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22 avril 2025
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MACKY SORT DU BOIS
Dissidence au sein de Bby, abandon de sa troisième candidature, dissolution du Pastef…Le président de la République, Macky Sall, en parle avec France 24 et à Radio France Internationale (RFI)
Le président de la République, Macky Sall, qui séjourne aux Etats-Unis pour les besoins de l’Assemblée générale des Nations-Unies, a accordé un entretien à France 24 et à Radio France Internationale (RFI). Face aux journalistes, il est revenu sur les dissidences au sein de la coalition Benno Bokk Yaakaar (Bby) après le choix du Premier ministre Amadou Ba comme candidat à l’élection présidentielle, l’abandon de sa troisième candidature et la dissolution de Pastef, entre autres sujets.
Interrogé sur le choix du Premier ministre, Amadou Ba, et les dissidences qu’il a occasionnées au sein de la coalition Benno Bokk Yaakaar (Bby), Macky Sall, trouve qu’il n’a rien à se reprocher. « Je ne peux pas fracturer la coalition que j’ai mise en place et entretenue depuis douze ans. C’est la mienne parce que je reste le président de ladite coalition. Je reste le président de mon parti même si je ne suis pas candidat jusqu’à nouvel ordre. J’ai reçu mandat de la coalition de désigner mais j’ai voulu que ce choix soit collectif, qu’il soit discuté avec les différents acteurs ; ce qui a été le cas. J’ai consulté les différents acteurs. D’ailleurs, la plupart était de mon parti. C’est normal qu’il ait des résistances, mais au bout du compte, nous avons vu un processus d’alignement et d’acceptation ». Il espère toutefois que d’ici l’élection présidentielle, tous les malentendus seront levés. « Il y’a encore deux ou trois qui pensent qu’ils doivent être candidats, mais c’est leur liberté, c’est leur droit. Je pense qu’avant le dépôt des candidatures, il y’aura des discussions qui permettront finalement d’arriver à une convergence totale. L’essentiel a été abattu autour de cette candidature pour donner une chance à la majorité de l’emporter dès le premier tour ». Sur le poids électoral de son dauphin, Macky Sall se dit rassuré. « Amadou Ba est le choix d’une majorité. Son poids personnel va jouer, mais il part avec l’atout que les autres non pas. C’est d’avoir une majorité qui le soutient. C’est tout cela qu’il faut mettre sur la balance. Il a une majorité dernière lui. Il a le soutien du président. C’est un acteur politique. Tout cela mis sur la balance devrait l’aider à battre ses adversaires. C’est ma conviction qu’il gagnera ».
UNE TROISIEME CANDIDATURE JURIDIQUEMENT VALABLE
Face aux journalistes de France 24 et de Radio France Internationale (RFI), le président de la République, Macky Sall, a trouvé que sa candidature pour un troisième mandat est permise par la loi. « D’abord, il est important de dire que j’ai le droit si c’était ma volonté. Juridiquement, rien ne m’empêchait de concourir pour un second quinquennat. On peut l’appeler un troisième mandat en fait. C’est un second quinquennat, juridiquement il n’y a pas de débat là-dessus », a-t-il dit. Le choix de ne pas se représenter n’est que personnel, ajoute-t-il. « Maintenant j’étais devant mes responsabilités à savoir si le jeu en valait la chandelle. D’une part, je l’avais dit parce que lors de la révision constitutionnelle et avant ma réélection en 2019, j’avais écrit un ouvrage dans lequel j’avais promis de faire un seul mandat de cinq ans. A partir de ce moment, le code d’honneur m’imposait de respecter ce choix surtout qu’il y’a une fausse polémique qui était entretenue ».
La décision de surseoir à sa candidature est à lier, explique-t-il, à son souhait de préserver la démocratie sénégalaise. « On me prêtait des intentions et sur la base de ces intentions, on a voulu peindre la démocratie sénégalaise en noir alors qu’il n’en était rien. Après avoir apprécié, j’ai estimé que la meilleure démarche était de ne pas tenter ce second quinquennat qui est de droit, mais ce n’est pas que c’est de droit que je dois le faire nécessairement surtout si ça doit coûter en vies humaines ou faire perdre au Sénégal sa légendaire démocratie ». Toutefois, le président de la République, Macky Sall, pense que les violentes manifestations ayant occasionné des morts ne sont pas le résultat de sa supposée candidature. « Les morts n’ont rien à avoir avec le troisième mandat. Elles sont la conséquence des appels à l’insurrection suite à des problèmes politico-juridiques. Il n’y a jamais eu de manifestations contre le troisième mandat qui a entrainé un seul mort, ça n’existe pas. Il ne faut pas qu’on mélange les sujets ».
SONKO ALLIE DES FORCES OCCULTES
Macky Sall n’a pas voulu par contre se prononcer sur l’incarcération du maire de Ziguinchor parce qu’estime-t-il, « le dossier est devant la justice ». Ce dont il est convaincu est l’alliance d’Ousmane Sonko à des forces occultes. Macky Sall trouve que cette relation n’est pas seulement une idée défendue par ses souteneurs mais, « des faits que tout le monde connait ». Pour lui, « le Sénégal a fait l’objet d’agressions par différentes forces obscures pensant pouvoir mettre la main sur le pays ». Ce qui est dit-il, « une grosse illusion car, le Sénégal est une démocratie solide et il veillera personnellement jusqu’à ce qu’il rende le pouvoir que le pays ne soit pas déstabilisé, quels que soient les auteurs et leurs complices. » Pour lui, les forces occultes sont « des islamistes, des politiques, en somme un conglomérat d’intérêts qui pensait mettre la main sur le Sénégal qui a échoué lamentablement ».
D’ores et déjà, il ne se fait aucun doute sur la bonne tenue de la prochaine élection. « La présidentielle de février 2024 sera inclusive et ouverte à tous ceux qui peuvent concourir et il appartiendra au Conseil constitutionnel de définir qui sera candidat ou non ». Le Pastef est dissout parce que, « les partis politiques ont des obligations ; ils ne peuvent pas appeler à l’insurrection à longueur de journée, poser des actes condamnables ». La loi est claire, dit-il, « quand un parti sort de son droit, il est dissout et ce n’est pas la première fois qu’un parti politique est dissout au Sénégal ».
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L'AFRIQUE DE PAPA EST TERMINÉE
Mamady Doumbouya, chef de la junte guinéenne, a prononcé un discours passionné à l'Assemblée générale des Nations Unies, défendant proclamant notamment l'échec du modèle démocratique occidental sur le continent
Le colonel Mamady Doumbouya, chef de la junte guinéenne, a prononcé un discours passionné à l'Assemblée générale des Nations Unies, défendant l'intervention militaire en politique après une série de coups d'État en Afrique. Il a également proclamé l'échec du modèle démocratique occidental sur le continent.
S'exprimant devant les délégués de l'ONU, le colonel Doumbouya a critiqué le modèle de gouvernance imposé à l'Afrique, affirmant qu'il était conçu pour l'Occident et ne s'adaptait pas à la réalité africaine. Il a souligné que ce modèle avait contribué à l'exploitation et au pillage des ressources africaines par d'autres pays, ainsi qu'à la corruption généralisée chez les élites africaines.
Le colonel Doumbouya est connu pour avoir dirigé le coup d'État militaire qui a renversé le président civil Alpha Condé en septembre 2021. Depuis lors, il a pris la présidence de manière transitoire. Alors que plusieurs coups d'État ont secoué l'Afrique depuis 2020, notamment au Mali, au Burkina Faso, au Niger et au Gabon en 2023, le colonel Doumbouya est le seul chef de coup d'État à s'exprimer cette année devant l'ONU.
Revêtant un boubou blanc et une toque, le colonel Doumbouya a nié être un dictateur cherchant à imposer sa volonté. Il a souligné que les véritables putschistes étaient ceux qui manipulaient les constitutions et trichaient pour se maintenir indéfiniment au pouvoir, faisant référence à la situation dans différents pays.
Il a affirmé avoir agi en Guinée pour éviter un chaos complet, faisant référence aux mois de contestation contre la modification de la Constitution par l'ancien président Condé et sa réélection pour un troisième mandat.
Le colonel Doumbouya a appelé à rompre avec l'ancien ordre mondial tout en défendant le non-alignement. Il a souligné la maturité et la jeunesse de l'Afrique, affirmant que l'époque de l'Afrique traditionnelle était révolue. Il a insisté sur le fait qu'il était temps de reconnaître les droits de l'Afrique et de lui accorder une place légitime, tout en mettant fin aux leçons et à l'attitude condescendante envers le continent.
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QUAND UN PARTI SORT DE SON DROIT, IL EST DISSOUT
Le président Macky Sall évoque la dissolution de Pastef, la candidature d'Amadou Ba à la présidentielle de même que les résistances nées du choix porté sur le choix du Premier ministre
Le président Macky Sall évoque la dissolution de Pastef, la candidature d'Amadou Ba à la présidentielle de même que les résistances nées du choix porté sur le choix du Premier ministre dans une interview accordée ce jeudi 21 septembre à RFI et France 24.
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PRESIDENTIELLE 2024, DISSOLUTION DE PASTEF, SITUATION AU NIGER, LES VÉRITÉS DU PRÉSIDENT MACKY SALL
Près de deux mois après le coup d’État du 26 juillet contre le président Bazoum au Niger, le chef de l’État sénégalais confie que, pour résoudre la crise, la Cédéao continue de privilégier la voie diplomatique
Près de deux mois après le coup d’État du 26 juillet contre le président Bazoum au Niger, le chef de l’État sénégalais confie que, pour résoudre la crise, la Cédéao continue de privilégier la voie diplomatique et que l’option militaire ne sera utilisée qu’en dernier ressort. Dans une interview accordée à RFI et France 24 à New York, à l’occasion de l’Assemblée générale de l’ONU, Macky Sall déclare qu’il y a des discussions « underground », c’est-à-dire en coulisses, sous la direction du Nigeria et que Bola Tinubu, le chef de l’État nigérian, qui préside actuellement la Cédéao, a envoyé des émissaires à Niamey. Le chef de l’État sénégalais ajoute : « L’option militaire ne saurait être faite que lorsque toutes les autres pistes auront été épuisées ».
Par ailleurs, face aux ténors de l’opposition, Macky Sall se dit confiant dans la victoire de son dauphin, le Premier ministre Amadou Ba, à la présidentielle sénégalaise du 25 février prochain, grâce au poids de la coalition au pouvoir Benno Bokk Yakaar. Il assume la dissolution du Pastef, le parti d’Ousmane Sonko, qui est à ses yeux un mouvement « insurrectionnel ».
Enfin, le chef de l’État sénégalais, qui quittera le palais présidentiel en avril prochain, ne cache pas son intérêt pour un poste de responsabilité sur la scène internationale. Serait-il disponible pour succéder un jour à Antonio Guterres au secrétariat général de l’ONU ? Macky Sall ne dit pas non. Entretien.
France 24 : Monsieur le Président, je veux commencer par le Niger : la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) menace d'intervenir militairement depuis deux mois, mais rien ne se passe. Est-ce que ça veut dire que cette option militaire n'est plus sur la table ?
Macky Sall : Alors, depuis la décision du sommet des chefs d'État, où un ultimatum avait été donné, évidemment, il y a eu des initiatives à la fois diplomatiques et des discussions « underground » sous la direction du Nigeria. Cette dernière option militaire ne saurait être faite que lorsque véritablement toutes les pistes auraient été épuisées et que, surtout, le pays qui est la nation cadre dans ce cas, qu’est le Nigeria frontalier, lorsqu'il jouera son rôle dans cette option, les autres pays sont tout à fait prêts pour jouer leur partition. L'option est sur la table. Maintenant, quand est-ce qu'elle se fera ? Ça, je ne le sais pas encore.
RFI : Alors le président nigérian Bola Tinubu a évoqué en effet des discussions avec les putschistes. C'était ce 19 septembre à la tribune de l'ONU. Vous nous dites qu'il y a des discussions « underground ». Est-ce qu'une transition de quelques mois serait acceptable à vos yeux ?
Non, pour l'instant, c'est le président de la Cédéao, Bola Tinubu, qui a en charge le dossier en tant que président en exercice. Il a déjà envoyé des émissaires. Donc, moi, j'attends qu'il nous informe des résultats de ces différentes démarches pour que nous puissions apprécier et adopter une position commune. Donc, je sais simplement que le Nigeria fait tout pour trouver une solution par la voie diplomatique. Est-ce qu'on la trouvera ? C'est ce que j'espère. Autrement, on ne peut pas continuer à laisser un président élu être fait prisonnier chez lui [Mohamed Bazoum, NDLR], donc il va falloir évoluer.
France 24 : Très récemment, le 9 septembre 2023, la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) a désigné votre Premier ministre, Amadou Ba, comme le candidat à l'élection présidentielle, qui doit se tenir au mois de février 2024. Cependant, ça ne fait pas l'unanimité. Est-ce que vous ne craignez pas que, par ce geste, vous alliez fracturer votre coalition et donc affaiblir votre candidat ?
Mais non, je ne peux pas fracturer la coalition que j'ai mise en place et que j'ai entretenue depuis 12 ans.
France 24 : Ce n’est plus la vôtre…
Si, c'est la mienne parce que je reste le président de la coalition, je reste le président de mon parti. Je ne suis pas candidat, mais je reste le président du parti jusqu'à nouvel ordre et le président de la coalition. C'est normal qu'il y ait des résistances. Mais, au bout du compte, nous avons vu un processus d'alignement et finalement d'acceptation. Bon, il y a encore deux ou trois qui pensent qu'ils doivent être candidats, mais c'est leur liberté, c'est leur droit. Mais je pense qu'il y aura avant le dépôt des candidatures encore des discussions qui permettront finalement d'arriver vers une convergence totale.
RFI : Oui, mais en février 2024, Monsieur le Président, sur la ligne de départ, il y aura quelques poids lourds de l'opposition comme Idrissa Seck, comme Khalifa Sall, comme peut-être Karim Wade. Ne craignez-vous pas que votre candidat, Amadou Ba, qui n'est peut-être pas un élu d'aussi longue date que ces poids lourds et qui n'est peut-être pas un homme de terrain comme certains de ses adversaires, ne soit battu ?
Amadou Ba est le candidat d'une majorité. Certes, son poids personnel va jouer, mais il part avec l'atout que les autres n'ont pas : c'est d'avoir une majorité qui le soutient. Il a le soutien du président, qui est un acteur politique. Donc, tout cela mis sur la balance devrait l'aider à pouvoir battre ses adversaires.
RFI : Outre Ousmane Sonko, qui est condamné en justice et qui donc est déclaré inéligible, il y a son parti, le Pastef, qui est dissous depuis quelques semaines, et la société civile proteste…
Quelle société civile ?
RFI : Vous avez, par exemple, un rapport de la plateforme Civicus Monitor qui dénonce « un rétrécissement de l'espace démocratique et des libertés publiques ».
Je ne connais pas cette organisation. C'est la première fois que j'entends parler de cette société civile.
RFI : Mais, si l'élection de février 2024 n'est pas inclusive, ne risque-t-elle pas d'être chaotique ?
En quoi n'est-elle pas inclusive ? Comment peut-elle être chaotique ? L'élection est ouverte pour tous ceux qui peuvent y concourir et il appartiendra au Conseil constitutionnel, comme ça a toujours été le cas, de définir qui peut concourir ou pas. C'est la loi. À partir du moment où cela sera fait, l'élection se fera comme toutes les autres élections précédentes.
RFI : Le Pastef représente une partie de l'opinion sénégalaise. Est-ce que l'élection pourrait être inclusive son absence ?
Ce parti est dissous pour la bonne et simple raison que les partis ont des obligations. Un parti politique qui bénéficie de la loi ne peut pas appeler à l'insurrection à longueur de journée, ne peut pas poser des actes qui sont répréhensibles et qui sont condamnés par les lois, c'est très clair. La loi est très claire : quand un parti sort de son droit, il est dissous. Ce n'est pas la première fois qu'un parti est dissous au Sénégal. Ensuite, il y a les voies de recours. D'ailleurs, je pense qu'ils sont allés à la Cour suprême. C'est ça, un État de droit. En France aussi, on dissout des organisations. Comment voulez-vous qu'on accepte qu'un parti appelle tous les jours à la destruction de l'État et du pays ? Nous n'avons fait qu'appliquer la loi, dans toute sa rigueur.
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