Ablaye Daouda offre un forage sur fonds propres à un village de Goudiry
Les populations de Sinthiou Foulbé, village situé dans l’arrondissement de Boynguel Bamba, département de Goudiry, ont retrouvé le sourire. Grâce au ministre des Finances Ablaye Daouda Diallo, leur problème d’eau sera désormais un vieux souvenir. Le grand argentier du Sénégal a décaissé dix millions sur fonds propres pour y installer un forage. D’après des sources de L’As, les travaux vont démarrer à la fin de ce mois. Avec ce geste, Add étanche la soif de plusieurs Sénégalais jusque-là oubliés dans les fins fonds du Boundou.
Yaw retrouve toutes ses listes à Saint-Louis
La Cour d’appel de Saint-Louis a encore rétabli la coalition Yewwi Askan Wi (Yaw) dans ses droits. Ainsi, la coalition sera en compétition dans toutes les communes du département de Saint-Louis. En effet, après le rejet des listes de la coalition Yaw dans les communes de Fass, Gandiole et Gandon, un pool d’avocat a été commis pour saisir la Cour d’appel de Saint-Louis. Le verdict est tombé hier, rétablissant ainsi Yewwi Askan Wi dans ses droits. Selon le mandataire national de Yaw, Déthié Fall, la justice a sommé les autorités préfectorales de prendre leurs listes dans les communes de Fass, Gandiole et Gandon ainsi que celle du département de Saint-Louis. Donc, la mouvance présidentielle va devoir prendre en compte les listes de Yaw qui étaient écartées du jeu.
La Cour d’appel de Thiès tranche en faveur de Yaw Mbour
Restons avec la coalition Yewwi Askan Wi (Yaw) qui avait saisi la justice dans plusieurs localités pour dire qu’elle a obtenu gain de cause partout, sauf pour la commune de Ogo. La Cour d’Appel de Thiès a tranché hier en faveur de la coalition Yaw au recours déposé par le mandataire de la commune de Mbour. E dernier avait accusé le Préfet de Mbour, Mamadou Lamine Mané d’avoir refusé de recevoir la liste de la coalition Yawwi Askan Wi. Ainsi, les responsables de la coalition Yaw avait saisi la Cour d’appel de Thiès pour dénoncer le comportement du Préfet en demandant l’annulation de la décision «illégale, discriminatoire et illégale» du préfet afin obtenir l’autorisation de déposer leurs listes. Dans un communiqué, Me Abdoulaye Tall, par ailleurs, candidat de Yaw dans la commune de Mbour, indique qu’«après plusieurs jours d’attente, la Cour d’appel de Thiès vient de dire le droit. Nos listes pour les élections locales seront déposées devant la commission de réception présidée par le Préfet de Mbour». Donc, les listes de la coalition de Yaw des communes de Mbour, de Diass et celle du département de Mbour seront déposées auprès de l’autorité administrative.
Les listes de Yaw Pikine, Golf Sud et Sahm Notaire validées
Ne quittons la coalition Yewwi Askan Wi (Yaw) sans signaler que le verdict de son recours contre le rejet de sa liste départementale de Pikine est tombé hier dans la soirée. La Cour d’Appel a vidé le contentieux opposant le Préfet de Pikine à la coalition Yaw en tranchant en faveur de celle-ci. La Cour d’appel demande au Préfet de Pikine, président de la commission de réception des candidatures, de prendre la liste départementale de Yewwi Askan Wi. Idem pour les listes de Yaw dans les communes de Golf Sud et de Sahm Notaire.
Le recours de Gueum Sa bopp rejeté à Dakar
La Cour d’Appel de Dakar brise le rêve de Bougane Guèye Dany, candidat de la coalition Gueum Sa bopp à la Ville de Dakar. Si elle a rétabli la liste de Yewwi Askan Wi (Yaw) du département de Pikine, elle a par contre rejeté le recours de la coalition Gueum Sa Bop à la Ville de Dakar, selon «Libération.online». Mais, il reste à Bougane Guèye Dany une dernière chance pour briguer les suffrages des Dakarois. Il a huit jours pour contester la décision devant la Cour Suprême.
Encore 72 heures sans pain
Les populations vont encore patienter au moins 72 heures, pour pouvoir s’approvisionner correctement en pain. La Fédération Nationale des Boulangers du Sénégal(Fnbs) et le Regroupement des Boulangers du Sénégal(Rbs) ont décidé hier de renouveler leur mot d’ordre de grève de 72 heures, malgré la reprise de la production de farine par les meuniers qui ont fait la promesse de fixer le prix du sac de la farine à 19.200 Fcfa. Dans un communiqué parvenu à «L’As», les grévistes rappellent au gouvernement que la boulangerie sénégalaise ne peut plus être le bailleur de fonds de la politique sociale de l’Etat. Invitant les autorités étatiques à une résolution définitive du secteur, ils maintiennent leurs revendications que sont : la révision immédiate de la structure de prix du pain à 1 Fcfa le gramme et le référencement de nouveau format adapté à la rentabilité de la production, l’application de la réglementation sur la production et la distribution de pains qui posent des exigences non négociables en matière de livraison et de vente dans les boutiques.
Macky Sall en pompier en banlieue
Le Président Macky Sall multiplie les coups de fil et les audiences pour calmer les frustrés de son parti à cause des investitures pour les élections locales. Nos sources renseignent que le Président Macky Sall a reçu la semaine dernière ses militants de Guinaw Rails Sud, notamment le camp de l’administrateur général du parti Mael Thiam y compris ce dernier pour essayer de les calmer. Ces derniers contestent l’investiture de Baba Fall comme tête de liste. Il a remis à ces frustrés de l’argent. Même chose à Wakhinane-Nimzaat où le président de Benno Bokk Yakaar a câblé le camp de Yaya Ba et celui de Pape Faye, tous hostiles à la candidature de Racine Talla. Mais depuis quelques jours, ce dernier multiplie les tournées dans les quartiers en direction des locales.
Les impactés du TER annulent leur sit-in
Le collectif des impactés du Train Express Régional(Ter) sursoit à son sit-in prévu ce vendredi à la gare de Dakar. Finalement, les autorités ont réagi en leur octroyant des sites de recasements. D’ailleurs, le collectif a visité les chantiers des sites actuellement en terrassement.
Forum de Paris sur la paix
Le Président Macky Sall qui séjourne en France a pris part hier au panel sur le financement des économies des pays en développement dans le cadre du Forum de Paris sur la paix. Pour le chef de l’Etat mobiliser la réallocation des DTS est une priorité, de même que le maintien du financement de la filière gazière. C’est une question de justice climatique pour l’Afrique, a-t-il déclaré sur Twitter.
Le Cese adopte l’avis sur le thème «Erosion côtière»
Le Conseil Economique, Social et Environnemental (Cese) était hier, en plénière pour l’examen et l’adoption du projet d’avis sur le thème «Erosion côtière», qui se tient lors de cette deuxième session ordinaire de l’année 2021 en visioconférence en raison des restrictions sanitaires liées à la Covid-19. Une intercommission du Cese a étudié, sous tous les angles, la problématique de l’érosion côtière dans notre pays, notamment ses causes naturelles et anthropiques, son étendue géographique transfrontalière, ses conséquences désastreuses aux plans social, économique et environnemental, les contraintes identifiées dans l’exécution des politiques, projets et programmes y afférents. Aussi, le Cese a évalué les nombreuses initiatives déjà déployées par le Gouvernement et celles, nouvelles, envisagées pour lutter durablement contre l’avancée de la mer, financées sur ressources propres ou en collaboration avec ses partenaires. Le président du Cese, Idrissa Seck a annoncé la clôture de la deuxième session ordinaire, ce vendredi 12 novembre 2021, après la séance d’examen et d’adoption du projet d’avis sur le thème «Révolution numérique et Employabilité des jeunes», en présence de Yankhoba Diattara, ministre de l’Économie numérique et des Télécommunications.
Décès du candidat Union Citoyenne Bunti-Bi de Mbellacadiao
Le candidat de l’Union Citoyenne BUNT-BI à la commune de Mbellacadiao (Département de Fatick, Ndlr) n’est plus sur la ligne de départ aux élections territoriales de janvier 2022. Cheikh Thiaré peint comme un homme humble, courtois, épris de valeurs citoyennes et surtout très attaché à sa commune est décédé mardi dernier. Dans un communiqué parvenu à «L’As», Dr El Hadji Ibrahima Mbow, président de Union Citoyenne Bunt-Bi, renseigne que leur candidat Cheikh Thiaré est décédé des suites d’une courte maladie. Il a été inhumé mercredi dernier.
02 nouveaux cas de covid-19 enregistrés
De nouvelles contaminations liées au coronavirus ont été signalées hier, par le ministère de la Santé et de l’Action sociale. Sur 1540 tests réalisés, 02 cas ont été déclarés positifs, soit un taux de positivité de 0,12%. Les nouveaux cas, détectés dans la région de Dakar, sont issus de la transmission communautaire. Si 05 patients suivis ont été contrôlés négatifs et déclarés guéris, 02 cas graves sont pris en charge dans les services de réanimation. Selon les autorités sanitaires, aucun cas de décès n’a été enregistré avant-hier (mercredi 10 novembre 2021). Depuis l’apparition de la maladie, 73.947 cas ont été décelés sur l’étendue du territoire national dont 72.056 guéris. Le pays compte actuellement 1.881 morts causés par la maladie et 09 sous traitement. S’agissant de la campagne de vaccination, 706 personnes ont été vaccinées le mercredi 10 novembre 2021, portant ainsi le nombre total à 1.305.060.
Arrestation de dealers à Kaolack
Dans le cadre de sa lutte contre le trafic de la drogue, la brigade régionale de la Direction de l’Office Central pour la Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (Doctris) de Kaolack a interpellé O. Ka, chauffeur et son apprenti F. Tine au quartier Thioffack de la localité. Ces derniers ont été alpagués en flagrant délit de transaction d’un bloc de chanvre indien dont la quantité est de 962 grammes. Les deux acolytes ne vont pas tarder à être déférés au parquet pour détention et trafic de chanvre indien.
Un élève et un plombier pris avec de la drogue
P. Diallo (plombier de son état) et M. Mballo (élève en classe de terminale) croupissent en prison pour respectivement usage et offre de cession de chanvre indien. Ils sont tombés dans les filets des hommes du Commissaire Abdou Sarr de Grand-Yoff. Après l’interpellation de P. Diallo qui était en possession du chanvre indien lors d’une patrouille, l’élève Mballo est tombé. En effet, lors de son audition, P. Diallo a fait savoir aux enquêteurs que c’est M. Mballo qui lui a vendu la drogue. Suffisant pour qu’ils soient gardés à vue avant d’être déférés au parquet.
KEEMTAAN GI - DELINQUANCE ADMINISTRATIVE
Le bourrage des urnes ? Vous connaissez ? C’était à une époque pas du tout lointaine. Le bon vieux temps où Senghor et Diouf dirigeaient ce pays de paradoxes sans rien vouloir lâcher. Mais c’est sous Diouf avec son combat épique contre Me Wade que ces pratiques dignes de grands voyous ont prospéré. L’activité était toute simple. Elle consistait à un vilain jeu de bourrage d’urnes dans des bureaux de votes. Lesquels bureaux se retrouvaient avec plus de votants que d’inscrits. Et ça passait comme lettre à la poste avec la complicité de l’Administration territoriale et, plus tard, de la Justice. Notamment les gouverneurs, préfets, sous-préfets et magistrats. On pensait ces pratiques moyenâgeuses révolues. Mais elles s’expriment aujourd’hui à un autre niveau. Le vilain rôle toujours dévolu à des fonctionnaires de l’administration dont certains obéissent au doigt et à l’œil à des politiciens qui peuvent, il est vrai, donner un coup de fouet à leur carrière. Certains d’entre ces fonctionnaires de la territoriale se sont tristement illustrés lors des dépôts des listes de candidats pour les prochaines Locales. Des listes ont été ainsi curieusement invalidées dans beaucoup de communes et départements. Particulièrement à Dakar, Mbour et Matam, dans cette dernière ville, pourtant « titre foncier » du président de la République, un militant de l’opposition s’était volatilisé avec les listes de ses ex-camarades qu’il devait déposer à la préfecture. Et comme pour les narguer, il avait organisé un point de presse, avalisant son entrée dans la formation au pouvoir. Heureux donc que les Cours d’Appel aient réparé les erreurs de ces fonctionnaires de peu de vertu qui veulent faire plaisir à la coalition au pouvoir dont toutes les listes, et partout dans le pays, ont été validées. Il faudra maintenant débusquer ces brebis galeuses qui ne font pas honneur à leur fonction et les éloigner des centres de décisions. Des éléments anti républicains peu dignes de représenter l’administration. Chapeau à ces magistrats qui ont courageusement sanctionné la délinquance de ces voyous de préfets et sous-préfets qui semblent avoir pris la carte de l’APR ou de Benno ! KACCOOR BI
MACKY SALL CHEZ CHEIKH MBACKÉ SAKHO
En séjour dans la capitale française depuis quelques semaines pour des soins, le conseiller spécial chargé des affaires religieuses du président de la République, Cheikh Mbacké Sakho, a reçu hier matin une visite qu’il n’oubliera pas de sitôt. En effet, la réception de son hôtel lui a annoncé qu’il avait de la visite en bas. Lorsqu’il est descendu, quelle ne fut sa surprise de voir le président de la République en personne ! Très sensible et social, Macky Sall avait en effet tenu à venir s’enquérir personnellement de l’état de santé de son collaborateur. Mieux, il a tenu à monter avec lui dans sa chambre où il s’est entretenu avec lui pendant de longues minutes. Généreux, il lui a fait savoir qu’il prenait en charge tous ses frais de séjour et médicaux ! Non sans lui remettre une enveloppe fournie… Il faut dire que du temps où il était pestiféré à Touba à la suite de sa brouille avec le président Wade et où beaucoup de marabouts qui se disent aujourd’hui ses amis lui fermaient leurs portes, le fidèle Cheikh Mbacké Sakho était le seul à réussir à faire recevoir l’opposant Macky Sall dans certaines demeures maraboutiques en raison de son grand entregent dans la capitale du mouridisme, en particulier dans la famille de Serigne Cheikh Mbacké Gaïndé Fatma dont il est l’homonyme. Macky Sall n’a rien oublié de ces temps ingrats !
FIEF DE BARTHÉLÉMY DIAS COMMISSAIRE MBALLO À L’ÉPREUVE D’UNE POUDRIÈRE
Situé dans la commune de Sicap Mermoz-Sacré Coeur, « Le Témoin » quotidien semble bien placé pour tirer le bilan sécuritaire des dernières manifestations relatives à la convocation de Barthélémy Diaz devant la Cour d’Appel de Dakar. En tout cas, les forces de défense et de sécurité ont réussi le défi de canaliser et de dompter la colère des manifestants avec beaucoup de professionnalisme. Et du coté de la Police, force était de constater que le général Seydou Bocar Yague a mis des hommes qu’il faut à la place qu’il faut. Pour preuve, le commissaire Dianko Mballo du commissariat de Dieuppeul chargé de gérer l’un des secteurs les plus « chauds » et plus névralgiques qu’est Mermoz-Sacré cœur ou le fief du turbulent Barthélémy Dias. Dans ce secteur considéré comme une poudrière politique, un dispositif impressionnant de sécurité avait été mis en place avant, pendant et après la courte marche des « Barthélémistes » vers le Tribunal de Dakar. D’ailleurs, aussi bien la veille que le jour des manifs, les éléments du commissaire Mballo avaient procédé à des patrouilles nocturnes et autres rafles générales dans les coins et recoins de la commune de Sicap Mermoz-Sacré cœur. Les parkings, les jardins publics et autres aires de jeux ont été visités et revisités de fond en comble pour qu’aucune faille ne puisse être exploitée par des individus mal intentionnés. Toujours est-il que la sécurité constaté à Dieuppeul, Sacré-Cœur, Mermoz, Castors, Derklé etc. était à la fois visible et rassurante au point que les riverains ont décerné un satisfecit aux éléments du commissariat de Dieuppeul ayant à leur tête l’intraitable commissaire Dianko Mballo.
MACKY SALL À PARIS PRÉSIDENT, MERCI POUR LA PAIX !
Cette fois-ci ou pour une fois, « Le Témoin » quotidien a applaudi des deux mains jusqu’à valider le voyage officiel du président Macky Sall à Paris. Un voyage utile puisque notre cher président de la République est allé plaider la paix en Afrique et dans le monde. D’ailleurs, les milliers de Casques bleus sénégalais déployés chaque année sur les fronts du monde prouvent à quel point le Président Sall aime la paix. Prenant part à ce Forum de Paris pour la paix jusqu'à demain samedi, le président Macky Sall va aussi intervenir lors d'un atelier sur le financement de la dette. Un Forum inauguré par le président français Emmanuel Macro et la vice-présidente américaine Kamala Harris. D’autres dirigeants africains comme Alassane Ouattara, Roch Marc Christian Kaboré, Mahamat Idriss Déby, Mohammed el-Menfi, Denis Sassou-Nguesso et Abdel Fattah Al-Sissi sont aussi présents à Paris. Sans doute, ils feront des mains et des pieds pour rencontrer en tête à tête le président français Emmanuel Macron. Qui avait refusé de le inviter au « sommet » Afrique-France, leur préférant des jeunes gens et jeunes filles du continent triés sur le volet !
REFUS DE COMPARUTION ME MALICK SALL CONSEILLE BARTHÉLÉMY DIAS
Hier, lors de la remise de chèque du ministre de la justice Me Malick Sall au bâtonnier de l’ordre des avocats, l’actuel maire Barthélémy Dias a reçu des conseils et pas des moindres « “Ce qu’il a dit n’est qu’une parole. Ce n’est rien ! C’est juste déclaration politique. A la date retenue par le Tribunal, M. Dias est un citoyen comme tout le monde. La justice fera ce qu’elle doit faire“, a déclaré Me Malick Sall. Avant d’ajouter : « Dans n’importe quel procès, dès l’instant qu’une partie a été convoquée régulièrement et que la partie ne comparaît pas, le tribunal a la possibilité de statuer en l’absence de cette personne-là et de rendre sa décision», a expliqué le Garde des Sceaux Me Malick Sall.
Youssou Ndour présente son nouvel album
Le nouvel album de Youssou Ndour sera dans les bacs vendredi prochain. Le lead vocal du groupe Super Etoile a présenté, hier à la presse, l’opus composé de douze titres. Selon Youssou Ndour, il n’y a pas de remix. Il s’agit de nouveaux titres. Youssou Ndour a rendu hommage à son «frère» Thione Ballago Seck, le défunt lead vocal du groupe Raam Daan à travers le titre 8 : «Ballago Ndoumbé Yaatma». L’album a été composé durant la propagation du coronavirus qui avait fini de confiner le monde. Ainsi, l’artiste a profité de cette longue pause musicale pour composer l’album. D’après la star internationale, l’album est dominé par des sonorités africaines avec de fortes notes de Kora. C’est le jeune frère de Sidiki Diabaté, Balla, qui a gratifié les fans du Super Etoile de ces merveilleuses notes de Kora.
Zéro décès lié à la covid-19
Même si de nouvelles contaminations sont notées, la courbe des décès liés au coronavirus n’a pas progressé hier. Le bilan du ministère de la Santé et de l’Action Sociale fait état de zéro décès lié à la pandémie. Cependant, les autorités sanitaires indiquent que sur 1 580 tests réalisés hier, 03 nouveaux cas ont été enregistrés. Il s’agit exceptionnellement d’un cas importé et de 02 cas issus de la transmission communautaire. Les autorités sanitaires ont déclaré 03 patients guéris, mais deux cas graves sont internés aux services de réanimation. A ce jour, le Sénégal a enregistré depuis le début de la pandémie 73.945 cas positifs dont 72.051 guéris, 1.881 décès et 12 cas sous traitement. Pour ce qui est de la campagne de vaccination, 1.279 personnes ont été vaccinées mardi, portant à 1.304.354 le nombre de vaccinés.
Un véhicule de la BIP renverse une jeune dame
Malgré le renvoi du procès en appel de Barthelemy Dias, il y a eu des affrontements entre les forces de l’ordre et les militants et sympathisants de la coalition Yewwi Askan Wi(Yaw). Lors des échauffourées, une jeune dame nommée D. Samb aurait été heurtée par un véhicule de laBrigade d’intervention polyvalente (BIP) aux HLM Fass, vers le marché. La dame était sur le trottoir lorsque le véhicule de la BIP l’a renversée, selon un témoin. D’ailleurs des journalistes et militants de Yawont secouru la victime qui a été évacuée à l’hôpital. Ousmane Sonko qui a souhaité un prompt rétablissement aux blessés dont un des éléments de sa sécurité, promet de leur rendre visite à l’hôpital.
Mamadou Lamine Diallo relève un signe de faiblesse démocratique
L’arrestation d’Ousmane Sonko, Barthelemy Dias et El hadji Malick Gakou a fait sortir le député Mamadou Lamine Diallo de ses gonds. Le président du mouvement Tekki rappelle au Président Macky Sall qu’arrêter des opposants, y compris un député, est un signe de faiblesse démocratique, surtout à la veille d’élections nationales. Au surplus, dénonce le parlementaire, éliminer des opposants de la course électorale par le biais d’une condamnation judiciaire doit prendre fin
Le SAES passe à la vitesse supérieure
Le syndicat autonome de l’Enseignement Supérieur (SAES) semble plus que jamais déterminé dans son combat pour la satisfaction totale de sa plateforme revendicative. Après avoir décrété hier un débrayage de 48 heures, ces enseignants du supérieur ont décidé de passer à la vitesse supérieure en décrétant une grève totale. Dénonçant l’inertie et le dilatoire du gouvernement sur l’ensemble des points de revendication et plus particulièrement sur la finalisation et l’adoption des textes de gouvernance des universités, le coordonnateur du Saes, campus Ucad, Abdoulaye Dieng souligne que si les revendications ne sont pas satisfaites dans les prochains jours, ces mots d’ordre seront renouvelés. Il rappelle que ces revendications concernent entres autres la signature du décret d’application de la nouvelle gestion de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, après son adoption par l’Assemblée de l’université et en conseil de ministres ; la mise en place du conseil d’administration et du conseil académique ; l’achèvement des chantiers des infrastructures pédagogiques et de recherches dans certaines facultés et Instituts de l’Ucad ; le respect des instances académiques au regard de la capacité d’accueil des établissements d’enseignement supérieur de l’Ucad avec l’orientation exponentielle de nouveaux bacheliers ainsi que le harcèlement fiscal sur les budgets des universités publiques qui arrivent à peine à couvrir les dépenses de fonctionnement.
Fin de la grève des meuniers
L’association des Meuniers Industriels du Sénégal (Amis) est revenue à de meilleurs sentiments. Ils ont mis fin à leur mouvement d’humeur à la suite d’une médiation initiée par le président du Conseil National du Patronat du Sénégal (Cnp), Baïdy Agne. D’ailleurs, une délégation des meuniers a été reçue par le ministre des Finances et du Budget, Abdoulaye Daouda Diallo. C’est à l’issue de la rencontre qu’ils ont décidé de reprendre l’activité industrielle en procédant à des ajustements n’engendrant pas de surcoûts financiers à la charge des meuniers. Un communiqué sanctionnant la rencontre indique : «Au regard des engagements et assurances du ministre des Finances et du Budget portant sur les préoccupations soulevées ainsi que sur la fixation du prix de la farine, les meuniers industriels ont décidé de reprendre provisoirement la production nationale et les livraisons aux clients à compter du jeudi 11 novembre 2021». Selon le président de l’association, Claude Demba Diop, la rencontre a été une occasion pour exposer au ministre Abdoulaye Daouda Diallo les difficultés majeures auxquelles sont confrontés les Meuniers-Industriels et les pertes enregistrée depuis le début de l’année 2021
Le secteur de l’élevage a besoin d’investissements
Le ministre de l’Elevage Aly Saleh Diop a souligné la nécessité d’investir dans ce secteur pour disposer d’une alimentation du bétail en quantité et en qualité et pouvoir aller vers une autosuffisance alimentaire. Il a déclaré à Dahra qu’il nous faut une alimentation du bétail en qualité et en quantité pour accroître la productivité de notre cheptel et cela passe par la mise en œuvre de certains projets et programmes et par la santé animale. Pour cela, ajoute-t-il, il nous faut avoir une masse critique d’entrepreneurs pour porter l’ensemble des projets et programmes dans ces domaines. M. Diop s’exprimait au terme d’un comité régional de développement (Crd) avec l’ensemble des acteurs de l’élevage sur les modalités de l’organisation de la Journée nationale de l’élevage prévue le 27 novembre à Dahra, rapporte «Aps». Cet événement qui sera présidé par le chef de l’Etat Macky Sall a pour thème : «Entrepreneuriat et investissement pour un élevage moderne et durable». Aly Saleh Diop appelle à la formalisation des acteurs, mais surtout à ce que la conduite des systèmes d’élevage puisse épouser les conduites d’un entrepreneuriat pouvant garantir la durabilité de cette activité économique.
Les conséquences de «la mauvaise gestion» de la Bnds
La dépendance du Sénégal vis-à-vis des institutions financières de développement est la conséquence de la «mauvaise gestion» de la Banque nationale de développement du Sénégal (Bnds), a affirmé le directeur exécutif de la Confédération nationale des entreprises du Sénégal(Cnes), Mor Talla Kane. «Au Sénégal, nous sommes sevrés de banques nationales de développement qui ont des spécificités que celles commerciales n’ont pas. Aujourd’hui, c’est parce que nous avons mal géré la Banque régionale de solidarité que nous sommes mis au banc des accusés, faisant que nous ne pouvons plus nous départir des institutions financières de développement», a-t-il analysé. Selon l’ «Aps», Mor Talla Kane s’exprimait lors d’un panel de haut niveau intitulé «Mondialisation, croissance, développement et émergence». L’économiste Moustapha Kassé et le secrétaire exécutif de l’Unacois Yessal, Alla Dieng, ont pris part à ce panel initié par le groupe de presse Seneweb, dans le cadre de la célébration de son 20e anniversaire. Selon lui, la dépendance du Sénégal vis-à-vis des institutions financières internationales «fait partie des erreurs à payer de la mauvaise gestion de la Bnds». Si une banque de ce type existait dans le pays, dit-il, «il ne se poserait jamais des difficultés» pour que le Sénégal réussisse son industrialisation. Mor Talla Kane explique que ce sont les partenaires au développement qui ont imposé à certains pays comme le Sénégal d’accepter l’installation de banques commerciales, “dans le but de concurrencer celles qui ont pour objectif le développement et la solidarité”.
Offre et cession de chanvre indien
Le commissariat de Grand-Yoff a déféré au parquet A. Fall, tôlier de profession et habitant au quartier Arafat Senzala, pour offre et cession de chanvre indien. Récidiviste, le mis en cause a séjourné à plusieurs reprises en prison pour offre et cession de drogue. Il a jeté par terre les 25 grammes de chanvre indien après avoir aperçu les éléments de la brigade de recherches de la police de Grand Yoff en patrouille dans le secteur. Mais, il ignorait que les limiers l’avaient vu jeter la drogue. Même s’il a tenté de nier les faits qui lui sont reprochés, il a été déféré au parquet pour offre et cession de chanvre indien.
Le peintre est un accro de chanvre indien
Peintre de profession, J. F. Mendy est aussi adepte de l’herbe qui tue. Il a été surpris devant une institution de microfinance à Grand-Yoff en train de griller tranquillement son joint. Les hommes du commissaire Abdou Sarr qui rôdaient dans les parages l’ont pris en flagrant délit. Conduit au poste de Police où il a été placé en garde à vue, J. F. Mendy sera déféré pour détention et usage de chanvre indien.
Publication des listes de partis et de coalitions
C’est l’angoisse qui règne dans les différents états-majors politiques de la banlieue à la veille de la publication des listes et coalitions de partis qui doivent prendre part aux élections territoriales dans les différentes collectivités. Surtout que les listes de Yewwi Askan wi pour la Ville de Pikine et les communes de Golf Sud et Sahm Notaire ont été rejetées. En effet, il y a des craintes d’invalidation d’autres listes qui vont renforcer le rang des recalés. D’ores et déjà, le ton monte pour mettre en garde les autorités préfectorales.
Liste parallèle au sein de Bby à Ndiarème Limamou Laye
La guerre est inévitable au sein de la coalition Benno Bokk Yakaar (Bby) aux prochaines élections dans la commune de Ndiarème Limamou Laye. Malgré le choix porté par le Président Macky Sall sur l’actuel maire rewmiste Mor Woré Guèye pour diriger les listes de la mouvance présidentielle, des responsables de Bby, notamment ceux de l’Alliance Pour la République (Apr) et proches du défunt maire Baïdy Sèye, sont entrés en dissidence en créant une liste parallèle sous la bannière «Defar sà gox». Leur tête de liste est Ablaye Ba, fils de l’ancien sénateur Aliou Ba.
Division du Pds à Pikine Ouest
Finalement, les libéraux iront aux élections territoriales sous la bannière de deux listes à Pikine Ouest face à la coalition Benno Bokk Yakaar. Car, après l’investiture de la responsable libérale Nogaye Seck comme tête de liste de la coalition «Wàllu Sénégal», d’autres responsables libéraux ont décidé de confectionner une liste parallèle conduite par Alioune Ndiaye sous la bannière de Bokk Gis Gis.
C’est à désespérer de ce pays. Et, surtout, de celui qui le dirige. Son obsession jouissive à vouloir humilier ou à instaurer un rapport de force avec ses opposants relève assurément de la psychanalyse. Le constat est que le pouvoir ne cherchait pas, hier, à juste interdire une marche. Son objectif était plutôt d’humilier des opposants. L’arrestation musclée, bête et méchante de trois parmi les leaders de Yewwi Askan Wi ne s’expliquait pas. Voir l’opposant Malick Gackou à terre faisait de la peine. Et suprême crétinisme, les coups servis à l’ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, qui n’a pourtant opposé aucune résistance. Les rapports Pouvoir/Opposition doivent être civilisés. Offrir de telles images aussi dégradantes de notre pays, berceau de l’Afrique en Afrique, à l’Occident, constitue assurément un grand recul pour nous qui avons réussi deux alternances pacifiques. Il faut que le Chef se départisse de cette rancune qu’il a chevillée au corps. L’arrestation des principaux leaders de l’opposition et candidats aux Locales de janvier constitue une balafre sur le visage de notre si vieille démocratie. Moins de quarante-huit heures avant ce qui s’est passé hier dans la capitale, l’ancien ministre libéral Moustapha Guirassy avait connu le même sort à Kédougou. Il avait été poursuivi et gazé jusqu’à la porte de son domicile par des policiers alors que les opposants de Dakar étaient obligés de se réfugier à l’intérieur d’un magasin pour fuir la furie policière. Ce pays a plus besoin de paix que de sombrer dans une violence aveugle. Surtout à une période où les pays où le Chef faisait la manche pataugent dans leurs propres difficultés. Il faut également que les opposants apprennent à respecter les forces de l’ordre. Cela faisait désordre de voir le candidat à la mairie de Dakar déverser des insanités sur ces gardiens de notre sécurité. La journée d’hier fut tout simplement désespérante pour ce charmant pays dont le Chef a la propension de déclencher des combats inutiles là où notre peuple a surtout besoin de pain (qui a manqué cruellement ces derniers jours) mais aussi de paix et de liberté. Et surtout pas de matraques encore moins de lacrymogènes ! KACCOOR BI
AFFAIRE BARTHELEMY DIAS COMME ANNONCE PAR « LE TEMOIN », LE PROCES RENVOYE !
Dans son édition d’avant-hier, « Le Témoin » avait annoncé que les avocats de l’actuel maire de Mermoz-Sacré Cœur, Barthelemy Dias, allaient demander un énième renvoi de son procès. Ce malgré ses rodomontades. Chose faite ! D’ailleurs avant bien l’arrivée du candidat de Taxawu-Dakar, le président de la 3e Chambre correctionnelle de la Cour d’Appel de Dakar s’était précipité pour évoquer l’affaire avant de la renvoyer au 1e décembre prochain. Un renvoi soutenu par le collectif des avocats de Barthelemy Dias, histoire de calmer la tension populaire et démobiliser la foule. Appuyé par une frange de l’opposition, l’actuel maire de Mermoz / Sacré-Cœur, Barthélémy Dias avait décidé d’engager un bras de fer avec la Cour d’Appel devant laquelle il était convoqué. En conférence de presse, le candidat de Yewwi Askan Wi à la ville de Dakar avait déclaré qu’il ira au tribunal avec ses enfants pour être jugé le même jour. « Car je n’accepterai plus un renvoi ! Au mois de mars dernier, j’avais clairement dit qu’il ne s’agissait pas d’Ousmane Sonko mais de la démocratie sénégalaise. Et aujourd’hui, je reviens dire encore qu’il ne s’agit pas de Barthélémy Dias mais de la démocratie sénégalaise. Le problème du Sénégal, c’est sa justice… » avait-il déclaré ! Finalement, Barth n’a pas eu le temps et l’occasion, hier, de ramer à contre-courant de ses avocats. Car il avait été capturé en cours de route par la Police.
GENDARMERIE LE GENERAL MOUSSA FALL REUSSIT SON EPREUVE DE FEU !
Depuis sa prise de fonction à la tête de la gendarmerie nationale, le général de division Moussa Fall vient d’être confronté à ses premières grandes manifestations à Dakar. C’était hier lorsque, à l’occasion du procès renvoyé de Barthelemy Dias, de violentes manifestations ont éclaté dans Dakar et quartiers environnants. Et surtout sur la Voie de dégagement nord (Vdn) où les manifestants ont barré les deux voies tout en incendiant des pneus et en renversant du mobilier urbain. Doté d’un véritable arsenal de guerre, y compris même des chars de combat, les bataillons d’élite du général Moussa Fall ont manœuvré avec courage et intelligence, avec tact aussi, pour rétablir l’ordre et la sécurité. Chose faite avec brio ! En effet, dans les secteurs contrôlés par la gendarmerie, c’est-à-dire de Ouakam à la Foire en passant par la Vdn jusqu’aux quartiers de Sacré-Cœur, l’ordre a été vite rétabli par les éléments de la Lgi et du Gign. Qui ont fait preuve d’un très grand professionnalisme. Comme quoi, le général Moussa Fall a réussi sa première épreuve du feu en tant que haut commandant de la Gendarmerie !
UNE SESSION DE FORMATION LES JEUNES REPORTERS A L’ECOLE DU DROIT SOCIAL
Selon l’Aps, une session de formation sur le droit social démarre ce jeudi à la Somone (Mbour), à l’intention des membres de la Convention des jeunes reporters du Sénégal (CJRS). Cette formation entre sans le cadre du projet «Appui à la rénovation de la législation et de l’administration du travail», indique la même source. L’agence gouvernementale précise que la formation fait partie du cadre du partenariat de réforme sénégalo-allemand établi pour le compte de l’initiative «Compact with Africa», lancée en 2017 par le G20. Cette session entre aussi en droite ligne de la matrice de réformes qui a été convenue pour suivre celles qui ont été engagées par le Sénégal et les contributions respectives de la coopération allemande au développement. Selon le communiqué, ce partenariat de réformes vise l’amélioration des conditions propices à l’investissement privé, afin de générer des emplois et revenus, notamment pour les jeunes. Le projet renforce les capacités stratégiques du ministère en charge du Travail dans la conception des réformes du droit du travail et vise à accroître la transparence, l’uniformité et l’efficacité de l’application du droit.
COUPE DU MONDE UN PROJET POUR TOUS LES TROIS (03) ANS ?
Le projet d’organisation de la Coupe du monde une fois tous les deux ans passerait si la question devait être soumise à l’approbation des acteurs concernés, toutes les confédérations étant favorables à cette réforme à l’exception de celle représentant le continent européen, a déclaré le président de la Fédération française de football (FFF), Noël Le Graët « C’est une décision importante économiquement, mais si elle doit être prise aujourd’hui, je suis sûr que ce projet serait accepté », a-t-il dit dans un entretien publié dans l’édition de mercredi du quotidien Le Parisien. Concernant ce projet agité par la Fifa et théorisé par le Français Arsène Wenger, un ancien entraîneur d’Arsenal (Premier League), Le Graët appelle à aller au-delà du contexte européen. Il ne faut pas penser qu’à l’Europe de l’Ouest et à ses pays riches. L’Europe est contre parce qu’elle dispose de compétitions lucratives’’, estime le dirigeant sportif français, précisant n’être pas opposé à cette idée. L’Afrique, par exemple, a besoin de plus de matchs’’, a-t-il dit, indiquant que le président de l’instance dirigeante du football mondial doit, pour ce faire, présenter un projet économiquement viable. D’ailleurs, il doit nous rendre visite en décembre en France, comme le président de l’Uefa, Aleksander Ceferin’’, a souligné le président de la FFF.
COUPE DU MONDE UN PROJET POUR TOUS LES TROIS (03) ANS ? (BIS)
Le conseil de la Fifa, réuni en octobre dernier, a décidé de tenir un sommet, le 20 décembre prochain, pour étudier son projet d’organisation de la Coupe du monde une fois tous les deux ans. Les 211 fédérations nationales membres seront ainsi réunies en visioconférence pour ‘’discuter de l’avenir du football après avoir été informées en détail du processus de consultation en cours sur le sujet’’, avait précisé l’instance internationale dans un communiqué. L’Uefa, la Confédération européenne, et la Conmebol, la confédération sudaméricaine de football, ont rejeté ce projet, lui préférant la périodicité actuelle, une édition de la Coupe du monde tous les quatre ans.