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22 novembre 2024
La Une
C25 : WADE RÉCLAME L’EXCLUSION DE MADICKE NIANG
Dans un entretien accordé à Dakar Times, il ouvre le feu sur Madické. Wade, qui n'a pas goûté la candidature de Madické à la prochaine présidentielle, soutient que le Pds va s'opposer à son adhésion dans le C25.
Me Wade est toujours furieux contre Madické Niang. La preuve ? Dans un entretien accordé à Dakar Times, il ouvre le feu sur Madické. Wade, qui n'a pas goûté la candidature de Madické à la prochaine présidentielle, soutient que le Pds va s'opposer à son adhésion dans le C25. "Cette adhésion n'aurait d'autre effet que de semer la confusion, rôle qu'il s'est assigné délibérément, pour affaiblir notre parti. Ce qui le place de fait entre le marteau et l'enclume. Il sait parfaitement que l'adhésion de fait ou de droit à une autre formation équivaut à une démission au Pds. Pour lui laisser les chances de s'amender, nous n'avions pas voulu le faire remplacer à son siège de député, bien que la jurisprudence nous l'eût permis".
-"NOUS LUI RECLAMONS NOTRE SIEGE DE DEPUTE"-
Wade réclame aussi à Madické son siège de député. "Dès lors, je voudrais lui suggérer de nous rendre, sans bruit, notre siège de député. J'ose espérer qu'il ne choisira pas l'affrontement, alors qu'il sait que la loi constitutive du Règlement intérieur de l'Assemblée nationale et la jurisprudence à laquelle il a contribué sont avec nous", déclare Wade. Qui poursuit : "Même s'il compte sur Macky Sall et son ministre de l'Intérieur… Pour finir, il devrait arrêter de nous provoquer en continuant d'utiliser nos couleurs, en dépit d'une promesse faite à un intermédiaire de bonne volonté".
COUVERTURE SANITAIRE UNIVERSELLE
"Il s’agit d’instaurer un système fiable et pérenne permettant à chaque citoyen de bénéficier pleinement de son droit à la santé" Ministre la santé
Le gouvernement a mis un "accent particulier’’ sur la Couverture sanitaire universelle (CSU) dans le souci d’apporter l’équité à l’accès aux services de soins, a indiqué, le ministre de la Santé et de l’Action sociale.
"Il s’agit d’instaurer un système fiable et pérenne permettant à chaque citoyen de bénéficier pleinement de son droit à la santé", a-t-il souligné, lundi, précisant que le gouvernement du Sénégal ne cesse d’œuvrer pour un secteur de santé performant.
Abdoulaye Diouf Sarr présidait l’ouverture de la 59-ème Conférence scientifique annuelle du Collège ouest africain des chirurgiens (COAC) qui se tient jusqu’à jeudi sur le thème : "Assurer l’accès universel aux services chirurgicaux".
Le Sénégal a fait un bond substantiel dans la mise en œuvre de la Couverture maladie universelle (CMU), prônée par le président Macky Sall dans le cadre du Plan Sénégal émergent (PSE), selon le ministre.
"Nous sommes arrivés à un taux de pénétration de 42% en seulement quelques années de mise en œuvre avec, dans chaque commune du pays, au moins une mutuelle de santé installée", a fait savoir le ministre de la Santé.
Il a aussi fait part d’une densification de la cartographie sanitaire avec l’ouverture de structures sanitaires de proximité, offrant des standards élevés de qualité des soins et d’hygiène.
C’est pourquoi, il s’est dit ’’heureux’’ de constater que le thème principal de la rencontre de Dakar est en phase avec les enjeux nationaux de santé du moment.
"Il s’agit de réfléchir et partager des expériences sur l’accès universel aux services chirurgicaux afin d’y apporter des solutions", a-t-il noté.
Le professeur Serigne Maguèye Guèye, président du Comité local d’organisation, a fait comprendre que pour la première fois, les activités de chirurgie liées aux COAC se déroulent depuis le début du mois de janvier dans plusieurs régions du Sénégal.
"Cela nous a permis d’opérer des centaines de malades, parmi lesquelles des personnes âgées, mais aussi de démarrer des pratiques assez novatrices dans certaines zones avec le démarrage de la chirurgie laparoscopique à l’hôpital de Fatick", a-t-il confié.
Professeur Titulaire en chirurgie urologique, Maguèye Guèye sera installé dans ses nouvelles fonctions de président du COAC jeudi à 10 heures 30 au King Fahd Palace à l’occasion de la cérémonie de clôture de cette 59 ème conférence.
MALI : AQMI REVENDIQUE L'ATTAQUE D'UN CAMP DE LA MINUSMA
Le groupe djihadiste n’a pas perdu de temps avant de revendiquer sa signature derrière l’attaque qui a touché le camp de la Minusma (Mission des Nations unies au Mali).
Dimanche soir, Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique) a revendiqué l’attaque du camp de la Minusma situé à Aguelhok, à 250 kilomètres au nord de Kidal, dans le nord-est. L’assaut a fait dix morts et pas moins de 25 blessés. Aux dires de certaines sources, il s’agit de l’attaque la plus sanglante jamais perpétrée par le groupe islamiste au Mali contre la Mission de l’ONU.
Dimanche, à l’aube, des individus armés jusqu’aux dents ont pris pour cible le pôle tchadien de la base onusienne. Selon les témoignages des habitants d’Aguelhok, le même mode opératoire a été observé chez les fondamentalistes, ces derniers se déplaçant à moto et à bord de véhicules de type 4X4.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les assaillants se sont bien préparés avant l’attaque de dimanche. Après avoir neutralisé les systèmes de communication, les hommes d’Aqmi, organisés en trois groupes venus de divers endroits, ont fondu comme des fauves sur la base de la Minusma. Deux des trois groupes s’en sont pris aux points de contrôle. Quant au troisième, il attendait tranquillement d’accueillir sur la route les éventuels renforts qui viendraient à la rescousse.
Avec une telle stratégie d’attaque, les soldats de l’ONU ont dû attendre la venue des renforts par la voie des airs. Des hélicoptères sont arrivés quelques heures après l’assaut. Finalement, les djihadistes ont été repoussés, perdant trois de leurs membres dans l’attaque. L’un d’eux a été capturé.
‘‘Les djihadistes sont repartis comme ils sont arrivés, ils se sont dispersés en différentes directions comme si c‘était préparé.’‘, affirme une source non citée.
-LES ÉVENTUELS MOTIFS DE CETTE ATTAQUE-
Le groupe fondamentaliste justifie son attaque par la visite ce dimanche 20 janvier de Benyamin Netanyahou (le Premier ministre israélien) au Tchad. Aqmi aurait ainsi agi en soutien aux musulmans Palestiniens, opposés depuis des lustres aux Israéliens.
Mais une autre raison pourrait justifier cet assaut sanglant. L’armée malienne fêtait ce dimanche ses 58 ans d’existence. Les fondamentalistes ont probablement vu là une occasion de saper les festivités en affichant leur capacité de nuisance.
Il pourrait aussi avoir une autre raison qui justifierait l’attaque de dimanche matin. C’est en janvier 2012 que le MNLA (Mouvement national de libération de l’Azawad, organisation politique et militaire majoritairement touarègue), associé aux islamistes, attaquaient l’armée malienne à Aguelhok.
Cette attaque de 2012 s‘était soldée par la victoire des assaillants qui s‘étaient adonnés à des atrocités, tuant sauvagement les soldats maliens du camp. Le retour des djihadistes à Aguelhok serait-il une tentative de reprendre ce qu’ils considéreraient comme leur bastion perdu ?
Pour l’attaque de dimanche matin, les hommes d’Aqmi étaient armés de la tête aux pieds. Pour certains, cela revient à croire que ce groupe djihadiste s’est associé pour la circonstance au Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GISM), dirigé par le chef de guerre touareg malien Iyad Ag Ghaly.
L’on prête des accointances à ces deux groupes armés.
SONKO CONNAIT LA BANQUE QUI A...
"Scandale des 94 milliards", le leader de Pastef, Mamour Diallo et ses complices se sont partagés la rondelette somme de 46 milliards de Fcfa.
Le "scandale des 94 milliards" impliquant le Directeur des Domaines, Mamour Diallo, est loin de s'estomper. Ousmane Sonko, qui a soulevé cette affaire, a fait de nouvelles révélations. D'après le leader de Pastef, Mamour Diallo et ses complices se sont partagés la rondelette somme de 46 milliards de Fcfa. Et d'interpeller à nouveau, selon le quotidien L'As qui donne l'information, le procureur de la République.
"Si le procureur fait vraiment son travail, qu'il s'auto-saisisse de cette affaire. Je lui ai écrit depuis le mois de mai et nous sommes au mois de janvier. S'il ouvre ce dossier, je lui dirai le nom de la banque qui a décaissé les 46 milliards, le numéro des comptes bancaires et les libellés", déclare-t-il. Pour l'enregistrement sonore diffusé sur le net, il révèle que ses détracteurs ont déboursé 59 millions pour y accéder.
DÉVELOPPEMENT DE L’AFRIQUE
L’économiste principal du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Isiyaka Sabo a fait part samedi à Diamniadio, dans la banlieue dakaroise, la volonté de son organisation de soutenir le processus d’émergence de l’Afrique.
L’économiste principal du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Isiyaka Sabo a fait part samedi à Diamniadio, dans la banlieue dakaroise, la volonté de son organisation de soutenir le processus d’émergence de l’Afrique.
"Nous allons continuer à soutenir les différents pays africains dans la formulation et la mise en œuvre de la stratégie d’émergence", a déclaré M. Sabo, en marge de la cérémonie de clôture de la troisième édition de la Conférence internationale sur l’émergence de l’Afrique (CIEA3), sous la présidence du Premier ministre sénégalais, Mahammed Boun Abdallah Dionne.
Il a expliqué que cet appui se fera à travers l’initiative "le Lab sur l’émergence", "une sorte de laboratoires où, les gens réfléchissent pour créer des solutions novatrices permettant de relever les défis africains sur l’émergence".
L’autre volet, a fait l’économiste en chef du PNUD, consiste à s’engager sur l’élaboration des rapports sur l’état d’émergence en Afrique pour donner la situation.
"Nous pensons que c’est une contribution essentielle, intellectuelle pour accompagner tout ce processus", a estimé Isiyaka Sabo, par ailleurs, membre du comité scientifique de la CIEA3.
Dans cette perspective, il a invité les Etats et le secteur privé, à travailler en synergie pour le développement et le bien- être des populations, ajoutant que l’objectif "est de répartir les rôles pour que chacun sache ce qui lui incombe".
"L’Etat sait organiser, mettre les stratégies, la sécurité alors que le business est dévolu au secteur privé", a précisé l’économiste.
"Il faut voir comment aider, investir plus, transformer les matières premières en Afrique, créer des chaînes de valeur et plus d’emplois en vue de faire croître la productivité", a-t-il plaidé.
"BRADAGE DES TERRES À LOUGA"
Des habitants des villages de Ndaldagou, Potou et Gabar 2, dans la commune de Léona (Louga), ont marché samedi pour protester contre une situation qui prend de l'ampleur.
Des habitants des villages de Ndaldagou, Potou et Gabar 2, dans la commune de Léona (Louga), ont marché samedi pour protester contre le "bradage" de leurs terres, a constaté l’APS.
Des jeunes, vieux, femmes et enfants, arborant des foulards rouges, ont participé à la marche pour inviter les autorités du pays à mettre fin au "bradage’’ de leurs terres d’habitation et de culture et réclamer leur restitution.
Escortés par des éléments de la gendarmerie, ils ont brandi des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : "laissez nos terres", "ne touchez pas à nos terres", "nos terres, non vies", ou encore "ma parcelle, mon avenir".
Ils ont poursuivi leur mouvement, à pas lents, jusqu’au village de Gabar 2, point de chute de la marche.
Le Chef de village de Gabar, Mouhamadou Diop s’est félicité du bon déroulement de la marche.
"Nos terres sont notre seule richesse. Elles sont aussi l’avenir de nos enfants, mais, il se trouve qu’elles sont en train d’être bradées et venues à des étrangers à nos détriments", a-t-il déploré, soulignant avoir recensé 485 jeunes qui n’ont pas de parcelles d’habitation.
Selon Mouhamadou Mamoudoune Diop, un jeune de la localité, la municipalité a tracé un plan de lotissement sans prendre en compte les infrastructures de base, (poste de santé, cimetière ou école).
Le maire de Léona, Mamadou Bâ a récusé ces accusations et assurant que les lotissements dans ces différentes localités ont été réalisées en commun accord avec le chef du village.
"C’est en 2015 que nous avons loti 400 parcelles à Gabar2. Cela fait plus de trois ans que nous octroyons ces terres. Nous avons fixé les frais de bornage à 100 000 FCFA pour récupérer l’argent investi et actuellement, il en reste moins de 250 parcelles", a expliqué M. Bâ.
Selon le maire, "la loi ne dit pas qu’il faut donner une parcelle à chaque habitant, ni que les terres leur appartiennent exclusivement".
"Quand un habitant de Louga veut une terre dans cette localité et qu’il paye les droits et les frais de bornage, il est en droit d’en disposer", a-t-il dit, soulignant que la mairie leur a octroyé 25 parcelles.
IDRISSA GANA GUÈYE AU PSG
Thiago Silva a validé la piste menant à l’international sénégalais d’Everton, une des priorités du club parisien pour renforcer son milieu de terrain.
Le capitaine du Paris-Saint-Germain (élite française), Thiago Silva a validé la piste menant à l’international sénégalais d’Everton, Idrissa Gana Guèye, une des priorités du club parisien pour renforcer son milieu de terrain.
"Je ne le connais pas beaucoup. Je sais que c’est un joueur de haut niveau parce que le PSG ne va pas chercher des joueurs qui ne sont pas au niveau de l’équipe", a dit le Brésilien, invité ce dimanche du magazine, Téléfoot de la chaîne française Tf1.
"S’il vient, on va essayer de l’intégrer le plus rapidement possible. Bien sûr que tous les bons joueurs sont les bienvenus à Paris", a indiqué le défenseur central.
Avec le départ annoncé de l’international français Adrien Rabiot et de la blessure de l’Italien Marco Verrati en championnat ce samedi contre Guingamp, le PSG a plus que jamais besoin de renfort au milieu de terrain.
En plus du milieu de terrain international sénégalais, l’entraîneur allemand du PSG, Thomas Tuchel a activé deux autres pistes menant à l’Allemand Julian Weigl mais aussi et surtout à l’Argentin Léandro Paredes.
Si Everton demande la somme de 40 millions d’euros pour l’international sénégalais, les Russes du Zenith ont demandé 55 millions d’euros pour libérer leur Argentin de 24 ans, selon le quotidien sportif français, l’Equipe dans son édition de ce dimanche.
LA LISTE DÉFINITIVE DES CANDIDATS À LA PRÉSIDENTIELLE EN EXERGUE
La publication, par le Conseil constitutionnel, dimanche, de la liste définitive des candidats retenus pour le premier tour de l’élection présidentielle, prévu le 24 février prochain, est largement commentée par les quotidiens ce lundi.
La publication, par le Conseil constitutionnel, dimanche, tard dans la soirée, de la liste définitive des candidats retenus pour le premier tour de l’élection présidentielle, prévu le 24 février prochain, est largement commentée par les quotidiens parvenus lundi à l’Agence de presse sénégalaise (APS).
Le Conseil constitutionnel a confirmé la liste provisoire de cinq candidats qu’il avait publiée le 13 janvier. Il s’agit notamment du président de la République sortant, Macky Sall, et des opposants, Idrissa Seck, Cheikh Issa Sall, Madické Niang et Ousmane.
La juridiction a dans le même temps rejeté les recours qui avaient été introduits par d’autres candidats après l’invalidation de leur candidature, à l’image de Khalifa Ababacar Sall et de Karim Maïssa Wade.
’’Confirmation du cinq majeur’’, mentionne Enquête dont la Une est illustrée de photos des candidats retenus par le Conseil constitutionnel, étalant chacun un large sourire.
’’Aucune surprise. Le Conseil constitutionnel, comme on pouvait s’y attendre, a envoyé balader les requérants qui l’avaient saisi aux fins de revenir sur sa décision initiale du 13 janvier’’, souligne le journal dans ses colonnes.
’’Cinq prétendants pour le trône’’, affiche de son côté le journal L’AS qui s’intéresse aux raisons invoquées par la juridiction pour invalider les candidatures de l’ancien maire de Dakar et du fils de l’ancien président Abdoulaye Wade.
’’Le Conseil constitutionnel a soutenu que, même si le rabat d’arrêt (recours juridique) peut être formé contre un arrêt de la Cour suprême, il ne peut être assimilable à un deuxième pourvoi en cassation qui aurait pour objet d’amener les Chambres réunies, compétentes pour en connaître, à exercer un contrôle normatif ou disciplinaire sur l’arrêt rendu par l’une des Chambres de la Cour suprême’’, fait savoir la publication, qui reprend les motivations invoquées par le Conseil constitutionnel.
S’agissant du recours en validation de la candidature de Karim Wade, la juridiction a motivé son irrecevabilité par le fait que le Code électoral ’’n’ouvre le droit à réclamation qu’aux seuls candidats et qu’Oumar Sarr, son mandataire, n’était pas habilité à le faire’’, croit savoir le journal.
Ces deux candidats déclarés à ce scrutin ont la particularité d’avoir écopé des condamnations judiciaires qui leur enlèvent le droit de briguer les suffrages des Sénégalais.
Karim Wade a notamment écopé d’une condamnation à six ans de prison et à une amende de 138 milliards de francs par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI), tandis que l’ancien responsable socialiste de la capitale purge actuellement une peine de cinq ans pour ’’escroquerie’’, entre autres, dans sa gestion de la Caisse d’avance de sa mairie.
A ce sujet, Sud Quotidien s’exclame : ‘’Khalifa et Karim mis à l’écart !’’. ‘’Ces deux prétendants au fauteuil présidentiel ne participeront pas à l’élection présidentielle de février. Ainsi en a décidé le Conseil constitutionnel qui a rendu public la liste définitive des candidatures validées au scrutin de février’’, indique le journal.
La même information est rapportée par Le Témoin qui rend compte également des réactions suscitées par l’arrêt définitif de la liste des candidats. ‘’Il n’y aura pas d’élection dans ce pays’’, fulmine l’avocat Amadou Sall, un responsable du Parti démocratique sénégalais (PDS, oppostion).
Ce à quoi, Seydou Guèye, membre du parti au pouvoir (Alliance pour la République, APR), rétorque : ‘’Je comprends l’amertume de Me Sall’’. A ce propos, Me Khoureyssi Ba, un conseil de l’ex-maire de la capitale qualifie l’éviction de son client de ‘’la plus grande conspiration politique de l’histoire du Sénégal’’.
’’Le miracle n’a pas eu lieu’’, affiche de son côté Walf Quotidien qui s’attendait visiblement à une invalidation définitive des candidatures de Khalifa Sall et de Karim.
’’Le miracle tant attendu par les candidats recalés et qui avaient déposé un recours n’a pas eu lieu. Le Conseil constitutionnel a juste confirmé la décison qu’il avait prise la semaine dernière en ne validant que cinq candidatures sur vingt-sept. C’est maintenant officiel. Seuls Macky Sall, Issa Sall, Madické Niang, Idrissa Seck et Ousmane Sonko prendront part à la présidentielle du 24 février’’, fait observer le journal.
A ce propos, Le Quotidien use d’images et de chiffres pour résumer cette actualité en affichant à sa Une les photos des cinq candidats retenus par le Conseil conseil constitutionnel, accompagnées du jeu de mots : ’’Cinq sur cinq, Karim et Khalifa déboutés’’.
"UN CIEL ENSOLEILLÉ À MOMENTANÉMENT NUAGEUX"
"En raison d’une baisse généralisée des températures, le temps sera clément sur la quasi-totalité du territoire avec des maxima qui varieront généralement entre 26°C à Dakar et 32 à 34°C à l’intérieur du pays".
L’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) annonce dans son bulletin de prévision à courte échéance, "un ciel ensoleillé à momentanément nuageux", sur le pays ces prochaines 24 heures.
"En raison d’une baisse généralisée des températures, le temps sera clément sur la quasi-totalité du territoire avec des maxima qui varieront généralement entre 26°C à Dakar et 32 à 34°C à l’intérieur du pays", relève-t-elle dans la même source.
Cependant, signale l’ANACIM, le temps sera relativement chaud sur l’axe Matam, Tambacounda et Kédougou où des pics de 35 à 36°C seront relevés.
La fraîcheur nocturne et matinale restera davantage sensible sur le pays où les minima de températures varieront entre 14 et 19°C, ajoute l’agence.
Les visibilités seront globalement bonnes, renseigne-t-elle, soulignant que les vents seront de secteur Nord à Nord-est et d’intensités faibles à modérées.
LIGUE 1 : NDIAMBOUR BATTU 3-0 À DOMICILE
"Sur le plan du jeu, les jeunes sont passés complétement à côté et ont encaissé trois buts suite à d’erreurs individuelles et d’erreurs placement. On va tirer des leçons de notre prestation d’aujourd’hui pour nous rectifier" entraîneur
L’équipe du NDiambour a été battue (3-2) samedi à domicile par Mbour Petite Côte, à cause "d’erreurs individuelles" et "de placements" de la défense, a analysé son coach adjoint, Moustapha Ndiaye.
"Sur le plan du jeu, les jeunes sont passés complétement à côté et ont encaissé trois buts suite à d’erreurs individuelles et d’erreurs placement. On va tirer des leçons de notre prestation d’aujourd’hui pour nous rectifier", a-t-il dit à la fin du match.
"C’est un match perdu. Nous avons offert des buts à l’équipe adverse. La défense a encaissé des buts faciles alors que dans le haut niveau, les erreurs se paient. C’est regrettable, mais l’essentiel, c’est de continuer le travail, rectifier et préparer les prochains matchs", a-t-il insisté.
Selon le coach adjoint, son équipe n’a jamais été autant "malmenée" dans une même mi-temps.
"Nous n’avons pas le droit de prendre trois buts à domicile. Nous sommes, certes, revenus à 3-2 et nous aurions, même dû égaliser, mais l’équipe adverse a géré son avance et sécurisé ses trois points", a-t-il dit.
Toutefois, a-t-il expliqué, depuis un certain temps, des joueurs titulaires blessés sont sur le banc, dont un défenseur et le gardien. "Nous avons fait jouer le deuxième gardien de but pour lui donner sa chance. La défaite est désagréable, mais c’est le football qui est ainsi", a-t-il ajouté.
"Nous avions des consignes très claires. Il fallait mettre en place un blog. Les joueurs ont respecté la consigne. Ils ont abattu un travail de titan ce qui a fait qu’on a remporté les trois points’’, s’est félicité, de son côté, l’entraineur du Mbour Petite Côte, André José Balacoune.
Selon lui, "depuis un certain temps, nous faisons un travail psychologique avec les joueurs et ils étaient mentalement prêts", saluant "la prestation magnifique" de ses excentrés.