MAMADOU LAMINE DIALLO APPRECIE ET APPELLE A TIRER AU CLAIR CETTE AFFAIRE
Le Premier ministre, Ousmane Sonko, devrait visiter, hier lundi, le building administratif Président Mamadou Dia, selon des sources médiatiques. Cette visite de Ousmane Sonko vise à s’enquérir de l’état des lieux en vue d’un retour des institutions
Le Premier ministre, Ousmane Sonko, devrait visiter, hier lundi, le building administratif Président Mamadou Dia, selon des sources médiatiques. Cette visite de Ousmane Sonko vise à s’enquérir de l’état des lieux en vue d’un éventuel retours des institutions de la République qui ont déménagé.
Mamadou Lamine Diallo, leader du mouvement Tekki, salue cette initiative considérée comme «une bonne nouvelle». «Cette affaire doit être tirée au clair», écrit le député et candidat à la présidentielle du 24 mars dernier dans un post sur X. Et de rappeler qu’il a «proposé, en son temps, une Commission d’enquête parlementaire, celle-ci fut rejetée par le bureau de l’Assemblée nationale».
Siège du gouvernement sénégalais, croulant alors sous le poids de l’âge, la rénovation et la restauration du building administratif Président Mamadou Dia ont été engagées en 2014. Initialement arrêté à 17 milliards de FCFA, ce projet aura finalement coûté au contribuable sénégalais plus de 43 milliards de FCFA. Sans que le bâtiment moderne, conservant son architecture d’origine, ne soit fonctionnel, puisqu’un incendie qui s’y est déclaré, le jeudi 26 août 2021, a conduit à l’évacuation de l’édifice, entrainant par la même de nouvelles dépenses de l’ordre de 8 milliards de FCFA pour la réfection des dégâts causés par ce sinistre. Ce qui fait que le projet de réhabilitation du siège du gouvernement du Sénégal aura valu environ 50 milliards de FCFA, sans le résultat escompté. Du moins jusque-là, puisque le bâtiment reste encore hors d’usage.
16 PLAQUES TOURNANTES REPERTORIEES AU SENEGAL
Trafic de drogues et de migrants, faux médicaments, criminalité faunique, Le Sénégal est touché par les différents types de criminalités notés dans la sous-région ouest africaine.
Le Sénégal est touché par les différents types de criminalités notés dans la sous-région ouest africaine. Global Initiative contre le crime organisé et transnational a identifié 16 niches de criminalité..
Le contexte sous régional, marqué par une instabilité dans plusieurs pays, nourrit la criminalité. Le Sénégal n’est pas épargné. 16 plaques tournantes de différents types de trafics criminels sont recensées. A l’ouverture d’une session de formation sur la Pêche illégale non déclarée et non règlementée (Pêche INN), la traite des personnes et la criminalité forestière pour des journalistes d’investigation d’Afrique de l’Ouest, les chercheurs de Global Initiative sont revenus sur ces données.
A les en croire, les lieux où s’exercent les trafics illicites sont Goxu Mbathie à SaintLouis, la ville de Dakar, l’aéroport international blaise Diagne de Diass (AIBD) de Diass, Mbour, Kaolack, Salikégné, en Casamance, et Kolda. On note aussi la présence des trafiquants dans le Parc national de Niokolo-Koba, Kidira, Tambacounda, Médina Gounass, Vélingara et Kédougou.
Les chercheurs sont aussi convaincus qu’il faut une surveillance attentive du Parc national de Niokol-Koba pour éviter qu’il devienne le repli des malfaiteurs. Le parc est vulnérable du fait de sa proximité avec le Mali, miné par la présence des djihadistes. Il y a aussi sa richesse en or qui attise la convoitise des exploitants clandestins.
La ville de Touba aussi est un point «chaud». Il ressort des études menées par Global Initiative qu’elle totalise plus de 400 dépôts de médicaments clandestins. Ce qui a comme conséquence, le développement des maladies rénales avec plus de 200 nouveaux cas recensés chaque année.
Parmi les types de trafics de stupéfiants notés au Sénégal, le commerce de cocaïne occupe la première place. Il est suivi de la vente de cannabis cultivé en Casamance et dans la zone des Niayes. Le trafic de faux médicaments vient à la troisième place. On retrouve aussi la traite des personnes, la criminalité faunique, celle liée à la flore, le commerce de drogue de synthèse et le trafic d’armes. Au Sénégal on note aussi le commerce illicite des produits de contrefaçon
De manière générale, la sous-région ouest africaine reste minée par différents trafics. «L’index de la criminalité organisé de Global Initiative montre que le marché criminel le plus important en Afrique de l’Ouest reste le trafic de cocaïne et il s’agrandit très vite», signale la Directrice de l’Observatoire des économies illicite en Afrique de l’Ouest de l’Initiative mondiale contre la criminalité transnationale organisée (Gi-Toc), Lucia Bird. S’en suit la traite des êtres humains.
N’empêche, dit-elle, «il en existe d’autres dont le dynamisme est important. C’est à l’image du trafic de la drogue synthétique qui est dans une phase d’accélération et pose un défi majeur aux États à cause de son prix qui est bas». Selon toujours Lucia Bird, «tous les ports des pays côtiers en Afrique de l’Ouest sont des points d’entrées importants pour les flux illicites». Et d’ajouter que «les aéroports aussi jouent un rôle important et assure le trafic entre pays différents».
Baadoolo - Idy, l’heure de dilater sa poitrine
Aïe, quel gâchis, Idrissa Seck ! Un ancien numéro 2, futur Président... Mais à force de ruser avec le peuple, avec ceux qui étaient fanatiques de lui, comme Sonko en a aujourd’hui, il a fini par se faire hara-Kiri. Sûr que Franz-Olivier Giesbert aurait titré aussi «La Trag-Idy du Premier ministre», comme «La tragédie du Président». Même si Seck n’est pas Chirac. Tout le monde quitte son «pays», Rewmi, parce que «dokhoul», comme il l’avait dit du bilan de Macky Sall en 2013. Chef de l’opposition repart à la conquête du chef de l’opposition. Il faudra beaucoup de forces pour continuer. Dilater sa poitrine.
L’ex-Dg de Air Sénégal rejoint A&A Strategy Le grand retour de Ibrahima Kane
Le cabinet A&A Stratégy accueille un nouveau membre. Et pas de moindre calibre. Il s’agit de Ibrahima Kane, ancien Partner KPMG Afrique Francophone. Mais surtout ancien Directeur général de la compagnie aérienne Air Sénégal (2019-2022), et du Fonds souverain d’investissements stratégiques du Sénégal – Fonsis (2016- 2019). Estimant qu’il s’agit d’une «collaboration croisée», le cabinet indique qu’il va soutenir Ibrahima Kane dans le lancement de Delaa Impact, un fonds d’investissement dédié à la création et au déploiement de solutions de financements innovants aux besoins en infrastructures et industries au Sénégal et en l’Afrique de l’Ouest. Parallèlement, l’arrivée de M. Kane en tant que Senior Vice-Président chez A&A Strategy va «consolider l’expertise et le leadership du cabinet dans les domaines de l’industrie et du financement de projet.
Après la Présidentielle - La plateforme Idy Président 2024 dissoute
La plateforme Idy Président 2024 s’est réunie, dimanche, à Thiès, pour procéder à l’évaluation de la présidentielle. Dans un communiqué, son coordonnateur a annoncé sa dissolution. Le leader de Rewmi n’a pu passer atteindre 1% à l’issue du scrutin qui a vu Bassirou Diomaye Faye élu dès le premier tour. Toutefois, indique Souleymane Ciss, désormais ex-coordonnateur de la plateforme, leur engagement politique reste intact et ils poursuivent leur lutte effrénée en tant que «sentinelle de la démocratie, de la justice et du développement, en quête d’un Sénégal meilleur pour tous ses citoyens». Revenant sur l’élection présidentielle du 24 mars dernier, la structure a salué la «maturité démocratique» et la «sérénité» du peuple sénégalais. La plateforme Idy Président 2024 exhorte le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, à placer la réforme judiciaire comme «priorité absolue» parce que «pilier fondamental de toute société démocratique».
23e Session sur les administrations publiques - Mimi parmi les 17 experts de l’Onu
La candidate recalée par le Conseil constitutionnel fait partie du Comité des 17 experts des Nations Unies sur les administrations publiques (Cepa). Mimi Touré participe ainsi à la 23éme Session au Siège de l’Onu, à New York. Membre de la coalition Diomaye Président, elle a magnifié le thème de la rencontre qui traite des «Nouvelles perspectives en matière de gouvernance pour faire progresser les Objectifs de développements durables (Odd) et éradiquer la pauvreté». Pour l’ancienne ministre de la Justice, le thème de cette session s’inscrit en «droite ligne des ambitions de notre nouveau régime et des espérances des Sénégalais».
Achille Mbembé sur l’arrivée de Diomaye au pouvoir «C’est l’événement le plus marquant des dernières décennies»
Invité de Pape Alioune Sarr dans l’émission «Belles lignes» sur iTv, Achille Mbembé s’est exprimé sur l’élection présidentielle du 24 mars dernier. En visioconférence, l’historien et politologue camerounais, a indiqué que «l’arrivée de Bassirou Diomaye Faye au pouvoir est l’événement le plus marquant des dernières décennies en Afrique». L’intellectuel africain a par ailleurs souligné que «le Sénégal est parmi tous les pays en Afrique dite francophone, le pays où il y’a une culture historique, politique, qui s’est formée depuis longtemps et qui représente le meilleur de ce que nous aurons produit». Parlant du nouveau régime, Achille Mbembé : «Ils ont été investis il y’a à peine une semaine, il y’a encore un énorme chantier devant eux, mais je pense que ce qui s’est passé au Sénégal a une signification continental. Cela montre évidement que la démocratie électorale est en crise, mais si on s’organise à la manière des Sénégalais, il est possible d’aller de l’avant.»
Première visite hors du pays Diomaye attendu à Nouakchott ce mercredi
Le nouveau Président de la République va effectuer, ce mercredi, sa première sortie hors du pays. Sur ce, Diomaye a opté, comme destination, la Mauritanie, pays frontalier avec le Sénégal. Le Chef de l’Etat, après ses tournées dans les villes saintes du pays, est attendu à Noukchott, selon des sources de Sahara Media. Pour rappel, le Président mauritanien Mohamed Ould Cheikh avait assisté à la cérémonie d’investiture du successeur de Macky. Il faut retenir aussi que le Sénégal et la Mauritanie sont liés par un autre enjeu économique géostratégique depuis la découverte, en 2015, d’un important gisement de gaz à la frontière maritime des deux pays. Et les estimations de sa production se chiffrent entre 60 et 80 millions de dollars
Démenti
Le journal de presse écrite «BÉS BI, LE JOUR» m’a prêté à tort, dans sa livraison du 15 avril 2024, les propos suivants : «Aïda Mbodj ferme la porte aux transhumants : Je vois certains devant moi, opposez-vous.» J’apporte un démenti formel à de tels propos qui me sont attribués à tort et invite ledit journal à publier la présente note d’information rédigée à cet effet. Aussi, de préciser que je respecte le choix libre et volontaire des uns et des autres dans l’espace politique que nous partageons. Et, à ce titre, il ne m’appartient nullement, en ma qualité de Présidente de la «Coalition Diomaye Président» de réguler les mouvements en son sein, encore moins d’être investie d’une quelconque prérogative visant à y admettre où refuser les adhésions. Tout au plus, ma qualité de Présidente de cette Coalition se limite à la restructurer voire procéder à son organisation, lui trouver consensuellement une nouvelle dénomination et d’émettre des suggestions motivées sur la nature et le nombre des différentes Commissions nécessaires à son fonctionnement.
Aïda Mbodj, présidente de la Conférence des leaders de la Coalition Diomaye Président NRDL : La Rédaction du journal Bés Bi prend acte.
SÉNÉGALAIS DÉTENUS EN TURQUIE, HORIZON SANS FRONTIÈRES LANCE UN APPEL AUX NOUVELLES AUTORITÉS
"Les étrangers paient plus de 700 dollars pour l’obtention ou le renouvellement des cartes de séjours dont 90% des demandes sont rejetées sans remboursement", renseigne Boubacar Seye.
Le président de Horizon Sans Frontières (HSF) Boubacar Seye a annoncé, lundi, que de nombreux Sénégalais sont en situation précaire en Turquie dont plus d’une vingtaine dans les prisons. C’est l’alerte qui vient de parvenir à Horizons Sans Frontières.
« Les étrangers paient plus de 700 dollars pour l’obtention ou le renouvellement des cartes de séjours dont 90% des demandes sont rejetées sans remboursement. Ceux à qui on délivre les cartes de séjours reçoivent une durée de trois mois alors qu’ils ont payé une assurance d’un an », a-t-il indiqué citant un Sénégalais en situation délicate en Turquie qui s’est confié à l’ONG.
Selon ce dernier, les cartes de séjours ne garantissent pas la libre circulation dans le pays et tout moment ils peuvent l’annuler dans le site web du gouvernement sans que personne ne le sache. « C’est ce qui explique que certaines personnes sont bloquées à l’aéroport au retour de leur voyage », ajoute-t-il.
Boubacar Seye fait savoir que les personnes dont on a eu à supprimer les cartes de séjour, se font généralement attraper dans les places publiques, les stations de bus ou de métros, dans leurs lieux de travail ou dans leurs domiciles (appartements, résidents, maisons etc.).
« L’autre alarme, surtout à vérifier, est aussi sur la plan humanitaire car, nous dit-on, les personnes attrapées, peuvent être enfermées pendant 12 heures dans de très mauvaises conditions de détention, sans eau et sans nourriture », appelle-t-il.
Il ajoute, en outre, que pour torturer les étrangers, les autorités établissent de faux rapports médicaux pour les regrouper dans des centres de détentions comme des animaux.
L’autorité consulaire du Sénégal en Turquie est aussi appelée à « agir, soulager ses compatriotes et infirmer cette version. »
Il précise que les prisons sont pleines et surchargées et informe qu’a Iroum Askale (Turquie ) plus de 20 Sénégalais y sont incarcérés
« En détention, les prisonniers sont dépouillés de leurs biens (argent, téléphone). Voilà en détails, autant de raisons qui poussent l’ONG Horizons Sans Frontières à lancer un appel aux nouvelles autorités, tout en leur souhaitant une pleine réussite pour un meilleur avenir de nos compatriotes établis dans la Diaspora », a-t-il dit.
BASSIROU DIOMAYE FAYE S'EST RENDU À TIVAOUANE
Le président de la République est arrivé lundi soir dans la cité religieuse de Tivaouane, où il a effectué une visite de courtoisie auprès du Khalife général des Tidianes, Serigne Babacar Sy Mansour
Tivaouane, 15 avr (APS) – Le président de la République Bassirou Diomaye Faye est arrivé lundi soir dans la cité religieuse de Tivaouane, où il a effectué une visite de courtoisie auprès du Khalife général des tidianes, Serigne Babacar Sy Mansour, a constaté l’APS.
Bassirou Diomaye Faye était un peu plutôt dans la ville sainte de Touba, où il a effectué sa première visite dans les cités religieuses du pays depuis son installation, le 2 avril dernier.
A Tivaouane, un dispositif a été mis en place chez le Khalife des Tidianes pour l’arrivée du chef de l’Etat accompagné du ministre de l’Intérieur, Jean Baptiste Tine, du ministre des Transports, Malick Ndiaye, et de son directeur de cabinet, Mary Teuw Niane.
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L'AUBE D'UNE ÈRE DE SOUVERAINETÉ AFRICAINE
Selon Achille Mbembe, la tutelle des anciennes puissances coloniales est révolue. Il décrit une dynamique portée par l'émergence d'une nouvelle génération de dirigeants souverainistes. Et dont l'élection de Diomaye Faye constitue l'acte fondateur
Dans un entretien exclusif sur iTV, l'illustre penseur camerounais Achille Mbembe a sonné la charge pour un véritable renouveau des relations Afrique-Occident. Selon lui, une nouvelle vague de jeunes dirigeants insuffle un vent de changement majeur sur le continent.
« Le continent est rentré dans un nouveau cycle historique », a martelé Mbembe, évoquant la fin du compromis postcolonial désormais caduc. Cette mouvance souverainiste, portée par des pressions démographiques et l'influence des idées panafricanistes, remet en cause la tutelle des anciennes puissances coloniales.
Le philosophe n'y est pas allé de main morte, appelant au démantèlement des « chiffons rouges » hérités comme le Franc CFA, jugé trop dispendieux. « Il faut s'en débarrasser, et en bon ordre » a-t-il insisté.
L'exemple sénégalais, un modèle à suivre ?
C'est l'élection de Bassirou Diomaye Faye qui a véritablement cristallisé ces espoirs de rupture. Pour Mbembe, l'accession démocratique au pouvoir du jeune président et de son parti Pastef « est sans doute l'événement le plus marquant des dernières décennies ».
Un événement d'autant plus significatif que la France, après ses déboires au Sahel, « commence à comprendre qu'une page est tournée ». La pression de la société civile lors de cette élection « montre que notre sort est entre nos mains », s'est-il félicité.
Intégration continentale et renaissance culturelle
Mais le défi ne fait que commencer selon le Camerounais. Pour franchir un cap décisif, « l'Afrique doit investir dans ses organisations sous-régionales » plaide-t-il, citant l'exemple du nouveau portefeuille " de l'Intégration africaine " au Sénégal.
L'universitaire appelle également à un "rapatriement de l'imaginaire" par la redécouverte des cultures, des savoirs et de l'art africains trop longtemps délaissés. Un prérequis pour "s'ouvrir à elle-même" et dépasser le morcellement actuel.
Si la tâche s'annonce ardue, la brèche est désormais ouverte selon Mbembe : « Une partie de l'élite comprend qu'il faut se positionner autrement ».
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LA TYRANNIE DU YEBBI
La contre-dot, supposée témoigner de la reconnaissance d'une mariée à sa belle-famille, vire à la ruine financière pour nombre de femmes. Une coutume dévoyée qui confisque leur liberté au nom des "valeurs culturelles"
Au Sénégal, une tradition ancestrale se mue petit à petit en fardeau économique pour les femmes. Le "yebbi", également appelé contre-dot, est censé symboliser la reconnaissance de la mariée envers sa nouvelle belle-famille par des présents offerts lors des cérémonies nuptiales. Mais cette coutume, autrefois sobre, a pris une tournure démesurée de nos jours.
Dans une course effrénée à l'apparat et au paraître, de nombreuses familles s'endettent lourdement pour offrir des cadeaux toujours plus luxueux et coûteux à la belle-famille : tissus de grand prix, bijoux somptueux, électroménager dernier cri... Les femmes, principales actrices de cette compétition dispendieuse, en sont souvent les premières victimes.