Le leader de la Coalition Gakou 2024, recalé au premier passage devant la commission de vérification des parrainages ne traine pas les pieds. Et pour cause, son mandataire a déposé ce lundi 8 janvier 18 000 parrains pour régulariser les 3452 doublons. Il est le premier parmi les recalés du premier tour à régulariser devant la commission de vérification.
FONCTIONNAIRE NE DOIT PAS RIMER AVEC MILLIARDAIRE
"Sauver l’administration sénégalaise" , c’est l’appel lancé par le Président national des entrepreneurs du Sénégal (Rnes), Mamadou Thiam.
iGFM- (Dakar) "Sauver l’administration sénégalaise" , c’est l’appel lancé par le Président national des entrepreneurs du Sénégal (Rnes). Mamadou Thiam, lors de cet entretien avec Senego, est revenu sur la situation politico-économique du pays. Occasion pour lui de faire des propositions aux autorités sur la création d’emplois, afin d’en faire profiter les jeunes et arrêter la saignée qu’est la migration irrégulière.
Migration irrégulière et manque d’emploi au Sénégal…
« Les jeunes ne savent plus à quel Saint se vouer« , a constaté notre interlocuteur qui rappelle leur Panel organisé récemment, sous le thème : « L’entrepreneuriat face à la problématique de l’émigration clandestine« . Une rencontre, soutient-il, avec pour objectif de trouver des solutions face au fléau de la migration irrégulière. « Des solutions ont été proposées… Et Diop Sy avait même proposé que chaque entrepreneur puisse parrainer deux jeunes. Ce qui pourrait aboutir à des solutions… Et nous sommes sur le point de rassembler des jeunes afin de les écouter et voir dans quelle mesure les financer dans le domaine d’activité de leur choix. Un pays ne peut se développer sans que les citoyens aient la possibilité de travailler« , a soutenu M. Thiam sur Senego.
Formation et emploi…
« Nous avons une population sénégalaise très jeune… Et un jeune désespéré est sujet à de nombreuses tentations« , a-t-il remarqué. A cet effet, il estime que la « première chose à laquelle devait penser l’Etat c’est de trouver un travail à ces jeunes. Et c’est ce manque d’emploi qui a provoqué cette immigration irrégulière. Ils sont nombreux les jeunes avec leurs diplômes en poche, sans métiers. Il faut penser à les former, parce que c’est bien beau de créer la DER et autres, mais on ne peut financer une personne sans qualification professionnelle« .
Le consommer local…
« Un pays ne peut se développer sans agriculture. Il faut penser à produire, dans notre pays, ce que nous consommons… En plus nous avons les ressources nécessaires à ce développement. Nous avons les terres, la main d’œuvre jeune et qualifiée… Et j’ai eu à visiter les coins les plus reculés du Sénégal, mais malheureusement, le Sénégalais préfère chercher ailleurs. Tous nos produits sont importés, sans compter les taxes à payer. C’est vraiment fatiguer les populations…« , regrette notre interlocuteur.
M. Thiam ne comprend, surtout pas le fait que nos autorités privilégient les étrangers sur les nationaux : « Je l’ai dit une fois au Président, à Kaolack. Je lui ai fait savoir que tant qu’il ne soutient pas les petites et moyennes entreprises (PME), les choses ne vont pas avancer« .
Présidentielle 2024 et risque de déstabilisation…
Le Sénégal s’achemine vers une élection présidentielle qui s’annonce mouvementée. Et ils sont nombreux les économistes à s’inquiéter sur la situation économique du pays, comme ce fut le cas en mars 2022. Mamadou Thiam de rappeler qu’élection, au Sénégal, a beaucoup rimé avec violence. Toutefois, il estime que la solution est de discuter avec la nouvelle génération, la conscientiser sur le fait qu’on peut faire part de son désaccord sans casser quoi que ce soit. « Ils doivent avoir conscience que les politiciens ne représentent pas plus de 5% de la population. Ce n’est pas normal qu’ils nous monopolisent. Et les politiciens aussi doivent savoir que la politique ne développe pas un pays. Certains même pensent aujourd’hui, il faut passer par la politique pour voir des privilèges, être riche, parce qu’ils choisissent la facilité. Ce sont des choses à bannir« , fustige-t-il. Non sans appeler les différents candidats à faire part de leur programme sur l’entrepreneuriat.
A l’endroit du patronnât du Sénégal…
« J’ai l’habitude de dire que le patronnât doit tout faire pour trouver des solutions à l’emploi des jeunes. Le patronnât ce ne sont pas les festivités, la musique, décorer les soi-disant meilleurs patrons. Ce sont nos ainés, mais parfois je me dit que quelqu’un qui a 70 ans ne peut plus parler avec le gamin de 30 ans« , rappelle-t-il.
Ses attentes du prochain Président…
« Ce qui nous intéresse, particulièrement c’est l’entrepreneuriat. Nous attendons aussi du prochain président qu’il soit un homme de Dialogue, de paix. Surtout qu’il soutienne les jeunes… Il faut que le prochain Président trouve des solutions pour que les jeunes puissent travailler, entreprendre…« , une manière, selon lui, de faire rester les jeunes au pays. Il souhaite, surtout, que ce dernier revoie l’administration sénégalaise. « Un simple fonctionnaire ne peut être milliardaire« , a-t-il fustigé. Avant de poursuivre : « Il faut que les gens arrêtent de s’accaparer des marchés publics à travers des membres de leurs familles, leurs proches (frères, beau-frère, femme, fils…) Il ne font que partager, entre eux, l’argent du contribuable sénégalais« .
"Ce qui sont déjà à l'étranger doivent dire la vérité à ceux qui...
Il a, aussi profité de l’occasion pour lancer un message à l’endroit de certains sénégalais de la Diaspora qui vendent un rêve aux jeunes sénégalais qui empruntent les embarcations de fortunes à la recherche de l’eldorado : « Ce qui sont déjà à l’étranger doivent dire la vérité à ceux qui veulent se lancer à l’aventure. Nous avons beaucoup voyagé et avons remarqué que nombreux de nos compatriotes sont fatigués en Europe. Et je pense aussi que pour réussir à l’étranger, il faut d’abord croire au développement du Sénégal« .
Et en conclusion, le Président national des entrepreneurs du Sénégal (Rnes) a particulièrement lancé un message à l’endroit de nos autorités. Il insiste sur l’entrepreneuriat des jeunes. Et comme solutions alternative à l’emplois massif des jeunes, il propose le pavages des quartiers et aider les jeunes à s’investir dans le domaine. « Nous avons la matière première. Et même le ciment ne devait pas être aussi cher. Nous avons combien d’usine de cimenterie, et la concurrence de se fait pas ressentir. Le sac de ciment pouvait même couter 2000 F Cfa. Parce que la matière première se trouve au Sénégal«
MATCH AMICAL, ALIOU CISSÉ S’ESSAIE ENCORE AU 3-4-3 HYBRIDE
Pour ce seul match amical de préparation, l’entraineur de l’équipe nationale du Sénégal a concocté un 3-4-3 hybride pour faire face au Niger comme ce fut le cas contre le Cameroun en octobre et le Togo en novembre.
Pour ce seul match amical de préparation, l’entraineur de l’équipe nationale du Sénégal a concocté un 3-4-3 hybride pour faire face au Niger comme ce fut le cas contre le Cameroun en octobre et le Togo en novembre. Aliou Cissé a mis ses meilleurs hommes possibles en fonction des blessures et autres incertitudes pour cette rencontre. Edouard Mendy sera dans les buts alors que Kalidou Koulibaly, Moussa Niakhaté et Abdou Diallo seront aux aguets en défense avec Krépin Diatta et Ismail Jakobs comme pistons. Lamine Camara et Pape Guèye seront aux manettes dans l’entrejeu pour une première fois alors que le trio d’attaque sera composé d’Iliman Ndiaye, Ismaïla Sarr et Habib Diallo.
Sadio Mané absent
L’absent le plus présent de ce onze est Sadio Mané qui a été ménagé par le technicien aux dreadlocks. Le numéro 10 des Lions, qui s’est marié ce dimanche, n’est pas apparu sur la pelouse au moment de la reconnaissance de la pelouse mais également au moment de l’échauffement. Blessés et en passe de déclarer forfait pour la Can, Boulaye Dia et Seny Dieng étaient aussi aux abonnés absents.
par Ibrahima Anne
ON N’Y ENTRE PAS COMME DANS LES ORDRES
Il est loin, très loin le temps où on adhérait en politique comme on entre en religion. A cet alimentaire, parlez-lui de Cheikh Anta Diop, il vous dira que le «Pharaon noir» ne savait pas ce qu’il voulait...
La politique, pense-t-on, est plus affaire d’intérêts immédiats que de convictions fortes. La preuve, ils sont nombreux des compatriotes à avoir milité dans beaucoup de partis, l’essentiel étant que ceux-ci soient au pouvoir, procèdent aux nominations, distribuent les privilèges et les prébendes, permettent les passe-droits… Chez ces alimentaires, le but recherché justifie les postures. Et les impostures. Le sobriquet de caméléon va comme un gant à ces spécimens qui n’en a cure qu’on puise dans le vocabulaire animal pour qualifier sa reptation : la transhumance. Parce que c’est leur pointure. Et ils n’en ont cure de ces railleries, ces politiciens d’un genre si particulier. Au diable les idéologies. Chez eux, tout se conjugue en espèces sonnantes, trébuchantes, ronflantes et immédiatement disponibles.
Il est loin, très loin le temps où on adhérait en politique comme on entre en religion. A cet alimentaire, parlez-lui de Cheikh Anta Diop, il vous dira que le «Pharaon noir» ne savait pas ce qu’il voulait. Dans la petite cervelle du commensal, savoir ce que l’on veut, c’est savoir monnayer ses convictions, peu importe le coût moral. D’ailleurs, si vous vous hasardez à lui parler de morale, vous avez une forte chance de vous voir répliquer que «politique ak morale andoul». Autrement dit, politique et morale ne font pas bon ménage, selon ce disciple lointain de Machiavel. Malheureusement, c’est cette classe de rapaces qui ont pris en otage le jeu politique, faussé le libre choix démocratique en passant allègrement du camp des vaincus à celui des vainqueurs. Au grand dam de l’électeur qui se sent floué voire escroqué dans son vote.
Il est loin, trop loin le temps où les formations politiques étaient un véritable creuset de formation de l’homme tout court : dans sa tenue et sa retenue. A cette époque, on était communiste et en mourait ; socialiste un jour, socialiste pour toujours, libéral, un jour, libéral pour l’éternité. Le débat politique était de haute facture parce que ceux qui avaient droit à la parole dans l’espace public ne parlaient pas la bouche pleine mais la tête remplie d’idées. Etre libéral, socialiste ou communiste avait un sens chez ce type de Sénégalais en voie de disparition s’ils n’ont déjà quitté la scène pour l’Au-delà. Aujourd’hui, être politicien, c’est savoir ruser, enjamber allègrement les frontières idéologiques et se servir à la petite cuillère de la misère des plébéiens pour son profit personnel.
Hélas, ce saltimbanque chez qui les acrobaties politiques n’ont guère de secret a de beaux jours devant lui en ce qu’il trouve toujours justification dans notre substrat socio-culturel qui veut que le pouvoir étant de l’ordre du divin, ce serait un sacrilège que de s’opposer à son dépositaire du moment. Toute chose ayant une fin, il faudra bien que, un jour, ce cinéma cesse pour laisser la place à un jeu politique lisible où la morale est restaurée. A défaut, ce sera l’éternel recommencement : déshabillé, Madou change de veste et devient Douma. Au grand malheur du citoyen-électeur dont le choix, aussi éclairé soit-il, compte, finalement, pour du beurre.
PARRAINAGES, BOUN ABDALLAH DIONNE CRITIQUE LA PROCÉDURE
«L’exigence d’un nouvel examen du système de parrainages par le Conseil Constitutionnel nous parait ainsi incontournable si nous voulons réellement renforcer l’intégrité et la sincérité de l’élection présidentielle à venir».
Lors de la première partie du contrôle des parrainages par la commission, beaucoup de têtes sont tombées car plus de 60 candidats à la présidentielle ont été recalés. D’où la nécessité de revoir le système, selon l’ancien premier ministre Boun Abdallah Dionne. Dans un document rendu public, il interpelle le président de la République dans ce sens.
Le système du parrainage est le moyen le plus rapide et le plus efficace plus filtrer les candidats pour les élections présidentielles de février 2024, cela s’est surtout matérialisé lors du dernier exercice du Conseil Constitutionnel. Le candidat Boun Abdallah Dionne, s’offusque. «Bon an mal, le Sénégal avance vers la tenue de l’élection présidentielle du 25 février 2024, nonobstant la mise hors course de certaines identités remarquables se situant dans le haut du palmarès de l’opposition politique. C’est donc constater que les pratiques actuelles du système de parrainage balafrent hideusement notre démocratie», soutient l’ancien Premier ministre.
L’ex lieutenant de Macky Sall, l’interpelle directement par rapport au système de parrainage. «Je demande au Chef de l’Etat, gardien de la constitution, de permettre à la classe politique nationale de tenir une discussion encadrée, immédiate et imminente pour pister les incohérences et trouver des solutions idoines et durables d’une élection libre, apaisée, transparente et régulière », propose-t-il avant de renchérir : «L’exigence d’un nouvel examen du système de parrainages par le Conseil Constitutionnel nous parait ainsi incontournable si nous voulons réellement renforcer l’intégrité et la sincérité de l’élection présidentielle à venir».
Beaucoup de surprises ont été notées durant les parrainages vu que des politiciens (Idrissa Seck, Souleymane Ndéné Ndiaye, Mimi Touré…) qui ont blanchi sous le harnais pour ne pas dire des ténors de la politique sénégalaise ont eu toutes les difficultés du monde à passer haut la main cette barrière des parrainages. Ce qui intrigue l’ancien directeur de campagne de Macky Sall. «Sinon comment expliquer que même des anciens membres du gouvernement arrivés il y a moins de 5 ans, dans la quintette majeure de l’élection présidentielle, se retrouvent aujourd’hui avec les contraintes aberrantes de parrainages que nous connaissons en termes de doublons externes», affirme monsieur Dionne.
Pour rappel, Boun Abdallah Dionne, doit régulariser son parrainage au second tour car il validé 36414 parrains sur un minimum de 44231 à valider.
UN EX-MINISTRE DE JAMMEH JUGÉ EN SUISSE POUR CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ
Le procès de l’ancien ministre gambien de l’Intérieur sous Yahya Jammeh, Ousman Sonko, débute ce lundi 08 janvier. Son jugement devrait durer environ trois semaines.
Le procès de l’ancien ministre gambien de l’Intérieur sous Yahya Jammeh, Ousman Sonko, débute ce lundi 08 janvier. Son jugement devrait durer environ trois semaines. Il est poursuivi pour crimes contre l’humanité liés à des actes de torture, d’enlèvements, de violences sexuelles et d’exécution extrajudiciaire entre 2000 et 2016. L’ancien ministre conteste les charges retenues contre lui. Son sort est ainsi entre les mains de la justice helvétique car le droit suisse reconnaît la compétence universelle pour certains crimes internationaux graves. Cela, quel que soit l’endroit où ils ont été commis, la nationalité des suspects ou celle des victimes.
Pour rappel, Ousman Sonkoa été arrêté à Berne, en Suisse où il a demandé l’asile, le 26 janvier 2017, au lendemain de la plainte déposée au pénal contre lui par TRIAL International, une ONG suisse. En 2021, le rapport final de la Commission Vérité, réconciliation et réparations a conclu que Jammeh et 69 de ses collaborateurs, dont l’ex-ministre en question, ont commis des crimes contre l’humanité au préjudice des populations civiles gambiennes.
LE COLLECTIF DES CANDIDATS SPOLIÉS VA BIENTÔT DÉVOILER SON PLAN D’ACTION
Selon Aminata Touré, représentante du collectif des candidats spoliés, dans les jours à venir, le collectif «va dévoiler son plan d’action qui sera à la hauteur de la forfaiture»
Comme indiqué, le collectif des 28 candidats recalés s’est présenté devant le Conseil Constitutionnel pour déposer un recours. Cependant, la présidente de la coalition MIMI 2024 a été bloquée nette par les gendarmes à la porte du Conseil Constitutionnel. Les limiers l’ont empêché d’entrer et l’ont enjoint de se déplacer vers l’autre rue.
Finalement après moult conciliabules, la gendarmerie leur a permis d’entrer pour déposer leur requête en compagnie de Aly Ngouille Ndiaye, Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly et Assome Diatta.
A sa sortie, la délégation a fait savoir qu’elle a déjà déposé son recours et ne compte pas s’arrêter là. Selon Aminata Touré représentante du collectif des candidats spoliés, dans les jours à venir, le collectif «va dévoiler son plan d’action qui sera à la hauteur de la forfaiture» et plaide pour l’arrêt du processus qui est en cours qui présage une tentative de saboter l’élection présidentielle.
Par ailleurs, Aminata Touré demande au Conseil Constitutionnel de restituer les parrains de candidats qui sont fichés personnes non identifiées.
IL Y A DES ERREURS SUR LE FICHIER ÉLECTORAL SELON ALY NGOUILLE NDIAYE
Les candidats qui doivent compléter leurs dossiers commencent à défiler dans les locaux du Conseil constitutionnel. C’est le cas de l’ancien ministre Aly Ngouille Ndiaye qui vient, à l’instant, de tenir une déclaration de presse.
Les candidats qui doivent compléter leurs dossiers commencent à défiler dans les locaux du Conseil constitutionnel. C’est le cas de l’ancien ministre Aly Ngouille Ndiaye qui vient, à l’instant, de tenir une déclaration de presse.
«Nous avons fait tout ce qu’il fallait. Maintenant, nous attendons leurs réactions (Ndlr : les 7 Sages). Aujourd’hui, nous avons la preuve qu’il y a des erreurs sur le fichier électoral. Si par exemple, le Pr Ben Diop candidat avait voté en 2022 avec tant d’autres personnes et qu’en retour on leur dise que leurs noms ne figurent pas sur ledit fichier, cela veut dire qu’il y a problème», a laissé entendre le chef de file de la coalition «Aly Ngouille 2024».
«Nous ne sommes pas les auteurs de ce désagrément. C’est vendredi dernier qu’on nous a notifiés ce qu’il en est. Ils peuvent reprendre la procédure à tout moment. Ils ont jusqu’au 20 janvier pour donner la liste», a-t-il ajouté. Pour rappel, Aly Ngouille avait validé 43137 parrains.
LE STAFF DE YOUSSOU NDOUR ANNONCE UN REMAKE DU GRAND BAL
L’information vient de tomber. Le roi du mbalax Youssou Ndour va organiser un autre Grand Bal ce 20 janvier au Grand Théâtre national avant d’enchainer avec celui de Mbour la semaine suivante.
L’information vient de tomber. Le roi du mbalax Youssou Ndour va organiser un autre Grand Bal ce 20 janvier au Grand Théâtre national avant d’enchainer avec celui de Mbour la semaine suivante. Cette décision fait suite à une réunion d'évaluation de la soirée d'hier, tenue par le comité d’organisation qui affirme avoir apprécié les désagréments divers subis par une frange du public. Youssou Ndour et son staff ont également exprimé leur désolation dans un communiqué reçu à iGFM.
«Le comité d'organisation du Grand Bal s'est réuni pour une évaluation de la soirée du 06 Janvier 2024. Le comité d'organisation remercie le public qui s'est déplacé en masse pour suivre la performance de Youssou Ndour et du Super Etoile.
Vu la très grande affluence, le comité d'organisation se désole vivement des désagréments divers subis par une frange du public. A cet effet, il est d'ailleurs prévu d'organiser un autre Grand bal le 20 Janvier 2024 au Grand Théâtre et un Grand Bal à Mbour le 27 Janvier 2024», lit-on dans le communiqué rendu public par le comité d’organisation du Grand Bal.
ÉLIGIBILITE DE SONKO, LA PRÉCISION DU COORDONNATEUR DE SON POOL D'AVOCATS
Me Ciré Clédor Ly a tenu à faire la mise au point sur la question de l'éligibilité de son client. Ce, au moment où un des conseils du leader des "patriotes", soutient la thèse de l'inéligibilité.
iGFM - (Dakar) Me Ciré Clédor Ly, coordonnateur du pool d’avocats de Ousmane Sonko, a tenu à faire la mise au point sur la question de l'éligibilité de son client. Ce, au moment où un des conseils du leader des "patriotes", soutient la thèse de l'inéligibilité.
«En ma qualité de mandataire, je précise que mon mandant garde toujours ses droits civiques, reste électeur et éligible», a déclaré Me Ciré Clédor Ly, avocat de Ousmane Sonko, dans un communiqué de presse.
Et pour argument, il déclare : «La condamnation dans l’affaire Adji Sarr est tombée dans la trappe, et celle dans l’affaire Mame Mbaye Niang ne le prive d’aucun droit.»
Une sortie qui interveint, suite aux déclarations de son confrère Me Khoureychi Bâ, qui avait dit et réitéré que «les adversaires de Ousmane Sonko, qu'on le veuille ou pas, qu'on le leur concède ou non, ont réussi dans les faits à le rendre inéligible».