Baadoolo - Gacce ngaalaama Aliou
Tiey sudul woon yow… Merci Aliou de nous avoir fait goûter le bonheur de la Can. Coach, tu n’as pas raté le coche. Tu as coché la meilleure des cases. Il était quand même temps de partir. Du Aliou namm naala, on était passé à Aliou namm tumala. Wax deugg nak, Cissé avait perdu la main depuis cette élimination de la campagne ivoirienne. Foofu rek nga waroon baayi. Parce que Baadoolo Sénégal la fekk baax. On aurait préféré Aliou a démissionné que Cissé a été viré. Mais bon, fin temps lawoon. Match day jeex aussi. Gacce ngaalaama !
Nominations en Conseil des ministres MON prend le Cnra, Momar Diongue l’Aps, Saër Niang quitte l’Arcop
C’est un Conseil des ministres avec beaucoup de nominations. Babacar Diagne dont le mandat à la présidence du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra) a expiré le 30 septembre a été remplacé par Mamadou Oumar Ndiaye, patron du journal Le Témoin. Et à l’Agence de presse sénégalaise (Aps), la seule direction des médias publics qui n’avait pas changé de tête, c’est le journaliste Momar Diongue qui remplace Thierno Amadou Sy. Parmi les alliés de Pastef, Mamadou Lamine Dianté, enseignant, ancien syndicaliste, va désormais présider le Haut conseil du dialogue social –Hcds) à la place de Innocence Ntap Ndiaye. Et voilà un «roc» dont le mandat a expiré depuis des années mais qui s’est arc-bouté sur l’Autorité de régulation de la commande publique (Arcop), anciennement Armp. Il s’agit de Saër Niang qui cède la place à Moustapha Djitté, magistrat. Enfin, Séga Guèye hérite de la Direction générale de l’Agence sénégalaise de la couverture sanitaire universelle, (SenCsu) en remplacement de Cheikh Tacko Diop qui avait l’objet de vives critiques.
Auditionné jusque tard dans la soirée Bougane Guèye placé en garde à vue
Cuisiné depuis hier par les enquêteurs de la Division spéciale de cybersécurité (Dsc), Bougane Guèye a été placé en position de garde à vue. Le leader du mouvement Gueum Sa Bopp, est poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles, selon Me El Hadj Amadou Sall. Comme Cheikh Yérim Seck, lui aussi, a été interrogé, entre autres, sur ses propos contestant les chiffres du Premier ministre sur le déficit budgétaire et la dette. Cheikh Yérim Seck a fait l’objet d’un retour de parquet.
Guy Marius promet de retourner au Togo en cas de session de la Cedeao - «Soit on m’assassine, soit mon État ne m’envoie pas au parlement»
Il retrouve la forme, malgré son agression sauvage à Lomé. Guy Marius Sagna a fait face à la presse, hier, accusant le régime de Faure Gnassingbé. Avant de passer à la Cedeao. «Si une session du parlement se tient la prochaine fois au Togo, je referai la même chose. Ils n’ont que 2 choses à faire : soit m’assassiner, soit mon État ne m’envoie pas au parlement», a dit le député. Sur le fait qu’il continue de siéger au Parlement de la Cedeao, alors que l’Assemblée nationale sénégalaise est dissoute, il répond que les textes disposent que «le député reste en fonction jusqu’à son remplacement par un nouveau député issu de son pays. La preuve, nous étions 5 députés sénégalais sur 6 à être présents au Togo».
Tambacounda À bord d’une moto, 2 frères mortellement fauchés par un véhicule
Deux jeunes ouvriers de même père et de même mère ont péri dans un accident de la route ce mercredi 2 octobre à la sortie de Missirah. À bord d’une moto, ils ont été mortellement fauchés par un véhicule particulier. Les corps sans vie de ces deux jeunes sont acheminés au centre hospitalier régional de Tambacounda. Une enquête est ouverte par la gendarmerie.
Chavirement d’une pirogue à Bignona Un quatrième corps repêché ce mercredi
Du nouveau dans l’affaire du chavirement de la pirogue à Dianki, dans le département de Bignona. La quatrième victime a été repêchée ce matin. Il s’agit du papa des 3 enfants retrouvés hier. Le bilan fait donc 4 morts. Le maire de Karthiack, interrogé par iRadio, parle d’un drame et appelle les populations qui ont l’habitude de pêcher avec des enfants à plus de prudence.
MOMAR DIONGUE PREND LA TÊTE DE L’AGENCE DE PRESSE SÉNÉGALAISE
Il succède à Thierno Amadou Sy, qui occupait ce poste depuis novembre 2022. Ce changement intervient à un moment où l'APS cherche à consolider sa modernisation
Le journaliste Momar Diongue a été nommé, mercredi 2 octobre 2024, en Conseil des ministres, à la tête de l’Agence de Presse Sénégalaise (APS). Il succède à Thierno Amadou Sy, qui occupait ce poste depuis novembre 2022.
Titulaire d’une maîtrise en Lettres Modernes, Momar Diongue est une figure respectée du journalisme sénégalais. Il a su bâtir une carrière marquée par sa rigueur professionnelle et son engagement pour une presse libre et indépendante.
Thierno Amadou Sy, son prédécesseur, diplômé du Centre d’études des sciences et techniques de l’information (CESTI) de Dakar, a dirigé l’APS durant près de deux ans. Son mandat a été marqué par des efforts visant à moderniser l’agence et à en renforcer la couverture nationale et internationale.
MAMADOU OUMAR NDIAYE, NOUVEAU PRÉSIDENT DU CNRA
Cette décision, prise lors du Conseil des ministres, marque la fin du mandat de Babacar Diagne. "MON", figure emblématique du journalisme sénégalais et directeur de publication du quotidien "Le Témoin", apporte avec lui une expérience riche et diversifiée
Lors du Conseil des ministres du mercredi 2 octobre 2024, Mamadou Oumar Ndiaye a été désigné comme le nouveau président du Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA). Il succède à Babacar Diagne, qui quitte ses fonctions après avoir dirigé cette institution clé dans la régulation des médias audiovisuels au Sénégal.
Mamadou Oumar Ndiaye est une figure bien connue dans le paysage médiatique sénégalais. Directeur de publication du quotidien « Le Témoin », il apporte à cette fonction une riche expérience dans le journalisme et l’édition, ayant occupé des postes de responsabilité dans plusieurs organes de presse au cours de sa carrière.
LA CAP DÉNONCE UNE ATTEINTE À LA LIBERTÉ D'EXPRESSION
La Coordination des Associations de Presse a vivement réagi suite à la garde à vue du journaliste Cheikh Yérim Seck, interpellé après avoir exprimé des doutes sur les chiffres économiques du gouvernement.
La Coordination des Associations de Presse (CAP) a demandé , mardi, la libération du journaliste Cheikh Yérim Seck, placé en garde à vue hier après son audition par les enquêteurs de la brigade de lutte contre la cybercriminalité.
Lors d’une émission à la 7 TV au le journaliste a affirmé ne pas « croire aux chiffres énoncés par le Gouvernement concernant la situation économique héritée de l’ancienne gestion ».
Selon la CAP, Cheikh Yérim Seck a confirmé ses propos étayés par « les chiffres publiés sur le site du ministère des finances du Sénégal et par le fait que, selon lui, si le Sénégal a pu lever des fonds sur le marché de l’Uemoa c’est parce qu’il respecte les critères de convergence, sur la dette et le déficit budgétaire ».
Sur ce, la CAP, rappelle que « le Sénégal est un Etat de droit et qu’en conséquence les Libertés de presse et d’expression y sont consacrées par sa Charte Fondamentale ».
Elle appelle par ailleurs à la libération du journaliste Cheikh Yerim Seck qui « est libre d’user de son doit à une libre expression » et « considère qu’en l’absence d’une certification par la Cour des Comptes des chiffres annoncés par le gouvernement, tout citoyen est libre de se saisir du sujet et d’en faire les commentaires qu’il souhaite, dans le strict respect de la Loi ».
La CAP en appelle au sens élevé de la responsabilité des autorités judiciaires, y compris celles en charge des poursuites, face au respect des principes sacro-saints énumérés et protégés par la Constitution de la République du Sénégal, siège de leur pouvoir.
Cheikh Yérim Seck en garde à vue
Cheikh Yérim Seck ne s'est pas tiré de son face-à-face avec les enquêteurs de la division de la cybercriminalité. Convoqué hier par les limiers, l’ancien journaliste de «Jeune Afrique» a été entendu jusque dans la soirée. Au terme de son audition, il a été placé en garde à vue. M. Seck est poursuivi pour diffamation et diffusion de fausses nouvelles.
Retour de parquet pour Kader Dia
Restons à la Division spéciale de cyber sécurité (Dsc) pour dire que le chroniqueur de SenTv, Kader, y a précédé Cheikh Yérim Seck. Ce dernier, qui était en garde à vue, a été déféré hier devant le procureur. Mais son face-à-face avec le procureur de la République n’a pas eu lieu. Finalement, le chroniqueur de la Sen Tv a bénéficié d’un retour de parquet. Il est poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles. Lors d’une émission sur la SenTv, Kader Dia avait déclaré détenir une audio dans laquelle «un des migrants soutenait qu’une organisation de la police leur demandait de l’argent».
Diégui Diop revient lundi à la Dic
La responsable de l’Alliance pour la République (Apr), Diégui Diop, n’est pas encore sortie de l’auberge. L’ancienne directrice de la Promotion de l’économie sociale et solidaire va repasser à la Division des investigations criminelles (Dic) pour une deuxième audition. Elle revient à la Dic lundi prochain. Elle dit avoir confiance en la Justice et réaffirme son engagement à l'égard de Macky Sall. Il faut souligner que c’est suite à un rapport interne commandé par le ministre de la Microfinance, de l'Économie sociale et solidaire que Diéguy Diop est convoquée à la police.
Retour de parquet pour Khadim Bâ et Ibrahima Mar Fall
Comme précédemment annoncé, Khadim Bâ, directeur général de Locafrique et Ibrahima Mar Fall, directeur de Coris Bank International Sénégal, étaient hier dans les locaux du pool judiciaire financier sis au Point E dans les anciens locaux de la CREI pour un face-à-face avec le parquet financier. Les deux hommes d’affaires sont poursuivis pour une infraction douanière portant sur plusieurs milliards de francs cfa. D’après Dakaractu, ils ont bénéficié d’un nouveau retour de parquet.
Démenti sur la baisse des salaires des agents de l'Etat
Le Ministre Amadou Moustapha Ndjekk Sarré, porte-parole du gouvernement, est monté au créneau pour démentir l’information distillée par le Parti de l'Indépendance et du Travail (PIT) prêtant l’intention au gouvernement de baisser les salaires et les pensions dans la Fonction publique. Selon lui, ces allégations sont dénuées de fondement. Ainsi le gouvernement met-il en garde les auteurs de ces manœuvres que la désinformation et la diffusion d'informations fausses, dans le seul but de discréditer les Institutions de la République et à des fins électoralistes, ne peuvent pas être acceptées. Il apparaît ainsi que ce communiqué, dit-il, prête aux Hautes Autorités du pays des intentions nullement évoquées dans leurs déclarations sorties de leur contexte. A en croire M. Sarré, le gouvernement, tout en encourageant le débat public contradictoire, inclusif et qualitatif sur les politiques publiques, appelle les auteurs de tels propos à plus de sagesse et rappelle que l'État saura faire prévaloir le droit.
Conduite de drones à l’UIDT
Des professeurs et des étudiants de l’Université Iba Der Thiam (UIDT) de Thiès viennent de subir une formation de conduite de drones. C’est dans le cadre d’un partenariat avec le PAM. Selon le Pr Cheikh Sar, Vice-recteur en charge des études, de la pédagogie et de la vie universitaire, parmi les fonctions de l’université, il y a le service à la société. Il s’agit d’offrir à la société des services et cette formation entre dans ce cadre. Selon lui, la formation va permettre de former des étudiants et des enseignants sur les drones, qui sont des outils permettant d’offrir beaucoup de services aux sociétés et c’est important pour l’Université de Thiès. Il ajoute que les étudiants bénéficiaires de la formation ont été choisis dans l’ensemble des établissements et elle s’appuie sur la recherche, l’innovation et les services à la société. Thiès se dote d’un comité contre la migration irrégulière L’émigration clandestine est en train de prendre des proportions dangereuses dans le pays, avec des morts qui se comptent à la pelle. En effet, depuis des années, les jeunes n’hésitent pas à risquer la vie, en affrontant la haute mer, pour espérer rejoindre les côtes européennes. Mais la lutte contre cette tragédie appelle à un effort collectif. C’est dans ce cadre qu’a eu lieu, hier à Thiès, la mise en place du Comité Régional de Lutte contre la Migration Irrégulière (CRLMI). Selon le Contrôleur Général de Police Modou Diagne, représentant le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité Publique, la démarche permet de décentraliser la lutte, mais aussi de réunir les services de l’Etat, les communautés de base et la société civile autour de cette question, avec une synergie d’actions, en représentant l’entité centrale, en tant que relais dans les départements et les régions. Ledit comité participera à la sensibilisation sur les méfaits de la migration irrégulière, à l’élaboration, à la vulgarisation et à la mise en œuvre de projets et programmes, dans le cadre de la lutte à l’échelle régionale.
Plateforme «Nay Leer»
Les ministres des Finances et l’ancien chef d’État Macky Sall, cités par le Premier ministre Ousmane Sonko dans une supposée falsification des données, doivent sortir de leur réserve pour s’exprimer sur les graves accusations formulées par l’actuel chef du gouvernement contre eux. C’est l’avis de la Plateforme «Nay Leer». Selon son coordonnateur, Babacar Mbaye Ngaraf et Cie, si les accusés rejettent ces allégations, «arguments convaincants» à l’appui, le peuple saura à quel genre de gouvernants il a affaire et prendra les sanctions adéquates à la diffusion de fausses nouvelles aussi graves. Au cas contraire, ajoutent-ils, si les faits sont avérés, les autorités incriminées doivent s’expliquer devant le peuple qui, en fonction des justifications fournies, décidera de la tolérance au nom de l’intérêt de notre pays ou de la punition à la hauteur de la faute commise. Dans un tel cas, précise la Plateforme «Nay Leer», le président de la République devra avant tout prendre son balai et débarrasser de notre administration tous les fonctionnaires mêlés à ces pratiques de quelque bord politique qu’ils puissent être aujourd’hui. Pour Ngaraf et Cie, les dirigeants d’hier ne doivent pas contribuer à l’apologie de la nargue que certains dirigeants d’aujourd’hui cherchent à ériger en mode face aux interrogations et interpellations légitimes de leurs mandants.
Soutien de la coalition Samm sa Kaddu à Bougane
Les leaders de la coalition Samm sa Kaddu sont montés au créneau pour condamner la convocation de Bougane Guèye Dany à la cybercriminalité, à la veille des élections législatives. Il s’agit à leurs yeux d’une provocation et d’une insulte à la démocratie. Ils sont d’avis que la convocation à la police d’un candidat de la liste « Samm sa Kaddu » aux élections législatives est une tentative de déstabilisation de la coalition. Ainsi la coalition Samm sa Kaddu prend à témoin l’opinion nationale et internationale sur les menaces que le régime d’Ousmane Sonko/Diomaye fait peser sur la démocratie et les libertés individuelles et collectives. Elle met en garde le régime actuel sur sa volonté cynique d’utiliser les prérogatives régaliennes de l’État du Sénégal pour museler ses adversaires politiques. En tout cas, Samm Sa Kaddu fera face «aux tentatives d’intimidation, au nom de la démocratie et des libertés».
LES ENNUIS JUDICIAIRES DE CERTAINS DETRACTEURS DU REGIME A LA UNE DE LA PRESSE QUOTIDIENNE
Les quotidiens de ce mercredi reviennent sur la convocation de plusieurs contempteurs du régime par la justice en lien avec certaines de leurs positions et opinions sur la marche du pays.
Dakar, 2 oct (APS) – Les quotidiens reviennent très largement mercredi sur la convocation de plusieurs “contempteurs” du régime par la justice en lien avec certaines de leurs positions et opinions sur la marche du pays.
“La matraque”, affiche Bès Bi Le Jour par exemple, au sujet de ce que le journal appelle un “défilé de voix divergentes à la police”. “Après Kader Dia de la Sen Tv, écrit-il, c’est au tour de Cheikh Yérim Seck de recevoir une convocation des autorités judiciaires”, mardi.
“L’opposant Bougane Guèye Dany a lui aussi reçu sa convocation pour ce mercredi, à 9 h”, annonce Bès Bi Le Jour. “La justice carbure à plein régime”, constate le quotidien Source A, lequel rappelle que six personnes ont été “convoquées”, “gardées à vue ou emprisonnées pour des délits d’opinion, en six mois seulement de règne” du président Bassirou Diomaye Faye.
L’activiste des droits de l’homme Alioune Tine, interrogé par Source A, s’inquiète de cette situation et appelle la société civile à s’impliquer pour y mettre un terme. “Je pense que les délits d’opinion doivent disparaître de notre Code pénal”, plaide-t-il dans des propos rapportés par le même journal.
Le Mandat pense que le nouveau régime en place depuis début avril “cherche à museler” ses contempteurs. L’Observateur lance des “signaux d’alerte”. “Des arrestations à la pelle, des mandats de dépôt décernés à tout-va, des manifestations interdites, la situation actuelle du pays est préoccupante”, écrit-il.
Rien n’est pardonné aux “détracteurs” du pouvoir
Le journal interroge à propos plusieurs “spécialistes”, dont certains “crient au ‘règlement de comptes et à la violation des droits fondamentaux’. Mais pour nos juristes, ajoute-t-il, c’est encore prématuré de s’alarmer”.
Walfquotidien n’attend pas plus et considère que cette situation constitue un “grand bon [sic] en arrière”. “Parallèlement aux dossiers judiciaires de reddition des comptes impliquant d’anciens ministres et directeurs généraux, d’autres individus font l’objet de poursuites à cause de leurs sorties médiatiques”, relève le journal.
“Terreur chez les opposants de Diomaye-Sonko”, lit-on à la une du quotidien L’As, selon lequel “les nouvelles autorités judiciaires ne pardonnent rien aux détracteurs” du président de la République et de son Premier ministre.
“Alors que le Sénégal se prépare pour les élections législatives prévues le mois prochain, le climat politique semble s’assombrir. Les arrestations et les convocations se multiplient, visant des figures de l’opposition et certains chroniqueurs critiques du régime en place”, mentionne le quotidien Enquête.
Il estime que “l’étau se resserre” autour certains politiciens et journalistes qui se retrouvent “dans le collimateur de la justice”. Vox populi se demande s’il ne s’agit pas d’une “tentation” d’instaurer une “chape de plomb”.
Le Dandé Mayo “coupé du reste du pays”
Malgré tout, l’électorat “reste toujours fidèle à [Ousmane] Sonko”, le leader du parti Pastef (au pouvoir) et actuel Premier ministre, affirme le quotidien Yoor-Yoor, disant relayer le “point de vue des observateurs politiques”.
Les quotidiens relèguent à leur périphérie divers autres sujets dont la question des inondations faisant suite aux importantes précipitations enregistrées ces derniers jours et semaines.
Le journal Le Quotidien rapporte qu’avec la crue du fleuve Sénégal, le Dandé Mayo, dans la région de Matam, se trouve “sans voie”, “coupée du reste du pays”. La situation “vise à l’urgence”, selon le journal.
“Pas de déplacement, pas d’évacuation sanitaire, ni de transport de marchandises”, la vie quotidienne des populations du Dandé Mayo s’en trouve affectée, insiste Le Quotidien.
Sud Quotidien fait état d’une “flambée généralisée des prix des produits de consommation courante”, qui a mis le marché “sous pression”. Le Soleil revient sur la volonté prêtée au gouvernement de baisser les salaires des agents de l’Etat.
Le journal rapporte que le gouvernement a sorti un communiqué pour réfuter “les allégations du PIT”, le parti de l’indépendance et du travail, actuellement dans l’opposition. Il y dénonce des “manœuvres” et une “désinformation et diffusion d’informations fausses qui ne peuvent être acceptées”.
L’info informe que le Conseil national du patronat (CNP) et la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (CNES) ont acté leur fusion, avec l’ambition de “mieux servir l’entreprise et accompagner les nouvelles autorités dans leurs politiques de développement économique et social du pays”.
MULTIPLE PHOTOS
LES UNES DE LA PRESSE DE CE MERCREDI 2 OCTOBRE 2024
Sud Quotidien, EnQuête, Walf Quotidien, Yoor-Yoor Bi, Le Soleil, Libération, Révélation Quotidien, Le Quotidien, Bes Bi le jour, L'As, L'Observateur, Vox Populi
Sud Quotidien, EnQuête, Walf Quotidien, Yoor-Yoor Bi, Le Soleil, Libération, Révélation Quotidien, Le Quotidien, Bes Bi le jour, L'As, L'Observateur, Vox Populi
CONFIDENTIEL DE 'BES BI LE JOUR' DE CE MERCREDI 2 OCTOBRE 2024
Baadoolo - Diop mi dina Diéguy dé !
Hay... Hay... Hay... Tous les fronts de la traque sont ouverts. Cybercriminalité aussi pour tegal len sons yi ak vidéos yi. Kader Dia, Bougane et Yérim. Bou yaggué on dira que le cybercafé est de retour. L’amie de Alioune Dione moom, c’est presque cuit. La Dic, qui a refusé tout Diéguy frontières par un Wanted, a finalement trouvé ce qui n’a pas disparu. Lima guiss mouy direegou daal, Diéguy va traverser la Dic et le parquet pour rejoindre la prison. Mais Bougane dina rey nit. Sonko va se salir les mains. Comme il l’avait promis à Macky. Leçon sue !
BIGNONA Chavirement d’une pirogue à Dianki 3 enfants retrouvés sans vie
Les corps de trois enfants, impliqués dans le chavirement d’une pirogue à Dianki, village de la commune de Karthiack, dans le département de Bignona, ont été retrouvés, ce mardi. Un père de famille, qui partait souvent à la pêche avec ses six fils et neveux, a été surpris par une violente tempête le lundi 30 septembre, alors qu’il naviguait avec trois d’entre eux. Des témoins ont vu la pirogue dériver seule entre les bolongs, sans ses occupants. Les sapeurs-pompiers de Bignona et les agents des aires marines protégées de Thiobon poursuivent les recherches dans l’espoir de retrouver les autres disparus.
Convocation de Bougane Guèye Samm sa kaddu dénonce une «volonté cynique de museler des adversaires»
La coalition Samm sa kaddu est dans tous ses états après la convocation de Bougane Guèye Dany à la cybercriminalité, ce mercredi. Taxawu Sénégal, le Pur, Arc, Agir, Les Serviteurs et le Prp estiment qu’en convoquant un candidat de leur liste à la veille des élections législatives, c’est «une provocation et une insulte à la démocratie». Pour eux, les autorités cherchent à «déstabiliser et à divertir» leur coalition. La conférence des leaders de Sàmm sa Kàddu prend à témoin l’opinion sur «les menaces que le régime de Ousmane Sonko/Diomaye fait peser sur la démocratie et les libertés individuelles et collectives». Khalifa Sall et Cie mettent en garde le régime sur «sa volonté cynique d’utiliser les prérogatives régaliennes de l’État du Sénégal pour museler ses adversaires politiques» et préviennent qu’ils feront face aux «tentatives d’intimidation».
Mois national de l’alphabétisation - ALPHADEV pour l’autonomisation et la résilience des communautés
«L’alphabétisation permet aux individus d’acquérir les compétences nécessaires pour participer pleinement à la société, accéder à l’information et exercer leurs droits et devoirs en tant que citoyens», a dit le Coordonnateur de l’Ong ALPHADEV, Mor Diakhaté, parlant de l’intérêt du Mois national de l’alphabétisation. Avec son projet «Sàmm Sunu Alal» pour une gouvernance économique locale participative, appuyée par la Fondation Hewlett, 50 centres d’alphabétisation appelés ‘’Pencum Koom-Koom’’ sont ouverts dans les départements de Keur Massar, Kaffrine, Birkilane, Malem Hodar et Koungheul.
Débordement du fleuve Sénégal dans le Fouta - Mamoudou Ibra Kane clashe le nouveau régime
Le débordement du fleuve Sénégal dans le Fouta, a fait réagir Mamoudou Ibra Kane. Le leader du mouvement Demain c’est maintenant accuse le nouveau régime de Diomaye et Sonko d’«immobilisme» et de «laxisme». «Des maisons inondées, des centaines de personnes sinistrées, des champs de riz détruits par les eaux, le Daandé Maayo plus que jamais isolé… Les dégâts causés par la crue sont considérables. Pourtant ce ne sont pas les alertes qui ont manqué. Malheureusement, au lieu de prévoir et d’agir efficacement, ce pouvoir ne fait que constater les dégâts depuis son installation», a-t-il posté sur Facebook. Exprimant sa «compassion» et sa «solidarité» envers toute la population de la région de Matam et de Podor, l’opposant a dénoncé le comportement des autorités sur cette situation. «Certes la montée des eaux du fleuve est un phénomène naturel, mais l’immobilisme des autorités est inquiétant. Et quand elles agissent, c’est pour faire le show», at-il déploré.
Pool judiciaire financier - Retour de parquet pour Khadim Ba et Ibrahima Mar Fall
Khadim Bâ, directeur général de Locafrique, et Ibrahima Mar Fall, directeur de Coris Bank International Sénégal, étaient déférés, ce mardi, devant le procureur du pool judiciaire financier pour un face to face. Poursuivis pour une infraction douanière portant sur plusieurs milliards de francs Cfa, les deux mis en cause ont fait l’objet d’un autre retour de parquet.
Richard-Toll Un sapeur-pompier tué dans un accident
Un violent accident a eu lieu dans la nuit du lundi, à Richard-Toll. Un sapeurpompier qui était à bord de sa moto est entré en collision avec une charrette. La victime est décédée peu après son évacuation à l’hôpital de Gaya 1. Trois autres personnes ont été blessées dans ce choc qui a eu lieu à l’entrée de la ville. En service au centre d’incendie et de secours de Richard-Toll, la victime revenait de Ndiathène, une commune de Ronk, dans l’arrondissement de Ndiaye.
La liste de Me Moussa Diop forclose
Pour les prochaines élections législatives, il n’y aura pas la liste And Gor Jotna de Me Moussa Diop dans les urnes. Sa liste est forclose du fait du mandataire de son parti. Joint au téléphone, Me Moussa Diop nous a fait savoir que son parti n’a pas pu déposer ses listes dans les délais requis. Selon lui, le mandataire de son parti en porte l’entière responsabilité. Pour rappel, ce dernier avait disparu avec les pièces originales qu’il devait déposer depuis dimanche à 10 heures à la Direction des élections où il était attendu. Sauf que Boubacar Camara ne s’est jamais pointé au rendez-vous. D’ailleurs, Me Moussa Diop a déposé une plainte, hier, auprès du Commissariat central contre le mandataire de son parti. Reste maintenant à savoir la posture de Me Moussa Diop pour ces Législatives anticipées. Car même s'il avait décidé de partir à ces joutes électorales sous la bannière de son parti, il reste membre de la Coalition Diomaye-Président qui a porté l'actuel chef de l'Etat au pouvoir en mars 2024.
La Dic lance un avis de recherche de Diéguy Diop
L’avis de recherche de Diéguy Diop, ancienne directrice de la Promotion de l’Économie Sociale et Solidaire par la division des investigations criminelles (Dic) a fuité. Il s’est retrouvé sur les réseaux. Dans la note, il est indiqué que la nommée Dieguy Diop est recherchée par la Division des Investigations Criminelles (DIC) pour escroquerie sur les deniers publics. En cas de découverte ou de présence aux frontières, il est demandé aux limiers de procéder à son interpellation, de retirer ses documents de voyage et d'aviser sans délai le Chef de la DIC.
Mme Dieguy Diop attendue à la Dic aujourd’hui à 11h
Restons avec l’ancienne directrice de la Promotion de l’Économie Sociale et Solidaire pour dire qu’elle n’a pas tardé à réagir lorsqu'elle a vu l’avis de recherche de la police. Elle a posté une vidéo sur les réseaux sociaux pour dire qu’elle est bien chez elle et qu’elle n’a jamais tenté de quitter le pays. Mme Dieguy Diop soutient également qu’elle n’est pas une peureuse et qu’elle fera face. Elle réitère son engagement auprès du Président Macky Sall. Finalement, elle est convoquée aujourd’hui à 11h à la division des investigations pour une audition sur sa gestion des deniers publics à la direction de la Promotion de l’Économie Sociale et Solidaire.
Le kankourang fait 4 blessés à Mbour
Le kankourang a causé 4 blessés au Darou Salam de Mbour hier, dans l'après-midi du lundi. Le kankourang qui ne sort pas les jours ouvrables pour éviter des bisbilles avec les populations a rompu cette tradition. Ce lundi, les accompagnants de la cellule de Cissé Kounda appelés «sélbé» sont allés jusqu'au quartier Darou Salam. Après des bisbilles avec les habitants du quartier, ils sont retournés à la base «Leul». Mais en réalité, ce n'était qu'un repli stratégique pour une expédition punitive. Ils sont revenus en nombre pour attaquer des maisons causant plusieurs dégâts matériels dans le quartier. Ils ont défoncé des portes et tabassé ceux qui ont tenté de résister. Ils ont administré des coups de machettes aux populations. Les blessés ont été évacués à l'hôpital pour recevoir des soins. N'eût été l'intervention de la police il y aurait eu mort d'homme. Suite à ces actes de violences, les populations ont décidé de saisir un huissier pour faire le constat des dégâts matériels et de chercher des certificats médicaux avant de déposer une plainte contre le kankourang de Cissé kounda qui est accusé d'être à l'origine de plusieurs actes de violences depuis un certain temps.
Le kankourang fait 4 blessés à Mbour (bis)
La semaine au village de Warang (Malicounda), des actes d'une rare violence y sont produits, causant aussi des dizaines de blessés. Pour rétablir l'ordre, la gendarmerie avait déployé des éléments et procédé à des arrestations. C'était la même chose au village de Nianing où des affrontements ont été évités de justesse entre le kankourang et les habitants du quartier Baobab dimanche dernier. Certes, le septembre mandingue attire beaucoup de personnes, développant le tourisme intérieur mais les actes de violences opposant les « sélbés » aux populations deviennent de plus en plus inquiétants. Si les autorités administratives ne prennent pas des décisions fermes, il pourrait encore y avoir mort d'homme.
Le rappel du collectif des anciens travailleurs de Com7 à Bara Tall
Le collectif des anciens travailleurs du groupe com7 rappelle à Bara Tall son engagement. Ce dernier avait promis au collectif de payer tous les membres même ceux qui sont décédés. Mais jusqu’à présent, ces ex-travailleurs du groupe Com7 attendent la concrétisation de la promesse de leur ex-patron.
Les calebasses de solidarité et leurs 73 000 membres
Le programme de la calebasse de solidarité, porté par le Réseau National des Calebasses de Solidarité (RENCAS) intervient dans 102 communes réparties dans 26 départements du Sénégal. Son objectif est de rendre les communautés solidaires et résilientes, à travers une transformation sociale avérée. Il ressort des résultats partagés avec le grand public que 2 200 Calebasses de solidarité fonctionnelles ont été enregistrées en 2023 avec 73 000 membres. Pour Ababacar Guèye chargé du monitoring, la calebasse de solidarité a fait ses preuves au Sénégal des profondeurs comme en milieu urbain et périurbain. Elle a sorti des milliers de familles dans une situation de précarité et d’extrême urgence. Il s’y ajoute que des membres sont sortis de l’anonymat jusqu'à devenir des leaders incontestés, voire des conseillers ou adjoints dans des communes. Au plan politique, les calebasses sont aujourd’hui reconnues comme une approche de développement, une stratégie de l’économie sociale et solidaire par le ministère de tutelle.
Les calebasses de solidarité et leurs 73 000 membres (bis)
Les 2 200 calebasses de solidarité répertoriées dans le pays ont pu mobiliser, courant 2023, une enveloppe de 813 millions de Fcfa issus des activités et des apports volontaires anonymes collectés par les membres. Il s’y ajoute une enveloppe de 153 millions de Fcfa au titre des prêts qui ont été accordés. Le bilan présenté laisse apparaître que les prêts en santé et en éducation ont connu une baisse, « probablement à cause de l’enrôlement des membres par les mutuelles de santé et l’organisation des achats groupés pour les fournitures scolaires. Cependant, les prêts solidaires pour la nourriture ont beaucoup augmenté à cause de la flambée des prix alimentaires liée dans une certaine mesure à la guerre en Ukraine, mais également les deux faibles récoltes de 2021 et 2022 ». Dans le cadre des autres stratégies développées par le programme, 167 380 personnes ont bénéficié des pratiques de gestion durable des ressources naturelles, y compris de mesures concrètes d'adaptation aux changements climatiques. Il s’y ajoute la collecte de 375 tonnes de céréales, à travers les champs collectifs et les greniers de solidarité et 312 actions de plaidoyer ont été menées pour l’accès des populations aux services sociaux de base.
Réaction du ministère de la Santé sur une vidéo
Dans une vidéo devenue virale, un individu dénonce une supposée négligence de la part d'un médecin stagiaire comorien qui était de garde au centre de santé de Kaffrine. Le ministère de la Santé et de l'Action sociale (MSAS) n’a pas tardé à réagir. Il précise dans un communiqué que l'auteur de la vidéo, informé de sa méprise sur le comportement du médecin, est revenu sur ses propos en présentant ses excuses au médecin, au personnel du centre santé et au peuple. Le ministère en prend acte mais condamne avec toute la fermeté requise de tels comportements contraires à l'éducation au civisme et à la citoyenneté. Il réaffirme aux populations son engagement à leur garantir des services et soins de qualité offerts par des ressources humaines de qualité.
Déthié Fall perd un maire
L’intégration du PRP à la coalition «Samm Sa Kaddu» qui est en inter-coalition avec celle d’Amadou Ba, de l’Apr et du Pds n’a pas plu à Dr Abdoul Aziz Mbodji. Élu maire de Ndiédieng sous les couleurs de Yewwi Askan wi, le Dr Abdoul Aziz Mbodji annonce sa démission du parti. Dans une lettre adressée au président du parti, Déthié Fall, l’édile de la commune de Ndiédieng indique que la nouvelle orientation prise par le PRP est une décision inacceptable. Partant de ce constat, il a décidé de renoncer à une investiture dans la nouvelle coalition. Le Secrétaire national chargé de la communication et coordonnateur départemental de Kaolack du PRP, estime que cette belle aventure s’arrête là. A l’en croire, la nouvelle posture du PRP le gêne et n’est pas cohérente à mes yeux. Il serait encore beaucoup plus incohérent, dit-il, de chercher à donner des béquilles à travers une coalition ou une inter-coalition aux bourreaux de notre démocratie et de notre économie. Notre combat pour la démocratie et le développement du Sénégal va se poursuivre sur le terrain politique ou non, annonce l’universitaire. Le maire de Ndiédieng donne rendez-vous très prochainement aux populations pour décliner sa posture sur les élections législatives du 17 novembre 2024 mais aussi sur la nouvelle orientation politique pour la poursuite de son engagement pour le Sénégal.
Remise de véhicules
Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique arme les organes chargés de l’organisation des élections. Jean Baptiste Tine a remis hier 59 véhicules à la Commission électorale nationale autonome (CENA), à la Direction générale des Élections (DGE) et à la Direction de l'Automatisation des Fichiers (DAF). La cérémonie a eu lieu à l'École nationale de la Police.
Crise de jalousie d’un agent des Eaux et Forêts
L’agent des Eaux et Forêts S. G. est dans de beaux draps. Il a été convoqué au commissariat central de police de Guédiawaye. Il est visé par une plainte de son ancienne petite amie N. A. F. pour menaces de mort. Selon nos sources, l’agent des Eaux et Forêts entretenait des relations amoureuses avec N. A. F. La fille apprend avec surprise que son copain s’est marié avec une autre fille. Alors se sentant trahie, elle a décidé de rompre toute relation amoureuse avec son ex compagnon. Ce que ce dernier ne va pas du tout accepter. Piqué par une crise de jalousie, il interdit à la fille d’avoir des copains. Finalement, ayant marre d’être harcelée, N. A. F. se rend à la Police de Guédiawaye pour porter plainte contre l’agent des Eaux et Forêts qui est convoqué pour audition. Il a été déféré au parquet pour menaces de mort, injures publiques et harcèlement.
Arrestation d’un basketteur nigérian
Pour violence, voie de fait, menaces de mort et injures publiques, le basketteur N. Obiama alias «Obi » a été déféré au parquet par les limiers des Parcelles assainies. C’est suite à une plainte d’une dame qui lui avait sous-loué une chambre. Le mis en cause a été interpellé par les hommes du Commissaire Kébé. Toutefois, il a nié les faits qui lui sont reprochés. Ce qui ne va pas convaincre les limiers. Il est placé en garde à vue et présenté au parquet.