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23 avril 2025
Sports
HUIT ATHLETES SENEGALAIS EN PISTE POUR PARIS
Huit athlètes issus de six disciplines représenteront le Sénégal à ces rendez- majeurs du sport mondial qui auront lieu du 26 juillet au 11 août prochain et du 28 août au 8 septembre pour les Jeux paralympiques
A moins de deux mois, le compte à rebours est déclenché pour les athlètes sénégalais en direction des JO Paris 2024 qui se dérouleront du 26 juillet au 11 août prochain. Huit athlètes sont dans la dernière ligne droite des jeux olympiques qui auront lieu du 26 juillet au 11 août prochain et du 28 août au 8 septembre pour les Jeux paralympiques. Huis athlètes issus de six disciplines seront sur la ligne de départ lors de ces joutes mondiales.
Huit athlètes issus de six disciplines représenteront le Sénégal à ces rendez- majeurs du sport mondial qui auront lieu du 26 juillet au 11 août prochain et du 28 août au 8 septembre pour les Jeux paralympiques. Parmi ces sportifs d’élite seront issus de diverses disciplines telles que l’athlétisme, le canoë, le judo, l’escrime et le taekwondo. Des joutes où le Sénégal ambitionne d’ajouter une deuxième médaille après celle décrochée en 1988 par l’athlète Amadou Dia Ba des très lointains JO de Séoul (Corée du Sud).
LOUIS FRANÇOIS MENDY, LE GRAND DEFI DU NUMERO 1 AFRICAIN
Pour ces olympiades de Paris, l’athlétisme sénégalais portera encore ses grands espoirs sur Louis François Mendy, premier Sénégalais à se qualifier pour Paris2024. Les performances réalisées sur les pistes africaines et mondiales plaident pour lui. Le spécialiste du 110m haies a réussi à atteindre les minimas pour les JO en signant un temps de 13 secondes, 18 centièmes à l’occasion du meeting international Troyes en France. En battre le record du Sénégal et africain sur cette spécialité du 110m haies, l’athlète de 24 ans a mis fin à une longue période, une dizaine d’années, où l’athlétisme sénégalais avait toujours profité d’un wild Card ou invitation pour une participation aux derniers Jeux Olympiques. Malgré ces atouts, qui lui permettent de croire légitimement à une place au plus haut sommet, Louis François Mendy n’aborde pas dans les conditions idoines cette dernière ligne droite qui mène aux rendez-vous de Paris. Sur cette lancée, le hurdler sénégalais a encore alerté en marge du meeting international de Dakar auquel il a participé ce samedi 26 dernier à l’annexe du stade Abdoulaye Wade avec en prime la première place dans sa course (13’’ 35). « Je ne vais pas me vanter. Je suis numéro 1 en Afrique et 12e mondial. Je suis capable d’être en finale des JO. Si j’ai une bonne préparation. Je demande à l’Etat de me permettre de faire des stages comme le font mes concurrents », a alerté le spécialiste du 400 mètres haies. «Cette situation ne motive pas mais comme le dit en sport, il faut un mental de fer. Avec ou sans l’Etat, je vais faire de mon mieux », a-t-il laissé entendre.
JUDO MBAGNICK NDIAYE, UNE DEUXIEME JO POUR LE POIDS LOURD SENEGALAIS
Triple champion d’Afrique (2019, 2020 et 2023), Mbagnick Ndiaye (-100 kg), sera encore le porte étendard du judo sénégalais aux JO. Le poids lourd a décroché sa qualification par le biais du quota continental. Le champion d’Afrique avait la possibilité d’offrir une autre place au Sénégal en se qualifiant sur la base du ranking mondial et le top 18 mondial au terme des championnats du monde à Abu Dhabi qui se sont déroulés du 19 au 24 mai dernier. Ce qui permettraient aux Sénégalais, les mieux classés, notamment Abderahmane Diao (-90 kg) et Ryan Dacosta (-90 kg) et Monica Sagna (+78) de s’inviter aux Jeux olympiques de Paris 2024. Mais il n’est pas parvenu, au sortir de ces Mondiaux, à libérer à un de ses compatriotes une place aux Jeux olympiques de Paris 2024. En attendant les Open de Casablanca au Maroc (1er-2 juin) et d’Abidjan en Côte d’Ivoire (8-9 juin), le vice-champion d’Afrique en titre des +100 kg sera le seul judoka sénégalais aux Jeux olympiques de Paris, comme c’était le cas aux JO 2016 à Rio (Brésil) et aux JO 2020 à Tokyo (Japon).
CANOË- KAYAK : YVES BOURHIS, COMBE SECK ET EDMOND SANKA, DANS LES BASSINS DE PARIS
Le canoë- Kayak sera la discipline la plus représentée aux JO de Paris. Pas moins de trois athlètes s’aligneront cet été dans les bassins parisiens. Chef de file de la discipline au Sénégal, Combé Seck a réussi en novembre dernier la performance de décrocher son ticket aux championnats d’Afrique. Yves Bourhis qui s’est illustré dans la discipline du Canoë Slalom aux îles de la réunion. Le canoéiste réussit un come-back quatre ans après avoir manqué les Jeux Olympiques de Tokyo où il a été contraint de déclarer forfait suite à une blessure lors du tournoi de qualification. A ces athlètes, il faut y ajouter la qualification aux Jeux paralympiques de Edmond Sanka, la qualification est passée par sa quatrième place à la dernière Coupe du monde de Para canoë de ce mois de mai en Hongrie. Il sera l’un des deux représentants du Sénégal aux Jeux paralympiques.
L’ESCRIMEUSE NDEYE BINTA DIONGUE BOCAR DIOP ET IDRISSA KEITA DU TAEKWONDO EN PISTE
Ndeye Binta Diongue a aussi hissé l’escrime sénégalaise en lui offrant son unique ticket pour les Jeux Olympiques de Paris 2024. C’était à l’issue des qualifications africaines à Alger en Algérie où elle a réalisé une grosse performance dans l’épreuve individuelle féminine et dominant tous ses matchs de poules. Elle a déjà participé aux Jeux olympiques d’été de 2020 à Tokyo, remportant le tournoi de qualification de la zone Afrique. C’était une réalisation historique, puisqu’il s’agissait de la première participation d’une escrimeuse sénégalaise aux Jeux Olympiques depuis seize ans. La liste des athlètes qualifiés est complétée par deux taekwondoïstes. Il s’agit de Bocar Diop Idrissa Keïta (para taekwondo) qui ont réussi à décrocher trois tickets pour les Jeux Olympiques Paris 2024 lors du tournoi de Qualification Olympique (TQO) de Taekwondo qui se déroule à Dakar du 9 au 11 février dernier. Bocar Diop a décroché son ticket dans sa catégorie des -58 Kg. Il a terminé avec la médaille d’or devant Issaka Nouridine (Nigeria) et Issa Diakité (Côte d’ivoire). Son coéquipier Idrissa Keita avait réussi la même performance dans sa catégorie des 80 Kg à s’ouvrir le chemin des JO.
LE CHEMIN ESCARPÉ VERS L’AUTOSUFFISANCE ALIMENTAIRE
Le Sénégal est confronté à "l’insécurité alimentaire, caractérisée par la sous-alimentation et une balance commerciale déficitaire en raison de l’augmentation des importations alimentaires", a déclaré le porte-parole du Crafs, Babacar Diop.
Le Cadre de réflexion et d’action sur le foncier au Sénégal (Crafs) a organisé hier un forum sur le thème ‘’Bonne gouvernance foncière gage de la souveraineté alimentaire au Sénégal‘’. La rencontre a permis de passer en revue les problèmes (pression démographique, conflits fonciers, difficulté pour les jeunes et les femmes d’accéder à la terre, mauvaise gouvernance foncière…) qui empêchent l’atteinte de la souveraineté alimentaire.
Un forum sur le thème ‘’Bonne gouvernance foncière gage de la souveraineté alimentaire au Sénégal‘’ a été organisé hier par le Cadre de réflexion et d'action sur le foncier au Sénégal (Crafs). Lors de cette rencontre, le porte-parole du Crafs a confié que la gestion du foncier au Sénégal rencontre de multiples défis. Des défis, selon Babacar Diop, qui ont pour noms la pression démographique, les conflits fonciers, la difficulté pour les jeunes et les femmes d’accéder à la terre, une mauvaise gouvernance foncière et des ressources naturelles et des tentatives de réformes inabouties.
D’après lui, "les défis certes peuvent paraître nombreux, mais s'ils valorisent suffisamment les initiatives et dynamiques en cours, ils pourront les relever". C’est à ce titre qu’il a exhorté que l’on prenne appui sur "les récentes dynamiques conduites par la société civile qui ne cesse de réfléchir, de développer des expériences, de formuler des recommandations pour une meilleure gouvernance foncière au Sénégal".
Une telle démarche de leur part est dictée, selon lui, par "une volonté de créer non seulement un climat apaisé, mais aussi de booster le potentiel des exploitations familiales, d’impulser le développement agricole, de sortir les populations de la pauvreté et d’assurer une croissance économique durable pour notre pays".
"En tant qu’organisation de la société civile le Crafs a conduit récemment un processus de production de connaissances et de plaidoyers sur le foncier. Nous avons mis à jour notre document de position qui sera partagé avec vous".
De son côté, l’État ne cesse de déployer des efforts et de recourir à des démarches innovantes pour une meilleure gestion du foncier. D’ailleurs, "le nouveau régime élu en 2024 semble accorder une importance capitale au foncier, faisant des propositions qui doivent être étudiées sur celle qui concerne l’attribution de droits aux producteurs qui n’est pas conforme à nos positions".
Toutefois, malgré toutes ces actions que "nous menons pour une gouvernance foncière responsable dans notre pays, force est de reconnaître que les défis restent encore immenses". "Le foncier demeure problématique et sa gestion est toujours source de conflits".
"C’est dire que nous avons suffisamment de matière pour entretenir et alimenter nos réflexions au cours de ces trois jours", a-t-il souhaité.
Avant d’informer qu’il attend de ce forum des "résultats concrets, des pratiques analysées, des modes de gouvernance identifiés, des discussions sur les défis de l'entrepreneuriat et de l'employabilité, une meilleure compréhension des contributions des exploitations familiales, des investissements privés à la sécurité alimentaire et, enfin, des recommandations concrètes pour une gouvernance foncière orientée vers une souveraineté alimentaire durable et capable de mieux accompagner les propositions du nouveau régime".
En outre, parlant spécifiquement du thème de cet atelier, il dit constater avec regret que "notre pays n’a pas encore réussi à faire une meilleure exploitation agricole (superficies emblavées et rendements encore faibles) malgré un appel pour un retour à l’agriculture et une batterie de mesures d’accompagnement initiées par l’État dont on peut encore s'interroger sur leur efficacité".
De récentes études, a-t-il précisé, ont montré que "le contexte actuel de l’approvisionnement alimentaire au Sénégal est marqué par des défis importants, même si certains progrès sont notés". Le pays est confronté à "l’insécurité alimentaire, caractérisée par la sous-alimentation et une balance commerciale déficitaire en raison de l’augmentation des importations alimentaires".
"Cette situation, selon lui, a été aggravée par plusieurs facteurs tels que la faible productivité agricole, des pertes post-récolte considérables et un accès limité aux marchés pour les producteurs locaux".
"Dans un contexte de changements climatiques, notre préoccupation majeure, c’est qu’on intègre la préservation de l’environnement et la gestion durable des ressources dans la stratégie de souveraineté alimentaire, avec une priorité à la restauration des terres. Nos modes de productions et de consommation doivent être durables", a indiqué M. Diop.
‘’90 % de la production agricole est assurée par ces exploitations familiales’’
Venu présider cette rencontre, le secrétaire d’État aux Coopératives et à l’Encadrement des paysans a soutenu qu’au Sénégal, "90 % de la production agricole est assurée par ces exploitations familiales". Aux yeux d’Alpha Ba, il est important que "leurs ressources productives de base soient sécurisées par elles-mêmes".
"Mais quand on parle de sécurisation de ressources productives, dit-il, cela signifie, pour nous, venir à ces genres de rencontres, discuter avec eux, réfléchir avec eux pour prendre en compte leurs propositions et voir avec les orientations politiques de l’État comment aller vers un consensus qui puisse nous permettre d’aller vers une réforme foncière. Parce que vous n’êtes pas sans savoir que le foncier est géré par la loi sur le domaine national qui date de 1964. Dans cette loi, certes, il y a des aspects positifs, mais il y a des aspects dont il est temps qu’il faille interroger. Et cela est d’autant plus nécessaire, dans la mesure où le régime sortant avait initié des réflexions qui avaient abouti à l’élaboration d’un document de politique foncière. Et pour nous c’est de voir en collaboration avec des organisations de la société civile comment sortir ce document-là. S'il y a lieu de l'actualiser, on le fait ; s'il est à jour qu’on parte de ce document pour aller vers une réforme foncière, voire une législation foncière", a laissé entendre le secrétaire d’État.
Pour lui, il y a une chose sur laquelle tout le monde tombe d’accord est qu’il est important d’aller vers une réforme foncière. Mais on parle d’une réforme foncière qui est "inclusive, transparente et qui s’inscrive dans la durabilité des ressources naturelles".
"Le Conseil d’orientation agro-sylvo-pastoral est une vieille revendication des organisations paysannes au Sénégal et de la société civile. Parce que depuis la loi d’orientation agro-sylvo-pastorale a été promulguée en 2020-2022, il était prévu que ce conseil soit tenu. Il s’agit d’un moment d’échanges entre le président de la République, les organisations de la société civile - les paysans, les éleveurs et les pêcheurs - pour recevoir leurs doléances, discuter avec eux des orientations de l’État, mais aussi recevoir leurs orientations dans la politique. Malheureusement, ce conseil n’a jamais pu se tenir. Et dès que nous sommes arrivés au pouvoir, l’une des premières décisions, c’est d’afficher sa volonté pour que ce conseil puisse se tenir dans les plus brefs délais. Nous sommes en train de travailler avec toutes les organisations de la société civile pour aller vers la révision de la loi agro-sylvo-pastorale qui constitue le cadre normatif de base de tout ce qui doit se faire dans le milieu rural", a promis M. Ba.
Avant d’ajouter : "Nous pensons que si nous parvenons à aller vers une loi stabilisée dans les plus brefs délais, le président de la République pourra convoquer ce conseil. Il s’agira d’un moment symbolique, parce qu’autant le président reçoit tous les métiers du Sénégal, les enseignants, les médecins… il est tout à fait normal aussi qu’on donne une place prépondérante à ceux qui constituent la mamelle du Sénégal, à savoir les acteurs du secteur primaire. Le conseil est un moment de transmettre sans intermédiaire leurs préoccupations au président pour que l’État puisse s’atteler à les régler. C’est quelque chose d'important qui est prévu dans notre dispositif. Et nous espérons pouvoir le tenir avant la fin de l’année civile en cours".
"Il faut que l’État organise les assises de l'agriculture et du foncier"
Ndiouck Mbaye, membre de l'Alliance nationale femmes et foncier du Sénégal (ANFFS), a rappelé que l’état des lieux de la problématique de l’accès des femmes à la terre laisse paraître qu’elles sont utilisatrices de la terre, pilier du développement agricole, mais que, de façon générale, elles n’ont pas un accès sécurisé au foncier. Bien que les situations soient variées, selon elle, les femmes ont majoritairement des droits restreints et provisoires. Dans un contexte de société en mutation, avec de plus en plus des textes législatifs, des organisations non gouvernementales tentent d'apporter des solutions.
"Les femmes rurales développent d’autres activités à partir de la production agricole, de la cueillette, de l'élevage, de la pêche, etc. Le commerce de produits forestiers non ligneux en fait partie. Cette activité est destinée à leur procurer des revenus complémentaires pour l’achat de vivres et à renforcer la sécurité alimentaire de leur famille. Il est bien de noter que les pesanteurs socioculturelles qui menacent l’égalité, doivent être prises en compte, en mettant en place des programmes et des projets spécifiquement destinés à l’accès, au contrôle et à la valorisation du foncier aux femmes, corollaire d’une autonomisation des femmes rurales", a argué Mme Mbaye.
Par ailleurs, elle a informé que, selon le Plan d’action national de la femme, les femmes constituent 60 % de la force de travail et assurent environ 70 % de la production vivrière. Cela signifie qu’en réalité, c’est la femme qui nourrit le monde. Les statistiques de la FAO montraient, selon elle, que les femmes produisent 60 à 80 % des aliments et sont responsables de la moitié de la production alimentaire mondiale.
"Face aux enjeux fonciers, de la conjoncture économique, nous sommes dans l’urgence de relever les défis de la bonne gouvernance foncière qui, sans doute, nous conduira dans la perspective d'un développement durable, bien au-delà de la souveraineté alimentaire. Il faut aussi que l'Etat organise les assises de l'agriculture et du foncier", a-t-elle plaidé.
DES CHAMPIONS SOUVENT EN GRANDES DIFFICULTES LA SAISON SUIVANTE
Depuis 2009, année de l'instauration de la Ligue professionnelle, aucun club n'a réussi l'exploit de conserver le titre de champion deux années d’affilée. Pis, le vainqueur de l'édition précédente a souvent tendance à péricliter la saison suivante
Depuis 2009, année de l'instauration de la Ligue professionnelle, aucun club n'a réussi l'exploit de conserver le titre de champion deux années d’affilée. Pis, le vainqueur de l'édition précédente a souvent tendance à péricliter la saison suivante, frôlant parfois la relégation pour certaines écuries.
Un peu comme ces clubs de l'élite sénégalaise qui peinent à tirer leur épingle du jeu lors des compétitions africaines, l'autre "fait de jeu" de la Ligue 1 est que souvent, le vainqueur fait pitié à voir l'exercice suivant. Diambars, l’AS Douanes et plus récemment Génération Foot et le Casa Sports sont les exemples les plus frappants de cette décadence juste quelques mois après.
Mais parfois, ce déclin peut s'étendre dans le temps, avec le cas notamment des Académiciens de Saly qui, sauf un deus ex machina, devraient jouer en division inférieure la saison prochaine. Diambars prendrait le même chemin emprunté par les Douaniers, pensionnaires de la Ligue 2 depuis l'année dernière.
Rappelons que le club fondé en 1980 était déjà champion en 2015.
Qui l'eût cru ! Génération Foot, champion de la Ligue 1 l'année dernière, naturellement grand favori pour rempiler, doit encore patienter, non pas pour un remake, mais pour son maintien dans l’élite. Onzièmes au classement, les Académiciens ont un peu sacrifié à cette règle consistant à complètement rater la conservation du titre.
Toutefois, cette filiale du Football club de Metz au Sénégal a quelques circonstances atténuantes. L'ancien champion a vu plusieurs de ses joueurs s'exiler en Europe. Pape Amadou Diallo ainsi que Lamine Camara, pour ne citer qu'eux, ont rejoint les Grenats depuis leur dernier sacre dans l'élite du football local.
En outre, pour le cas de Génération Foot, la guéguerre de l'entame de saison avec les officiels de la Ligue a aussi plombé leur saison.
Peut-être encore plus symbolique, le Casa Sports, avant-dernier au classement à une journée de la fin, a rarement été aussi proche d'une relégation. Ce qui est paradoxal, dans la mesure où le club de Ziguinchor décrochait en 2022 une deuxième étoile. Mais les problèmes internes, le changement de coach et le départ des meilleurs joueurs qui n'ont jamais été remplacés, entre autres explications ont conduit à cette descente aux enfers.
En gros, deux des trois derniers champions doivent attendre l'ultime journée pour sauver leur place au sein de l'élite. Même si ce scénario catastrophe pour le Casa et Génération Foot est à craindre, cela pourrait être un mal nécessaire. Maintenant, la balle est dans le camp de l'actuel champion en titre, Teungueth FC. Conserver le titre paraît impossible d'année en année, l'ultime objectif serait de demeurer parmi l'élite.
LE SENEGAL, DOUBLE CHAMPION DE L’UFOA-A !
Après son éclatant succès 3-0 contre la Guinée-Bissau au stade Lat Dior de Thiès, le Sénégal a triomphé en finale, s’adjugeant ainsi le trophée de l’UFOA-A pour la deuxième année consécutive.
Après son éclatant succès 3-0 contre la Guinée-Bissau au stade Lat Dior de Thiès, le Sénégal a triomphé en finale, s’adjugeant ainsi le trophée de l’UFOA-A pour la deuxième année consécutive.
Historique ! Équipe dominante sur tous les plans, les Lioncelles ont une fois de plus montré qu’elles règnent en maîtresses absolues sur le football régional des moins de 20 ans.Malgré un début de match difficile où elles ont été acculées par une équipe bissau-guinéenne très physique, les Sénégalaises ont réussi à se ressaisir et à ouvrir le score. À la 16e minute, Adji Ndiaye a trompé la gardienne Adji Saco, permettant au Sénégal de prendre l’avantage. Cette ouverture du score a été cruciale pour asseoir leur domination sur le match. La pression sénégalaise n’a pas faibli et, quelques minutes avant la pause, Sokhna Pene a doublé la mise pour le Sénégal avec un somptueux coup franc. Maîtrisant parfaitement l’exercice, elle a envoyé le ballon dans la lucarne, portant ainsi son total à trois buts dans la compétition, tous inscrits sur coup franc. Sa frappe magistrale a illuminé le stade et renforcé la position du Sénégal avant de rentrer aux vestiaires.
Le score aurait pu être plus lourd pour les Sénégalaises, qui ont manqué deux occasions franches. Adji Ndiaye, la meilleure buteuse sénégalaise, a été malchanceuse avec deux frappes qui ont touché la transversale. Malgré ces ratés, les deux équipes sont rentrées aux vestiaires sur un score de 2-0 en faveur des Lioncelles. En seconde période, les filles de Mbayang Thiam ont entamé le jeu avec une grande maîtrise. Malgré deux changements effectués par la Guinée-Bissau à la mitemps, elles ont peiné à contrecarrer la domination sénégalaise. Les Lioncelles ont continué de contrôler le match, démontrant leur supériorité technique et tactique.
À la 86e minute, le Sénégal a corsé l’addition grâce à un penalty obtenu par Adji Ndiaye et exécuté par Khadija Badio. Le Sénégal termine ainsi par une victoire éclatante de 3-0 et remporte le tournoi de l’UFOA-A des U20 féminines pour la deuxième fois consécutive. Cette domination sans partage se traduit par la meilleure attaque et la meilleure défense du tournoi, confirmant la suprématie des filles de Mbayang Thiam dans la compétition.
IL FAUT AUGMENTER LE RYTHME
Me Augustin Senghor a effectué une visite de chantier au stade Demba Diop, pour s’enquérir de l’état d’avancement des travaux engagés il y a plus d’un an.
Me Augustin Senghor, président de la Fédération Sénégalaise de Football a effectué une visite de chantier du stade Demba Diop. Au constat, les travaux, entamés il y a un peu plus d’un an, avancent à un rythme satisfaisant. S’il a exprimé sa satisfaction, il n’a pas manqué de souligner la nécessité d’accélérer le rythme des travaux.
Me Augustin Senghor a effectué une visite de chantier au stade Demba Diop, pour s’enquérir de l’état d’avancement des travaux engagés il y a plus d’un an. Le président de la Fédération sénégalaise de football (FSF) a constate les progrès réalisés dans cette infrastructure qui a été fermée en 2017 suite à la finale de la Coupe de la Ligue qui avait enregistré 8 décès de supporters du stade de Mbour suite à l’affaissement d’un pan de la tribune découverte. «Après une année de travaux, nous constatons un niveau d’avancement appréciable, bien que nous accusions un léger retard qu’il faudra combler coûte que coûte. Nous avons la satisfaction de voir que, pour ce qui concerne les tribunes de cette première phase, nous sommes pratiquement aux finitions. Que ce soit la tribune nord ou la tribune sud, les gradins ont pris forme. Les vomitoires, les escaliers et les coursives sur deux niveaux des tribunes sont en cours de réalisation. Nous avons également pu constater que les locaux, qu’ils soient administratifs, techniques ou sportifs, sont en train d’être mis en place», a-t-il indiqué.
Me Augustin Senghor a également exhorté les entrepreneurs à redoubler d’efforts : «Nous avons la volonté de bien faire les choses sur ce chantier. Ce projet permettra à l’expertise locale sénégalaise de montrer ses capacités et de relever les défis des grands chantiers, que ce soit en travaux publics ou en équipements sportifs. C’est un bon laboratoire pour nous ».
Il a annoncé une nouvelle visite de chantier dans un mois. « Nous sommes satisfaits de l’avancée des travaux et nous espérons, d’ici un à deux mois, passer à une autre étape qui consistera à mettre en place les éléments restants afin d’utiliser ce stade d’ici la fin de la saison prochaine. Il est important que le stade Demba Diop soit rouvert, c’est pourquoi nous avons divisé les travaux en deux phases. Nous reviendrons dans un mois pour une visite avec le ministre des Sports et la FIFA afin qu’ils puissent constater que tous nos engagements ont été respectés. Cela nous permettra de passer à la seconde phase avec l’accompagnement de la FIFA. Nous sommes globalement satisfaits, mais il faut augmenter le rythme», a-t-il annoncé.
FECAFOOT, LA VERSION DE MARX BRYS
Marc Brys, qui a vécu une scène surréaliste mardi avec Samuel Eto'o, le président de la Fédération camerounaise de football, vient de réagir à ce qui lui est arrivé…
iGFM (Dakar) Marc Brys, qui a vécu une scène surréaliste mardi avec Samuel Eto'o, le président de la Fédération camerounaise de football, vient de réagir à ce qui lui est arrivé…
« Là, il est clairement allé trop loin. Je travaille pour le Ministère des Sports, pas pour la fédération », a reproché le technicien belge à Eto'o dans des propos rapportés par La Dernière Heure, un média de son pays.
Cette grille de lecture va évidemment faire jaser, même si les propos du technicien n'ont rien d'étonnant si on s'en tient à “l'échange” de mardi. Petit rappel des faits : nommé par le Ministère des sports et non par Eto'o lui-même, le Belge avait finalement été reconnu par l'ancien buteur du Barça, qui avait finalement accepté de travailler avec lui, à condition de composer son staff.
Ce mardi, lors de la première rencontre entre les deux hommes, Samuel Eto'o est néanmoins entré dans une colère noire envers Brys. La rencontre, qui n'a duré que trois minutes, a en effet tourné au mélodrame. “Vous êtes entraîneur parce que je vous ai nommé. Vous n'êtes pas entraîneur parce que quelqu'un d'autre vous a nommé. Vous avez fait beaucoup de manquements“, a notamment signifié Eto'o au technicien, avant que ce dernier ne quitte le siège de l'instance.
Après cet incident, la Fécafoot a nommé en urgence un sélectionneur intérimaire. Martin Ndtoungou Mpile et son adjoint Pagou David ont été choisis. Après un premier communiqué au sujet de son altercation avec le Flamand, le boss du football camerounais a justifié ce choix express par “l’urgence de la préparation des rencontres” de juin, tout en insistant sur les “propos irrévérencieux” tenus à son encontre par le Belge.
Et dire que dès le 8 juin prochain, les Lions Indomptables sont censés défier le Cap-Vert dans un match de qualification au Mondial 2026… Ce mercredi, une réunion visant à préparer cette échéance doit justement avoir lieu au ministère des Sports, avec celui qui n'est désormais plus le sélectionneur légitime aux yeux de la Fecafoot…
MARC BRYS REVIENT SUR SON ALTERCATION AVEC ETO’O
« Là, il est clairement allé trop loin. Je travaille pour le Ministère des Sports, pas pour la fédération », a reproché le technicien belge à Eto'o dans des propos rapportés par La Dernière Heure.
iGFM (Dakar) Marc Brys, qui a vécu une scène surréaliste mardi avec Samuel Eto'o, le président de la Fédération camerounaise de football, vient de réagir à ce qui lui est arrivé…
« Là, il est clairement allé trop loin. Je travaille pour le Ministère des Sports, pas pour la fédération », a reproché le technicien belge à Eto'o dans des propos rapportés par La Dernière Heure, un média de son pays.
Cette grille de lecture va évidemment faire jaser, même si les propos du technicien n'ont rien d'étonnant si on s'en tient à “l'échange” de mardi. Petit rappel des faits : nommé par le Ministère des sports et non par Eto'o lui-même, le Belge avait finalement été reconnu par l'ancien buteur du Barça, qui avait finalement accepté de travailler avec lui, à condition de composer son staff.
Ce mardi, lors de la première rencontre entre les deux hommes, Samuel Eto'o est néanmoins entré dans une colère noire envers Brys. La rencontre, qui n'a duré que trois minutes, a en effet tourné au mélodrame. “Vous êtes entraîneur parce que je vous ai nommé. Vous n'êtes pas entraîneur parce que quelqu'un d'autre vous a nommé. Vous avez fait beaucoup de manquements“, a notamment signifié Eto'o au technicien, avant que ce dernier ne quitte le siège de l'instance.
Après cet incident, la Fécafoot a nommé en urgence un sélectionneur intérimaire. Martin Ndtoungou Mpile et son adjoint Pagou David ont dont été choisis. Après un premier communiqué au sujet de son altercation avec le Flamand, le boss du football camerounais a justifié ce choix express par “l’urgence de la préparation des rencontres” de juin, tout en insistant sur les “propos irrévérencieux” tenus à son encontre par le Belge.
Et dire que dès le 8 juin prochain, les Lions Indomptables sont censés défier le Cap-Vert dans un match de qualification au Mondial 2026… Ce mercredi, une réunion visant à préparer cette échéance doit justement avoir lieu au ministère des Sports, avec celui qui n'est désormais plus le sélectionneur légitime aux yeux de la Fecafoot…
NGALLA SYLLA, UN RETOUR QUI TOMBE À PIC
Le beach soccer sénégalais retrouve son ancien sélectionneur sur le banc. Revenu récemment du Maroc où il avait entamé une nouvelle expérience, il est appelé à la rescousse par la Fédération pour prendre les rênes des Lions
Le vice-président de la Fédération sénégalaise de football, Mame Adama Ndour, avait vendu la mèche. C’est fait, Ngalla Sylla retrouve le banc de l’Equipe nationale de beach soccer après son retour du Maroc. Un come-back qui tombe à pic pour une discipline qui devrait défendre son titre en cette année 2024.
Mal embarqué dans sa volonté de changer de sélectionneur au retour du Mondial de Dubaï, Mayacine Mar fonçait tout droit vers le mur. Et pour cause : le Dtn, qui voulait, vaille que vaille, avoir la tête de Mamadou Diallo et de son staff, n’avait rien de concret à proposer comme alternative aux Fédéraux.
Sa première intention de faire appel au niveau local à un «technicien de haut niveau» ne pouvant prospérer à cause du manque d’un tel profit au niveau national pour le football de plage, «Maya» s’est tourné vers l’étranger. Mais sans succès.
Conséquences, le beach soccer sénégalais se retrouvait sans sélectionneur à quelques encablures de la Can «Egypte 2024», qui doit jouer en principe ses éliminatoires dans quelques petits mois. Le Sénégal, bien que tenant du titre, devant participer à ces qualifications.
Le Dtn s’enlève une grosse épine…
Coincé entre l’idée de changer et la difficulté de trouver l’oiseau rare, le Dtn se retrouvait du coup dans une situation embarrassante. Et comme une étoile tombée du ciel, survient l’affaire Ngalla Sylla.
Engagé par le Maroc depuis 2022 pour coacher son Equipe nationale de beach soccer, le technicien sénégalais a vu son élan brisé. Ses débuts avec les Lions de l’Atlas ont en effet été marqués par des succès, avec trois trophées glanés. Celui des Jeux africains de la plage de juin 2023, en battant en finale… le Sénégal. Ensuite la Coupe Cosafa en mars dernier et récemment la Coupe internationale du Salvador.
Un premier bilan largement positif pour une première expérience au Royaume chérifien, mais qui apparemment n’a pas convaincu les dirigeants marocains. Ces derniers ayant décidé de le remplacer par le sélectionneur du Brésil. La contreproposition d’encadrer les jeunes catégories ne l’ayant pas agréé, Ngalla a finalement décidé de rentrer au bercail, moyennant des indemnités pour rupture de contrat.
Evidemment, le premier à scruter de près ce retour, c’était le Dtn qui était à la chasse effrénée d’un nouveau sélectionneur.
Ngalla a commencé à superviser le championnat
Courtisé par l’Arabie Saoudite mais aussi ayant une écoute attentive venant des Fédéraux qui l’ont contacté, le meilleur entraîneur d’Afrique a finalement choisi les Lions, a appris Le Quotidien. Un retour d’ailleurs qui a été annoncé par le vice-président de la Fédération sénégalaise de football, Mame Adama Ndour, qui a vendu la mèche il y a deux semaines, à l’émission Walf Sports. Un come-back aussi qui enlève une grosse épine du pied du Dtn. C’est aussi un retour qui tombe à pic si on sait que le Sénégal devrait défendre cette année 2024 son titre de champion d’Afrique en Egypte (en attendant la confirmation de la Caf). Mais d’ici là, il est prévu la phase des éliminatoires.
En attendant l’officialisation par la Fsf, via un communiqué, et la composition de son nouveau staff, on a appris que Ngalla Sylla a déjà commencé à superviser le championnat de beach soccer. Une manière de préparer son futur groupe et de faire encore valoir son expertise en... plage.
SÉNÉGAL-RD CONGO, LA BILLETTERIE DU MATCH DÉVOILÉE
Pour les Tickets en physique, ils seront vendus dans les points de vente habituels (stade Iba Mar Diop, stade Demba Diop , Stade Amadou Barr, stade Alassane Djijo, stade Galandou Diouf, stade Maniang Soumare de Thiès...
iGFM (Dakar) Dans un communiqué publié, ce mardi, la Fédération Sénégalaise de Football (FSF) annonce l'ouverture de la billetterie pour le match Sénégal vs RD Congo du 06 juin 2024 au stade Abdoulaye Wade de Diamniadio, dans le cadre de la 3e journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.
"La Fédération Sénégalaise de Football informe le public qu’en perspective du match Sénégal vs RDC le 06 juin 2024 au stade Abdoulaye Wade de Diamniadio, elle mettra en vente des tickets en en ligne et physiques", a fait savoir l'instance.
Les tickets disponibles à partir du 29 mai 2024
La Fédération précise : "Concernant les tickets en ligne, ils seront disponibles sur le site suivant : https://fsf-tickets-stade.com/ à partir du 29 mai 2024.
Toutes les indications relatives à l’achat des billets sont disponibles sur ce site. Cependant Seuls des billets de la Loge VIP : 50000F, Annexe loge : 15000F, Jaune centre :10000F, Jaune virage :5000F et Rouge centre :2000F seront disponibles pour l’achat en ligne", indique la FSF sur son site officiel.
Demba Diop, Ibar Mar, Amadou Barry, Ngalandou Diouf, Maniang Soumaré...points de vente
"Pour les Tickets en physique, ils seront vendus dans les points de vente habituels (stade Iba Mar Diop, stade Demba Diop , Stade Amadou Barr, stade Alassane Djijo, stade Galandou Diouf, stade Maniang Soumare de Thies, ancien siège de la FSF en face du CICES et Mairie de Diamniadio ) à partir du 02 juin 2024. Les catégories sont reparties comme suit : Box VVIP central : 150000F, Box VVIP latéral : 100000F, Loge VIP: 50000F, Annexe loge : 15000F, Jaune centre :10000F, Jaune virage :5000F, Rouge centre :2000F, Rouge virage :1000 F.
«LE SENEGAL A L'OBJECTIF DE RETOURNER A LA COUPE DU MONDE»
Le sélectionneur national des Lions s’est confié aux journalistes présents sur place, après la séance d’entraîne[1]ment. Aliou Cissé a lancé un avertisse[1]ment à ses futurs adversaires. « Le Sénégal a l’objectif de retourner à la coupe du monde» a-t-il révélé.
Le sélectionneur des « Lions »se veut catégorique. Il n’est pas question pour lui que les Lions ne soient pas présents lors de la prochaine Coupe du monde des Amériques. Ce serait un véritable cataclysme pour le football sénégalais de ne pouvoir participer à ces joutes mondiales du football. C’est pourquoi, après la séance d’entraînement d’hier et face à la presse, il a d’abord tiré le bilan des deux matchs amicaux du mois de mars dernier. «Après la CAN, on a eu deux gros matchs contre le Gabon et le Bénin. L’état d’esprit a été assez intéressant en ce mois de mars et les résultats ont été positifs. Mais aujourd’hui comme vous le voyez, nous préparons deux gros matchs pour les éliminatoires de la coupe du monde. Ce sont des matchs officiels», a rappelé le coach national.
A l’en croire, les deux prochains matchs sont d’une importance capitale pour la suite de la compétition. Le public sénégalais, férus du ballon rond, est très exigeant. «Le Sénégal a l’objectif de retourner à la Coupe du monde. Nous savons que ce sont deux matchs très importants pour nous. Nous devons l’aborder de la meilleure des manières pour avoir le meilleur résultat possible. Déjà, le 06 contre le Congo est allé chercher un bon résultat en Mauritanie», a ajouté le sélectionneur des « Lions ». « Le groupe n’est pas encore au complet. Il arrive petit à petit. Je pense que les difficultés du mois de juin font qu’avec les championnats tardifs de certains pays sans compter les barrages, on aura le groupe au complet qu’à partir du 02 ou du 03 juin pour un match qui se joue le 06 juin. Vous voyez les difficultés que nous vivons du fait aussi que la FIFA a diminué la période FIFA qui devait être du 03 au 12 et qui est devenu du 03 au 09 juin. Nous espérons retrouver l’ensemble de notre groupe qui ne sera au complet qu’à partir de lundi prochain. Ce sont des difficultés, mais nous sommes tous à la même enseigne », a conclu « Aliou Cissé.