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26 novembre 2024
Politique
VERS L’ÉVALUATION DES ACTIONS DÉROULÉES CETTE DERNIÈRE DÉCENNIE
Le Premier ministre a été invité à procéder à l’actualisation et à la généralisation des Plans directeurs d’Assainissement (PDA) et de lui proposer un nouveau Programme intégré de Développement de l’Assainissement (PIDA)
Le président de la République a demandé hier, mercredi 10 juillet 2024, en réunion du Conseil des ministres, un déploiement efficace des dispositifs de prévention et de gestion des inondations dans les localités touchées par le phénomène, accéléré, selon lui, par l’urbanisation croissante du Sénégal et les difficultés d’aménagement de nos communes. Par ailleurs s’adressant au Premier ministre, le chef de l’Etat a demandé l’évaluation des actions de lutte contre les inondations déroulées dans cette dernière décennie pour ensuite engager une réorientation de la stratégie nationale d’assainissement...
Autre point abordé hier, par le chef de l’Etat, lors de la réunion du Conseil des ministres, c’est celui concernant les inondations avec leurs lots de dégâts enregistrés à chaque hivernage. Abordant ce point, le chef de l’Etat, faisant remarquer que l’urbanisation croissante du Sénégal et les difficultés d’aménagement de nos communes ont accéléré le phénomène des inondations et augmenté les besoins en infrastructures d’assainissement, a demandé le déploiement efficace des dispositifs de prévention et de gestion des inondations dans les localités touchées.
Ainsi, tout en invitant le Premier ministre et le ministre de l’Hydraulique et de l’Assainissement à intensifier les actions, avec la Brigade nationale des Sapeurs-pompiers et l’ensemble des services de l’Etat mobilisés, il a souligné, en outre, la nécessité de mobiliser, en mode alerte, les mécanismes publics de solidarité nationale pour assister les populations sinistrées, en relation avec les autorités administratives.
Par ailleurs, toujours sur cette question, le président de la République a également demandé au Premier ministre d’évaluer les actions de lutte contre les inondations déroulées durant cette dernière décennie, pour ensuite engager une réorientation de la Stratégie nationale d’assainissement, en cohérence avec le renouveau des politiques en matière d’aménagement du territoire, d’urbanisme et d’habitat.
Le Premier ministre a été invité à procéder à l’actualisation et à la généralisation des Plans directeurs d’Assainissement (PDA) et de lui proposer un nouveau Programme intégré de Développement de l’Assainissement (PIDA). Prenant la parole à la suite du chef de l’Etat, Ousmane Sonko «a également insisté, à la suite du Chef de l’Etat, sur l’importance capitale attachée à la gestion préventive des inondations, en engageant le ministre des Finances et du Budget à accorder une priorité absolue, dans les arbitrages budgétaires, à la prise en charge des dépenses y afférentes».
Revenant sur les enseignements de sa participation à la journée «Setal Sunu Réew» du 6 juillet 2024 à Saint-Louis, où il a représenté le Chef de l’Etat, le Premier ministre a déploré les retards relevés dans l’exécution des chantiers d’assainissement, de gestion des inondations et de lutte contre l’érosion côtière, notamment des différents projets et programmes. Poursuivant, il a indiqué que «ces constats rendent urgente l’élaboration d’un état des lieux complet de ces projets et programmes».
LE VICE-MINISTRE RUSSE DES AFFAIRES ETRANGERES CHEZ DIOMAYE FAYE
Le président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a reçu mercredi 10 juillet au palais de la République Mikhaïl Bogdanov, Représentant spécial du président de la Russie au Moyen-Orient et en Afrique.
Le président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a reçu mercredi 10 juillet au palais de la République Mikhaïl Bogdanov, Représentant spécial du président de la Russie au Moyen-Orient et en Afrique.
Lors de cette rencontre, rapporte la présidence, M. Bogdanov a transmis un message du président russe, Vladimir Poutine, à son homologue sénégalais.
Les discussions entre les deux hommes ont principalement porté sur le renforcement de la coopération bilatérale entre le Sénégal et la Russie, précisent les services de communication du palais présidentiel sénégalais.
Selon l’agence de presse Tass, qui cite un message du ministère russe des Affaires étrangères, M. Bogdanov et le chef de l’État sénégalais ont discuté de projets communs dans les secteurs de l’énergie, de l’exploitation minière et du traitement des minéraux.
« Les tâches consistant à accroître le volume des partenariats commerciaux, économiques et d’investissement, à améliorer le cadre juridique et à mettre en œuvre des projets communs prometteurs dans les domaines de l’exploration géologique, de l’exploitation minière et du traitement des minéraux, de l’énergie, de la pêche et de l’agriculture ont également été soigneusement examinées », a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.
Après son entretien avec le président Faye, l’émissaire russe a rencontré la ministre sénégalaise de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères. Avec Yassine Fall, M. Bogdanov a abordé des questions « concernant le renforcement ultérieur des liens amicaux russo-sénégalais ».
Le ministère russe des Affaires étrangères ajoute que les discussions ont également porté sur l’approfondissement du dialogue politique fondé sur la confiance et sur le renforcement de la coordination des positions de principe sur les problèmes internationaux et régionaux actuels à l’ONU et sur d’autres plateformes multilatérales.
LE PRESIDENT DIOMAYE DEMANDE UN CALENDRIER DE MISE EN ŒUVRE DES REFORMES
Décidément, le président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, ne veut pas perdre du temps concernant la Réforme et la Modernisation de la Justice, objet du Dialogue national le 28 mai dernier
Le président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, a demandé au Premier ministre, au ministre de la Justice et aux ministres concernés, de lui proposer un calendrier de mise en œuvre des réformes du secteur de la Justice en droite ligne du programme législatif du Gouvernement. Cette sortie du chef de l’Etat hier, mercredi 10 juillet 2024, en réunion du Conseil des ministres, intervient près d’une semaine après sa réception des conclusions de ces Assises de la Justice des mains du professeur Babacar Gueye, facilitateur des travaux de ces Assises sur la Réforme et la Modernisation de la Justice.
Décidément, le président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, ne veut pas perdre du temps concernant la Réforme et la Modernisation de la Justice, objet du Dialogue national le 28 mai dernier et dont les conclusions des échanges ont été dévoilées le 04 juin 2024. En effet, près d’une semaine après avoir reçu le Rapport général sur les conclusions de ces Assises de la Justice des mains du professeur Babacar Gueye, facilitateur des travaux des Assises sur la Réforme et la Modernisation de la Justice, le chef l’Etat presse déjà son Premier ministre et les membres du gouvernement concernés par la mise en œuvre des recommandations.
En réunion du Conseil des ministres hier, mercredi 10 juillet 2024, au Palais de la République, il a, en effet, demandé au Premier ministre, au ministre de la Justice et aux ministres concernés, de lui proposer un calendrier de mise en œuvre des réformes du secteur de la justice en droite ligne du programme législatif du Gouvernement. Soulignant que «cet agenda législatif doit viser notamment la révision de la Constitution et des Codes spécifiques», le communiqué de cette réunion hebdomadaire entre le chef de l’Etat et les membres du Gouvernement renseigne également, par ailleurs, que le chef de l’Etat a demandé au Premier ministre et au ministre de la Justice de faire une communication mensuelle en Conseil des ministres sur l’état de mise en œuvre des recommandations et décisions issues des Assises de la Justice et de tenir compte, dans cet exercice à leur conformité avec les valeurs de notre société, notre culture et nos croyances.
Toujours concernant ce point relatif à la mise en œuvre des recommandations des Assises de la Justice, le chef de l’Etat a salué «l’esprit participatif et inclusif de l’exercice, soutenu en cela par l’activation de la plateforme JUBBANTI». Il a aussi félicité le Gouvernement, le ministre de la Justice notamment, les membres de son Cabinet, le facilitateur, les membres du Bureau et le Comité scientifique des Assises, ainsi que toutes les parties prenantes pour leurs contributions remarquables ayant permis l’élaboration et la mise à disposition d’un rapport public de qualité.
LES CHIFFRES DES FINANCES SOUS DIOMAYE
Les nouvelles autorités ont officiellement pris fonction au mois d’avril. Elles comment petit à petit, à imprimer leur patte sur la gestion des affaires publiques. Ainsi, à la fin mai 2024, la Dpee a dévoilé les chiffres de la gestion budgétaire.
Les nouvelles autorités ont officiellement pris fonction au mois d’avril. Elles comment petit à petit, à imprimer leur patte sur la gestion des affaires publiques. Ainsi, à la fin mai 2024, la Dpee a dévoilé les chiffres de la gestion budgétaire.
Le mois de mai 2024, a été caractérisée par une légère progression de la mobilisation des recettes. Selon la Direction de la prévision et des études économiques (Dpee), les ressources globales (hors dons en capital) se sont placées à 1450,1 milliards. Soit une augmentation de 2,6%, par rapport à la même période de l’année dernière.
Et ces ressources sont composées de recettes fiscales (1373,3 milliards) et de recettes non fiscales (76,8 milliards). Selon la Dpee, l’augmentation des ressources est attribuable à la hausse des recettes fiscales qui se sont améliorées de 64,4 milliards, notamment, par le biais de l’impôt sur les sociétés, de la Tva intérieure hors pétrole etc.
Quant aux dépenses publiques (hors dépenses d’investissement financées sur ressources extérieures), elles ont diminué de 0,7% pour se situer à 1900,9 milliards durant le mois de mai.
Toujours en mai, le déficit commercial du Sénégal s’est dégradé de 31,1 milliards par rapport au mois précédent. Il a plongé à 266,8 milliards. Une situation imputable à la hausse des importations de biens (+24,9 milliards) conjuguée à la baisse des exportations (-9,2 milliards), renseigne la Dpee.
BASSIROU DIOMAYE SATISFAIT DU RAPPORT DES ASSISES DE LA JUSTICE
Le chef de l’Etat a marqué, mercredi, en Conseil des ministres, son accord de principe sur les recommandations consensuelles des Assises de la justice consignées dans le rapport qui lui a été transmis récemment
Dakar, 10 juil (APS) – Le chef de l’Etat a marqué, mercredi, en Conseil des ministres, son accord de principe sur les recommandations consensuelles des Assises de la justice consignées dans le rapport qui lui a été transmis récemment.
‘’Revenant sur les recommandations des Assises de la justice et des réformes urgentes de ce secteur, le chef de l’Etat a marqué son accord de principe sur les recommandations consensuelles des Assises de la justice consignées dans le rapport’’, indique le communiqué du Conseil des ministres.
La même source ajoute que Bassirou Diomaye Faye a félicité le gouvernement, le ministre de la Justice notamment, les membres de son Cabinet, le facilitateur, les membres du Bureau et le Comité scientifique des Assises, ainsi que toutes les parties prenantes pour ‘’leurs contributions remarquables ayant permis l’élaboration et la mise à disposition d’un rapport public de qualité’’.
Selon le communiqué, le chef de l’Etat a salué ‘’l’esprit participatif et inclusif de l’exercice, soutenu en cela par l’activation de la plateforme JUBBANTI’’, soulignant que ‘’cette innovation notable dans la communication de l’Etat consacre la digitalisation de la participation citoyenne à l’action publique mais également le pragmatisme dans le déploiement du PROJET de transformation systémique du Sénégal’’.
Cette démarche ‘’s’inscrit dans l’engagement primordial à asseoir un Etat de droit, une République exemplaire et une Nation solidaire à travers des institutions fortes et une justice crédible qui agrée le Peuple sénégalais au nom duquel elle est rendue’’.
Le chef de l’Etat a demandé au Premier ministre, au Ministre de la Justice et aux ministres concernés, de ‘’lui proposer un calendrier de mise en œuvre des réformes du secteur de la justice en droite ligne du programme législatif du Gouvernement’’.
Le communiqué note que ‘’cet agenda législatif doit viser notamment la révision de la Constitution et des Codes spécifiques’’.
Dans sa communication, le président de la République a demandé l’évaluation, sous l’égide du Ministre des Finances et du Budget, ‘’des coûts et impacts financiers des réformes proposées en vue d’apprécier l’opportunité de leur priorisation dans la programmation budgétaire’’.
Il a également informé le Conseil de ‘’sa disponibilité à recevoir encore toute contribution ou proposition pertinente relative à la réforme du Conseil supérieur de la Magistrature concernant notamment l’élargissement de ses membres aux acteurs n’appartenant pas au corps des magistrats et la problématique de la présence dans l’instance du Président de la République et du Ministre de la Justice’’.
Le chef de l’Etat a enfin demandé au Premier Ministre et au Ministre de la Justice de ‘’faire une communication mensuelle en Conseil des ministres sur l’état de mise en œuvre des recommandations et décisions issues des Assises de la justice et de tenir compte, dans cet exercice à leur conformité avec les valeurs de notre société, notre culture et nos croyances’’.
VIDEO
JEAN MICHEL LAT NDAM SÈNE, LA JEUNE PÉPITE DE L’ASER
À seulement 29 ans, l'ingénieur formé à Polytech Paris prend la tête de l'Agence sénégalaise d'électrification rurale avec pour objectif de faire de l'accès à l'électricité pour tous une réalité
À seulement 29 ans, Jean Michel Lat Ndam Sène promet d'illuminer l'avenir du Sénégal. Ce prodige de l'électricité, formé à Polytech Paris, a court-circuité une carrière prometteuse en France pour se brancher sur les besoins de sa patrie.
Membre du Pastef, il a pour vocation de canaliser son engagement politique pour éclairer les zones d'ombre du pays.
Jean Michel incarne cette nouvelle génération qui refuse de laisser le Sénégal dans le noir.
VERS LA MISE EN PLACE D’UN COMITÉ D’EXAMEN DES CONTRATS STRATÉGIQUES
Ce comité aura pour mission principale d’analyser, dans les contrats susvisés, la présence centrale de l’intérêt national ainsi que ses mécanismes de sauvegarde en vue d’assurer, le cas échéant, les objectifs d’équilibre requis.
Dakar, 10 juil (APS) – Le Premier ministre a annoncé, mercredi en Conseil des ministres, la mise en place d’un Comité d’examen des contrats conclus dans les secteurs stratégiques, a-t-on appris de source officielle.
‘’Le Premier ministre a informé le Conseil de la mise en place, sur instruction de Monsieur le Président de la République, par arrêté en date du 3 juillet 2024, d’un Comité d’examen des contrats conclus dans les secteurs stratégiques’’, rapporte le communiqué du Conseil des ministres.
La même source ajoute que ce Comité ‘’a pour mission principale d’analyser, dans les contrats susvisés, la présence centrale de l’intérêt national ainsi que ses mécanismes de sauvegarde en vue d’assurer, le cas échéant, les objectifs d’équilibre requis’’.
L'EXÉCUTIF DONNE L'EXEMPLE EN MATIÈRE DE REDDITION DES COMPTES
Lors du conseil des ministres de mercredi, le Premier ministre s'est félicité que l'ensemble de l'exécutif ait déclaré son patrimoine dans les délais requis
Le Premier ministre s’est félicité, mercredi en Conseil des ministres, de l’acquittement par le président de la République et l’ensemble du gouvernement de leurs obligations de déclaration de patrimoine.
‘’Le Premier ministre s’est ensuite félicité de l’acquittement par le Président de la République lui-même et l’ensemble du Gouvernement de leurs obligations de déclaration de patrimoine, respectivement au Conseil Constitutionnel et à l’OFNAC, dans les délais impartis, à savoir trois (3) mois après la prise de fonction’’, rapporte le communiqué du Conseil des ministres.
La même source ajoute qu’Ousmane Sonko a demandé aux ministres de ‘’veiller au respect scrupuleux de cette exigence, par les responsables assujettis, placés sous leur tutelle’’.
par Babacar Mbaye
AIDE PUBLIQUE AU DÉVELOPPEMENT : LA FRANCE LOIN DEVANT LA CHINE, LA RUSSIE AUX ABONNÉS ABSENTS
Alors que la rhétorique russo-chinoise plaide pour un renouveau des relations avec les pays africains, les actes ne sont pas à la hauteur des discours, du moins en ce qui concerne l'aide publique au Sénégal
En début de semaine, un déploiement diplomatique, à la fois, des russes et des chinois en direction du Sénégal a été observé. En effet, l’ambassadeur de la Chine à Dakar Xiao Han a accordé, lundi 8 juillet, un entretien au site Dakaractu dans lequel il vante les promesses de la coopération sino-sénégalaise en matière de nouvelles énergies. Le lendemain, Moscou a envoyé à Dakar son vice-ministre des Affaires étrangères Mikhail Bogdanov. Au menu des échanges avec les autorités sénégalaises : les orientations de la coopération bilatérale.
L’un des éléments importants de cette coopération sur lequel Dakar s’appuie pour dérouler une partie de sa politique économique reste l’aide publique au développement. Et sur ce point, malgré la rhétorique russo-chinoise sur un nouveau type de partenariat avec nos Etats et les attaques contre les partenaires traditionnels tels que la France, ce dernier pays a un apport de loin plus consistant.
Selon les chiffres du ministère des Finances et du Budget publiés en 2020 et qui suivent la même tendance sur les années suivantes, la répartition de l’aide publique au développement par partenaires dans la coopération bilatérale positionne la France loin devant la Chine et montre que la Russie est aux abonnés absents.
La France, à travers ses différentes agences donatrices à savoir l’Agence Française de Développement, la Banque Française pour le Commerce extérieur et la Coopération française, assure à elle seule 25% de l’Aide publique au développement du Sénégal. Là où la Chine est à 4% et la Russie même pas répertoriée au tableau des donateurs.
Ainsi en 2020, sur un total de 663 milliards de francs CFA (plus d’1 milliard d’euros) la France a contribué à hauteur de 174 milliards de francs CFA (265 millions d’euros), la Chine a décaissé 27 milliards de francs CFA et la Russie a eu donc une contribution insignifiante.
Pour rappel, selon la définition du Comité d’Aide au Développement (CAD) de l’Organisation de Coopération et de Développement Economique (OCDE), on comprend par Aide publique au développement « l’ensemble des dons et prêts accordés à des conditions très favorables (nets desremboursements en capital) par des organismes publics à des pays et territoires, dans le but depromouvoir leur développement économique et social ».
Si l’on intègre à la fois les partenaires bilatéraux et multilatéraux, le classement des onze (11) premiers partenaires du Sénégal par volume des décaissements se présente comme suit : Banque mondiale (16,08%), France (14,39%), Commission européenne (11,91%), Banque africaine de développement (11,19%), Allemagne (7,86%), BOAD (7,41%), Japon (6,08%), Etats-Unis d’Amérique (5,53%), BID (5,43%), Nations unies (2,88%), Chine (2,25%).
L’Aide publique au développement permet a l’Etat du Sénégal de réaliser des investissements dans des secteurs tels que l’agriculture, l’élevage, la pêche, l’hydraulique, les eaux et forêts, la recherche, les mines-industrie-énergie, le tourisme, les transports, les télécoms, l’appui institutionnel.
Babacar Mbaye est expert en politique publique.
DIOMAYE ET SON GOUVERNEMENT ONT EFFECTUÉ LEUR DÉCLARATION DE PATRIMOINE
Ousmane Sonko a demandé aux ministres de ‘’veiller au respect scrupuleux de cette exigence, par les responsables assujettis, placés sous leur tutelle’’.
Le Premier ministre s’est félicité, mercredi en Conseil des ministres, de l’acquittement par le président de la République et l’ensemble du gouvernement de leurs obligations de déclaration de patrimoine.
‘’Le Premier ministre s’est ensuite félicité de l’acquittement par le Président de la République lui-même et l’ensemble du Gouvernement de leurs obligations de déclaration de patrimoine, respectivement au Conseil Constitutionnel et à l’OFNAC, dans les délais impartis, à savoir trois (3) mois après la prise de fonction’’, rapporte le communiqué du Conseil des ministres.
La même source ajoute qu’Ousmane Sonko a demandé aux ministres de ‘’veiller au respect scrupuleux de cette exigence, par les responsables assujettis, placés sous leur tutelle’’.