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16 novembre 2024
ISMAIL JAKOBS REJOINT LA TANIÈRE APRÈS UN FORFAIT ANNONCÉ PAR GALATASARAY
La FSF a constaté avec surprise que la défenseur a finalement été aligné par son club lors de leur match de championnat ce dimanche. Face à cette incohérence, elle a pris immédiatement des mesures en demandant la libération du joueur.
La Fédération Sénégalaise de Football (FSF) a annoncé un retournement de situation concernant le joueur Ismail Jakobs, initialement déclaré forfait pour les prochains matchs de l’équipe nationale en raison d’une blessure. Vendredi et samedi derniers, la FSF avait reçu une notification officielle du médecin du club turc Galatasaray, accompagnée d’IRM, stipulant que le joueur était blessé et indisponible pour la sélection sénégalaise. Suite à cette information, la Fédération avait communiqué son forfait sur ses réseaux sociaux, privilégiant l’intégrité physique du joueur.
La FSF a constaté avec surprise qu’Ismail Jakobs a finalement été aligné par Galatasaray lors de leur match de championnat ce dimanche, disputant l’intégralité de la rencontre. Face à cette incohérence, la Fédération Sénégalaise de Football a immédiatement pris des mesures en demandant la libération du joueur pour qu’il puisse rejoindre la sélection nationale, conformément à sa convocation initiale, selon le communiqué.
« Ismail Jakobs, qui n’était pas impliqué dans cette situation, a quitté Istanbul hier et a rejoint l’équipe du Sénégal ce lundi matin » précise le communiqué de la fédération. Sa présence renforcera les Lions de la Téranga pour les prochains défis.
Quant à Abdou Aziz Ndiaye, appelé en renfort suite à l’annonce du forfait de Jakobs, il restera au sein du groupe, offrant ainsi davantage de profondeur à la sélection.
LE GRAND TRI DES CANDIDATURES
Sur 51 listes déposées, seules 41 ont survécu au crible rigoureux du code électoral, laissant 10 formations sur le carreau pour diverses infractions. Le paysage politique qui se dessine promet une bataille électorale acharnée
(SenePlus) - Le ministère de l'Intérieur et de la Sécurité publique a dévoilé ce 7 octobre 2024 la liste officielle des candidatures pour les élections législatives anticipées du 17 novembre. L'arrêté signé par le ministre Jean Baptiste Tine offre un aperçu détaillé du paysage électoral à venir.
Sur 51 listes déposées, 41 ont été déclarées recevables. Parmi les partis et coalitions retenus, on note la présence de formations majeures telles que Pastef, mais aussi de nouvelles entités comme "And Liguey Sunu Rew" et "Jubanti Senegal". La liste complète comprend des coalitions comme "Takku Wallu Senegal", "Samm Sa Kaadu", et des partis comme "Bes Du Niakk".
Cependant, l'arrêté met en lumière le rejet de 10 listes pour diverses infractions au code électoral. Les motifs de rejet sont variés et spécifiques :
La coalition "Alliance Samm Sunu Senegal" a été écartée pour une liste incomplète au scrutin proportionnel.
L'entité "Front Ethique Republicain Avec Mamadou Sidibe" a été rejetée pour une liste proportionnelle incomplète, ne présentant que 15 titulaires sans suppléants.
Le parti "En Avant Ca Kanaam" n'a pas fourni la quittance du cautionnement requis.
"En Marche Pour La Renaissance Du Senegal" n'a pas déposé de liste de suppléants.
L'entité "Parti Pour La Renovation Et L'Emergence Du Senegal" a déposé sa candidature hors délai.
La coalition "RV Naatangue" n'a pas respecté la parité sur la liste des suppléants.
Des rejets partiels ont également été prononcés. La coalition "Takku Wallu Senegal" a vu ses candidatures invalidées dans les départements de Bakel entre autres pour non-respect du nombre de candidats requis. De même, la coalition "Defar Sa Gokh" a été rejetée dans le département de Pikine pour absence de liste de suppléants.
Les 41 listes retenues vont maintenant entrer dans une phase intense de mobilisation et de communication pour convaincre les électeurs sénégalais.
Ces élections, convoquées suite à la dissolution de l'Assemblée nationale le 12 septembre, représentent un moment crucial pour la démocratie sénégalaise. Elles interviennent dans un contexte de renouvellement politique, après l'élection de Bassirou Diomaye Faye à la présidence en avril 2024.
L'enjeu est de taille : la composition de la nouvelle Assemblée nationale déterminera la capacité du gouvernement à mettre en œuvre son programme. Dans un paysage politique fragmenté, comme en témoigne la diversité des listes retenues, la formation d'une majorité stable pourrait s'avérer un défi majeur.
Alors que le Sénégal s'engage dans cette nouvelle phase électorale, tous les regards sont tournés vers le 17 novembre, date qui pourrait redessiner les contours politiques du pays pour les années à venir.
L’ALLIANCE DES SYNDICATS AUTONOMES DE SANTÉ ANNONCE UN SIT-IN LE 11 OCTOBRE
L'ASAS exige le paiement des salaires des contractuels du PNDSS et la motivation nationale du 3e trimestre 2024. Les syndicats dénoncent une situation "injustifiable" liée à l'épuisement des fonds destinés aux rémunérations.
Le secteur de la santé va droit vers des remous. Un communiqué de l’Alliance des Syndicats Autonomes de Santé (ASAS) regroupant le SUTSAS, le SUDTM-SAT Santé, le D-CNTS Santé-SAT/CL et And GUEUSSEUM, annonce un sit-in national le 11 octobre afin d’exiger la prise en compte de leurs revendications.
«Jusqu’au 10 octobre courant, si les salaires des contractuels du PNDSS (ex Cobra, ex Jica, Gavi) ne sont pas payés ainsi que la motivation nationale du 3ème trimestre 2024, un sit-in national d’avertissement sera tenu le vendredi 11 octobre 2024 de 10h à 13h avec le respect des urgences et au service minimum, pour protestation contre cette situation plus que bizarre et injustifiable qui serait causée par un épuisement de la ligne budgétaire servant aux paiements des émoluments dès le mois d’août de l’année budgétaire », indique la note.
Toutefois, les syndicalistes ajoutent qu’un préavis de grève couvrant la période du 11 novembre 2024 au 11 janvier 2025 va être déposé avant le 11 octobre.
CRISE DU LOGEMENT
En cette Journée mondiale du logement prévue le premier lundi de chaque mois d’octobre, l’Association pour la défense des locataires du Sénégal (ADLS) a adressé hier une lettre au président de la République pour attirer son attention sur une problématique
En cette Journée mondiale du logement prévue le premier lundi de chaque mois d’octobre, l’Association pour la défense des locataires du Sénégal (ADLS) a adressé hier une lettre au président de la République pour attirer son attention sur une problématique cruciale qui touche de nombreux concitoyens, à savoir le déficit de logements sociaux et la cherté des loyers dans notre pays. La crise du logement, selon le document reçu, est devenue alarmante, car de plus en plus de familles peinent à trouver un logement décent à un prix abordable. Les inégalités se creusent et de nombreuses personnes se voient contraintes de choisir entre se loger et subvenir à leurs besoins fondamentaux. Cette situation n'est pas seulement un problème économique, mais également une question de dignité humaine.
‘’Malgré toutes les politiques de logements sociaux entreprises par vos prédécesseurs, le problème reste entier à cause d’assiettes foncières indisponibles et d’un manque de transparence dans le mode d’attribution, ce qui aggrave la situation. Les demandes sont en constante augmentation, tandis que l'offre reste largement insuffisante. Les projets de construction stagnent, souvent en raison de lourdeurs administratives, de budgets limités ou d'un manque de volonté politique. Pourtant, le droit à un logement décent est fondamental et doit être garanti pour tous. Sachant compter sur votre détermination à faire avancer le Sénégal, l’ADLS vous encourage à mettre en place des mesures audacieuses pour remédier à cette crise. Cela pourrait inclure la simplification des procédures de construction, l'augmentation des financements alloués aux projets de logements sociaux et l'encouragement de partenariats public-privé pour stimuler la création de nouvelles unités de logement.
Il est également essentiel d'encadrer le marché locatif afin de protéger les locataires face à l'augmentation incessante des prix des loyers. La mise en place de plafonds de loyer dans les zones les plus tendues et un soutien accru aux bailleurs qui accepteraient de vous accompagner dans la réalisation de vos objectifs sont des actions indispensables pour rétablir un équilibre sur ce marché. Tout ceci en attendant d’arriver à la digitalisation complète du secteur de l’immobilier’’, lit-on dans la lettre. D’après celle-ci, il est temps, pour le chef de l’État, d’agir avec détermination et de ‘’s’engager à garantir un accès au logement pour tous, car c'est un pilier de notre société’’.
POLÉMIQUE SUR LE VOILE, LE MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION PUBLIE UN ARRÊTÉ
"C'est juste un rappel des dispositions de la Constitution; un rappel du vivre ensemble, de l'acceptation de l'autre. C'est aussi un rappel du renforcement de la cohésion nationale et de l'acceptation des différences", a expliqué Moustapha Guirassy.
Alors que la question du voile dans les établissement privés catholiques faisait débat, le premier ministre Ousmane Sonko avait demandé à ce qu’un arrêté soit pris pour que tous les établissements se conforment aux dispositions de la constitution. C’est à présent effectif.
«L'arrêté est déjà disponible», a déclaré le ministre de l’Éducation, Moustapha Guirassy. Dans les colonnes de L’Observateur, il explique que ce lundi, les Inspections d'académies (la) et les services (les écoles) vont ouvrir l’année scolaire avec cet arrêté.
Et qu’est qui est dit dans cet arrêté ? «C'est juste un rappel des dispositions de la Constitution; un rappel du vivre ensemble, de l'acceptation de l'autre. C'est aussi un rappel du renforcement de la cohésion nationale et de l'acceptation des différences. C'est essentiellement ça, surtout c'est demander aux différents règlements intérieurs de se conformer à ces principes-là», explique le ministre.
L’effet escompté, c’est que es différences soient acceptées, mais aussi que l'activité pédagogique et scolaire soit au-dessus de tout, dit-il. «Il ne faut pas que les différences piétinent ou empêchent d'être performant», souligne le ministre.
LES DÉPUTÉS DE LA 14e LÉGISLATURE PRIVÉS DE SALAIRES
Alors que le paiement se faisait habituellement en fin de mois, ils attendent toujours en ce 7 octobre. Le Trésor public, de son côté, attend des instructions pour débloquer la situation, malgré les dispositions de l’article 87 de la Constitution.
Les députés sortants de la (14e législature) sont bel et bien privés de salaires et de carburant. Jusqu’à ce lundi matin, ils ne sont pas passés à la caisse alors qu’ils avaient l’habitude d’être payés à chaque fin du mois.
Joint au téléphone par la rédaction de iGFM, un député de la défunte législature confirme : «Me concernant c’est vrai. Je n’ai toujours pas reçu mon salaire ni ma dotation en carburant. Et pourtant, auparavant, nous percevions au plus tard le 1er de chaque mois. Mais ce mois-ci, pour le moment, rien et nous sommes le 7 Octobre aujourd’hui» dit-il.
De son Côté, le journal «Bes-bi» a déclaré que le Trésor public a été interpellé à plusieurs reprises, mais ses responsables déclarent attendre des «instructions». Et pourtant, en son article 87 la constitution dispose qu’en cas de dissolution de l'Assemblée nationale, «le mandat des députés n'expire qu'à la date de la proclamation de l'élection des membres de la nouvelle Assemblée nationale».
L’ETAT PEUT FAIRE UNE ÉCONOMIE DE 8 MILLIARDS AVEC LES BULLETINS EN PETIT FORMAT
L’Etat peut faire une économie de 8 milliards FCFA avec la confection des bulletins de vote en petit format pour les élections législatives anticipées du 17 novembre prochain, a déclaré lundi à Dakar, le Directeur général des élections, Birame Sène.
L’Etat peut faire une économie de 8 milliards FCFA avec la confection des bulletins de vote en petit format pour les élections législatives anticipées du 17 novembre prochain, a déclaré lundi à Dakar, le Directeur général des élections, Birame Sène.
La confection des bulletins en petit format ‘’peut faire une économie de 8 milliards à l’Etat’’, a-t-il dit, précisant que cette proposition émane de la société civile pour optimiser les coûts d’impression et faciliter le déroulement du vote pour les électeurs.
M. Sène qui était l’invité de la nouvelle émission matinale ‘’Salam Sénégal’’ de Radio Sénégal internationale (RSI) a annoncé que le ministre de l’Intérieur va rencontrer mardi à 16 heures les différents mandataires pour échanger sur cette question.
”Si la majorité des mandataires acceptent, nous avancerons dans ce sens. Dans le cas contraire, l’État prendra les mesures nécessaires pour garantir des élections transparentes et apaisées”, a t-il soutenu.
Il a rappelé que c’est le président de la République qui par décret fixe le format des bulletins de vote pour chaque des élections mais lorsque le débat a été agité, le ministre de l’Intérieur a invité les parties prenantes à une concertation autour de la question.
‘’Il n’y a aucune volonté de procéder à un hold-up électoral, contrairement aux accusations de mauvaise foi. Tout est fait dans la transparence’’, a-t-il affirmé.
Selon lui, les charges d’impression pour chaque candidat vont coûter 284 millions 500 sans compter les documents de propagande qui vont couter 21 millions pour chaque liste.
Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique va publier ce lundi la liste provisoire des candidats aux élections législatives du 17 novembre.
Le Directeur général des élections a assuré que ‘’l’arrêté du ministre de l’Intérieur qui sera publié ce lundi va comporter toutes les personnes investies sur les 46 départements de l’intérieur et les 8 départements de la Diaspora mais aussi sur les listes nationales’’.
Concernant le matériel électoral, le DGE a affirmé que toutes les régions du pays, à l’exception de Dakar, ont déjà été approvisionnées.
LE DESTIN POLITIQUE DE MACKY SALL
L'ex-président, confronté aux accusations de "carnage financier" de son successeur, semble déterminé à reprendre les rênes de l'opposition. Ce retour, seulement huit mois après avoir quitté le pouvoir, soulève des questions sur ses véritables motivations
Macky Sall est face à son destin d’ancien président de la République dont la gestion a été décriée par l’actuel Premier ministre et président du parti Pastef, Ousmane Sonko. Qui parle de «carnage financier». Il va diriger la liste de sa coalition. Pourquoi l’ancien Président souhaite-t-il revenir dans l’arène politique, 8 mois seulement après son départ ? Tentative de réponse.
C’est ce que certains observateurs attendaient, et Macky Sall l’a officialisé ! L’ancien président de la République revient dans l’arène politique. Macky Sall l’a confirmé dans une lettre actant sa démission du Pacte de Paris pour les peuples et la planète où il était l’Envoye spécial depuis l’élection de Bassirou Diomaye Diakhar Faye.
Si pour l’heure, Macky Sall souhaite éviter un «conflit d’intérêts» en rendant le tablier, des questions persistent quant au timing. En effet, presque 8 mois après avoir quitté le pouvoir, Macky Sall revient dans l’arène politique. Est-ce que ce retour n’a pas pour but de vider le contentieux l’opposant à son ancien Premier ministre et candidat à la dernière présidentielle, Amadou Ba. Qui avait été choisi pour être candidat de Benno bokk yaakaar (Bby) sans bénéficier du soutien qu’il devait recevoir de Macky Sall. L’ancien Président avait-il sciemment saboté la campagne de Amadou Ba pour revenir ensuite ?
En effet, si Amadou Ba avait été vainqueur de la présidentielle, Macky Sall serait beaucoup plus proche d’une retraite que d’un retour. En attendant d’y voir clair, Macky Sall n’est pas le premier Président ayant quitté le pouvoir à revenir pour «compétir» à la députation. Abdoulaye Wade qu’il avait remplacé à la tête du pays, l’avait fait. Le pape du Sopi avait réussi à décrocher une vingtaine de sièges. Pour Macky Sall, l’ambition est tout autre. En effet, avant la dissolution de l’Assemblée nationale, sa coalition avait réussi à avoir 82 députés pour la XIVème législature. Le ralliement de Pape Diop lui avait assuré le Perchoir. Macky Sall, en rêvant, va-t-il se contenter d’une vingtaine de députés ? La réponse est non, sans risque de se tromper.
Avec le «carnage financier» que Ousmane Sonko a annoncé et probablement des poursuites judiciaires qui vont en découler, l’ancien président de la République cherche-t-il une protection en concourant à la députation ? En effet, étant un ancien chef d’Etat, il ne peut être jugé que par la Haute cour de justice que la future Assemblée nationale doit installer.
En contrôlant la Chambre parlementaire, l’ancien président de la République aura son destin en main. Le contrôle de l’Assemblée nationale n’aura pas que des relents judiciaires. En effet, il peut être un tremplin pour Macky Sall pour la présidentielle de 2029. Faire désavouer le duo Sonko-Diomaye, 8 mois seulement après leur arrivée au pouvoir, serait une sacrée prouesse que la bête politique Macky Sall ne manquera pas de capitaliser. Mais 2029 est encore loin.
Macky Sall devra régler son différend avec Amadou Ba. Avec près de 35% des voix lors de la dernière Présidentielle, Amadou Ba a montré ses capacités et ce, malgré le sabotage dont il a été victime. Il a récupéré le Ps et l’Afp, en plus d’une trentaine de partis et mouvements politiques de Bby. Quel sera, alors, le poids électoral de Macky Sall ? Cette question va être plus que scrutée, car le duel que l’ancien président de la République n’a jamais voulu aura probablement lieu. Si Ousmane Sonko devient la tête de liste de Pastef, il va faire face à Macky Sall. Mais cette fois-ci, les rôles vont être inversés. Sonko aura avec lui toute la puissance du pouvoir et Macky devra probablement compter sur une intercoalition pour espérer avoir une chance.
COUPE DE LA CAF, LE JARAAF DANS LA POULE C
L’ASC Jaraaf est logée dans la poule B des phases de groupe de la Coupe de la Confédération de la Confédération africaine de football, avec l’USM Alger, L’ASEC Mimosas et Orapa United
L’ASC Jaraaf est logée dans la poule B des phases de groupe de la Coupe de la Confédération de la Confédération africaine de football, avec l’USM Alger, L’ASEC Mimosas et Orapa United, a appris l’APS, à l’issue du tirage au sort effectué, lundi au Caire.
Le club sénégalais sera opposé aux équipes algérienne de USM Alger, ivoirienne de l’ASEC Mimosas et bostwanaise d’Orapa United.
Les matchs des phases de poule de la Ligue des champions et de la Coupe de la confédération africaine de football (CAF) se dérouleront du 26 novembre au 15 décembre 2024.
Les premières journées des deux compétitions se joueront du 26 au 27 novembre, les deuxièmes journées étant programmées entre le 6 et le 8 décembre.
La période du 13 au 15 décembre est retenue pour les dernières journées.
Le Sénégal sera représenté par l’ASC Jaraaf en Coupe de la CAF.
Trois ans après son élimination en quart de finale de la même compétition par le Coton sport de Garoua (Cameroun), le club de la Medina, à Dakar, retrouve les phases de groupe de la compétition continentale des clubs.
Teungueth FC, champion en titre, représentait le Sénégal en Ligue africaine des champions mais le club basé dans la ville de Rufisque, à la sortie de Dakar, a été éliminé dès le premier tour préliminaire par le Stade d’Abidjan.
Les phases à élimination directe et la finale des deux compétitions se dérouleront entre mars et mai 2025.
Al Ahly (Égypte), détentrice du titre en Ligue africaine des champions, est aussi l’équipe la plus couronnée dans cette compétition qu’elle a remporté 12 fois.
Le Zamalek, l’autre grand club égyptien, est le tenant du titre en coupe de la Confédération africaine de football mais également en Supercoupe de la CAF.
L’usine Sonacos de Kaolack opérationnelle…
A l’arrêt depuis deux ans, l’usine de la Sonacos Lyndiane de Kaolack va reprendre ses activités. L’annonce est du Directeur général de la Sonacos, Ndane Diagne qui soutient que des démarches sont en train d’être faites pour relancer les activités dans toutes les usines de la Sonacos. Selon M. Diagne, l’objectif est de faire retrouver à la Sonacos son lustre d’antan. Il souligne que le Sénégal est un pays agricole et nous avons la matière première. A l’en croire, à leur arrivée au pouvoir, les autorités ont privilégié la relance des activités des usines de Sonacos. Cela a commencé avec l’usine de Dakar qui a démarré le raffinage. La semaine prochaine, les usines de Louga, Diourbel et Ziguinchor vont commencer à fonctionner et à produire avec une capacité maximale au grand bonheur des employés. D’ailleurs les recrutements ont débuté dans la région du Sud. Cela montre tout simplement, dit-il, que la Sonacos commence à reprendre un nouveau souffle. Le Dg de la Sonacos indique que l’usine de Sonacos Lyndiane sera bientôt fonctionnelle avec sa capacité maximale. Présentement, les techniciens sont en train de faire la maintenance des machines. Au maximum, dans un mois et demi, l’usine sera opérationnelle. Le recrutement du personnel sera bientôt lancé. A l’en croire, la relance des activités de l’usine va permettre d'employer beaucoup de jeunes et d’impacter positivement sur le phénomène de l’immigration irrégulière. Pour ce qui est de la responsabilité sociale de l’entreprise dans cette zone, il promet que l'unité industrielle va petit à petit investir dans des activités qui vont impacter la vie des populations.
Trois personnes meurent dans un accident de la circulation
Trois personnes ont trouvé la mort dans un accident de la circulation survenu vendredi soir, sur la route nationale n°4, dans le département de Nioro du Rip, a appris l’Aps du commandant de la 31e compagnie d’incendie et de secours de la brigade nationale des Sapeurs-pompiers de Kaolack. Selon le commandant Yahya Mané, il s’agit d’une collision entre un véhicule particulier et un camion, survenue vers 21 heures 26 minutes, à hauteur du village de Sanguile sérère, sur la transgambienne. Trois blessés ont été dénombrés par les sapeurs-pompiers arrivés sur les lieux dix minutes après l’accident. Les secouristes de la 31e compagnie d’incendie et de secours de la brigade nationale des Sapeurs-pompiers de Kaolack ont trouvé sur place trois corps sans vie et trois blessés. Toutes les victimes étaient dans le véhicule particulier. Les personnes décédées ont été acheminées au Centre hospitalier régional El Hadji Ibrahima Niass (CHREIN) de Kaolack. La gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer les véritables causes de cet accident mortel.
La Gauche plurielle défend le PIT
Les partis de la gauche plurielle prennent la défense du Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT) qui a été démenti par le gouvernement avec des menaces à peine voilées. Les organisations membres de la Gauche plurielle rappellent au pouvoir que ses militants ont consenti toutes sortes de sacrifices pour l’avènement, au Sénégal, d’un régime démocratique qui garantit la libre expression des opinions et acteurs de toutes les luttes, ce n’est donc pas aujourd’hui que des apprentis-dictateurs, surgis de nulle part, l’insulte à la bouche, réussiront à museler leurs partis.Ils préviennent dans un communiqué que toute tentative de confiscation des libertés et droits des citoyens conquis de haute lutte est vouée à l’échec. A les en croire, le PIT n’a fait qu’alerter le peuple sur l’éventualité d’une difficile situation économique et sociale à venir. Pour la gauche plurielle, le pouvoir actuel devrait s’atteler plutôt à apporter des solutions aux problèmes que rencontrent nos concitoyens, notamment la cherté de la vie, le chômage, l’émigration irrégulière, etc. Devant son impuissance à satisfaire les légitimes aspirations du peuple, regrette la gauche, le pouvoir s’efforce d’instaurer un régime de terreur pour bâillonner les voix dissonantes.
Deux garçons meurent par noyade à Koussanar
Deux garçons âgés de 11 et 15 ans sont décédés samedi, par noyade dans une mare, à Koussanar, une commune située à près de 50 kilomètres de la ville de Tambacounda, a appris l’Aps d’une autorité de la municipalité. « C’est vers 18h que le drame s’est produit. Il s’agit de deux garçons âgés de 11 ans et 15 ans qui étaient partis pour faire une baignade dans une mare qui se trouve dans la commune », a déclaré la source lors d’un entretien téléphonique. Selon elle, les corps des deux jeunes garçons ont été repêchés et acheminés à la morgue de Tambacounda, par les sapeurs-pompiers, avec l’aide des populations.
Sidy blesse un policier
Sidy devient belliqueux lorsqu’il prend sa dose de drogue. Habitant l’unité 25 des Parcelles assainies, il a blessé grièvement un agent de police lors d’une tentative de voler son téléphone portable ainsi que son oncle. Sidy est déféré au parquet pour détention et usage d’arme blanche, menaces de mort, injures publiques et coups et blessures.
Le maire Sékouna Diatta appuie les écoles
Le Directeur général de l’Agence nationale de la reforestation et de la Grande muraille verte, par ailleurs maire de la commune de Mangagoulack, Sékouna Diatta vient à la rescousse des élèves de sa commune. Il a donné des fournitures aux différents établissements de la commune. Pour lui cet appui va aider les enseignants et les élèves à démarrer les cours dès l’ouverture conformément au concept «Ubi Tay Jang Tay». Le maire de Mangagoulack a exhorté les élèves à réduire considérablement les distractions. Il invite aussi les parents à veiller sur leurs enfants afin d'éviter toute sorte de manifestation qui puisse perturber la quiétude des élèves pendant la période scolaire.
Vol de chèques
Cuisinier de profession, S. Sène s’essaie au vol à ses heures perdues. Il a profité de l’inattention de son patron, Zhang. X. pour voler deux chèques. Ce dernier ayant constaté la disparition des chèques s’en est ouvert à sa banque. Et lorsque Sène s’est pointé à la banque pour retirer l’argent, il a été démasqué. Mais il a profité de l’inattention des gens pour prendre la fuite. Mais il a été interpellé par la police des Parcelles assainies. Lors de son interrogatoire, il déclare avoir ramassé les chèques. Des allégations qui n’ont guère convaincu les hommes du Commissaire Kébé qui vont le placer en garde à vue avant de le déférer au parquet pour flagrant délit de vol.
Promotion des valeurs civiques et citoyennes
La perte de valeurs civiques et citoyennes préoccupe les membres de la Plateforme des Anciens IDL du service Civique national (PLAISE Civique). Ainsi dans un besoin de construire un nouveau type de Sénégalais imbu de valeurs républicaines, le président de la Plaise, Mouhamed Lamine Thioune et Cie ont procédé samedi au lancement officiel de leurs activités. Leur objectif est d'accompagner les nouvelles autorités dans la promotion des valeurs civiques, à la citoyenneté active, et à l'engagement social au Sénégal. Il souligne que ces valeurs permettent de garantir une société où chacun peut s’épanouir, dans la justice et l’équité.
Publication des listes des partis et coalitions
Les Sénégalais seront édifiés aujourd’hui sur les listes en compétition aux élections législatives du 17 novembre 2024. Ayant bouclé la vérification vendredi, la Direction générale des élections avait permis à certains mandataires de compléter des documents ou de procéder à des rectifications. C’est aujourd’hui qu’elle va publier la liste de partis et coalitions et ouvrir la période contentieuse. Ainsi les mandataires auront la possibilité de voir la composition de toutes les listes. Le conseil constitutionnel qui hérite du dossier aujourd’hui attend sans doute d’être saisi par des mandataires pour contester certaines listes avant la publication de la liste définitive des coalitions et partis en lice.
Djibril Thiam, lauréat du Concours jeunesse francophonie
Le Sénégalais Djibril Thiam, 31 ans, technicien supérieur en administration culturelle, est Directeur de « Le Régal Culturel », une structure culturelle et éducative fondée en 2020. Avec son projet intitulé «Aar sunu mbatiit», il est lauréat du concours Jeunesse francophonie (Créer, innover et entreprendre en français) dans la catégorie culture et numérique, après le correspondant du le soleil à Paris. Un projet qui cherche à « Valoriser notre culture » et à contribuer à la protection, la transmission, à la préservation et à l’archivage du patrimoine immatériel sénégalais. Cela, par le biais du slam, podcast, animation 3D, livret de jeu pour et par nos différentes langues locales et traduction des productions en français pour contribuer à sa sauvegarde.
Un accident fait 2 morts et 2 blessés sur l'axe Fatick-Mbour
Un accident d'une rare violence s'est produit sur l'axe Fatick-Mbour à hauteur de Ndiosmone. Il s'agit d'une collision entre deux camions. Selon nos informations, le bilan est de 2 morts et 2 blessés graves. Ils ont été tous évacués à l'hôpital.
Un mort dans un accident à Tivaouane
Un accident s'est produit ce samedi entre Tivaouane et Thiès, à hauteur de Ndiobène. Le choc implique un camion et un véhicule de type 7 places. D'après les témoins, le chauffeur du dernier véhicule a perdu le contrôle du véhicule avant de se faire rentrer dessus par un camion. Le bilan fait état d'un mort et des blessés.
And Gueusseum annonce un sit-in national de protestation
L’alliance des syndicats autonomes de la santé Asas/And Gueusseum est déterminée à en découdre avec les nouvelles autorités. Six mois après leur installation à la tête du pays, And Gueusseum décrète un sit-in national de protestation etle dépôt d’un préavis de grève. Dans un communiqué reçu à «L’As», elle donne un ultimatum au gouvernement jusqu’au 10 octobre pour les salaires des contractuels du PNDSS (ex Cobra, ex Jica, ex Gavi, …) et la motivation du 3e trimestre 2024. «Nous allons tenir un sit-in national d'avertissement le vendredi 11 octobre 2024 de 10h à 13h avec le respect des urgences et du service minimum pour protestation contre cette situation plus que bizarre et injustifiable qui serait causée par un épuisement de la ligne budgétaire servant aux paiements des émoluments dès le mois d’août de l’année budgétaire», indique le directoire. A l’en croire, ce sit-in national sera précédé d'un dépôt de préavis couvrant la période du 11 novembre 2024 au 11 janvier 2025 pour exiger du gouvernement le paiement immédiat des salaires et accessoires de salaire des contractuels dus et leur sécurisation pour le reste de l’année ainsi que l'application des accords résiduels gouvernement-And Gueusseum du 10 mai 2022, notamment le paiement des augmentations de salaire aux contractuels des établissements publics de santé et d'action sociale et ceux des Collectivités territoriales en plus des accords du 25 mars 2022 Gouvernement-Sutsas cosignés avec le ministre de la Santé et de l'Action Sociale.