Baadoolo - Tiey Ndella !
Deet kay hana ! Boulen suul ndaanaan waay ! Yeurmeunde book si borom Keur yeurmeunde. C’est vrai que dans cette histoire, Ndella s’est comportée comme un bébé. Parce qu’avoir une autorisation, c’est quand même moins compliqué que gérer une quarantaine des nourrissons. Mais au nom de l’intention de ramasser tous ses orphelins ou victimes de diour sanni, elle doit avoir une circonstance atténuante. Bon, maintenant, si elle en a fait un marché, c’est en rajouter une couche. Ce mardi, elle risque de crécher en prison. Heureusement, qu’elle n’a pas de fiches à retirer à la Dge. Tiey Ndella. Qui a dit Thiendella ?
Nouvelle interception d’une embarcation Près de 700 kg de cocaïne saisis par la Marine
Encore «Le Walo» dans ses œuvres ! Le navire de la Marine nationale a intercepté ce vendredi 22 décembre, à 220 km au large, une embarcation transportant de la drogue vers l’Europe. 690 kilogrammes de cocaïne ont été repêchés et ramenés à Dakar en même temps que le “go fast” et ses cinq membres d’équipage, selon l’Armée. «Des tirs de semonce ont permis d’immobiliser l’embarcation qui tentait de s’échapper après avoir largué sa cargaison illicite», lit-on dans une note postée, samedi, par la Direction de l’information et des relations publiques des Armées sénégalaises (Dirpa) sur X. Le 14 décembre dernier, 3 tonnes de cocaïne avaient été interceptées à 425 kilomètres au large de Dakar.
Nécrologie Décès du journaliste Boubacar Diop «Promotion»
C’est une mauvaise nouvelle qui est tombée tard dans la soirée de ce samedi 24 décembre. WalfNet annonce le décès de l’ancien journaliste Boubacar Diop dit «Diop promotion», à l’âge de 87 ans. En 1972, il abandonne «Echos du Sénégal» à Mame Less Dia et crée le journal «Promotion». Bien plus tard, il s’était reconverti en guérisseur dans son quartier des Hlm de Rufisque. Celui qui était surnommé la «terreur» de Senghor, puis de Diouf, avait la plume acerbe, mais alerte. Il sera d’ailleurs envoyé en prison à au moins 3 reprises. Militaire, journaliste, greffier, agent des impôts et domaines, «Bouba», pour les intimes, a été emprisonné en 1986 à la suite d’une interview avec le principal opposant de Diouf, Abdoulaye Wade.
Non-respect de la parité à Ndindy Un nouveau bureau municipal installé samedi
Les élections municipales du 23 janvier 2022 ont été remportées dans la commune de Ndindy, dans la région de Diourbel, par la coalition Benno bokk yaakaar. Lors de l’installation du bureau municipal, la parité n’a pas été respectée. Il s’en est suivi une saisine de la Cour d’appel de Thiès par des conseillers municipaux de la coalition de l’opposition, Yewwi askan wi, pour faire invalider le bureau municipal. Cette juridiction avait donné raison à l’opposition mais, c’était sans compter avec la coalition au pouvoir qui s’était pourvu en cassation. Alors, la juridiction suprême a confirmé la décision de la Cour d’appel de Thiès. Pour faire appliquer cette décision de justice, en procédant à l’élection d’un bureau paritaire, une session du Conseil municipal est convoquée le samedi 23 décembre prochain. Désormais, le poste de 1er adjoint va revenir à une dame, le second à un homme et le 3ème à une dame. Il faut dire que Ndindy n’est pas seule dans ce cas depuis 2022. En effet, beaucoup de bureaux municipaux n’ont pas respecté la parité et l’un des plus célèbre a été celui de la Ville de Dakar. Même si Barthélémy Dias a fini par se conformer à la décision de justice. Et la parité avait d’ailleurs provoqué un froid entre les élus de Taxawu Sénégal et ceux de l’exPastef.
C’est l’une des figures de la gauche qui s’en va. Massène Niang a été rappelé à Dieu samedi, à Dakar. Leader du Mouvement pour le socialisme et l’unité (Msu), parti créé par Mamadou Dia, le défunt a été aux côtés de l’opposition qui a accompagné les deux alternances. Il a été, avec le Pit, Aj Authentique, Ld et autres, l’un des alliés de l’Apr dans Benno bokk yaakaar. Un «Diaiste», jusqu’à la moelle qui a été aussi haut conseiller.
Décès de Massène Niang, leader du Msu : Un «Diaiste» convaincu est parti !
Transport interurbain Le mouvement Dolel Transport dénonce une «concurrence déloyale»
Le 27 décembre prochain, le Bus rapide transit sera mis en circulation. Mais déjà, des voix s’élèvent pour crier à la «concurrence déloyale». Dans un communiqué, Dolel transport alerte sur les «impacts négatifs». Le mouvement cite «les embouteillages liés aux deux voies très étroites réservées aux autres véhicules et qui sont parallèles à celle du Brt, la traversée de la route Bourguiba par le Brt, mais aussi la concurrence injuste que le Brt va imposer aux transport urbain». Les animateurs rappellent à l’Etat, «la nécessité d’apporter des solutions au transport irrégulier par certains véhicules (Yango, Yassir, et autres Thiak Thiak), lesquels exercent en violation des règles qui régissent le secteur».
LE MESSAGE DE NOËL DE L'ÉGLISE ET LA CLÔTURE DES DÉPÔTS DE CANDIDATURES AU MENU DE LA REVUE DE PRESSE DE L’APS CE MARDI
Les parutions de ce mardi 26 traitent du message de Noël de l’Eglise qui a insisté sur les préceptes de paix, de justice sociale lors de la célébration de la Nativité et la clôture des dépôts de candidatures pour la présidentielle du 25 février 2024
Dakar, 26 déc (APS) – Le message de Noël de l’Eglise qui a insisté sur les préceptes de paix, de justice sociale lors de la célébration de la Nativité et la clôture des dépôts de candidatures pour la présidentielle du 25 février 2024 sont traités en priorité par les quotidiens reçus mardi à l’Agence de presse sénégalaise.
Présidant la messe de minuit à la cathédrale Notre Dame des victoires de Dakar, Monseigneur Benjamin Ndiaye a saisi l’occasion pour formuler des prières pour la paix au Sénégal et au Moyen-Orient, rapporte le journal Le Soleil qui titre à sa Une “Paix, justice et Piété : les exhortations de l’Eglise’’.
Le journal Sud Quotidien porte en manchette “Le prêche de l’Eglise pour réconcilier les cœurs et les esprits’’.
“Le fête de la Nativité a été une occasion pour l’Archevêque de Dakar Monseigneur Benjamin Ndiaye, d’appeler les fidèles à la promotion d’un pays de justice et de paix’’, rapporte la publication du groupe Sud Communication.
La communauté chrétienne a célébré Noël au le 25 décembre. Cette fête de la Nativité commémore la naissance à Bethléem, localité située en Cisjordanie occupée (Palestine) de l’enfant Jésus.
“Unissons nos cœurs dans la prière pour l’avènement du principe de paix qu’est Jésus Christ’’, a lancé l’Archevêque de Dakar sur Sud Quotidien dans son homélie.
A quelques encablures de l’élection présidentielle du 25 février 2024, Monseigneur Benjamin Ndiaye n’a pas manqué de lancer des messages à l’endroit de la classe politique d’où le titre de Vox Populi “L’appel de l’Archevêque de Dakar aux politiques et aux peuple’’.
Monseigneur Benjamin Ndiaye a invité “à vivre de manière raisonnable, loin des passions conduisant au désordre social et personnel (…) à vivre avec justice dans le respect des personnes, des lois et règlements en étant ajusté à la volonté de Dieu’’, écrit Vox Populi.
“Monseigneur Benjamin Ndiaye sermonne les hommes politiques’’, commente le journal L’info à la Une.
“La tension politique est déjà vive dans le pays depuis des années, alors que l’on s’achemine vers la présidentielle du 25 février 2024. Suffisant pour que l’Archevêque de Dakar en appelle à la sagesse des acteurs politiques’’, souligne la publication.
“Je souhaite qu’on ait une campagne électorale civilisée, qu’on puisse parler et agir sans passions, qu’on puisse avoir des débats contradictoires entre des candidats pour permettre d’éclairer la lanterne des citoyens. Sur le champ de la campagne, sachons raison garder. Il faut maitriser nos passions pour l’intérêt de notre pays’’, a insisté dans le même journal l’Archevêque de Dakar.
Dans le chapitre politique de la presse du jour, les quotidiens reviennent largement sur les dernières heures avant la clôture des dépôts de candidatures pour la présidentielle du 25 février 2024.
“Lignes d’arrivées’’. C’est le titre choisi par le journal Le Quotidien pour expliquer la fin de dépôt des candidatures. Le journal fait part d’une “trentaine de dossiers enregistrés au greffe constitutionnel’’.
Walfadjri Quotidien note un “rush de dernière minute’’ au Conseil constitutionnel. “Sur plus de 200 candidats ayant retiré les fiches de parrainages, une quarantaine a déposé’’, fait remarquer la publication de Front de terre.
Pour le journal Le Soleil, “aujourd’hui (mardi) sera une course contre la montre’’.
“Les prétendants au fauteuil présidentiel doivent déposer leur dossier de candidature aujourd’hui, au plus tard à minuit. La plupart, partisans du dépôt à la dernière minute, ont assailli le greffe du conseil constitutionnel ces trois derniers jours’’, explique le journal.
“Ce sera le jour le plus long pour les retardataires‘’, estime Vox Populi qui fait part du dépôt de candidature de l’opposant en prison Ousmane Sonko “sans tambour ni trompette’’.
M.Sonko fait partie d’un lot d’une quarantaine de candidats ayant déposé leur dossier de candidatures au greffe du conseil constitutionnel.
Deet kay hana ! Boulen suul ndaanaan waay ! Yeurmeunde book si borom Keur yeurmeunde. C’est vrai que dans cette histoire, Ndella s’est comportée comme un bébé.
Deet kay hana ! Boulen suul ndaanaan waay ! Yeurmeunde book si borom Keur yeurmeunde. C’est vrai que dans cette histoire, Ndella s’est comportée comme un bébé. Parce qu’avoir une autorisation, c’est quand même moins compliqué que gérer une quarantaine des nourrissons. Mais au nom de l’intention de ramasser tous ses orphelins ou victimes de diour sanni, elle doit avoir une circonstance atténuante. Bon, maintenant, si elle en a fait un marché, c’est en rajouter une couche. Ce mardi, elle risque de crécher en prison. Heureusement, qu’elle n’a pas de fiches à retirer à la Dge. Tiey Ndella. Qui a dit Thiendella ?
SONKO FORCLOS SUR LE PARRAINAGE, SCÉNARIOS D’UNE CANDIDATURE IMPROBABLE
Le dépôt de candidatures a pris fin hier. Le Conseil constitutionnel va procéder au tirage pour le passage de la vérification des parrainages d’abord. Une chose est sûre : Ousmane Sonko est forclos sur le parrainage parce que sans fiches.
Le dépôt de candidatures a pris fin hier. Le Conseil constitutionnel va procéder au tirage pour le passage de la vérification des parrainages d’abord. Une chose est sûre : Ousmane Sonko est forclos sur le parrainage parce que sans fiches. Mais s’il a déposé son dossier de candidature comme il se susurre, les scénarios qui se dressent devant lui sont nombreux.
Le scénario du dossier incomplet
Le dépôt des dossiers de candidatures a été clôturé hier. Pas de bousculade comme en 2019 puisque cette fois-ci c’est le tirage au sort qui remplace l’ordre d’arrivée. Mais la curiosité était du côté du leader de l’ex-Pastef. Ousmane Sonko a été forclos donc, hier, sur ce parrainage puisqu’il n’a pas pu retirer sa fiche de parrainage, citoyen ou parlementaire. La Cour suprême n’ayant pas encore statué sur le pourvoi annoncé par l’Etat. Le scénario était là : Déposer son dossier de candidature, sans le parrainage. C’est apparemment ce qu’a fait son mandataire, qui compte sur les constats d’huissier pour le refus de la Dge de lui remettre les fiches et de la Cdc de lui délivrer l’attestation de la quittance de sa caution. Deux pièces du dossier qui pourrait, sur la forme, être déclaré incomplet par le Conseil constitutionnel. En attendant le fond avec la condamnation par contumace qui fait débat.
Le scénario d’une victoire à la Cour suprême
Alors, les 7 «sages» vont examiner le dossier de l’op- posant en prison on en sait quand. Dans ce bras de fer, Sonko ne rêve pas trop, mais entend jouer la carte du jusqu’au-boutisme judiciaire. Il fonderait ses maigres espoirs sur la jurisprudence Insa Sankharé aux Législatives de 1998 lorsque le Conseil a déclaré recevable la liste de candidature du Rassemblement pour le progrès, la justice et le socialisme (Rpjs), estimant que «nonobstant l’absence du Trésorier général au moment du dépôt de candidatures, il y a lieu de constater que la preuve est établie que le cautionnement était disponible et a été présenté au ministère de l’Intérieur avant l’heure de clôture». Sauf qu’ici, Sonko n’a pu faire constater par l’huissier pour convaincre le juge constitutionnel. Des constitutionnalistes estiment que le Conseil ne peut aller plus loin dans cette interprétation. Il reste que le suspense est encore là tant que la décision du Conseil n’est pas disponible. Ousmane Sonko compte aussi sur une éventuelle victoire devant les chambres réunies de la Cour suprême, après le pourvoi de l’Etat contre la décision du juge du Tribunal d’instance de Dakar ordonnant sa réintégration dans les listes électorales. Non pas forcément parce que cela pourrait changer le processus, mais ce serait une victoire qui pourrait compter dans l’opinion.
Le scénario du Plan B
Parallèlement à ces nombreux fronts judiciaires, Sonko mise aussi sur son ou ses plans B. Bassirou Diomaye Faye, lui aussi en prison, est le plan du parrainage citoyen avec des risques de doublons, même s’ils peuvent compter sur une masse de militants inégalable parmi les formations de l’opposition. Mais le parrainage parlementaire reste un autre mystère. Il se dit qu’il est réservé à Sonko lui-même, mais il faudra bien scruter ailleurs aussi puisque Guy Marius, Abass Fall, Birame Souleye Diop, El Malick Ndiaye avaient eux aussi retiré leur fiche de parrainage.