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10 avril 2025
Media
LA MOBILISATION DES SOUTIENS DU DÉPUTÉ FARBA NGOM AU MENU DE LA PRESSE QUOTIDIENNE
Les livraison de ce vendredi mettent en relief La mobilisation organisée dans la commune de Agnam (nord), en soutien au député Mouhamadou Ngom dit Farba, cité dans une affaire de blanchiment de capitaux
La mobilisation organisée dans la commune de Agnam (nord), en soutien au député Mouhamadou Ngom dit Farba, cité dans une affaire de blanchiment de capitaux, fait le menu de plusieurs quotidiens parvenus vendredi à l’APS.
« Farba retient son souffle et mobilise le Fouta », jeudi, alors que la plénière de l’Assemblée nationale devant statuer sur la levée de son immunité parlementaire doit se tenir ce vendredi, rapporte Sud Quotidien.
« +Touche pas à Farba+ ! C’est le slogan répété hier, jeudi 23 janvier, par plusieurs personnes qui s’étaient mobilisées à Agnam (département de Matam) pour soutenir le député Mouhamadou Ngom dit Farba », écrit le journal.
Il note que des responsables politiques et militants de l’Alliance pour la République (APR), le parti de l’ancien président Macky Sall, ainsi que des populations de la région de Matam « se sont érigés en boucliers du maire de Agnam dont […] l’immunité parlementaire est en passe d’être levée par ce que visé par une enquête ».
« L’APR bande les muscles », affiche le quotidien L’As. « Devant les populations du Fouta, écrit le journal, les responsables de l’Alliance pour la République se sont montrés virulents, lors de la manifestation de soutien d’hier à Agnam, à l’égard du régime qui, pour eux, instrumentalise la justice ».
Farba Ngom « dopé » par la mobilisation de Agnam
Ces responsables de l’ancien parti au pouvoir et de la coalition Takku Wallu, dont plusieurs anciens ministres, ont tiré « à boulets rouges sur le régime et adoubant Farba », constate le quotidien L’info. « Agnam, rouge de colère, s’érige en bouclier autour de son fils », renchérit Les Echos.
Il s’est agi d’une « démonstration de force en attendant le face-à-face avec le juge », souligne L’Observateur. Un « baroud d’honneur » surtout, estime Vox Populi, car pour Farba Ngom, c’est « le début des ennuis », selon Walfquotidien.
« Au regard de la démarche de la commission ad hoc de l’Assemblée nationale qui a enclenché la procédure, on peut dire que le maire des Agnam est dans la ligne droite en direction du Pool judiciaire financier (PJF) », soutient le journal Le Quotidien.
Source A repend à sa une des déclarations de Farba Ngom, dont il dit qu’il a été « dopé » par cette mobilisation populaire dans son fief. « Cette procédure ne m’ébranle pas, a déclaré le député, c’est Sonko qui est derrière, mais je suis déterminé à rester dans l’arène politique ».
Mais le garde des Sceaux, cité par plusieurs quotidiens dont Tribune, assure que l’autorité politique « n’a absolument rien à voir avec l’affaire Farba Ngom ». Le procureur, qui reçoit directement les rapports de la cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF), « a l’obligation légale de saisir le juge d’instruction », précise Ousmane Diagne dont les propos sont rapportés par Libération.
La surpopulation carcérale, « un défi humain et structurel »
« Le ministre de la Justice se blanchit », relève Vox Populi, reprenant à son tour les propos du garde des Sceaux selon lesquels l’affaire visant Farba Ngom n’a rien de politique. « Accusé d’être derrière la procédure enclenchée pour traduire le député Farba Ngom devant le Pool judiciaire financier, le ministre de la Justice a nié ces allégations », fait observer Le Quotidien.
Enquête se demande à sa une si la réforme de la Fonction publique va sonner la fin des privilèges. « Face à une administration gangrenée par la corruption et l’inefficacité, rappelle le journal, le gouvernement a initié une vaste réforme de la Fonction publique ».
Selon Enquête, « cette initiative vise à moderniser les services de l’Etat, renforcer la transparence et instaurer une gestion plus rigoureuse des ressources humaines ». Sauf que « cette ambition se heurte à des obstacles structurels majeurs : le clientélisme politique, la lourdeur bureaucratique et la résistance au changement au sein de l’administration », constate la même publication.
Le Soleil s’intéresse à la surpopulation carcérale, en renseignant que les 37 prisons du pays regroupent 14 147 détenus pour une capacité de 4 924 places, selon des statistiques datant d’août 2024. « Nous sommes face à un défi humain et structurel », reconnait à ce propos, le garde des Sceaux, ministre de la Justice.
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LES UNES DE LA PRESSE DE CE VENDREDI 24 JANVIER 2025
Sud Quotidien, Walf Quotidien, Yoor-Yoor Bi, L'Observateur, Libération, Le Quotidien, Enquête, Vox Populi, Le Verdict News, L'As, Record, Le Soleil, Wiwsport
PLAIDOYER POUR LA MONÉTISATION DES CONTENUS MÉDIATIQUES PAR LES GAFAM
L’Institut Panos Afrique de l’Ouest, en collaboration avec l’UNESCO, ambitionne de promouvoir une réforme législative pour inciter les géants du numérique à rémunérer les contenus produits par les médias africains.
L’institut Panos Afrique de l’Ouest veut mener un plaidoyer, en collaboration avec l’UNESCO, en vue d’une réforme législative et réglementaire visant à inciter les géants de l’Internet, connus sous le nom de GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), à la monétisation des contenus produits par les médias africains, a déclaré jeudi, Birame Faye, le coordonnateur dudit institut.
‘’Nous voulons examiner les différentes lois, tels le code de la presse, le code la publicité, la loi sur les droits d’auteur, la loi d’orientation sur la société de l’information, les directives régionales existantes pour vérifier s’il existe des dispositions qui prévoient des paiements’’ octroyés aux créateurs de contenus, les médias notamment, a-t-il dit.
Birame Faye s’exprimait au cours d’un atelier de restitution d’une étude portant sur le cadre légal relatif à la reprise et à l’exploitation des contenus médiatiques au Sénégal par les GAFAM.
Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du projet dénommé : ‘’Relever le défi de la sécurité juridique des médias face aux nouveaux enjeux numériques au Sénégal et en Côte d’Ivoire’’.
‘’L’atelier vise à améliorer la connaissance de la communauté des acteurs médiatiques, institutionnels et culturels, du cadre relatif à l’exploitation de leurs contenus en vue de les engager dans un plaidoyer pour une réforme législative et réglementaire visant à protéger la création de contenus contre l’action commerciale des plateformes numériques’’, a-t-il fait savoir.
Selon lui, cette initiative vise à renforcer la viabilité des médias en Afrique de l’Ouest face à la concurrence accrue des plateformes de contenus telles que les GAFAM, TikTok, Opera News, etc., qui agrègent et distribuent des contenus en ligne de sources diverses.
L’accent est mis, à son avis, sur l’amélioration des cadres juridiques au Sénégal et en Côte d’Ivoire pour mieux protéger les médias locaux.
A ce titre, le coordonnateur de l’Institut Panos Afrique de l’Ouest propose l’adoption de dispositions légales en cas de vide juridique, suggérant, au besoin, la révision de la loi sur les droits d’auteur et les droits voisins.
Pour Birame Faye, étant donné que ces dispositions légales et réglementaires sont de portée nationale, il appelle à un plaidoyer au niveau sous régional, pour faire face à la puissance des GAFAM.
‘’Vu la puissance de ces plateformes, un plaidoyer sera mené au niveau de l’UEMOA, de la CEDEAO pour avoir des directives communautaires qui encadrent l’exploitation des contenus médiatiques’’.
Présent à l’atelier, le conseiller régional pour la communication et la formation du bureau régional de l’UNESCO pour l’Afrique de l’Ouest, Michel Kenmoe a indiqué que l’étude vise à ‘’engager la discussion pour pouvoir trouver un cercle vertueux entre les médias, les plateformes numériques et le public’’.
‘’La viabilité des médias est très importante. Lorsqu’ils ne sont pas viables, c’est le contenu qui va en pâtir et il y a le risque qu’ils puissent être capturés par des intérêts économiques, politiques ou tout autre’’, a-t-il averti.
LES QUOTIDIENS TOUJOURS PLUS TOURNÉS VERS LES AFFAIRES
Les livraisons de ce jeudi continuent de décortiquer les enquêtes ouvertes par la justice dans plusieurs affaires liées à des infractions financières.
Les enquêtes ouvertes par la justice dans plusieurs affaires liées à des infractions financières continuent de tenir en haleine les quotidiens parvenus jeudi à l’APS.
Sud quotidien annonce que l’Assemblée nationale va statuer demain, vendredi 24 janvier, sur la demande de levée de l’immunité parlementaire du député Mouhamadou Ngom dit Farba, cité dans une affaire de blanchiment de capitaux s’élevant à 125 milliards de francs CFA.
« Vingt-quatre heures après son face-à-face raté avec le député de Takku Wallu [opposition parlementaire] qui a boycotté son audition, la commission ad hoc chargée de statuer sur la demande de levée de son immunité parlementaire a saisi hier, mercredi 22 janvier, le président de l’Assemblée nationale qui, dans la foulée, a convoqué la conférence des présidents pour arrêter la date de la plénière », rapporte le journal, évoquant un « bras de der » en perspective.
Vox populi note que d’ores et déjà, « les avocats politiques de Farba Ngom fustigent la procédure choisie », à l’image de Me El Hadj Amadou Sall, qui affirme, dans des propos rapportés par le même journal, que par « Farba Ngom n’a pas eu accès à son dossier pour se défendre ».
« Rien d’autre qu’une chasse aux sorcières »
La coalition Takku Wallu Sénégal à laquelle appartient le député, dénonce de son côté « une tentative du gouvernement de déchoir Mouhamadou Nom dit Farba de son immunité parlementaire », rapporte L’Observateur.
Elle considère que la demande dont il fait l’objet « n’est rien d’autre qu’une chasse aux sorcières politiquement motivée, dénuée de tout élément concret », avant de signaler que trois société de Farba Ngom sont sous enquête fiscale.
Le quotidien l’As note que cette affaire peut se lire comme « le baromètre d’un rapport de forces », en allusion à la « grande mobilisation de soutien » convoquée par l’Alliance pour la République, ce jeudi, dans le fief du député, à Agnam, dans le nord du pays.
Selon l’As, le succès de cette mobilisation « sera déterminant dans le rapport de forces que la formation marron-beige veut imposer au pouvoir en place, qu’elle qualifie de ‘revanchard’ et ‘d’inexpert' ».
Si M. Ngom est « en passe de perdre son immunité parlementaire », sur la base de « soupçons financières de nature encore indéterminée, le dernier rapport de la Centif [Cellule nationale de traitement des informations financières] montre qu’il n’est pas le seul à être visé », relève L’Observateur.
Il ajoute que « les infractions les plus notables relevées par cet organisme portent sur les délits de corruption, de détournement de fonds publics, ou même de trafic de devises et autres », étant entendu que l’année dernière, « 43 dossiers avaient été transmis à la Justice ».
Libération, par exemple, révèle que le parquet financier « piste des retraits de 1,051 milliard de francs CFA » à la Société de construction et d’aménagement (SECAM), filiale de la Caisse des dépôts et consignations. Il s’agit de retraits « sans justificatifs ni contrepartie », intervenus après le rachat, en septembre 2023, de 60% du capital de la SECAM par la CDC, fait observer le journal.
« Ça sent la diète »
Le quotidien Les Echos, dans le même esprit, s’intéresse aux poursuites judiciaires contre Tabaski Ngom, ex-agent comptable particulier de la Commission de régulation du secteur de l’électricité, dans le cadre d’un détournement présumé de plus de 700 millions de francs CFA.
« D’autres affaires apparaissent dans l’affaire », renseigne le journal, selon lequel de nouvelles têtes risquent de tomber dans cette affaire. « Le parquet financier vient de poser un acte fort allant dans la diligence des dossiers impliquant Tabaski Ngom, Mor Guète et Momath Ba », renseigne L’Observateur, sur le même sujet.
« Cette juridiction qui a ordonné la jonction des trois procédures, eu égard à leur ‘lien de connexité’, a également désigné un juge, lequel pourrait inculper aujourd’hui [jeudi 23 décembre] le trio », annonce la même publication.
Walfquotidien évoque un tout autre sujet, lié à la « réduction de l’aide au développement de la France » et à « la suspension des financements de l’USAID et du FMI ». « Ça sent la diète », affiche le journal. Et de faire remarquer que pendant que les finances publiques sont tendues, écrit le journal, « les sources de financement se raréfient. Ce qui risque de compliquer la situation économique du Sénégal déjà tendue ».
« Diomaye-Sonko sous pression », lit-on à la une du quotidien Enquête, dont l’intérêt porte sur l’état du front social. « Face aux menaces sur l’emploi dans le public et le privé, les défenseurs des droits des travailleurs se mobilisent », indique le journal.
Le Soleil pointe les conséquences de l’attaque, ce week-end, d’un réceptif hôtelier sur la petite-côte sénégalaise. Ce braquage n’a pas fait de victime, mais son écho « pourrait faire du mal au tourisme sénégalais », qui se trouve soumis « à rude épreuve », selon le journal.
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LES UNES DE LA PRESSE DE CE JEUDI 23 JANVIER 2025
Sud Quotidien, Walf Quotidien, Yoor-Yoor Bi, L'Observateur, Libération, Le Quotidien, Enquête, Vox Populi, Le Verdict News, L'As, Record, Le Soleil
LE CDEPS APPELLE À UN DIALOGUE RÉNOVÉ AVEC LA PRESSE SÉNÉGALAISE
« Nous sommes en situation de cataclysme depuis le Covid-19. À terme, la menace de fermeture des entreprises de presse est bien réelle. Plusieurs centaines d’emplois vont être perdus’’, a alerté Mamadou Ibra Kane.
Le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (CDEPS) a lancé, mercredi, à Dakar, un appel au président de la République, Bassirou Diomaye Faye, pour un « dialogue rénové avec la presse ».
‘’Nous lançons un appel au président de la République pour un dialogue rénové avec la presse, qui a son rôle à jouer dans le développement économique et social du Sénégal’’, a lancé le président du CDEPS, Mamadou Ibra Kane.
Il s’exprimait ainsi au cours d’un point de presse portant sur la situation économique des entreprises de presse. La rencontre a vu la présence des patrons de presse, des journalistes et techniciens de média.
« Nous sommes en situation de cataclysme depuis le Covid-19. À terme, la menace de fermeture des entreprises de presse est bien réelle. Plusieurs centaines d’emplois vont être perdus’’, a alerté Mamadou Ibra Kane. Selon lui, le CDEPS dit ‘’ regretter les dix premiers mois du nouveau pouvoir incarné par le président Bassirou Diomaye Faye en raison de mesures inacceptable pour l’entreprise de presse.’’
Il a également déclaré que les cotisations sociales au bénéfice des travailleurs ne sont plus versées régulièrement, pour ne pas dire que la couverture médicale n’est plus assurée pour nombre de cotisants des travailleurs du secteur des médias.
Selon le président du CDEPS, le Sénégal a besoin d’une presse républicaine, libre et indépendante, viable économiquement. Elle n’est « ni un adversaire, encore moins un ennemi ». Les médias sont et resteront toujours un vecteur de développement.
‘’La presse peut être un formidable outil de sécurisation des politiques publiques des dirigeants légitimement choisis par le Sénégal. C’est justement le rôle que la presse privée veut continuer de jouer. Une presse libre et indépendante est gage pour le Sénégal d’une solidité politique économique et sociale, d’un raffermissement de la démocratie, d’une conscience citoyenne renforcée, d’un meilleur vivre ensemble’’, a estimé Mamadou Ibra Kane.
Il a en outre lancé un appel à tous les citoyens sénégalais, à la représentation nationale, à la société civile et aux partenaires pour l’essor d’un ‘’environnement favorable au renforcement de la liberté de la presse et de l’état de droit’’.
LA LEVÉE DE L’IMMUNITÉ PARLEMENTAIRE DE FARBA NGOM AU MENU DE LA PRESSE QUOTIDIENNE
Les parutions de ce mercredi s'intéressent la procédure annoncée de la levée de l’immunité parlementaire du député Mouhamadou Ngom dit Farba avec en toile de fond la tenue, hier, de la commission ad hoc à cette fin
La procédure annoncée de la levée de l’immunité parlementaire du député Mouhamadou Ngom dit Farba avec en toile de fond la tenue, hier, de la commission ad hoc à cette fin, intéresse particulièrement les quotidiens reçus ce mercredi à l’Agence de presse sénégalaise.
« Farba Ngom vers le pool judiciaire financier », titre par exemple le Quotidien à sa une.
Il poursuit en annonçant que « la commission ad hoc va proposer sous peu à la plénière la levée de l’immunité parlementaire du député ».
Sud quotidien s’est aussi intéressé à ce sujet en titrant : « Farba Ngom livré à la plénière ».
Il évoque par ailleurs le cas d’Aissata Tall qui dit-il, « n’a pas apprécié le fait qu’on ne lui ait pas donné l’occasion d’accéder au document incriminant le député ».
Représentant son collègue devant la commission ad hoc, « »Aissata Tall Sall a quitté celle-ci hier et a dénoncé la démarche de la structure », renseigne le journal
Walfquotidien s’est également attardé sur le « boycott » d’Aissata Tall Sall qui préfère parler d’une « parodie de commission ad hoc » dans le même journal
L’Obs est aussi revenu sur l’absence des représentants du députés à la commission ad hoc, notant que « la défense de Farba Ngom claque la porte de la commission ad hoc ».
Il cite Aissata Tall Sall et Djimo Souaré qui dénoncent une « instrumentalisation politique ».
« Une volatilité qui déroute les ménages »
L’AS quotidien a ouvert ses colonnes au président du groupe parlementaire de PASTEF, Ayib Daffé selon qui « Takku Wallu entretient une confusion entre les attributions d’une commission ad hoc pour la levée de l’immunité parlementaire d’un député et celles d’enquête parlementaire ».
« Au stade actuel, la procédure a été strictement respectée », clame Ayib Daffé dans le même journal.
Le Soleil s’est éloigné de la politique pour évoquer des sujets essentiellement économiques et sociales.
Il a consacré un large dossier sur ce qu’il appelle « la hause répétitive des prix des denrées de première nécessité »
« Une volatilité qui déroute les ménages », barre-t-il à sa Une en faisant allusion à cette hausse des prix.
Selon le journal, « ces cinq dernières années , malgré des renonciations fiscales et des subventions avoisinant 800 milliards de FCFA, les consommateurs sont confrontés à une augmentation récurrente des prix ».
Le directeur du Commerce intérieur Cheikh Ahmadou Bamba Ndaw s’est exprimé dans le journal en informant que « les cas de hausse relevés sont liés à un déficit de l’offre ».
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LES UNES DE LA PRESSE DE CE MERCREDI 22 JANVIER 2025
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