LOCALES 2022, LE CORED ET LE SYNPICS INVITENT LES JOURNALISTES CANDIDATS A UNE CESSATION DE LEURS PROFESSIONS
« Cela entretient l’amalgame et jette du discrédit sur la profession ». C’est l’appréciation du président du Conseil pour l’observation des règles d’éthique et de déontologie (CORED), Mamadou Thior
« Cela entretient l’amalgame et jette du discrédit sur la profession ». C’est l’appréciation du président du Conseil pour l’observation des règles d’éthique et de déontologie (CORED), Mamadou Thior, sur les journalistes-candidats et de membres de partis politiques à la tête des médias aux élections locales du 23 janvier 2022.
« Le public nous fait la leçon, parce qu’un journaliste doit être à équidistance de toutes les chapelles politiques. », regrette encore le confrère.
Le secrétaire exécutif du Syndicat des professionnels de l’information et de la communication (Synpics), Bamba Kassé va plus loin. « On devrait par exemple réfléchir à une loi qui interdirait à des membres de partis politiques d’être nommés à la direction de médias publics. Cela réglerait une partie du problème. » Et de conclure : « Les journalistes sont des citoyens libres de faire de la politique. Mais s’ils choisissent cette voix, ils doivent assumer, quitter la profession et ne plus revenir, même s’ils sont battus dans les urnes. »
Proches du pouvoir aussi bien que de l’opposition, une dizaine de journalistes se sont portés candidats pour les élections du 23 janvier prochain. Ahmed Aidara, candidat de Yewwi Askan Wi (opposition) à la mairie de Guédiawaye et animateur-vedette de la Sen TV et de Zik FM, et Racine Talla, directeur de Radiodiffusion télévision sénégalaise (RTS), la chaîne nationale, sont directement visés.
« En France, il y a des médias de droite, de centre et de gauche. Pourquoi, au Sénégal, un journaliste ne ferait-il pas de la politique ? Où est le problème à partir du moment on est honnête et objectif ? » rétorque le second, dans Jeune Afrique.
Si le néologisme est étranger à la plupart d’entre eux, ce n’est pas le cas du phénomène en lui-même. Dans cette vidéo, l’homme et la femme de la rue explique comment il/elle vit ce fait social qui nous expose à l'infox et menace le cerveau humain.
Aujourd’hui avec l’avènement des technologies de l’information et de la communication, notamment internet, les humains sont littéralement envahis par un flux continu d’information, exposés bon gré mal gré à l’actualité y compris aux fakes news. Le cerveau humain est, du coup, hyper sollicité alors même qu’il ne peut pas tout traiter étant donné la vitesse à laquelle de nouvelles informations se succèdent aujourd’hui. Cette surexposition à l’information non seulement continue, mais diverses et variées, a donné naissance au concept d’ «Infobésité».
Avec la télévision numérique, matérialisée par les bouquets Tv, on a accès à une myriade de chaines Tv et surtout de chaines d’infos accessibles aux quatre coins du globe. Grace au web, on a des millions de site des informations, en plus des réseaux sociaux et les boites de messageries tels que WhatsApp, Messenger, Skype… Le cerveau humain qui a des capacités plus ou moins limitées dans le traitement de l’information ne supporterait tout traiter cette forte sollicitation, sans compter que les réseaux sociaux, des applications numériques sont chronophages. Ils vous accaparent et vous bouffent votre temps si vous ne savez pas vous disciplinez dans leur utilisation.
Dans les rues de Dakar, nous avons promené notre caméra pour savoir si l’homme ou la femme de rue connaît le phénomène ou du moins le concept tout court. S’il ou elle est victime de l’infobésité. Puisque vouloir vérifier toutes les notifications, chercher à voir à tous les partages de fichiers, cela à un coût en termes de temps et même en termes de santé du cerveau.
Ndioum : un véhicule dérape et tue trois collégiennes
Un véhicule a mortellement fauché 3 filles qui se rendaient au Collège de Touldé Gallé, dans le département de Podor, a appris l’«Aps». Le drame s’est produit hier vendredi vers 07h 30 mn sur la RN2 quand le chauffeur a perdu le contrôle de son véhicule suite à l’éclatement d’un de ses pneus avant de heurter les collégiennes. Les filles, en classe de 4e, sont toutes d’une même famille et avaient l’habitude d’effectuer ensemble le trajet de 3 trois kilomètres. L’accident a fait aussi quatre blessés graves qui sont pris en charge à l’hôpital de Ndioum. Les 3 corps sans vie ont été déposés à la morgue de cet hôpital.
La famille du gendarme motard interjette appel
Le chauffeur de taxi qui avait heurté mortellement le gendarme motard sur l’autoroute à péage ne s’est pas encore tiré d’affaire. Non contente du verdict du procès en première instance, la famille du gendarme du nom d’Abdourahmane Seck a interjeté appel tout en espérant que cette fois-ci, justice sera rendue au gendarme. Un pool d’avocats a été commis pour assurer les intérêts du défunt qui avait arrêté deux fois le taximan qui avait refusé d’obtempérer jusqu’à le percuter à mort. Selon la famille Seck, le procès en appel se tient le 18 novembre prochain en présence des avocats de la famille et de la gendarmerie.
Macky Sall dit cautionner certaines listes parallèles
Le Président Macky Sall a apporté la réponse qui taraudait les esprits de certains militants de l’Alliance pour la République. Ils ne comprenaient pas l’attitude de certains responsables du parti qui sont allés sous la bannière d’autres listes aux élections locales en concurrençant la coalition Bennoo Bokk Yaakaar. Recevant hier ses militants à Paris, le Président Sall leur a fait savoir qu’il a cautionné certaines listes parallèles aux élections territoriales. Le débat est clos.
Yewwi askan wi Pikine dans le dilemme
Les listes des candidats aux élections territoriales de la Ville de Pikine ont été publiées hier par le Préfet. Au total, 06 listes dont Benno bokk Yaakaar conduite par Abdoulaye Thimbo, Wàllu Sénégal dirigé par Cheikh Dieng, Gueum sà Bopp avec Daour Niang Ndiaye, Défar sa Gokh, Ibra Guèye, République des valeurs Mouhamadou Lamine Guèye et enfin la coalition troisième voie Sam Nikko Jammo Jarin Sénégal dirigée par Alpha Deh. Toutefois, la liste de Yewwi Askan n’y figure pas alors que la cour d’Appel de Dakar l’avait rétablie jeudi. Joint au téléphone le Préfet de Pikine a fait savoir qu’il n’a encore reçu aucune notification de la Cour d’appel sur la validation de la liste de Yewwi Askan wi et qu’il a reçu l’information à travers les médias.
L’activiste Assane Diouf investi sur la liste de Wàllu Sénégal
Il fallait attendre la publication des listes pour voir cette surprise de la coalition Wàllu Askan wi. L’activiste Assane Diouf a été investi à la troisième place sur la liste proportionnelle de la coalition Wàllu Sénégal pour la ville de Pikine.
Come-back de l’ancien ministre Serigne Bousso Lèye
Absent de la scène politique depuis plusieurs années, l’ancien ministre de la Culture sous le magistère d’Abdoulaye Wade, par ailleurs vétérinaire, réapparaît. Serigne Bousso Lèye a été investi à la 13e place sur la liste proportionnelle de Benno bokk Yaakaar que dirige Abdoulaye Thimbo. A noter que parmi les 06 candidats à la Ville de Pikine, il n’y a aucune femme malgré leur engagement.
Saisie de 400 kg de drogue et 4000 comprimés de morphine
La Douane sénégalaise a encore tapé dur dans le milieu interlope. Les gabelous ont effectué une belle prise à la fois de drogue et de faux médicaments. Dans le cadre des opérations de bouclage des réseaux de trafic international de stupéfiants et de médicaments, les agents des Douanes de la brigade de Keur Ayip ont saisi jeudi dernier à 15h, entre Touba Saloum et Darou Salam Nioro, dans la forêt de Keur Madiabel (département de Nioro), des produits prohibés. Il s’agit de 04 colis de chanvre indien d’un poids total de 400 kg pour une contrevaleur estimée à 48 millions Fcfa, de 4.000 comprimés testés positifs à la morphine et dont la contrevaleur est estimée à 51 millions Fcfa. Il y a également d’autres faux médicaments d’une contrevaleur de 6,8 millions Fcfa. La valeur totale des produits saisis est de 106 millions Fcfa.
La Douane arrête un dealer
Restons avec les soldats de l’économie pour indiquer que les éléments de l’unité spéciale dénommée Groupement Polyvalent de Recherches et de Répression de la Fraude (GPRRF) de Thiès ont fait une belle moisson. Ils ont mis la main sur 280 kilos de chanvre indien d’espèce Brown à Sandiara. La drogue était conditionnée en 13 ballots contenant 152 paquets au total. La contrevaleur valeur du chanvre indien saisi est estimée à 41 400 000 Fcfa. Les douaniers ont réussi à appréhender le convoyeur dans la forêt de Sandiara en possession de la marchandise prohibée. Les premiers éléments de l’enquête révèlent que le présumé dealer est de nationalité malienne. Au moment de son arrestation, il attendait vraisemblablement ceux qui ont commandé pour procéder à la livraison de la drogue. Les forces de défense et de sécurité sont aux trousses des autres membres du réseau.
Ziguinchor : 05 candidats à la mairie et 04 au département
Les listes des coalitions et partis politiques déclarés recevables pour les élections territoriales, dans le département de Ziguinchor, ont été rendues publiques hier à la préfecture de Ziguinchor. Pour la mairie de Ziguinchor, 05 candidats iront à la conquête des suffrages des Ziguinchorois. Il s’agit d’Abdoulaye Baldé de la coalition UCS Mboolo, Babacar Dial de «Disso ci xarnou bi», Benoît Sambou de la coalition Benno Bokk Yaakaar, Idrissa Bodian du parti Initiative pour une Politique de Développement (IPD) et Ousmane Sonko de la coalition Yewwi Askan Wi. La coalition Wàllu Sénégal, dont le Parti Démocratique Sénégalais (Pds) est la principale force, sera le grand absent de la course pour le premier siège de l’hôtel de ville qui jouxte la rue du capitaine Javelier. La coalition «Gueum sà Bopp» qui avait misé sur Dr Moussa Diédhiou n’a pas pu concocter ses listes après la défection de ce dernier qui a finalement rejoint la coalition Ucs Mboolo, pour y diriger la liste départementale. Pour le Conseil Départemental, 04 coalitions vont en compétition à Ziguinchor. Il s’agit de Wàllu Sénégal dirigée par Dr Toussaint Manga, Benno Bokk Yaakaar dont la tête de liste est Seydou Sané, Ucs Mboolo dirigée par Dr Moussa Diédhiou et la coalition Yewwi Askan Wi dont le candidat est le Dr Georges Mansaly.
Barthelemy Dias au chevet des blessés
Le maire de Mermoz Sacré-Cœur est allé au chevet des blessés lors des échauffourées de mercredi dernier lors de sa convocation à la Cour d’Appel de Dakar dans le cadre de l’affaire Ndiaga Diouf. Ainsi, Barthelemy Dias s’est rendu au Suma Municipal et à l’hôpital de Grand Yoff pour leur apporter son soutien pour un prompt rétablissement. A la suite de cela, il a rendu visite à Malick Gakou qui a été malmené par les forces de défense et de sécurité lors de cette procession mouvementée.
Ndèye Saly Diop Dieng inaugure un Centre d’Eveil Communautaire
La ministre de la Femme, de la famille, du Genre et de la Protection des enfants, Ndèye Saly Diop Dieng était hier à Guinaw rails Sud pour procéder à l’inauguration du Centre d’Eveil Communautaire de la localité. Un joyau réalisé dans le cadre d’un programme de construction de 47 infrastructures dont trois seront implantées dans la région de Dakar en partenariat avec la coopération italienne. Il s’agit du Programme d’Appui au Développement Economique et Social du Sénégal (Padess) pour un coût global de 2.444.728.958 Fcfa. Le coût du Centre d’Eveil Communautaire de Guinaw rails Sud s’élève à 158.650.419 Fcfa. Ndèye Saly Diop Dieng a demandé aux populations et au maire Ablaye Diop de bien entretenir l’infrastructure.
Le dealer surpris sur la terrasse d’une maison
Présumé dealer, A. Sy a été surpris sur la terrasse d’une maison au quartier Darou de Grand-Yoff en possession de 16 cornets de chanvre indien conditionnés dans un sachet en plastique par les hommes du Commissaire Abdou Sarr. Interrogé sur la provenance de la drogue et son destinataire, A. Sy a refusé de vilipender ses acolytes. Ainsi, il a été présenté au parquet.
Menuisier Sano accro au chanvre indien
Menuisier de profession, T. Sano âgé de 42 ans ne peut se priver de sa dose quotidienne de chanvre indien. Il a été arrêté au quartier Khar Yalla de Grand-Yoff avec un cornet de chanvre indien par les éléments de la brigade de recherches de Grand-Yoff au cours d’une patrouille. Il a été déféré au parquet pour détention aux fins d’usage de chanvre indien.
Les mandataires de Yewwi Askan wi
Une étape importante du processus électoral a été franchie hier vendredi. Conformément au code électoral, l’administration territoriale était dans l’obligation de publier vendredi les listes des partis et coalitions en lice, même si les autorités peuvent prendre des arrêtés complémentaires si la justice tarde à vider les recours. C’est en connaissance de cause de cette étape importante du processus que le mandataire national de la coalition Yewwi Askan Wi (Yaw), Déthié Fall, a publié hier une circulaire demandant à tous les mandataires de listes de Yawde se rendre auprès des préfectures et sous-préfectures pour vérifier l’effectivité de la publication des listes de candidats investis. Déthié Fall les instruit de réclamer une copie de l’arrêté de publication desdites listes à l’autorité administrative comme prévu par le code électoral. Toutefois, précise M. Fall, en cas de non-publication, le mandataire dont la liste n’a pas été publiée devra s’attacher les services d’un huissier pour constater ce fait en vue de déposer une requête en réclamation auprès de la Cour d’Appel du ressort, dans les trois jours suivants ce constat.
Les maux du secteur de la Microfinance
La session de formation dédiée aux délégués du personnel de l’Union des institutions mutualistes communautaires d’épargne et de crédit (U-Imcec) affiliée au syndicat de la Microfinance que dirige Pape Momar Dièye a été une tribune pour exposer les maux du secteur. Les syndicalistes etla direction ont lancé un cri du cœur à l’Etat pour soutenir davantage le secteur de la Microfinance durement affecté par la pandémie de Covid-19 qui a entraîné des licenciements au sein de certaines institutions dont Manko.Ils trouvent également la fiscalité et les charges trop élevées.
Un seul cas de covid-19 enregistré
Le ministère de la Santé et de l’Action sociale a annoncé hier que sur 987 tests réalisés, 01 cas a été déclaré positif, soit un taux de positivité de 0,10%. La nouvelle contamination, détectée dans le département de Pikine, est issue de la transmission communautaire. Selon les autorités sanitaires, aucun patient suivi n’a été déclaré guéri ce vendredi et 03 cas graves sont pris en charge dans les services de réanimation. Précisant également que le Sénégal n’a pas enregistré de décès ce jeudi 11 novembre 2021, le ministère de la Santé indique que le pays compte 1 881 morts liés à la maladie. Depuis l’apparition de la maladie, 73 948 cas de covid-19 ont été décelés sur l’étendue du territoire national dont 72 056 guéris et 10 patients sous traitement. S’agissant de la campagne de vaccination, 1 582 personnes ont été vaccinées le jeudi 11 novembre 2021, portant le nombre total à 1 306 642.
LES JEUNES REPORTERS RÉFLÉCHISSENT SUR LA RÉFORME DE LA PRESSE
La Convention des jeunes reporters du Sénégal (CJRS) veut jouer pleinement son rôle dans le processus de réforme intervenant dans l’exercice du métier de journaliste
L’exercice du métier de journaliste est devenu un sujet qui interpelle les autorités et certains partenaires intéressés par la corporation. C’est dans ce sens que la Convention des jeunes reporters du Sénégal, grâce au soutien de la coopération allemande à travers le Giz et le ministère du Travail, veut renforcer les capacités de ses membres sur le cadre promotionnel du dialogue social et des négociations collectives dans le secteur de la presse.
La Convention des jeunes reporters du Sénégal (CJRS) veut jouer pleinement son rôle dans le processus de réforme intervenant dans l’exercice du métier de journaliste. C’est dans ce sens qu’un atelier de renforcement des capacités des journalistes reporters se tient présentement à la Somone, en vue de mieux outiller les professionnels en la matière. Vingt-cinq journalistes venus des différentes régions du Sénégal sont ainsi en conclave depuis hier, pour réfléchir sur les enjeux et les défis qui les attendent, dans le cadre des relations professionnelles qu’ils auront à lier avec leur entreprise dans l’exercice de leur métier.
Dans ce cadre, explique Migui Marame Ndiaye, ‘’nous voulons mieux outiller les reporters, pas pour qu'ils s'engagent dans un bras de fer avec les patrons de presse, mais au moins qu'ils connaissent leurs droits et puissent s'acquitter de leurs devoirs convenablement’’. Et de poursuivre : ‘’Nous comptons multiplier ces actions à l'intérieur du pays, aller à la rencontre des correspondants pour mieux connaître les conditions dans lesquelles ils vivent et travaillent. Le mieux, c'est de privilégier le dialogue.’’
Selon Alioune Fall, le chef de la Division des négociations et des relations professionnelles au ministère du Travail, ‘’il y a une ambition de dialogue social, de négociation qu'on veut implanter dans le secteur. On note beaucoup de difficultés dans ce secteur. C'est pourquoi il est important d'être encore dans la formation, dans le renforcement des capacités des acteurs pour que les uns et les autres puissent comprendre la ligne de démarcation des droits et des obligations. Et à partir de là, le travail du ministère devient plus facile, parce que les travailleurs pourront connaître leurs droits et sauront à quoi s'en tenir, s'ils rencontrent des difficultés au niveau du secteur’’.
Il ajoute : ‘’On accompagne les partenaires à pouvoir se parler. Souvent, on aborde le travail dans un angle conflictuel, alors que c'est dans la prévention que c'est plus important. Parce qu'un travailleur peut aller réclamer ce qui ne lui revient pas. Mais est-ce qu'il sait que cela ne lui appartient pas ? Un employeur peut violer la loi de bonne foi.’’ Et de préciser : ‘’L’objectif du ministère, c'est d'être moins dans la résolution des conflits que dans la prévention de ces conflits et cela demande une posture d'anticipation. Mais surtout, la capacitation des acteurs qui sont dans le secteur.’’
Pour Mouhamadou Dièye, Conseiller technique du projet ’’Ensemble vers la réforme du travail’’ initié par le Giz, ‘’les discussions vont permettre de transmettre les éléments de langage qui peuvent permettre de pouvoir aborder un thème aussi complexe et technique de manière beaucoup plus accessible pour les cibles du projet’’.