"Nous sommes dans une continuité. Nous nous préparons depuis deux ans pour cette Coupe du monde. Le Championnat d'Afrique U20 n'est qu'une étape par rapport à l'objectif final qui était de participer à ce mondial. Depuis lors, l'équipe ne s'est jamais arrêtée. Quinze jours après le CHAN, l'équipe était en regroupement à Toubab Dialaw. Nous avions envisagé après la suggestion de notre médecin de voir la possibilité de nous préparer dans un pays qui a un climat proche de celui de la Nouvelle Zélande. Car en ce moment, il fera très froid là-bas. Malheureusement, face à la réalité, nous sommes tenus de nous rabattre sur les possibilités locales. Aujourd'hui, pour le football, le Sénégal offre les cadres pour bien se préparer à Toubab Dialaw. Ce qui a plombé la préparation en Autriche, c'est que les visas, on ne peut pas les avoir au Sénégal ni dans la sous région. Il faut aller jusqu'en Afrique du Sud. Nous avons envoyé tous les passeports en Afrique du Sud et il y avait des joueurs qui étaient à ce moment en Europe dans leurs clubs, donc nous ne pouvions pas avoir matériellement leurs passeports. En plus, il nous fallait avoir le visa pour l'Autriche et la compagnie avec laquelle nous travaillons nous a informés qu'il fallait aussi avoir le visa de transit pour l'Australie. Et à l'impossible nul n'est tenu. A partir de la semaine dernière, nous avons décidé, avec l'autorisation du ministre des Sports, de rester au Sénégal et de nous rendre plus tôt, samedi, en Nouvelle-Zélande, au lieu du 27 mai comme prévu."
RÉUSSIR POUR INSCRIRE LA COMPÉTITION DANS LA CONTINUITÉ
APS - Le meeting de Dakar, qui a été remis en selle cette année après son annulation en 2015 à cause de la réfection du stade Léopold Sédar Senghor, jouera gros samedi pour ce retour au premier plan, selon des observateurs.
"C'est courageux de la part de la Fédération sénégalaise d'athlétisme (FSA) d'avoir réussi à faire revenir le meeting cette année mais il reste à réussir cette édition pour crédibiliser la manifestation", a expliqué Aziz Daouda, le directeur technique de la Confédération africaine d'athlétisme (CAA).
Le technicien marocain a rappelé que l'annulation de la précédente avait "fortement compromis" la crédibilité de l'événement qui en 2012, avait été reporté pour des raisons liées officiellement aux inondations. "Pour cette édition, il faudrait se battre pour réussir la manifestation sur tous les plans", a dit l'ancien DTN de l'athlétisme marocain qui a travaillé à la mise en place du plateau.
Sur le moyen et long terme, il faudrait réussir un bon meeting pour que les athlètes continuent à venir à cette manifestation qui se déroule dans de bonnes conditions climatiques, a souligné le technicien marocain.
"Beaucoup de choses vont se passer"
Momar Mbaye, le président de la Fédération sénégalaise d'athlétisme (FSA), s'est félicité de la présence de l'expert marocain pour booster le meeting de Dakar. "Beaucoup de choses vont se passer après cette édition d'où la nécessité de la réussir", a-t-il dit, se réjouissant du plateau qui sera présent au stade Léopold Sédar Senghor. "Si le meeting a pris son envol et est intégré dans le World Challenge, c'est surtout parce qu'on réussissait à faire venir du grand monde", a rappelé le président de la FSA.
Il fait référence à l'édition de 2005 qui avait coïncidé avec la tenue à Dakar d'une réunion du Conseil de l'IAAF (Fédération internationale d'athlétisme). "Les pontes de l'IAAF avaient été émerveillés de voir autant de monde à ce meeting", s'est souvenu le patron de l'athlétisme.
Selon lui, avec cette réussite, les responsables de l'IAAF ont décidé que la ville de Dakar doit abriter un meeting du World Challenge. "Après de bons et loyaux services, Lamine Diack mérite la meilleure des sorties dans son pays", a ajouté le président de la FSA, avant de souligner que le meeting de Dakar doit survivre à la présence du Sénégal à la tête de l'instance dirigeante de l'athlétisme mondial.
Il s'agit du "meilleur hommage" que le Sénégal peut rendre à son fils qui doit quitter la présidence de l'IAAF en août prochain, a insisté le président de la FSA qui s'attend à une affluence monstre pour cette édition perçue comme celle de la relance et du renouveau. "Cela d'autant plus que l'objectif visé est de faire grandir cet événement", a-t-il dit.
On peut anticiper le moment d'émotion et penser à ce que les 100 000 spectateurs du Camp Nou vont, demain, réserver à Xavi. On s'imagine ce peuple du Barça debout pour la gloire de Xavier Hernández i Creus. Quand il sortira du tunnel, petit bout d'homme, la clameur montera pour l'ensevelir. Le Barça fêtera son titre de champion acquis dimanche dernier chez l'Atletico Madrid. Par la même occasion, il va célébrer le joueur le plus titré de l'histoire du club, un faiseur d'Histoire tout simplement.
Cette Histoire, Xavi l'a écrite tant de fois et si bien que ses 23 titres amassés en dix-sept ans de carrière professionnelle paraissent irréels.
A l'ombre de Messi, on ne devine pas l'œuvre grandiose qui est sienne. On ne peut dire que sans lui l'Autre ne serait pas devenu ce qu'il est, mais se retrouver trois fois deuxième du Ballon d'Or, derrière l'Argentin (2009, 2010, 2011) lui ouvre les portiques de la grâce. De grands joueurs de football l'ont plébiscité pour le sacre en 2011, Messi était insatiable.
Il arrive ainsi à des footballeurs de mal tomber. De débarquer dans un royaume ou le souverain, par sa gloire, éteint toutes les autres grandeurs. Mais la Fédération internationale des statistiques et de l'histoire du football a "osé" en faire le meilleur constructeur du jeu au monde en 2011. Il devançait Messi et Ronaldo.
En fait, Xavi est irréel. Le moteur du Barça, petit bout de chair dans cette colonie des 1,60 m, n'a jamais été autre chose que ce qu'il a toujours été. Un footballeur. Quitter ce qui a fait sa vie à 35 ans (il rejoint Al Saad, dans les Emirats arabes unis), après avoir régulé le Barça et ordonné le jeu de la Roja espagnole (championne du monde et deux fois championne d'Europe), est une belle échéance pour un footballeur.
On ne se doutait pas qu'il avait un tel âge. La mise en ordre du jeu barcelonais le portait à l'apothéose, gambadant sur la pelouse comme un gamin de 18 ans.
Xavi, c'est la Masia. Le pur produit barcelonais, materné, entretenu et projeté en pleine lumière à la fin des années 2000, quand il remportait sa première Ligue des champions avec Guardiola sur le banc du Barça. Possession de balle inestimable, dédoublement impressionnant, répétition des passes à l'envi et cette machine qui déroule, récitant son football comme tombé d'une autre planète, donnant envie d'entrer dans la danse pour accomplir l'acte ultime du but.
On a ainsi marqué des dizaines de fois pour le Barça, entrevoyant que ce qui se construisait ne pouvait être autre chose qu'une offrande pour les filets. Et Xavi manœuvrait, orchestrait, dansait comme un funambule fait pour servir l'avant-dernière ou l'avant avant-dernière passe…
Xavi doit être un homme heureux. Avoir fait partie de ce Barça source de tant de bonheur à travers le monde est un délice. On se demande parfois s'ils ont conscience de la grandeur de leur accomplissement, tant tout ce qui ahurit et éblouit paraît si simple sous leurs pieds de rêve.
Pour participer à cette féerie, Xavi est descendu quelque 760 fois sur la pelouse et s'en va après 17 années de carrière professionnelle.
Quand il est arrivé dans la "maison", en 1991, son compteur de vie était à onze ans. Le Barça n'avait pas la magnificence qui est sienne aujourd'hui, mais le groupe était riche de Koeman, Bakero, Laudrup, Stoitchkov, Pep Guardiola, etc.
Guardialo est revenu en 2008 pour conduire les destinées que Luis Enrique poursuit aujourd'hui. Des hommes que Xavi a connus au Barça. Le premier était dans la Dream Team avec Cruijff, le second fut son partenaire. C'est cette continuité qui fait du Barça une entité dont on porte les gênes pour entrer dans son histoire.
Xavi, on le pensait éternel. Lui aussi devait se croire, tout de peau vêtu, fait pour le cuir. Jusqu'à ce que les Pays-Bas (6-1) et le Chili (2-0) lui imposent des limites avec l'Espagne au dernier Mondial. Il avait 34 ans et sentait le monde lui échapper. Ce fut sa première retraite après 133 sélections. Demain sonne l'ultime révérence dans une carrière qu'il a consacrée au Barça, pour le meilleur qui cache tous les pires.
On ne l'a pas beaucoup vu cette année et il a senti qu'il devait partir. Al Saad l'accueille. Cela fera un superbe retraité pour ce club émirati. Un ambassadeur de charme pour quelques reportages sur quelques grandes chaines internationales. Ensuite, Xavi n'est fait pour rien d'autre que de devenir entraineur. Du Barça sans doute.
Samedi dernier, c'était Gerrard de Liverpool, demain samedi, c'est Xavi qui tourne la page. On ne sait qui viendra (peut-être Buffon de la Juve ?), mais cette année 2015 est déjà en elle-même celle de toutes les déchirures.
SOUTHAMPTON - LES OSCARS : Sadio Mané absent des meilleurs de la saison
En cette fin de saison en Europe, les équipes organisent des fêtes de fin d’année pour récompenser leurs meilleurs joueurs. A Southampton, les trophées ont été distribués et Sadio Mané a tout simplement été oublié, malgré ses performances de la saison. Une injustice qui en dit long sur l’objectivityé des votes.
A la volée : Année de déchirures
On peut anticiper le moment d’émotion et penser à ce que les 100 000 spectateurs du Camp Nou vont, demain, réserver à Xavi. On s’imagine ce peuple du Barça debout pour la gloire de Xavier Hernández i Creus. Quand il sortira du tunnel, petit bout d’homme, la clameur montera pour l’ensevelir. Le Barça fêtera son titre de champion acquis dimanche dernier chez l’Atletico Madrid. Par la même occasion, il va célébrer le joueur le plus titré de l’histoire du club, un faiseur d’Histoire tout simplement.
DRAPEAU DU CHEF DE L’ETAT : Fatick tient à son «bien»
Hier, le stade Massène Sène de Fatick a vibré au rythme de la lutte simple, pour les besoins de la 16e édition du Drapeau du Chef de l’Etat. Une première journée en toute sobriété, malgré les envolées lyriques de Mayé Ndép et ses troupes
TENSION A NEWCASTLE : Papiss Cissé s’est battu avec un coéquipier
Accusé de s’être battu avec son coéquipier Daryl Janmaat, Papiss Cissé s’inscrit en faux face aux rumeurs faisant état de tels incidents lors d’une séance d’entrainement à Newcastle. Via un porte-parole du club qui s’est fendu d’un communiqué, Cissé et Janmaat considèrent ces accusations comme «de simples rumeurs». Seulement, le club a tenu a précisé que les deux joueurs ont «eu un désagrément lors de la saison. Un désagrément qu’on voit souvent dans un terrain d’entrainement».
MONDIAL DES U20 : Khadime Ndiaye, la surprise de Koto
Et de dire pour Khadime Ndiaye : «Il joue régulièrement avec son club. C’est bien pour nous de l’avoir dans le groupe, surtout qu’on va rencontrer le Portugal.» Né le 27 mars 1996 au Sénégal, Khadime est pensionnaire de l’Académie du Sporting de Lisbonne.
MONDIAL DE TAEKWONDO : Gorom Karé : «Le Sénégal est aujourd’hui dépassé»
Dans la foulée du Mondial francophone, le taekwondo sénégalais a chuté aux Championnats du monde disputés en Russie du 12 au 16 mai. Gorom Karé, le seul des 5 «Lions», avec Moustapha Kama, à avoir remporté un combat, tire la sonnette d’alarme
Gala de lutte simple à Dioffior du samedi au lundi
Le quartier de Darou Manguier de Dioffior organise un gala de lutte simple du samedi au lundi dont la mise est de 900.000 FCFA. L’animation sera assurée par Mor ngom et Mbayang Loum. Il faut s’attendre à un monde fou puisque beaucoup de lutteurs de la place sont attendus pour participer à ce grand gala de lutte simple.
Malaw Séras file vers une saison blanche
Battu lors de son dernier combat par Diène Diouf Kaïré, Malaw Séras de l’écurie Pikine Falaye Baldé peine à trouver un adversaire alors que la saison de lutte avec frappe tire inexorablement vers la fin. Pourtant il est fortement attendu par ses nombreux fans pour se rectifier de ses deux revers contre Siteu et Diène Kaïré. S’il ne trouve pas un adversaire, il risque de concéder une saison blanche.
Domou Dangou veut Feugueleu
Suite à l’annonce de la blessure de Nguer, Domou Dangou n’a pas tardé à se manifester. Le pensionnaire de l’écurie Songane Guèye a émis le souhait de remplacer le poulain d’Eumeu Sène pour croiser le protégé de Max Mbargane. Mieux, il estime avoir des comptes à solder avec le coéquipier de Ness qu’il traite de poltron. Alors, le promoteur Bamba Faye est interpelé par ce défi.
Pape Ndoye au chevet de Lac Rose
Rien n’est plus fort que les liens du sang. Et Pape Ndoye a prouvé leur caractère sacré. Pour la préparation de Lac Rose, son jeune frère, également lutteur, se donne corps et âme pour le soutenir en direction de son duel avec Sa Thiès. Lors de la séance d’entraînement que nous assistée à Fass, il se transcendait pour assister constamment son aîné. Il lui aidait notamment lors des contacts, lui prêtait main forte en cas de fatigue. Mieux encore, c’est lui qui lui sert de chauffeur.
Bara Ndiaye également
Même s’il n’a pas encore un autre combat en vue, Bara Ndiaye est bien présent aux côtés de Lac Rose. L orsque Tapha Guèye a demandé aux lutteurs qui ont un combat de se mettre de côté, il n’a pas hésité à se ranger derrière son coéquipier et ami. Une manière pour l’accompagner dans sa préparation et de donner encore plus de force à Lac Rose.
Zé prépare son combat
Au lendemain du duel Gouye-Gui / Zoss, Sunu Lamb s’est rendu chez le vainqueur. Sur place, on a noté l’absence de Zé, bras droit du roi du Simpi. À son retour, il nous a confié qu’il était parti s’entraîner pour préparer son combat contre Double Moteur prévu le 31 mai à l’occasion du choc des guerriers qui opposera Lac Rose à Sa Thiès.
Bamba Faye prend son petit déjeuner au CNG
Le promoteur Bamba Faye n’a peut-être pas eu le temps de prendre son petit déjeuner chez lui. Rencontré avant-hier au CNG, le patron de MGC était tranquillement assis sur une chaise en train de déguster du café au lait bien chaud accompagné d’une miche de pain. Bon appétit Bamba !
Le g rand retour de Balla Diouf
Absent depuis sa défaite contre Modou Anta, le 3 juin 2012 au stadium Iba Mar Diop, Balla Diouf de Yoff effectuera son grand retour dans l’arène. Ce sera le samedi 24 juillet prochain pour faire face à Konia de l’école de lutte Habib Ndiaye. Un retour à hauts risques puisqu’il devra gagner pour effacer ses 6 défaites consécutives contre : Zoss (8 avril 2007), Issa Pouye (6 avril 2008), Modou Lô (8 février 2009), Ama Baldé (8 janvier 2011), Tidiane Faye (8 janvier 2012) et Modou Anta (3 juin 2012).
Papa Sow a repris ses entraînements
Papa Sow a tourné la page de sa défaite contre Lac de Guiers 2, le 12 avril dernier au stade Demba Diop. Le Puma de l’écurie Fass a repris les entraînements depuis quelques semaines avec son coach au stade Léopold Sédar Senghor. Les prochains adversaires de Papa Sow sont donc prévenus.
TANG XOL : Sadio afer bi yaw la, ken du ko miim !
Sama gaa yi namoon naa leen lool way. Mercredi passé, il n’y avait pas de Tang Xol, parce que jeudi était férié : donc pas de journal. Le chef a essayé de me dribbler pour que Tang Xol sorte vendredi à la place de A la volée, mais j’ai feinté comme je le faisais avec brio sur les tatamis de karaté. En plus, le dernier Tang Xol paru dans le journal portait la signature de Tidiane Kassé sur la Une, alors que mon nom figurait à la page 3. Des amis m’ont appelé pour me dire que j’avais fui parce que le sujet était sensible. Non, loin de là, c’était juste une erreur technique.
ROUMANIE-SENEGAL : 73-68 : Les «Lionnes» tombent après prolongations
Les «Lionnes» ont perdu, hier, leur deuxième match-test contre les Roumaines (73-68. Battues la veille (68-54) dans les derniers instants de la partie, les partenaires d’Astou Traoré ont cette fois flanché après une prolongation de 2 x 5 minutes. Comme pour dire que l’équipe coachée par Moustapha Gaye n’a pas été ridicule.
ALY DIOUF : La machine à buts de la Linguère
Il n’est pas courant de voir un milieu de terrain se mêler à la course au titre de meilleur buteur dans un championnat. Mais Mamadou Aly Diouf, auteur de 7 buts avec la Linguère, déjoue les règles préétablies
PAPE SANE - MEILLEUR JOUEUR DU NATIONAL : «Je jouerai en Ligue 2 la saison prochaine»
Elu Meilleur joueur de la 3e division avec Bourg Péronnas, Pape Sané a été époustouflant dans cette division. Il pourrait même se retrouver Meilleur buteur en fin de parcours. Après des débuts difficiles avec Niort et Colmar, le meilleur buteur du championnat sénégalais en 2012 voit ainsi les portes s’ouvrir pour lui. Il compte ne pas brûler les étapes, mais a le choix de ses ambitions.
MODOU LO - B52 : Le promoteur arrive aujourd’hui pour décanter la situation
Prévu le 25 juillet 2015, le combat Modou lô-Bombardier semble buter sur des blocages au niveau de la régulation. surtout du côté de Mbour qui donne déjà un ultimatum jusqu’au 5 juin pour que le promoteur régularise le choc tant attendu
Yékini à Iba Mar le 12 juin
Absent des lieux depuis un bon moment, Yékini va effectuer son retour à Iba Mar Diop le vendredi 12 juin 2015. Ce sera à l’occasion du gala de lutte simple qu’organise Pape Dia, comptant pour la 5ème édition Sargal Abdoulaye Diaw, et dont la mise est de deux millions.
Pentecôte à Adrien Senghor
Le lundi 25 mai correspondant à la fête de Pentecôte, l’arène Adrien Senghor va vibrer sous les couleurs de Sarr Productions qui organise un gala de lutte avec une mise de 600.000 FCFA. À l’animation, il y aura Faya Mbodj et Babou Faye.
Le Fatéliku de Bécaye Mbaye
Le présentateur de l’émission Bantamba, Bécaye Mbaye, a revisité les archives de l’arène. Son émission du mardi 19 mai dernier était consacrée aux défunts acteurs de la lutte : feux Jacques Diène, Yéri Diakhaté, entre autres. Les téléspectateurs ont eu droit aux belles affiches qui ont marqué la lutte avec frappe, entre autres Yékini / Baboye, Moustapha Guèye / Baboye, Yékini / Moustapha Guèye, Zoss / Pape Sène…
Le matériel du CNG pour Fatick
Tout est fin prêt pour une bonne organisation du Drapeau du chef de l’État à Fatick (21-23 mai). Rien n’a été laissé au hasard : imprimante, drapelets pour les juges, licences entre autres m atériels qui doivent être acheminés à Fatick.
Balla Gaye 2 se barricade
Les deux dernières défaites de Balla Gaye 2 contre Bombardier et Eumeu Sène ont des incidences négatives sur la carrière du fils de Double Less. Il a, en effet, perdu sa couronne de roi des arènes et est discrédité un peu partout. Aussi, Balla Gaye 2 s’est barricadé. Peut-être qu’il se terre afin de peaufiner ses armes pour un retour en force.
Cheikh Tidiane Ndiaye, invité d’honneur du CNG à Fatick
Le bureau du CNG s’est réuni mardi passé. Selon des sources concordantes, l’équipe du Dr Alioune Sarr a décidé de faire de Cheikh Tidiane Ndiaye son invité d’honneur. M. Ndiaye était le 1er vice-président chargé de la lutte avec frappe (1994 à 2012) avant de démissionner pour convenances personnelles. L’ancien collaborateur de Dr Sarr veut se présenter le samedi, dernier jour de l’événement.
Serigne Ndiaye 2 / Bidew ficelé
Le promoteur Mamadou Diakhaté a ficelé le combat qui va mettre aux prises, le 13 juin 20 15, Serigne Ndiaye 2 (Fass) et Bidew (Fekke Maci Boolé). Cet affrontement ne sera pas une partie de plaisir pour les deux protagonistes. Ils sont coriaces et physiquement au top.
Pape Ndoye / Ronaldinho réclamé
Du côté de Colobane la semaine dernière, Sunu Lamb a été interpellé par quelques amateurs. Ils nous ont exprimé leur souhait de voir ficelé le combat entre Pape Ndoye (Fass) et Ronaldinho (Gouye Mouride). La balle est dans le camp des deux lutteurs et des promoteurs.
Matar Bâ rend visite au CNG
«Nous avons reçu hier la visite surprise de notre ministre de tutelle, le ministre des Sports, monsieur Matar Bâ, venu s’enquérir de l’état d’avancement des 16èmes championnats du Sénégal de lutte traditionnelle dotés du Drapeau du chef de l’État», lit-on sur le site du CNG.
"LE BASKET MÉRITE UN CONSENSUS AUTOUR D'UNE PERSONNE"
ME BABACAR NDIAYE, CANDIDAT À LA PRESIDENCE DE LA FSBB
Le futur président de la Fédération sénégalaise de basket-ball (Fsbb) sera connu en juin prochain. Candidat à ce poste, Me Babacar Ndiaye a initié une tournée nationale pour exposer son projet. Avec l'intime conviction que "le basket mérite un consensus autour d'une personne". Entretien !
M. Le président, quel est le bilan d'étape de la tournée nationale en prélude de l'élection de la Fédé de basket ?
Le bilan est largement positif, on peut le dire. Comme vous le savez, j'ai été investi par le Cadre de concertation des clubs de façon consensuelle. Ce qui ne signifie pas l'unanimité. Mais dans leur écrasante majorité, les clubs de basket avaient porté leur choix sur ma personne.
A la suite de cette décision, je me suis rendu à l'intérieur du pays. Parce que le basket ne se limite pas seulement à Dakar et dans l'axe Nord. J'ai fait la visite des équipes de Thiès qui m'ont, presque, à l'unanimité, apporté leur soutien. Ensuite, je me suis rendu à Kaolack pour rencontrer les équipes de Kaolack, Kaffrine, Nioro et Gossas. On a bien discuté des problèmes du basket. Et les dirigeants étaient même agréablement surpris par ma visite. Ils disent que c'est la première fois qu'ils voient un responsable du basket se déplacer à l'intérieur du Sénégal pour s'enquérir de leur situation. C'était donc une première.
La semaine dernière, j'étais à Saint-Louis. Dans l'ensemble, c'est très positif. J'ai rencontré les clubs de D2 rétrogradés en troisième division. Ils m'ont tous renouvelé leur soutien. Je suis en train de faire le tour des clubs de Dakar. Pour leur écrasante majorité, je pense que j'ai le soutien total et absolu de tous les clubs de basket.
Qu'est-ce qui s'est passé, pour que dans l'axe Nord, les tendances ne vous soient pas favorables ?
Oui, effectivement, à Louga, Louga Bc a porté son choix sur une autre personne. Je n'ai pas voulu perturber ni créer une division. Moi, mon rôle c'est de rassembler tout le monde. J'ai su, la veille de mon départ pour aller à Saint-Louis, que l'équipe de Louga avait fait son choix pour quelqu'un d'autre. Alors, je n'ai pas voulu aller là-bas pour éviter une crise au sein du club. J'ai appelé le président pour lui dire que je prenais acte de son choix que je respecte. Et que par conséquent, en tant que fédérateur, je n'ai pas jugé nécessaire de m'y rendre pour essayer de créer une division. Parce que ça ne sert à rien d'accéder à la présidence de la fédération par la division.
C'est mon jeune frère, je respecte le choix qui a été fait. C'est le choix d'une équipe. Il y a 21 équipes de National 1 au Sénégal. Et seul Louga a fait le choix de soutenir un autre candidat. Donc ça ne pose pas problème, dès l'instant j'ai le soutien de la presque totalité des autres équipes.
Quel est le programme de campagne pour faire adhérer à votre projet fédéral ?
Le premier point, c'est la gestion du basket par les clubs. Comme je l'ai dit, je ne suis pas un messie. Je n'ai pas la prétention de rester là-bas et de dire que ce sont les personnes, la famille de basket qui est venue me chercher (…) Celui qui veut le basket doit prendre ses propres initiatives. Donc, dans cette gestion du basket, je serai le coordonnateur d'une équipe qui sera composée de l'ensemble des clubs.
Le deuxième point est aussi important. C'est la formation des catégories de jeunes. C'est un problème réel du basket. Sincèrement, il faut cette formation. Sinon, c'est le basket qui va mourir. A ce niveau-là, j'ai même pensé à la création d'une compétition inter-régionale. A Dakar, les petites catégories sont bien gérées par la Ligue. Dans les autres régions, il y en a qui n'ont pas suffisamment d'équipes pour organiser une compétition locale.
On a donc la possibilité de créer des zones. Par exemple à la zone centre, les équipes de Kaolack, Kaffrine, Fatick peuvent se rencontrer dans une compétition zonale. Et l'équipe classée première va venir à Dakar pour un tournoi national de la catégorie. Ce sera valable pour le Nord, le Sud afin de détecter de jeunes talents pour ensuite les encadrer.
Donc en plus de la formation des jeunes, il y aura la formation des encadreurs. Parce qu'à l'intérieur du pays, il y a des gens qui se battent pour encadrer les jeunes, du matin au soir, mais qui ne sont pas très bien formés. Nous avons la possibilité et l'obligation même – c'est une prérogative de la fédération – d'organiser des sessions de formation pour ces encadreurs. Mais je pense qu'il y a même une possibilité de créer une Commission de formation itinérante qui va parcourir l'intérieur du pays pour assurer des formations. Ça va nous permettre d'avoir de bons formateurs. Parce qu'on ne peut pas avoir de bons jeunes, s'il n'y a pas de bons formateurs.
Le troisième point concerne le développement du basket sur toute l'étendue du territoire national. Parce que la pratique ne se limite pas à Dakar et dans l'axe Nord. Il faut le développer à Oussouye, à Matam, à Kédougou, à Bakel, à Kolda et d'autres localités. Moi je ne serai pas un président de fédération qui va rester seulement à Dakar. J'ai pris la peine d'aller à l'intérieur du pays pour m'enquérir de la situation, avant les élections. Et après les élections, je parcourrais également ces localités pour que le basket se développe dans l'intérieur du pays.
Et la participation aux compétitions internationales ?
J'allais en venir. C'est le quatrième point du programme. Car, nous ambitionnons de permettre aux clubs de retrouver les compétitions africaines. A ce niveau là, nous savons que l'absence des clubs s'explique par des problèmes financiers. Nous pensons qu'aujourd'hui, il y a une possibilité que les frais de transport des clubs sénégalais engagés en compétitions internationales soient pris en charge par l'Etat. Comme ça se fait au football. Nous estimons que, dans les saisons à venir, on peut bien retourner en Afrique.
A la limite même, à moins et long terme, créer un basket professionnel. Aujourd'hui, pour certains clubs, le basket est professionnel. Moi je suis le président du basket du Duc. Je sais que je paie des salaires supérieurs à ceux versés aux footballeurs du Duc. C'est valable pour d'autres équipes. Presque la totalité des équipes qui jouent les premiers rôles paient des salaires. Je pense que si on réfléchit ensemble, dans un futur très proche, on peut essayer de trouver comment formaliser, comme ça s'est fait au niveau du football.
Voici les grands axes de mon programme qui concerne également - on ne peut pas l'ignorer - la gestion des équipes nationales. Je suis un homme ambitieux, il nous faut nécessairement retrouver le titre continental. Si nous sommes élus, s'il plaît à Dieu, nous ferons tout pour que le Sénégal reconquière le trophée africain. J'ai l'intime conviction que les moyens et les capacités de retrouver cette première place du podium existent.
Vous prônez l'esprit de fédérateur alors que Mathieu Faye, membre du Cadre est aussi candidat pour le poste que vous briguez ?
Effectivement, le président Mathieu Faye a déclaré sa candidature. C'est une candidature qui me paraît légitime en tant que président de club. Donc on ne peut pas le lui reprocher. J'ai été content de l'entendre dire qu'il n'a ni ambition ni objectif de créer une division au sein du Cadre de concertation.
Nous sommes en train de discuter et, peut-être, dans les prochains jours, une solution sera définitivement trouvée. En tout état de cause, je suis un fédérateur, le basket mérite un consensus autour d'une personne. Nous n'avons pas le droit de continuer à nous chamailler. C'est ça qui a été à l'origine de la situation que nous vivons aujourd'hui. Je lance un appel à tout le monde pour fédérer au lieu de diviser. Ce n'est pas en divisant les clubs qu'on va réussir à fédérer le mouvement associatif autour de sa personne.
Je pense qu'à ce niveau, il n'y a pas de problème majeur. Le président Mathieu est libre de présenter sa candidature, s'il n'y a pas d'accord trouvé entre nous. Mais je reste persuadé qu'une solution sera trouvée dans ce sens.
COMPETITIONS EUROPEENNES : Les «Lions» au pied du mur
En cette fin de saison, la plupart des championnats européens livrent les derniers duels qui offrent les tickets européens. Pour la majeure partie des «Lions», c’est moins un rêve qu’une chimère. Waa Sports fait le point tous les mardis pour jauger les chances
TRANSVERSALE : Plan anti : Quelles vérités ?
«Un super Messi pétrifie le Bayern en 4 minutes», ou «Messi anéanti le Bayern au moment où on s’y attendait le moins», ou encore «Où était le plan anti Messi annoncé avec fracas», etc. Les tabloïds sportifs ont explosé en titres mirobolants ce matin de jeudi 7 mai, lendemain de ce Barça-Bayern, en demi-finales de la Ligue européenne des champions. Le Bayern, estampillé comme une des meilleures équipes du monde, gardien de l’ossature des champions du monde allemands et surtout arborant, dit-on, le meilleur coach du monde - en tout cas le plus cher - a simplement été balayé dans un dernier quart d’heure de folie, sous la baguette du phénomène Messi.
DAME NDOYE POURSUIVI PAR UNE AFFAIRE DE PATERNITE : La mère de l’enfant lui réclame 340 millions de francs
Il a assez de soucis en tête avec la descente de Hull City en Championship. Mais en voilà une histoire qui n’est pas négligée par Dame Ndoye Il n’a sans doute pas voulu que l’affaire soit portée sur la place publique, mais Dame Ndoye est rattrapé par la patrouille. En plein soleil de Premier League avec Hull City, son nom rebondit hors des pelouses. En effet, Dame Ndoye aurait un fils qui s’appelle Fortune. Aujourd’hui âgé de 6 ans, l’enfant est le fruit d’une idylle entre le Sénégalais et un ex-top model du nom de Sarah Okafor, d’origine nigériane. Une affaire qui a rebondi dans la presse anglaise du weekend et pourrait lui pourrir la vie.
LIGUE 1 ORANGE - AS PIKINE : Les 4 interpellés devant le procureur
Ayant été pris à partie par les forces de l’ordre, après la match perdu contre Guédiawaye Fc (1-0, 20e journée) avant-hier dimanche, les joueurs de l’As Pikine n’ont dû leur salut qu’au concours de leurs dirigeants venus les extirper des griffes des policiers.
BASKET : Les «Lionnes» se mettent à l’essai face à la Roumanie
Les «Lionnes» seront au complet cet après-midi (16 h) sur le parquet du Bucarest Basketball Arena, lors de leur opposition amicale face à la Roumanie. Le groupe, qui a quitté Dakar avec 13 éléments, a accueilli Mame Mary Sy, Astou Traoré et la binationale Magali Mendy, qui va honorer sa première sélection avec le Sénégal.
LUTTE - ILS GENENT LEURS SUIVANTS : Ces ténors trop présents...
Entre le lieutenant est le chef de file, la relation n’est pas toujours profitable à tous les deux. Nombreux sont les seconds couteaux qui auraient pu régner dans l’arène, s’ils n’étaient pas barrés par leur mentor. N’empêche, il y a un aspect positif profitable aux lieutenants. Chaque écurie ayant en son sein un leader et des seconds couteaux, cette situation peut être parfois source de difficultés pour ces derniers. Surtout pour les lieutenants qui voient souvent leur ascension plombée. Une configuration qui intrigue au point de faire penser que souvent, les lieutenants ne font pas leur trou, car arrivant rarement à doubler le chef de file. De quoi les freiner dans leur progression dans l’arène.
Le CNG a reçu la contribution d’Ablaye Ndour
Directeur financier de la Présidence, Ablaye Ndour a donné sa contribution au CNG dans le cadre de la préparation de la 16ème édition du Drapeau du chef de l’État. Peut-être que les autres cadres de la région vont l’imiter.
15 boeufs et 100.000 à Gandiaye
La section sans frappe de l’Amalda organise un gala de lutte simple les samedi 6 et dimanche 7 juin 2015 à Gandiaye. Comme mise, il y aura 15 boeufs et une enveloppe de 100.000 FCFA. L’animation sera assurée par Momo Ngom (fils de Babou Ngom) et Mbayang Loum.
500.000 FCFA à Adrien Senghor
Le 31 mai 2015 à l’arène Adrien Senghor, le photographe et promoteur d’un après-midi, Diomaye, organise un gala de lutte traditionnelle dont la mise est de 500.000 FCFA. Le tambour-major Omar Thiam va effectuer son retour aux côtés de Mbayang Loum pour une animation inédite.
Jet-Lee et son tiaya
Décidément, chaque lutteur a sa façon de s’habiller pour venir au stade. L’accoutrement de Jet-Lee en est une parfaite illustration. Face à Laye Pythagore, il était tout simplement en tiaya (pantalon bouffant) de couleur verte. A-t-il été influencé par son coéquipier maure, Narou Sogas ?
Sidy Diagne supervise les installations
L’un des patrons de la RDV, Sidy Diagne, était très tôt au stade Demba Diop pour superviser les derniers réglages avant l’arrivée des premiers lutteurs. C’était le 10 mai dernier, lors de la 2ème journée du tournoi TNT.
Les fans de Valdo se mobilisent
Les supporters de Valdo basés à Guinaw Rails se mobilisent pour le combat de leur idole du lundi 25 mai 2015 contre Pape Mbaye 2 de l’école de lutte Mor Fadam. Pour cette affiche ô combien importante pour le pensionnaire de Boul Faalé, ses fans ont sonné la grosse mobilisation. Beaucoup de tee-shirts ont été confectionnés à l’effigie du lutteur et des cars sont prévus pour le déplacement au stade.
Tyson toujours absent à Pikine
Depuis sa défaite du dimanche 3 mai 2015 contre Gris Bordeaux, Tyson, le leader de la génération Boul Faalé, est toujours absent à Pikine. Pourtant, il y est attendu pour communier avec ses fans, voire s’excuser. Peutêtre qu’il n’a pas encore digéré ce revers qui l’a enfoncé davantage.
Lac Rose très taquin
Même en pleine séance d’entraînement, Lac Rose a du temps pour taquiner. De Thierno Dramé à Moustapha Guèye en passant par Cheikh Ndiaye, il n’hésite pas à raconter une anecdote ou faire un geste qui fait rire aux éclats. Un vrai humoriste qui installe un climat très détendu dans le camp d’entraînement.
Les ténors absents
Présent à l’entraînement de Fass, on n’a pu constater que les ténors de l’écurie étaient tous absents à l’entraînement. Il n’y avait ni Papa Sow, ni Forza, ni Bruce Lee encore moins Gris Bordeaux. Lac Rose était obligé de faire avec les moyens du bord. Il n’avait que Bara Ndiaye, Pape Ndoye et autres pour l’épauler lors des contacts.