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7 février 2025
ALIOU CISSE FERA LE POINT SUR LA SITUATION PHYSIQUE DES JOUEURS BLESSÉS DE LA TANIÈRE, LUNDI
Le staff de l’équipe nationale de football du Sénégal va faire le point sur la situation physique des joueurs blessés de la tanière, à l’issue du match amical international devant opposer le Niger au Sénégal, lundi, au stade Abdoulaye Wade de Diamniadio
Dakar, 7 jan (APS) – Le staff de l’équipe nationale de football du Sénégal va faire le point sur la situation physique des joueurs blessés de la tanière, à l’issue du match amical international devant opposer le Niger au Sénégal, lundi, au stade Abdoulaye Wade de Diamniadio, a-t-on appris dimanche du sélectionneur sénégalais, lequel confirmant que son effectif « est en train d’être complet ».
« Le groupe est en train d’être au complet depuis hier soir. Nous avons récupéré Gana Guèye et Youssouf Sabaly. Nos médecins sont très attentifs sur les cas Boulaye Dia et Sény Dieng (blessés). Nous ferons le point après le match pour voir leur situation physique », a déclaré Aliou Cissé.
Il s’exprimait en conférence de presse, à la veille du match amical international devant opposer le Sénégal au Niger, lundi, à 18h GMT. Une rencontre qui s’inscrit dans le cadre de la préparation des Lions à la Coupe d’Afrique des nations 2023 qui va se dérouler en Côte d’Ivoire du 13 janvier au 11 février 2024.
« Il n’y a pas de précipitation à faire. Nous avons fait une présélection de 55 joueurs. Malgré que Gana Guèye, Boulaye Dia, Sény Dieng, Nampalys Mendy et Sabaly étaient blessés, il fallait leur donner la possibilité de voir l’évolution de leur blessure », a expliqué Cissé.
L’état de santé des pensionnaires blessés de la Tanière évolue positivement, a indiqué le sélectionneur des Lions, se gardant toutefois de confirmer, avant lundi, s’ils seront suffisamment rétablis pour être dans le groupe final.
« La fin des mois de novembre et décembre a été compliquée parce que perdre un joueur dans cette période est synonyme de forfait. Mais nous ne pouvons pas entrer sur le terrain en pensant à une blessure. Le football est un sport de duels, de contacts et de blessures. Il faudra jouer, donner le maximum et être à son meilleur niveau », a dit Aliou Cissé.
MIMI TOURÉ REDOUTE UN SCRUTIN OPAQUE
Alerte à la régularité du scrutin : l'opposante dénonce le "scandale" d'un fichier électoral non actualisé à seulement 8 semaines de la présidentielle. "De quel fichier dispose donc le Conseil Constitutionnel pour contrôler les parrainages ?"
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 07/01/2024
L'ancienne Première ministre et candidate à l'élection présidentielle du 25 février 2024, Aminata Touré, s'est insurgée contre la situation chaotique autour du fichier électoral, à peine deux mois de l'échéance électorale. Dans un tweet publié ce dimanche 7 janvier 2024, elle dénonce le fait que "la version du fichier électoral actuellement disponible sur son site n’est pas encore mise à jour relativement à l’élection présidentielle du 25 février 2024".
Cette réaction fait suite à un communiqué de la Commission électorale nationale autonome (CENA), la veille, attirant l'attention des électeurs sur le fait que les données du fichier en ligne ne sont pas à jour pour la présidentielle à venir. "De quel fichier dispose donc le Conseil Constitutionnel pour contrôler les parrainages ?", s'interroge Aminata Touré, mettant en doute la capacité des institutions électorales à organiser de manière transparente le scrutin.
Pour la candidate de Mimi24, "la CENA qui est censée superviser l’élection présidentielle du 25 février ne dispose pas encore de fichier à jour". Elle souligne le caractère inédit d'une telle "nébulosité" électorale au Sénégal, à un stade si avancé de la campagne. Selon Aminata Touré, "tout ce capharnaüm électoral entâche sérieusement la transparence et la sincérité du scrutin".
Au Sénégal, le fichier électoral est un enjeu crucial car il conditionne l'inscription des électeurs et donc leur droit de vote. Le flou autour de sa mise à jour récente préoccupe déjà les partis politiques de l'opposition. Aminata Touré appelle par conséquent "les démocrates et citoyens sénégalais à se mobiliser massivement pour une élection inclusive et transparente".
CYBERROMANCES AU PAYS DES BROUTEURS
Entre maquis animés et écrans à perte de vue, la capitale économique ivoirienne serait devenue, contre toute attente, la plaque tournante mondiale des impostures sentimentales sur internet. Portrait de cette corporation qui fascine autant qu'elle inquiète
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 07/01/2024
Depuis la métropole ivoirienne d'Abidjan, où ils forment une corporation très particulière, les escrocs en ligne redoublent d'imagination pour gagner la confiance de leurs victimes, leur soutirer de l'argent et jongler avec les comptes bancaires, comme le rapporte une enquête publiée par Le Monde le 30 décembre 2023. Refrains de coupé-décalé et flows de «rap ivoire» montent des terrasses des «maquis» du quartier populaire de Koumassi, où néons et écrans composent le corail lumineux de «Babi», surnom de la capitale économique ivoirienne. C'est dans ce décor qu'évolue une partie des "brouteurs", comme on appelle les escrocs en ligne en Côte d'Ivoire.
Djibril, l'un de ces brouteurs rencontré anonymement pour les besoins de l'enquête, nous accueille dans un restaurant de Koumassi. Depuis ses débuts à l'âge de 15 ans dans les cybercafés du quartier, ses techniques n'ont pas changé: il se fait passer sur les sites de rencontre pour une secrétaire de l'armée à l'étranger, ciblant surtout les hommes. Sa première arnaque lui a rapporté 50 euros, de quoi acheter sa première paire d'Adidas, se souvient-il. Bakary, autre brouteur de 26 ans vivant à Koumassi, travaille quant à lui exclusivement sur le long terme en ne ciblant que des femmes. Il peut leur faire livrer des fleurs et des chocolats en France pour gagner leur confiance.
Selon une étude de l'Institut de lutte contre la criminalité économique de Neuchâtel, près de quatre brouteurs sur dix opérant dans le monde francophone proviennent d'Abidjan, souvent encore étudiants. Dans les quartiers populaires de la métropole ivoirienne, le "bara", nom donné localement aux escroqueries en ligne, est devenu un mode de vie à part entière, avec sa propre culture incarnée par la série télévisée "Brouteurs.com".
Mais comment Abidjan est-elle devenue la plaque tournante mondiale de ces imposteurs du sentiment? L'enquête révèle plusieurs facteurs: le taux de chômage des jeunes qui toucherait 80% d'entre eux, deux fois plus qu'à l'échelle nationale. Mais aussi l'histoire du pays, qui a vu des escrocs nigérians se replier en Côte d'Ivoire au début des années 2000 pour échapper à la répression, profitant de l'instabilité institutionnelle que connaissait alors le pays, plongé dans une décennie de crises.
C'est dans ce contexte qu'est apparu le style musical du coupé-décalé, importé de Paris par la diaspora ivoirienne, qui a popularisé les valeurs de ruse, d'hédonisme et de luxe ostentatoire. Sous l'influence de son inventeur DJ Arafat, les brouteurs ont pris l'habitude de "travaillement", consistant à offrir du champagne et jeter des liasses dans les boîtes de nuit pour s'attirer les louanges des artistes. Certains devenaient alors de véritables "rois du boucan".
Mais aujourd'hui, la répression s'est renforcée contre les brouteurs, réduits à plus de discrétion. Les arrestations sont plus fréquentes, à l'image de celle en avril 2022 de 30 cybercriminels dans un appartement d'Abidjan équipé d'une cinquantaine d'ordinateurs. Les familles et la société ivoiriennes rejettent désormais davantage cette pratique, perçue comme un vrai vol. Sous la pression, le mode de vie collectif des brouteurs a laissé place à la solitude et à la compétition, tandis que certains auraient même recours à des rituels mystiques pour attacher l'esprit de leurs victimes.
Selon les autorités ivoiriennes, le nombre de dossiers de cybercriminalité suivis a augmenté, passant de 3 000 en 2018 à 7 000 actuellement. La Côte d'Ivoire semble bien être devenue, malgré elle, la capitale mondiale de l'imposture en ligne.
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LES BLESSURES, CE FLÉAU QUI BRISE DES CARRIÈRES
Talents prometteurs stoppés net, moral en miettes, carrières brisées: le lourd bilan des blessures sportives au Sénégal. Et la quête héroïque de certains pour retrouver les terrains
La fréquence des blessures graves dans le sport sénégalais est alarmante. Combien de talents prometteurs ont vu leur carrière brutalement stoppée par une rupture des ligaments ou une fracture de la jambe ? Ces drames sportifs laissent des séquelles psychologiques profondes.
Le combat pour revenir à plus haut niveau après une longue rééducation est souvent très difficile, faute de moyens. Certains n'ont d'autre choix que d'arrêter définitivement, le moral en miettes. D'autres se tournent désespérément vers des pratiques occultes.
Pourtant, avec un mental d'acier et un bon encadrement médical, de nombreux athlètes parviennent à refouler la pelouse après des mois d'absence. Les examens cliniques approfondis et l'IRM sont cruciaux pour poser le bon diagnostic.
Ces gladiateurs des stades sont prêts à livrer un combat pour renouer avec leurs véritables sensations d'antan et faire vibrer à nouveau leurs supporters. Les blessures brisent des vies mais révèlent aussi la force de caractère hors norme de nos champions. Leur abnégation force l'admiration et mérite notre soutien indéfectible.
DE WADE FILS À ALIOU SALL, LA SAGA DU CLANISME PRÉSIDENTIEL AU SÉNÉGAL
Malgré ses promesses, Macky Sall a cédé au népotisme en nommant son frère à un poste clé. Retour sur cette volte-face et sur l'enracinement de la gestion familiale du pouvoir au Sénégal
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 07/01/2024
Lorsqu'il arrive au pouvoir en 2012, Macky Sall promet de rompre avec les dérives du régime de son prédécesseur Abdoulaye Wade. Parmi ses engagements phares, ne pas mêler sa famille à la gestion des affaires publiques. Pourtant, seulement quelques années plus tard, force est de constater que la promesse n'a pas été tenue.
En décembre 2016, interrogé par Jeune Afrique sur cette question, le chef de l'État jure solennellement: "Je ne mêle jamais ma famille à la gestion du pays". Il précise notamment avoir prévenu dès le début de son mandat son frère Aliou Sall qu'il ne bénéficierait "jamais d'un décret de nomination", comme le rapporte Seneweb.
Mais dix mois plus tard, le 11 septembre 2017, Aliou Sall se voit nommer Directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations par décret présidentiel. Cette volte-face spectaculaire, révélée par Seneweb, suscite l'indignation au Sénégal. Les citoyens avaient cru en finir avec ces pratiques à la fois indignes et dommageables pour la démocratie.
Le cas Aliou Sall n'est malheureusement pas isolé. En 2019, une enquête de la BBC le place au cœur d'accusations de corruption liées à l'octroi de licences pétrolières et gazières offshore. Bien qu'il se soit retiré des affaires publiques, le beau-frère du chef de l'État, Mansour Faye, occupe depuis plusieurs années des postes clés au gouvernement selon le site d'information.
Un indice révélateur d'une gestion familiale du pouvoir que Seneweb dénonce comme étant "clanique". Car les exemples du passé sont nombreux. Sous les régimes socialistes de Senghor et Diouf, des membres de la famille présidentielle comme Adrien Senghor ou Maguette Diouf s'étaient déjà vu confier des portefeuilles ministériels.
Mais c'est sans conteste sous Abdoulaye Wade que le népotisme a atteint son paroxysme, avec une mainmise sans partage exercée par son fils Karim sur une multitude de secteurs stratégiques. Sa condamnation pour enrichissement illicite en 2015 laissait espérer un tournant.
Force est de constater selon les observateurs que cet espoir a été déçu. La question du népotisme, récurrente sous nos tropiques, devient aujourd'hui un enjeu majeur de la campagne pour la présidentielle de 2024. Les Sénégalais exigent que les promesses soient enfin suivies d'actes pour en finir avec cette dérive affaiblissant l'État de droit.
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GOUVERNANCE VICIEUSE, SOMBRE ET SCABREUSE
L’espoir de sauver le Sénégal repose sur l’application des conclusions des Assises et des recommandations de la CNRI. Tant le mal est profond : hyper présidentialisme, clientélisme, opacité et médiocrité dans la gestion. Dr Selly Ba
Promotion de la contreperformance, incitation à l’inefficacité, complaisance vis-à-vis de la médiocrité, des accords de long terme pas ou peu transparents, nomination de à tour de bras de copains et de coquins au détriment des technos ou des sachants à certains postes, rétribution ostentatoire et sans gêne aucune de la clientèle politique, satisfaction du parti en lieu et place de la patrie... Jusqu’à où iront les dirigeants de ce pays dans la promotion de la mal gouvernance ? Une citoyenne écœurée décrit l’ampleur du phénomène et souhaite vivement que les candidats a la Presidentielle de fevrier adotent ne serait-ce que quelques conclusions des Assises nationales, en l'occurrence la reduction des super pouvoir du président, entre autres.
Certains Sénégalais comme le Dr Selly Ba, sont très choqués. La sociologue Selly Ba est très frustrée et préoccupée de la manière dont le Sénégal est géré alors que les conclusions des Assises nationales qui auraient pu rectifier le tir, sont toujours en souffrance.
Récemment, alors que la préparation de la présidentielle de 2024 est en cours des citoyens, se sont retrouvés à travers une série de rencontres pour la remise en selle de ce travail patriotique.
Le Dr Selly Ba n’avait pas hésité à laissé éclater sa frustration, elle qui travaille dans l’évaluation de divers projets et programme d’État. Nous lui avons posé la question pour revenir sur les sujets qu’elle a abord2 avec un pincement de cœur.
La bonne gouvernance et la transparence sont de bons arguments marketing dans les pays africains pour tout aspirant à la magistrature suprême. Les candidats qui s’y collent et s’en gavent a-tire-larigot ont bien raison parce que vraiment, c’est un problème.
Seulement une fois élu, les dirigeants deviennent amnésiques qu’il serait les harceler que de le rappeler à leur conscient. Le président Macky Sall n’avait pas fait exception a cet argument happant et happant. Ils disaient vouloir imprimer une gouvernance transparente sobre et vertueuse. Mais depuis 12 ans, on a semblé plutôt assister à une gouvernance vicieuse, « sombre et scabreuse », comme le dit l’économiste Moussa Demba Dembélé.
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UN BILAN EN DEMI-TEINTE POUR MACKY SALL
La présidence de Macky Sall passée au crible. Entre avancées et dérives, Ibrahima Kane dresse un portrait nuancé des 12 dernières années. Il loue certaines réalisations et s'inquiète de l'instrumentalisation de la justice contre l'opposition
A l'approche de la présidentielle de février 2024, Ibrahima Kane, spécialiste des droits humains et co-fondateur de la Ligue sénégalaise des droits humains (RADDHO) dresse un bilan mitigé des 12 ans de pouvoir de Macky Sall. Dans un entretien à Sud FM dans l'émission dominicale Objection de ce 7 janvier 2024, l'invité de Baye Omar Gueye salue certes les avancées sociales comme les bourses de sécurité familiale. Mais il pointe de nombreuses dérives autoritaires.
Sur le plan politique, le début de règne a été marqué par des efforts de renforcement des institutions, vite battus en brèche par "l'instrumentalisation de la justice et la répression de l'opposition", selon lui. L'affaire Sonko et les émeutes de 2021 ont révélé les faiblesses d'un Etat de droit "fragile", estime-t-il.
Ibrahima Kane s'inquiète aussi des entraves à la démocratie avec un système de parrainage opaque qui limite la diversité des candidatures pour le scrutin du 25 février.
Si des progrès ont été faits dans la santé et les infrastructures, de gros efforts restent à faire pour la protection de l'enfance et l'éducation des jeunes, insiste M. Kane.
Dans un contexte régional troublé, où les coups d'Etat militaires se multiplient, le Sénégal doit préserver la paix et travailler à un "vivre-ensemble" inclusif, conclut le militant des droits humains.
MACKY ANNONCE LA RECEPTIONNE D'UN MUSEE DU PROPHETE MOHAMED A DAKAR LE 5 FEVRIER
Un musée dédié au prophète Mohamed (PSL) sera ouvert le 5 février prochain à Dakar, avec l’appui des autorités saoudiennes, a annoncé, samedi, à Dakar, le président de la République.
Dakar, 7 jan (APS) – Un musée dédié au prophète Mohamed (PSL) sera ouvert le 5 février prochain à Dakar, avec l’appui des autorités saoudiennes, a annoncé, samedi, à Dakar, le président de la République.
« Lorsque j’ai sollicité des autorités saoudiennes l’érection d’un musée du prophète Mohamed, elles nous l’ont accordé et on va l’ouvrir le 5 février », a dit Macky Sall, s’exprimant en langue nationale wolof, lors de la cérémonie de clôture de la Semaine du patrimoine de Cheikh Ahmadou Bamba (du 2 au 6 janvier).
En perspective de l’ouverture de ce musée, le chef de l’État promet d’envoyer les lettres d’invitation à toutes les autorités religieuses, ainsi qu’à la Ligue islamique mondiale.
« C’est un musée très important sur la vie et l’œuvre du prophète Mohamed (PSL) », a commenté Macky Sall.
Le Royaume d’Arabie saoudite a prévu de construire un musée du prophète Mohamed (PSL) au profit du Sénégal, avait annoncé en août dernier l’ancien ministre sénégalais de l’Intérieur, Antoine Félix Abdoulaye Diome.
« J’ai eu une réunion avec mon conseiller technique religieux, Serigne Sohibou Kébé, et un professeur de l’université Al Azhar du Caire. Il a été envoyé par l’Arabie Saoudite pour un cadeau que le président de la République veut offrir à la population sénégalaise », avait-il dit en parlant de ce musée.
Antoine Diome présidait la réunion nationale consacrée aux préparatifs de la 129ᵉ édition du magal de Touba, tenue le 4 septembre et dont il a évoqué la coïncidence avec cette donation.
Il avait précisé que « les écrits, les matériels et les instruments sur la vie du prophète Mohamed » seront exposés dans ce musée, suivant l’exemple du musée de la tradition prophétique et de la civilisation islamique de Médine.
« Normalement, d’ici à six mois, le musée sera construit. Les autorités saoudiennes ont confié les travaux à l’université Al Azhar du Caire. Soixante personnes seront en permanence au Sénégal. La plupart du matériel est déjà disponible au Port autonome de Dakar », avait signalé Antoine Diome.
UNE PORTE D'UN BOEING 737 SAUTE EN PLEIN VOL
L'Agence fédérale américaine de l'aviation civile (FAA) a ordonné samedi l'inspection immédiate de 171 appareils 737 MAX 9 de Boeing, suspendus de vol d'ici là, après un incident survenu vendredi lors d'un trajet aérien près de Portland.
L'Agence fédérale américaine de l'aviation civile (FAA) a ordonné samedi l'inspection immédiate de 171 appareils 737 MAX 9 de Boeing, suspendus de vol d'ici là, après un incident survenu vendredi lors d'un trajet aérien près de Portland (Oregon).
La directive de la FAA "impose aux opérateurs (compagnies aériennes) d'inspecter l'appareil avant un nouveau vol", a indiqué l'agence dans un communiqué, estimant que cette opération nécessitait entre 4 et 8 heures par avion.
Selon des données communiquées par Boeing à l'AFP, quelque 218 exemplaires du 737 MAX 9 ont été livrés à ce jour.
Avant l'annonce de la FAA, la compagnie aérienne américaine Alaska avait déjà neutralisé la totalité de ses 65 avions de ce modèle.
La décision faisait suite à un incident survenu vendredi peu après le décollage d'un vol Alaska Airlines depuis l'aéroport international de Portland (Oregon, nord-ouest), vers 17H00, heure locale, à destination d'Ontario (Californie), dans la grande banlieue de Los Angeles.
Selon des images postées sur les réseaux sociaux, une porte s'est ouverte et détachée de la carlingue en plein vol.
L'appareil, qui transportait 171 passagers et 6 membres d'équipage, était alors à près de 5.000 m d'altitude, selon des données de vol du site FlightAware.
MISE EN GARDE DE LA CENA CONCERNANT LA VÉRIFICATION DE L’INSCRIPTION SUR LE FICHIER ÉLECTORAL
La Commission électorale nationale autonome (CENA) a émis un communiqué d’alerte ce samedi, avertissant les Sénégalais que le Fichier électoral disponible sur son site internet n’est pas encore à jour.
La Commission électorale nationale autonome (CENA) a émis un communiqué d’alerte ce samedi, avertissant les Sénégalais que le Fichier électoral disponible sur son site internet n’est pas encore à jour, en réaction à un message audio devenu viral sur les réseaux sociaux, encourageant les citoyens à vérifier leur inscription électorale en se connectant au site de la CENA.
Toutefois, la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) tient à informer les électrices et électeurs que la version actuelle du fichier électoral sur son site n’a pas encore été mise à jour en vue de l’élection présidentielle de 2024.
La CENA déconseille vivement l’utilisation des informations actuellement disponibles sur son site, qui se réfèrent aux élections législatives de 2022.
Ces données sont incomplètes et peuvent contenir des erreurs, notamment en ce qui concerne les lieux et bureaux de vote.
La Commission assure aux citoyens que les données actualisées seront rendues accessibles dès que possible.
« Nous prions aux les électeurs de rester attentifs aux annonces officielles de la CENA pour obtenir les informations les plus récentes et fiables », peut-on lire dans le communiqué.