront menés sous un angle non-partisan. L'intention est sous-tendue par l'idée selon laquelle, quelle que soit l'administration qui sera aux affaires après la prochaine présidentielle, nous devrons tous ensemble, malgré nos approches différentes, voire divergentes, sinon trouver des solutions, au moins faire des progrès significatifs dans certains domaines. Car, cela relève d'une exigence populaire et bien souvent également, une exigence de bon sens.
Tous les sujets de fond seront abordés. Ensemble, nous réfléchirons aux questions de gouvernance, d'éducation, de formation, de la place de nos langues nationales, de celle des femmes dans toutes les sphères de la société, du rôle des médias, des défis d'Internet et des réseaux sociaux, de la santé publique, de la monnaie, de la gestion des ressources naturelles, de la politique africaine et internationale, de la défense et de la sécurité, de l'environnement, du sport, etc.
Les points de vue des femmes et des jeunes seront transversaux à toutes ces questions.
Il s'agira de rendre compte des défis qui se posent de manière spécifique aux femmes qui représentent la majorité de la population du Sénégal. Où en sommes-nous par rapport à l'égalité en droit entre hommes et femmes ? Quelles mesures et quelles réformes pour faire face à la violence sur les femmes dans la sphère domestique ? Comment discuter et agir face à la mendicité infantile ? Les questions sont bien nombreuses.
Quant aux jeunes, les textes de SenePlus et ses partenaires refléteront la maturité politique d'une partie de cette jeunesse et son appropriation des enjeux immenses qui se posent à un pays à bâtir ensemble. Les contributions des jeunes femmes et des jeunes hommes auront ce sens profond qu'elles proviennent du cœur social d'un pays jeune. Elles constitueront le propos de celles et de ceux sur qui le pouvoir à venir en février 2019 s'exercera.
Pour prolonger, étendre et diversifier les conversations, SenePlus.com interpellera régulièrement, sur des plateformes multimédia, des citoyens dans les rues du pays et ailleurs pour avoir en diola, en pulaar, en wolof et en français, leurs perspectives sur les "Enjeux 2019".
Après l'élection, plusieurs formules pour poursuivre les discussions sur les "Enjeux 2019 - 2024" seront proposées à tous les acteurs sociaux. D'un ouvrage aux conférences et autres espaces de discussion, il s'agira de poursuivre cette réflexion endogène sur le développement du Sénégal.
Tous ceux qui souhaiteront contribuer ou réagir aux articles publiés dans cette série "Enjeux 2019" sont invités à nous contacter par email à l'adresse : article@seneplus.com.
Rokhaya Diallo, Hamidou Anne, Penda Mbow, Alymana Bathily et René Lake
Ils sont sept jeunes lauréats camerounais de l‘école africaine de météorologie et de l’aviation civile de Niamey, dans une situation de précarité . Leur pays refuse de leur octroyer les bourses auxquels ils ont droit. Ces sept infortunés, sont pourtant brillants.On y retrouve le major au baccalauréat au Cameroun de la session de 2011- avec une moyenne de près de 18 sur 20.
KOUNGHEUL : 182 ÉLÈVES RÉCOMPENSÉS POUR LEURS BONS RÉSULTATS
Les lauréats ont reçu leurs récompenses lors de la première édition de la fête de l’excellence, en présence des autorités administratives, de l’Inspecteur d’académie de Kaffrine.
L’inspection de l’éducation et de la formation (IEF) de Koungheul a primé samedi, 182 élèves du préscolaire, de l’élémentaire et du moyen pour leurs bons résultats scolaires au terme de la dernière année académique, a constaté l’APS.
Les lauréats ont reçu leurs récompenses lors de la première édition de la fête de l’excellence, en présence des autorités administratives, de l’Inspecteur d’académie de Kaffrine, Maba Bâ et du coordonnateur national de la coalition des organisations en synergie pour le développement de l’éducation publique(COSYDEP), Cheikh Mbow.
L’IEF de Koungheul, Arfang Seck a expliqué que cette première édition intitulée "Journée des lauréat du bambouk" permet de célébrer "les avancées réalisées par le système éducatif" dans le département.
"Cette année, les enseignants du département de Koungheul ont réalisé des performances très importantes. Au Certificat de fin d’études élémentaires (CFE), nous sommes passés de 32% en 2015 à 64% en 2018. Et, pour le BFEM, cette année nous sommes à 64%", a-t-il salué.
Il a émis le souhait de pérenniser cette fête de l’excellence et de l’inscrire dans le calendrier départemental.
Pour sa part, le coordonnateur national de la COSYDEP, Cheikh Mbow, "cette fête de l’excellence célèbre les enseignants, les parents d’élèves et les collectivités territoriales".
Cette manifestation permet de renforcer le pouvoir local et faire en sorte que les ressources qui sont injectés dans le système éducatif puissent être mieux senties au niveau local, a-t-il dit. "Elle permet d’avoir un système éducatif plus performant", a ajouté M. Mbow.
27ÈME ÉDITION DE LA FOIRE INTERNATIONALE DE DAKAR
"La Fidak a connu un bon niveau d'organisation" DG CICES
Le directeur général du Centre international du commerce extérieur du Sénégal (CICES), Cheikh Ndiaye s’est félicité samedi du ’’bon niveau d’organisation’’ de la 27ème édition de la foire internationale de Dakar (FIDAK).
"La foire a connu un bon niveau d’organisation. Les exposants sont venus en masse. Nous en avons dénombré plus de 2000 exposants. A cela s’ajoute des innovations au niveau de la biodiversité et le E-FIDAK", a-t-il déclaré à l’APS dans le cadre de la 27e FIDAK dont la clôture aura lieu ce dimanche.
Le Directeur général du CICES est revenu notamment sur l’aspect sécuritaire, signalant qu’aucune incidence majeure n’a été détectée, ni de plainte n’a été enregistrée.
Selon lui, tout a fonctionné normalement, saluant l’organisation des journées scientifiques et des panels tenues à l’occasion de cette manifestation foraine.
"Le thème de cette édition a porté sur +La compétitivité des PME des pays en développement face au défi de la mondialisation+. Il a été traité par l’Agence de développement et d’encadrement des petites et moyennes entreprises (ADEPME) avec beaucoup d’efficacité", a-t-il expliqué.
Cheikh Ndiaye a ajouté que "les conclusions issues de ces journées profiteront non seulement au CICES, mais aussi au ministère de commerce et à l’Etat, car la compétitivité des PME passe par la maîtrise de l’économie sénégalaise".
"Globalement le bilan est satisfaisant puisque beaucoup de services sociaux ont été offerts aux visiteurs, car la Foire n’est pas seulement un échange commercial", a-t-il fait valoir, évoquant aussi des rencontres B to B durant lesquelles 200 participants ont été enregistré.
ISMAËL LÔ FÊTÉ À LA CITÉ DE LA MUSIQUE DE PARIS
"Cet hommage consacre le talent d’un grand artiste humble et disponible pour son pays" Ministre de la culture
Le ministre de la Culture Abdou Latif Coulibaly a salué dans un communiqué l’hommage "exceptionnel" rendu au musicien-compositeur-arrangeur sénégalais Ismaël Lô, à la Cité de la Musique de Paris, le 10 décembre 2018, soulignant que l’artiste "demeure une grande fierté pour son pays et l’Afrique".
"Dans une interprétation magistrale de sa célèbre œuvre « Tajabone », au cours d’un programme intitulé « Playing for philharmonie », qui comprenait aussi celles de Rosini, Wagner, Mozart, Beethoven et Berlioz, l’Orchestre philharmonique de la Société Générale a placé ce Monument de la musique sénégalaise aux côtés de géants de l’histoire mondiale de la musique", écrit-il.
A cette occasion, "500 symphonistes professionnels et amateurs de la Société Générale, résidant en France ou venus de Roumanie et du Sénégal, ont mêlé leurs voix et leurs instruments dans une prestation qui a marqué les esprits", ajoute Abdou Latif Coulibaly.
"Durant près d’un quart d’heure, le public, dans une salle comble, après avoir savouré et apprécié l’œuvre de l’artiste justement appelé « le Bob Dylan africain », a salué sa prestation par une standing ovation. L’émotion était grande !", a poursuivi le ministre de la Culture.
"Militant infatigable des droits humains, Ismaël Lô, se voyait ainsi exprimer à travers ses propres textes et compositions musicales qui envoûtent, la reconnaissance de la Communauté internationale en ce 10 décembre, jour anniversaire de la commémoration de la déclaration universelle des droits humains de 1748", relève-t-il.
Selon le ministre de la Culture, cet hommage "consacre le talent d’un grand artiste humble et disponible pour son pays. Un artiste sans prétention particulière sauf de vouloir servir son métier et la cause de la musique".
"Il en a donné une preuve éloquente lors de l’inauguration du Musée des Civilisations noires", le 6 décembre dernier, "avec sa belle prestation accompagnée par la chorale « A chœur joie » forte de 300 exécutants", une preuve que l’artiste "demeure une grande fierté pour son pays et l’Afrique", selon M. Coulibaly.