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22 novembre 2024
La Une
FINANCEMENTS DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
"La réflexion sur le financement des Collectivités territoriales au-delà de la fiscalité locale devra s’orienter vers des financements innovants telles que le recours au marché financier et les partenariats public-privés".
Les collectivités territoriales doivent s’orienter vers des financements innovants, a soutenu samedi, le directeur général de la Comptabilité publique et du Trésor, Cheikh Tidiane Diop.
"La réflexion sur le financement des Collectivités territoriales au-delà de la fiscalité locale devra s’orienter vers des financements innovants telles que le recours au marché financier et les partenariats public-privés", a-t-il notamment indiqué.
M. Diop s’exprimait lors d’un diner-débat de l’amicale des inspecteurs du trésor du Sénégal sur le thème : "Le financement du développement local, quel partenariat entre le Trésor public et les collectivités territoriales sénégalaises ?".
"En effet, les besoins de financement des programmes de développement local sont souvent au-delà des ressources issues des dotations de l’Etat et de la fiscalité", a-t-il soutenu.
Il a souligné la nécessité de renforcer le cadre normatif de gestion des collectivités territoriales pour encadrer et mieux orienter les ressources vers l’investissement qui constitue le meilleur levier pour répondre aux préoccupations des populations.
"La réussite de la politique de décentralisation appelle une interaction positive entre les différents acteurs notamment entre les comptables et les ordonnateurs locaux", a-t-il estimé.
Des élus locaux, ainsi que de nombreux officiels ont pris part à la rencontre.
"LES JUNIORS PEUVENT FAIRE FACE À TOUS LES STYLES DE JEU"
L’entraîneur national a parlé "de belle opposition contre l’équipe saoudienne", faisant savoir que son groupe tout de même, a connu des difficultés à faire face aux qualités techniques de l’adversaire.
L’équipe du Sénégal des moins de 20 ans, victorieuse 2-0 de celle de l’Arabie Saoudite de la même catégorie, a démontré qu’elle peut faire face à toutes les oppositions, a analysé son entraîneur, Youssouph Dabo à l’APS.
"On a un groupe aux profils différents capable de faire face à n’importe quel type de football", a déclaré le technicien dans un entretien téléphonique.
L’entraîneur national a parlé "de belle opposition contre l’équipe saoudienne", faisant savoir que son groupe tout de même, a connu des difficultés à faire face aux qualités techniques de l’adversaire.
"En face, nous avons eu une équipe qui nous a été supérieure dans certaines zones mais nous avons réussi à garder notre cage inviolée en étant très compacts", a-t-il dit, se réjouissant que son équipe n’ait même pas eu à concéder d’occasions au cours de la rencontre.
"Et puisque nous avons un groupe ayant des arguments à faire valoir, nous avons exploité les quelques opportunités qui se sont présentées à nous", a-t-il dit.
Il a indiqué que l’équipe saoudienne joue en "attaques placées" qui a mis "sous pression terrible" celle du Sénégal quand elle avait le ballon, ajoutant que son groupe a bien appris.
"Pour des jeunes footballeurs, c’est bien de faire face à tous les genres de football pour leur avenir, de pouvoir voir autre chose", a-t-il retenu. Youssouph Dabo a fait savoir que pour le 2-ème match amical de ce lundi, il est prévu de faire tourner le groupe.
"Nous avons sélectionné 22 joueurs pour pouvoir voir tout le monde à l’œuvre", a-t-il par ailleurs ajouté, soulignant qu’en voyant tout le monde, il est plus aisé de faire une évaluation.
Après avoir battu l’Arabie Saoudite ce samedi par 2-0, les Juniors retrouveront le même adversaire pour une autre rencontre amicale en perspective de la CAN des moins de 20 ans prévu du 2 au 17 février au Niger.
Le Sénégal évoluera dans le groupe B en compagnie du Burkina Faso, du Ghana et du Mali.
Dans le groupe A, il y a le pays organisateur, le Niger, l’Afrique du Sud, le Burundi et le Nigeria
DIOMANSY NE SERA PAS MANAGER GÉNÉRAL DU CASA-SPORTS
L’ancien international Diomansy Kamara était pressenti pour le poste de Manager général de Casa Sports. Le projet est finalement tombé à l’eau. «Le Casa-Sports m’avait sollicité, mais les discussions n’ont pas abouti.
L’ancien international Diomansy Kamara était pressenti pour le poste de Manager général de Casa Sports. Le projet est finalement tombé à l’eau. «Le Casa-Sports m’avait sollicité, mais les discussions n’ont pas abouti. Je ne travaille pas avec eux cette saison, même si des jeunes qui sont là-bas le veulent. Le plus important est de faire avancer le football. Mais, j’ai de très bons rapports avec Atépa et le président Sané Seydou», a-t-il confié dans un entretien à 13 Tv repris par Le Quotidien.
Revenant laconiquement sur les raisons de la non-concrétisation de son partenariat avec le Casa Sports, Diomansy Kamara d’ajouter : «J’ai dû prendre du recul par rapport à différentes activités sur lesquelles je m’étais investi. J’ai repris doucement avec Canal Plus. Je suis un peu dans le football avec des gamins avec qui je suis en train de travailler. Mon actualité se situe à ce niveau-là et je rends grâce à Dieu».
CHANGEMENT CLIMATIQUE
Des directeurs d’école, des enseignants et des représentants des comités de gestion de quatre écoles de Louga et Kébemer ont été formés sur les effets néfastes du changement climatique.
Des directeurs d’école, des enseignants et des représentants des comités de gestion de quatre écoles de Louga et Kébemer (Niayes) ont été formés sur les effets néfastes du changement climatique afin de les aider à mettre en place ‘’des stratégies idoines’’ de lutte contre ce phénomène.
‘’Nous avons invité des directeurs d’école, des enseignants, des comité de gestion des écoles (CGE) sur les causes du changement climatique, ses conséquences et les stratégies d’atténuation de la lutte contre les effets néfastes du changement climatique’’, a expliqué l’inspecteur d’académie de Louga, Bou Fall, en marge de cette formation.
Celle-ci va les préparer ‘’à mieux comprendre cette problématique, en vue de mettre en place des stratégies idoines pour faire face à ces difficultés liées aux changements climatiques’’, a-t-il expliqué.
Dans les Niayes, le changement climatique engendre des pénuries d’eau et la dégradation des terres, selon un document remis à la presse. Pour faire face à cela, souligne-t-il, le projet de renforcement de la gestion des terres et des écosystèmes des Niayes et de la Casamance dans un contexte de changement climatique a été mis en place.
Selon Bou Fall, le changement climatique est corollaire à l’action anthropique. ‘’Ce sont les hommes qui détruisent la nature, qui prennent le sable de la plage, qui utilisent des réfrigérateurs pas adaptés et qui détruisent la couche d’ozone, ils sont souvent à la base des actions qui provoquent les changements climatiques’’, a-t-il indiqué.
Pour lutter contre ce phénomène, dit-il, il faut partir de ces hommes, surtout avec les enfants au niveau de ces écoles.
‘’[...] quatre de nos écoles au niveau de Louga et de Kébemer sont dans la zone des Ndiaye. On forme les acteurs qui sont autour de ces écoles pour faire de ces enfants de véritables soldats de lutte contre ces effets néfastes et la prise en charge des questions environnementales dans leur vie quotidienne’’, a expliqué Bou Fall.
Selon l’inspecteur d’académie, les écoles qui sont dans la zone des Niayes ont d’énormes richesses qui risquent de disparaitre si rien n’est fait.
‘’C’est une session va nous permettre de faire la démultiplication au sein des équipes pédagogiques pour sensibiliser les élèves sur le changement climatique. Cette activité va aussi nous permettre de mettre en place notre plan d’action environnemental (reboisements)’’, s’est réjoui le directeur de l’école élémentaire de Potou (Louga), Amadou Dia.
"INSULTER LES CHEFS D'ÉTAT NE FERA PAS DÉVELOPPER L'AFRIQUE"
Réponse de Macky Sall au groupe Keur Gui. Le clip “Sai Sai au cœur” du groupe de rap s’est invité à la Conférence Internationale sur l’émergence de l’Afrique.
Le clip “Sai Sai au cœur” du groupe de rap Keur Gui de Kaolack s’est invité à la Conférence Internationale sur l’émergence de l’Afrique. Macky Sall a profité de cette rencontre pour apporter la réplique aux rappeurs qui s’en sont vertement pris à lui et sa gouvernance pour dénoncer la gestion du régime. Le chef de l’État a répondu sans citer les yenamaristes.
Il dit “insulter les chefs d’État ne fera pas développer l’Afrique”. A l’endroit de Thiat et Kilifeu, indirectement, Macky Sall d’ajouter “cette jeunesse et les organisations qui les soutiennent doivent savoir que l’Afrique n’est pas l’Europe, ni l’Amérique ou l’Asie.
Nous sommes des africains et nous avons nos valeurs”, a-t-il dit. Selon toujours le Président Macky Sall, « nous (les africains) partons avec un retard et ce retard, il faut le rattraper. Il nous faut nous battre. Et c’est dans la compétitivité que nous allons sortir l’Afrique du sous-développement. Il faut former la jeunesse. Pas une jeunesse qui insulte tout le monde, une jeunesse qui insulte les Présidents.
Nous n’allons pas nous développer avec une telle jueunesse », dit-il. Avant de poursuivre : « Ce retard, il faut le combler, non pas seulement par le secteur public. Mais il faut promouvoir le développement de l’investissement direct avec le transfert de technologie. Il faut les efforts de l’État, l’équité fiscale. Il faut que tout le monde paie l’impôt », telles sont les leçons de Macky Sall ce jeudi au CICAD.
QUAI DE PÊCHE DE NDANGANE SAMBOU
Le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, Oumar Guèye, et Stéphane Dévaux, de la Délégation de l’Union européenne (UE), ont procédé jeudi à la pose de la première pierre à Fimela dans la région de Fatick.
Le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, Oumar Guèye, et Stéphane Dévaux, de la Délégation de l’Union européenne (UE), ont procédé jeudi à la pose de la première pierre du quai de pêche de Ndangane Sambou, un village de pêcheurs situé dans la commune de Fimela, a constaté l’ APS.
Financé à hauteur de 326 millions de francs CFA par l’Union européenne (UE), ce quai de pêche comprendra un débarcadère, un laboratoire, un poste de surveillance, une salle de réunion’’, a souligné le ministre, lors de la cérémonie.
‘’[Il] comprendra aussi un poste de contrôle, des vestiaires et sanitaires, un loge gardien, des abris moteurs, un magasin, une aire de manœuvre, une aire de chargement, un parking extérieur, une piste d’accès, entre autres infrastructures’’, a-t-il ajouté, en présence de plusieurs autorités de la région.
Il a expliqué que la pose de la première pierre du quai de pêche de Ndangane Sambou vient matérialiser (…) une vieille doléance des populations de la localité et ses environs.
Selon lui, la réalisation de l’ouvrage dans les délais requis et conformément aux spécifications techniques prévues dans le contrat va permettre, à coup sûr, de renforcer la qualité hygiénique et sanitaire des produits. Elle va également permettre d’’’améliorer les conditions de travail des acteurs et la rente des produits’’, a-t-il ajouté.
‘’Avec ce quai moderne, les pêcheurs, maréyeurs bénéficieront de conditions de travail améliorées en matière d’hygiène et de sécurité. Ils disposeront également de produits de meilleure qualité et de plus grande valeur’’, a-t-il encore souligné.
Le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime a exhorté l’entreprise en charge des travaux à veiller au respect scrupuleux des clauses contractuelles relatives aux délais d’exécution de huit mois et à la qualité de l’ouvrage.
Il a magnifié le partenariat entre l’Union européenne et le Sénégal, particulièrement dans le secteur de la pêche.
MISE EN PLACE D’UN COMITÉ DE PILOTAGE DES ASSISES DE L’UGB
Le professeur Ibrahima Diagne a été choisi pour diriger le comité de pilotage des Assises de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis lors d’une rencontre organisée jeudi en présence du recteur de cette deuxième université publique du pays.
Le professeur Ibrahima Diagne a été choisi pour diriger le comité de pilotage des Assises de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis lors d’une rencontre organisée jeudi en présence du recteur de cette deuxième université publique du pays, le professeur Ousmane Thiaré.
Le comité de pilotage a notamment en charge l’élaboration des termes de référence des Assises de l’UGB, l’organisation de la journée des assises et la rédaction des rapports, lit-on sur son arrêté de création dont copie est parvenue à l’APS.
Les prochaine Assises de l’UGB visent à remobiliser toutes les composantes sociales afin de renouer avec la paix sociale et les performances pédagogiques de l’institution, souligne la même source.
RENFORCEMENT DES NORMES DÉMOCRATIQUES
Des activistes prônent pour des reformes institutionnelles indispensables.
La nécessité de ‘’promouvoir auprès des citoyens et organisations de base un panier minimal de mesures structurantes de réformes institutionnelles indispensables pour renforcer les normes démocratiques du Sénégal’’ constitue l’une des recommandations fortes du Forum citoyen organisé mercredi et jeudi à Dakar, à l’initiative de AfricaJOM Center dirigé par Alioune Tine.
‘’La construction d’une démocratie post-électorale : la réforme des institutions comme condition de possibilité de renforcement de la République, de la démocratie, de l’État de droit et des droits humains’’, est le thème de cette rencontre.
Dans une déclaration dont l’APS a obtenu copie, les participants ont annoncé la création d’’’un front très large de citoyens/OSC [organisations de la société civile] déterminés et clairvoyants, qui porte ces propositions de réformes institutionnelles en vue de remettre l’éthique au centre de la gouvernance’’.
Les participants ont fait part de leur volonté de ‘’susciter une passerelle entre académiciens et société civile pour accompagner les citoyens dans la compréhension des enjeux/situations, enrichir le débat public et promouvoir une vision nouvelle de la gouvernance, des institutions et de la citoyenneté, et ainsi assurer une meilleure résilience des fonctions de contre-pouvoirs dans nos sociétés’’.
Ils ont souligné ‘’la nécessité impérieuse d’une confiance des citoyens à l’égard du leadership politique et envers les institutions républicaines et démocratiques’’.
Dans leur diagnostic, ils ont décelé ‘’les dysfonctionnements récurrents des institutions républicaines, le déficit du dialogue politique, la nécessité de préserver un espace pluriel de libre expression’’. Ce diagnostice a aussi fait ressortir "la nécessité de poser des jalons importants pour réformer le système politique, démocratique et institutionnel à bout de souffle, afin de construire un Etat de droit conforme aux normes internationales et adapté aux réalités du continent’’.
Ils ont également souligné ‘’la richesse extraordinaire des éléments de diagnostic, d’analyse et de recommandations contenus dans le Pacte républicain, les conclusions des Assises nationales et de la Commission Nationale de réforme des Institutions’’.
Les participants ont préconisé ‘’quelques mesures structurantes de reformes des institutions à promouvoir en priorité’’ pour ‘’un citoyen placé au cœur de la république et des politiques publiques, la séparation et l’équilibre des pouvoirs’’.
Il y a lieu, estiment-ils, de ‘’résoudre définitivement la question de l’hypertrophie de la fonction présidentielle par un meilleur encadrement des pouvoirs du président de la République sauvegardant le fonctionnement adéquat et satisfaisant des autres institutions ; l’aménagement dans la Constitution de disposition engageant la responsabilité politique du chef de l’Etat et la consécration de la règle selon laquelle le président de la République, une fois élu, cesse d’être chef de parti’’.
De même, ils ont plaidé pour ‘’l’indépendance effective de la Justice, un parlement émancipé et au service des citoyens, des Organes indépendants de Régulation efficaces, un rôle positif des partis politiques dans la démocratie et le développement inclusif et durable, une administration neutre, impartiale et efficace, une société civile respectée, engagée et proactive, au service du peuple’’.
Pour contribuer ‘’efficacement à ces transformations’’, les participants au Forum ont annoncé la mise sur pied d’’’un Observatoire de suivi et de mise en œuvre des reformes des institutions de la République’’.
MACKY SALL RÉSILIE LE CONTRAT DE BICTOGO POUR...
La société, Marylis Btp, n’est plus responsable de la construction, à Diamniadio, de l’Universitéì Amadou Moctar Mbow qui lui a été confiée.
Les nombreuses voix qui s’étaient élevées, en son temps, pour dénoncer le choix porté sur le sulfureux Ivoirien d’Adama Bictogo sont en passe d’avoir raison. Sa société, Marylis Btp, n’est plus responsable de la construction, à Diamniadio, de l’Universitéì Amadou Moctar Mbow qui lui a été confiée.
Le Président Macky Sall a résilié le contrat pour retard de livraison de chantier. Motif évoqué ? Libération renseigne que l’ex-ministre et homme d’affaires ivoirien peine à mettre en œuvre le projet, alors que l’université, prévue pour recevoir 30.000 étudiants, devait être fonctionnelle depuis 2017.
La Bank of Africa (Boa), qui devait financer le projet à hauteur de 60 milliards Fcfa, a aussi refusé de décaisser l’argent pour l’inexpérience de la société Marylis Btp qui n’a pas la maîtrise sur la destination réelle de cette manne financière. Le protocole d'accord entre l'État du Sénégal, la Boa et Marylis Btp a été signé lors du dernier séjour du roi du Maroc au Sénégal.
À noter que Marylis Btp s’est liée, pour l’exécution de ce chantier, avec la société Touba Matériaux contrôlée par Abdou Lahat Kâ, l’actuel maire de Touba. Le chantier de l’Université Amadou Moctar Mbow de Diamniadio est le premier marché de Adama Bictogo au Sénégal
STADE DE MBOUR MET EN JEU SA COURONNE CONTRE GÉNÉRATION FOOT
Le tirage au sort des 8-èmes de finale de la Coupe de la ligue, qui a eu lieu ce jeudi, a donné lieu à beaucoup de duels entre clubs de ligue 1, notamment la rencontre entre le Stade de Mbour et Génération Foot.
Le tirage au sort des 8-èmes de finale de la Coupe de la ligue, qui a eu lieu ce jeudi, a donné lieu à beaucoup de duels entre clubs de ligue 1, notamment la rencontre entre le Stade de Mbour et Génération Foot, l’un des gros bras du football sénégalais.
L’équipe du Stade de Mbour, qui fait un début de saison difficile, fera face à une équipe de Génération Foot qui mène de front toutes les compétitions.
Même s’il y a une classe d’écart avec la ligue 2, les pensionnaires de ligue 1 que sont Mbour PC et la Sonacos de Diourbel en difficulté auront fort à faire
respectivement contre le CNEPS et Diambars.
Voici les affiches : Teungueth FC-Ndiambour, US Gorée-Casa Sports, Amitié FC-Africa Promo Foot, Sonacos-Diambars, CNEPS-Mbour PC, Dakar Sacré Cœur-AS Pikine, Génération Foot-Stade de Mbour, Niary Tally-Jaraaf.